Histoires de sexe Histoires de sexe lesbiennes Histoires de sexe travesti

La divorcée

La divorcée



Je pratiquai un métier de contact : commercial. Un jour, j’avais un rendez-vous avec une cliente de 40 ans environ qui voulait changer certaines clauses de ses contrats à la suite d’une séparation. Alors que je passais le pas de sa porte, elle m’a dit d’un ton amer : « Figurez-vous que mon mari me trompait régulièrement sous prétexte que je suis « coincée » ». Je lui ai répondu que vu son âge, elle devait pourtant avoir de l’expérience. Réponse de la dame : « En fait, je n’ai connu que deux hommes et c’est vrai que je suis restée assez classique, et pudique. Mais j’ai ma « spécialité »… »

En prononçant ces mots, elle s’est mise à rougir en disant qu’elle ne savait pas pourquoi elle me racontait tout ça alors qu’on se connaissait depuis à peine une demi-heure. On s’est mis à parler, de son ex-mari, de ses problèmes. Je n’ai pas vu le temps passer et, au bout d’un moment, j’ai eu envie d’en savoir plus. « C’est quoi, votre spécialité ? » Elle, toute confuse mais franche : « J’adore sucer, prendre une queue dans ma bouche, lécher les couilles. Je sais exactement comment sucer la queue d’un homme pour le faire jouir quand j’en ai envie. Il y a une façon imparable ! »

Elle s’est remise à rougir et à s’excuser. Je lui ai demandé de continuer. Elle m’a expliqué qu’elle faisait éjaculer son mari sur elle, parce qu’elle n’aime pas avaler le sperme. Elle a encore piqué un fard. Je lui ai alors demandé si elle avait déjà joué à des jeux coquins et je me suis proposé de lui en inventer un. Elle a hésité puis elle s’est laissée faire, voyant que je restais sage. J’ai écrit des gages sexy sur des petits papiers pliés et que j’ai mis dans une boîte. Elle a tiré celui-ci : « Ne plus porter de culotte pour sortir, même en jupe ».

Ma cliente s’est mise à protester, m’expliquant qu’elle ne pouvait pas faire ça. Puis j’ai insisté et je me suis moqué d’elle gentiment. J’ai voulu jouer un peu et lui ai fait remarquer qu’elle portait justement une jupe en ce moment même. Elle s’est mise à frémir. « Enlevez votre culotte et donnez-là moi », ordonnai-je. Docile, elle s’est exécutée. Elle a glissé ses mains sous sa jupe et a descendu sa culotte en se tortillant.

Puis elle me l’a tendue et je l’ai portée à mon nez pour en respirer les effluves. Elle m’a demandé de la lui rendre mais je l’ai glissée dans ma poche, en souvenir. Puis elle m’a expliqué qu’une fois, son mari avait voulu la prendre « à la sauvage ». Il était rentré, avait retroussé sa robe et avait voulu la sodomiser. Elle avait alors refusé, mais elle avait aimé la soumission et l’autorité de son mari.

J’avais l’impression qu’elle me racontait tout ça pour mieux me guider dans mon approche pour la sauter. Je lui ai dit que le sexe devait lui manquer depuis leur séparation et elle a acquiescé. Elle m’a dit qu’elle serait même très partante pour une bonne partie de jambes en l’air avant que sa fille ne rentre de l’école. Comme je voyais qu’elle avait aimé mes ordres, j’ai tenté le tout pour le tout et lui ai ordonné de se mettre à poil. Elle s’est tordue les mains et a voulu tirer les rideaux. Je le lui ai interdit, lui disant qu’elle allait apprendre à s’exhiber. Elle a alors dégrafé son chemisier et son soutien-gorge, dévoilant une très belle paire de seins. Je lui ai murmuré que ça devait être bien agréable pour se branler entre les deux. Elle m’a dit que son mari lui avait déjà réservé cet hommage et lui avait mis du sperme partout sur le cou et le visage. Elle a enlevé sa jupe et s’est retrouvée entièrement nue.

Tout en la fixant, j’ai porté ma main à sa chatte. J’ai fouillé pour chercher l’ouverture. Elle respirait de plus en plus fort. Je lui ai ordonné d’écarter les jambes et, avec mon index, je suis allé à la recherche de son petit trou. J’en ai tripoté les plis comme pour l’élargir puis je lui ai mis deux et enfin trois doigts dans la chatte. Ensuite, je lui ai demandé de me montrer si elle était aussi bonne suceuse qu’elle le disait. Elle s’est jetée sur ma queue comme une vorace et m’a pompé sans retenue.

Puis je l’ai relevée et l’ai penchée sur la table pour lui mettre des claques sur les fesses et lui demander de les écarter. Elle m’excitait incroyablement et sa soumission était la chose la plus bandante qui soit. Elle a tourné la tête vers moi pour me demander d’y aller doucement. J’ai commencé à doigter son cul, à entrer le doigt puis à le ressortir, juste un peu. Puis dans un mouvement de surprise, je l’ai enfoncé bien profond. Elle a poussé des petits gémissements de plaisir à mesure que j’agitais mon doigt à l’intérieur. Elle a hurlé qu’elle voulait ma queue dans sa chatte. Je l’ai baisée comme elle voulait tout en posant mon gland de temps en temps sur son anus, avant de replonger dans son sexe. Elle a encore voulu me sucer et je ne m’en suis pas privé. Je n’ai pas pu me retenir d’éjaculer dans sa bouche et elle a fini par avaler, alors qu’elle ne le faisait jamais avec son mari. Je l’ai alors contrainte à me raccompagner sur le pas de la porte à poil. Sa docilité ouvrait des horizons agréables et je lui ai promis de revenir avec de nouveaux gages. Je lui ai même dit que je finirai par la mettre nue dehors. Elle n’a pas dit non !

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire