Je suis pressée de rentrer chez moi. ville huppée de la région parisienne. Il est cinq heure du matin et je roule à vive allure.
J’ai un peu bu mais sans trop. Dans mes pensées de la soirée que je viens de passer, je vois trop tard un stop que je grille allégrement. Aussitôt, Je vois une voiture de police me ratt****r toutes sirénes hurlante et gyrophare. Ils m’arrêtent et je commence à pester contre moi et surtout ces con de flics qui auraient mieux fait de rester au lit. Trois hommes de la BAC en uniformes noir descendent de la voiture. L’un d’eux s’approche de la vitre conducteur et tape au carreau. Je descend la vitre et le flic remarque immédiatement, mon décolleté et mes cuisses découvertes par une robe trop courte. La lampe m’aveugle et je ne peux me rendre compte que le flic reluque mes seins et mes jambes.
D’un ton autoritaire, il me demande :
« Vos papiers Madame ! »
D’un airexcédée, je lui répond :
« Vous n’avez que ça à faire que d’emmerder les femmes la nuit ? »
Le flic ne répond pas et je lui tends mon permis de conduire. Agacée, je tapote nerveusement des doigts sur mon volant.
« Sortez de la voiture Madame ! » M’ordonne-t-l en ouvrant ma portière.
En sortant, ma jupe se relève encore plus et tous les flics peuvent mater mes jambes.
Le flic me tend un alcootest et me dit :
« Soufflez la dedans ! »
Là je suis moins fière. Je blêmit sachant que j’ai bu un coup et que je suis certainement positive. Je souffle dans le ballon et je remarque le regard des agent de l’ordre qui doivent trouver très sexy ma façon de souffler dans cet embout.
Le résultat est bien sûr positif. Celui qui semble être le chef me dit d’un ton ironique :
« Et ma petite dame on a forcé sur la bibine ? Je vais vous verbaliser pour le franchissement du Stop et le taux d’alcoolémie. Ca vous fera 180€ et 8 points ! »
Je suis folle de rage. Je trépigne comme une gamine et lui lance des bêtises pour lui foutre la trouille :
« J’ai le bras long et vous pouvez vous la foutre où j’pense votre amende ! Demain vous allez entendre parler de moi et j’la f’rais sauter ! »
Le flic fronce les sourcils et me demande :
« Ce sont des menaces ? Vous croyez me faire peur ? Parce que vous connaissez des gens, vous vous croyez tout permis ? Les petites bourgeoise comme vous je les mate moi ! »
Hors de moi, je commet la bêtise de le gifler. Aussitôt, je suis saisis par les flics, plaquée contre le capot de ma voiture. Mes seins sont écrasés et ma courte robe se retrouve relevée haut. Je hurle de colère.
Le chef me passe des menottes et me dit :
« Pour rebellion et agréssion envers un agent de la force publique, vous êtes en état d’arrestation et nous vous mettons en garde à vue ! »
Les salops en profitent pour me faire une fouille à corps. Je vocifère :
« Vous n’avez pas le droit salopards ! Me touchez pas ! »
Mais ils commencent à me palper. Leurs mains remontent sur mes jambes. Ils palpent mon corps sous toutes les coutures. Je suis furieuse et n’arrête pas d’insulter les fonctionnaires de police, ce qui aggrave mon cas. Une main plus balladeuse arrive sur mon string. Une autre main malaxe mes seins. Maintenant, les commentaires vont bon train :
« Putain ! Quelle salope ! Elle a un cul et des nichons d’enfer cette pute ! »
Je continue de les insulter et tente de me débattre. Les trois flics profite de moi et s’amuse de mes jérémiades. Ils retroussent ma jupe jusqu’à ma taille et j’entends des sifflements admiratifs quand ils voient que je suis en porte-jarretelles, bas et string.
La fouille à corps continue. On écarte mon string et des doigts inquisiteurs caressent ma vulve et mon clito. Je pousse un cri devant cette agression caractérisée. Mais maintenant, je les supplie d’arrêter. L’un d’eux a ouvert la veste de mon tailleur et dégagés ses seins des balconnets. Il me les malaxe, se penche et suce la pointe, léchant les mamelons. Le Chef me contraint à sucer la matraque. Je suis terrorisée et comme une conne mes lèvres pulpeuses vont et viennent autour de la matraque comme s’il s’agissait du sexe d’un homme.
