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Souvenirs 1

Souvenirs 1



SCANDALE A L’HOTEL

J’ai une trentaine d’années au moment des faits.
Cela fait trois semaines que je fais l’amour avec Bruno dans une chambre d’hôtel à Creil, nos ébats ont lieu les mardi et vendredi matin.

Un vendredi nous sortons de l’établissement quand, à cause de la pluie qui tombait déjà quand nous sommes arrivés et qui n’a pas cessée, je m’aperçois que j’ai oublié mon parapluie à la réception.
Je fais demi-tour.
En arrivant près de la réception j’entends la gérante de l’établissement discuter avec une cliente.
Je comprends sans mal que mon amant et moi sommes l’objet de la conversation, enfin elle parle surtout de moi.
Sans discrétion elle critique à la cliente le couple qui vient de sortir, donc Bruno et moi en particulier.
Elle me décrit comme une femme sans morale et sans dignité.
Elle me range dans une catégorie peu reluisante de la société.
Je l’entends dire que cela la dégoûte de devoir accepter de louer dans la journée une chambre à un homme qui vient avec une putain qui sans gêne ose se prostituer dans un établissement respectable.
Elle estime que cela dévalorise son hôtel, elle ne veut pas qu’il soit considéré comme un lieu de passes .
Et elle dit ne pas refuser pas à cause du faible taux de remplissage en cette saison.
Elle n’a pas l’air de savoir ce qu’est le devoir de réserve et de discrétion quand on est commerçante.
Quand elle m’aperçoit c’est tout de suite le grand silence dans la pièce et je constate l’attitude gênée des deux femmes.

Je décide de me venger de cette vipère et après avoir ruminé un moment une idée me vient.
Depuis que je viens faire l’amour avec mon amant dans cet hôtel j’ai eu plusieurs fois l’occasion de croiser Thomas le mari de la tôlière.
Les regards qu’il porte sur moi, ses sourires me laissent penser qu’il aimerait être à la place de mon amant.
Grand brun il a une belle prestance, c’est un bel homme, au contraire de sa femme qui est grassouillette et pas très grande avec des grosses lunettes de myope.
Du coup quand je le croise où quand il tient la réception je prends mon air de salope, mes regards et mes sourires sont sans équivoque.
Je lui fais du rentre-dedans sans prendre de gants, d’abord par mes attitudes puis j’y ajoute les paroles.
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Il me regarde et ne trouve pas immédiatement de réplique, j’en profite.
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Il a du mal à comprendre ou je veux en venir et me dévisage gêné.
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Nous parlons pendant un moment et finalement il accepte l’idée d’avoir une relation avec moi et nous mettons au point le stratagème qui lui permettra de me rejoindre dans la chambre ou je l’attendrais.

Je retrouve Bruno pour notre rendez-vous du vendredi, nous pénétrons dans l’hôtel et nous nous dirigeons vers la réception.
Ce jour là, malgré que je sache ce qu’elle pense de moi, je ne me soucie pas de la tenancière quand avec son air pincé, elle nous donne la clé d’une chambre située au premier étage.

Une fois dans la chambre, la porte refermée, je me colle contre Bruno et pose mes lèvres contre les siennes puis ma langue pénètre dans sa bouche et va à la rencontre de la sienne.
Nos langues se mêlent dans de longs baisers pendant que je sens sa queue bien gonflée contre mon ventre.
Nous nous déshabillons mutuellement tout en nous embrassant et caressant.
Nus, couchés sur le lit c’est encore caresses et embrassades pendant un moment.

Je me retrouve couchée sur le dos avec Bruno positionné tête-bêche au dessus de moi sa queue bute contre ma figure.
Je lèche son pénis et ses testicules pendant un moment avant de le prendre dans ma bouche.
Pendant que je lui fais une fellation en variant la vitesse des aller-retour de mes lèvres sur le membre il met sa figure entre mes cuisses.
Un doigt pénètre dans mon anus après l’avoir effleuré pendant quelques minutes.
Sa langue s’active sur mon sexe puis pénètre mon intimité et la fouille pendant un moment puis s’en prend à mon clitoris pendant qu’il y a maintenant deux doigts qui s’activent dans mon cul.
Ce qu’il me fait me procure du plaisir et énervée j’accélère les va-et-vient de ma bouche sur la queue.
Le corps de Bruno se raidit, sa queue qu’il essaie d’enfoncer encore plus dans ma gorge s’agite et des giclées de sperme envahissent ma bouche.
Pendant qu’il reste un moment immobile, son corps pesant toujours sur moi à m’étouffer et sa verge toujours enfoncée dans ma cavité buccale, j’avale du mieux que je peux sa semence.

Il reprend le doigtage de mon anus et y ajoute pendant un moment celui de ma chatte puis c’est mon clitoris qu’il se met à masturber d’abord doucement puis violemment pendant que j’ai repris la fellation.
Ensuite pendant un moment des doigts d’une de ses mains font des aller-retour en même temps dans mon intimité et mon cul pendant que son autre main martyrise mon clitoris avec entrain.
Le plaisir monte rapidement dans mon ventre et avec la torture qu’il me fait subir mon bassin se soulève et ondule.
Mon intimité est de plus en plus humide.
Les sensations finissent par devenir insupportables, ma bouche qui suce toujours son membre le délaisse car à force de martyriser mon clitoris arrive l’orgasme, les spasmes accompagnent les jets de cyprine qui sortent de mon vagin.