Plusieurs doigts se sont introduit dans ma chatte et je suis fouillée sans ménagement. Malgré la trouille et l’humiliation, mon corps réagit à cet agression. Ces hommes se servent de moi comme d’un jouet, comme d’une poupée vivante à qui on peut faire tous ce que l’on désire. Je sens à ma grande honte, de la cyprine qui coule de ma chatte. Le flic qui a enfourné ses doigts dans mon vagin dit aux autres :
« Elle mouille cette chienne ! C’est une vraie salope ! »
Je frémis sous l’insulte. Mais un flot de mouille se répand sur les doigts de ce flic. Celui qui me fouille la chatte sort sa bite dressée et m’ordonne :
« Ça suffit ! Suce ma bite, salope ! »
Il me force à m’agenouiller. Son sexe est tendu devant mes lèvres. Non je ne peux pas faire ça comme ça. Une main ferme en décide autrement. Elle se pose sur ma nuque et me pousse vers le sexe du flic. J’ai un haut le cœur quand sa bite vient heurter ma glotte. Il guide ma tête dans un mouvement de va et vient en me tenant par les cheveux.
Lèche mes couilles putain ! »
Puis, me tirant par les cheveux , je dois pomper les deux autre bites. J’alterne entre les trois agenouillées à leurs pieds comme une esclave docile. Les flics donnent des coups de reins violents pour s’enfoncer encore plus loin dans ma bouche accueillante qui les insultaient il y a encore cinq minutes.
Il me pouse sur ma voiture et me courbant en avant, je me retrouve les seins écrasés sur le capot. Il me claque le cul puis prend sa matraque et l’enfonce dans ma chatte dégoulinante. Je pousse un gémissement quand il me pénètre avec cet engin. Rapidement, il fait des vas et vient avec la matraque dans mon con . Malgré moi je me metà haleter pour le grand bonhneur des flics.
Les halètements de ces flics pervers résonnent dans la nuit. Bientôt , ce joint à ces halètements, mes gémissements. J’ondule du cul. Mes mains griffent le capot en poussant des feulements rauques. Un des flics me pince le nez, me contraignant à ouvrir la bouche et m’enfonce son sexe dedans. Automatiquement, comme une bonne femelle, je commence à le sucer. On me retire la matraque et le flic, s’agrippe à mes hanches pour s’enfoncer dans ma chatte. Il commence à me limer brutalement me donnant de violents coups de reins. Je pousse des cris étouffée par la bite que je pompe maintenant avec frénésie. Celui qui me baise se retire pour être remplacé par celui que je suce. A son tour, Il s’enfonce dans mon ventre.
Le manège dure un bon moment. Pouvant profiter de cette bourgeoise arrogante. Les trois flics ne s’en privent pas. Je suis défoncée comme une chienne. A quatre pattes, la matraque dans le cul pour que je m’habitue à cette présence, je suis contrainte de faire le tour de ma voiture sous les rires de ses ignobles fonctionnaires. Puis ils m’enculent forçant mes reins et ma chatte. Je pousse un hurlement strident. Mon corps tressaute sous Les coups de boutoirs de ses forniqueurs. Je suis assailie par ses bites de toutes les façons, prise par les trois trous. Empalée sur une bite dressée. Enculée par un autre pendant que la troisième fourre ma bouche.
Ils me défoncent dans cette position pendant un bon quart d’heures. Finalement, à genoux, les trois hommes autour de moi, on m’ordonne d’ouvrir la bouche. Domptée, la chatte en feu, mon trou du cul me fait mal. Ma mâchoire est endolorie à force d’avoir sucé toutes ces bites. Le premier éjacule en poussant un grognement. Son sperme jaillit éclaboussant mon visage. L’autre lâche son foutre sur mes seins. Le troisième, enfin lme contraint à avaler sa semence qu’il m’envoit par longues saccades dans ma bouche.. Je m’exécute comme la pire des putes.
On me relève. Je titube sur mes talons aiguilles. Ils me soutienent pour me ramener à ma voiture. Un des flics me ditt :
« C’est bon pour cette fois. Je ne vous verbalise pas ! La prochaine fois, vous serez plus respectueuse à l’encontre des forces de l’ordre ! »
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