Il quitte la position tête-bêche et s’allonge sur moi.
Sa queue n’a pas de mal à pénétrer mon intimité bien gluante de mouillure.
Il donne des coups de reins pour faire aller et venir sa verge dans ma chatte.
Je fais bouger mon bassin en rythme avec lui.
Nos mouvements sont accompagnés par les clapotis car je mouille bien et par le claquement de ses testicules contre mes fesses
Tout en donnant des coups de reins il embrasse et lèche mes seins, suce et mordille les tétons pendant que je caresse son dos.
J’ai beaucoup de plaisir pendant notre accouplement qu’il fait durer en cessant de remuer de temps en temps pour m’embrasser.
Au bout d’un moment l’expression de son visage change et son corps se raidit, je sens son pénis trembler dans mon ventre puis le sperme couler dans mon vagin.
Il se soulève puis se couche à côté de moi pendant que sa queue perd de sa prestance.

Je ne le laisse pas respirer et je le masturbe pendant un petit moment jusqu’à ce qu’il aie une nouvelle érection.
Puis je lui fais une fellation avec des va-et-vient rapides de ma bouche sur sa verge gluante que j’essaie de faire entrer le plus possible dans ma cavité buccale.
Il décide que j’en ai assez fait et veut me pénétrer.
je me mets à genoux, je creuse les reins et pose ma tête sur mes bras repliés en appui sur les draps.
Placé derrière moi Bruno frotte sa queue entre mes fesses avant de la positionner contre mon anus puis il pousse en s’aidant du poids de son corps.
Le pénis s’enfonce dans mon fondement puis les doigts agrippés à mes hanches mon amant me défonce d’abord doucement puis il accélère progressivement ses coups de reins.
Il passe une de ses mains sous mon ventre et sans cesser de me sodomiser il masturbe mon clitoris.
Le plaisir remonte vite dans mon ventre.
Les aller-retour de sa verge dans mon cul durent un moment puis il arrête de bouger mais continue à me masturber de plus en plus vigoureusement.
Les sensations que je ressens deviennent de plus en plus intenses et enfin mon corps se tend, les spasmes accompagnent les jets de cyprine qui coulent de mon intimité pendant que je jouis.
Satisfait il recommence à donner des coups de reins et peu de temps après ja queue tremble dans mon cul et je sens le sperme qui coule à l’intérieur.
Il se retire et nous nous allongeons côte à côte pour récupérer un peu.

J’ai encore du temps devant moi et je repars à l’assaut.
A genoux à côté de lui je caresse ses cuisses puis sa queue ramollie avant de la prendre avec une main et de la masturber énergiquement.
Il en profite, vu que mes fesses sont à portée de ses mains, pour caresser mes cuisses et masturber mon clitoris ce qui a le don de m’exciter de nouveau rapidement.
Vu la conviction que je mets en le masturbant je n’ai pas trop de difficultés pour le faire bander.
Je lèche sa queue gluante de mouillure et de sperme puis je suçote le gland longuement afin de l’énerver.
Je prends sa verge dans ma bouche et je lui fais une fellation en serrant bien mes lèvres sur son membre que je fais pénétrer le plus possible jusqu’au fond de ma gorge au risque d’avoir des haut-le-coeur.
Les va-et-vient de ma bouche sur la queue durent un moment avant que je ne décide que mes autres orifices sont là pour servir eux aussi.

Accroupie sur mon amant, les jambes de chaque côté de son corps, avec une main je saisis sa verge et la fait pénétrer dans mon intimité.
Je m’active pendant qu’il s’occupe de mes seins et des tétons avec ses mains.
Pendant un bon moment avec les mouvements de mon bassin ma chatte monte et descend sur la verge.
Mon amant apprécie les yeux fermés la torture que mon intimité fait subir à son pénis.
Je me soulève et la queue sort de ma chatte, je la tiens et la positionne puis me baisse pour la faire pénétrer à dans mon anus.
Faisant travailler les muscles de mes jambes je fais monter et descendre mon corps ce qui fait aller et venir son pénis dans mon cul.
Je donne des coups de reins pendant un bon moment puis son visage change d’expression, son corps se raidit et son membre tressaille dans mon fondement pendant qu’il éjacule.
En sueur je m’allonge à côté de lui et je récupère.

Nos ébats sont terminés pour aujourd’hui, pendant que Bruno se rhabille et avant qu’il ne quitte la chambre je m’adresse à lui.
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Il me regarde l’air étonné.
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Il regarde sa montre.
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Il me quitte après un dernier baiser.

Thomas le patron de l’établissement, comme c’était prévu, ne tarde pas à me rejoindre dans la chambre en respectant l’horaire fixé après avoir vu mon amant partir.
Il avait annoncé à sa femme qu’il partait aider un de ses copains et en avait pour un bon moment.
Revenu dans l’hôtel en passant par l’issue de secours dont il avait discrètement coupé l’alarme avant de sortir.

En l’attendant je me suis lavée puis je me suis allongée sur le lit totalement nue.
Surpris de me voir dans le plus simple appareil il s’immobilise et reste à me regarder.
<<ça te plait>>.
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Je me lève, je m’approche et me colle contre lui.
Je passe mes bras autour de son cou et frotte mon ventre contre le sien en faisant onduler mon corps.
Mes lèvres sont contre les siennes, ma langue pénètre dans sa bouche. Il répond à mon baiser et nos langues se mêlent.
Je sens contre mon ventre sa queue gonfler et durcir.

Ne voulant pas perdre de temps j’entreprends de le déshabiller lentement.
Au fur et à mesure que j’enlève un vêtement je caresse la partie du corps qui se dévoile.
Maintenant il est nu, je caresse puis masturbe doucement sa verge de belles dimensions qui se dresse fièrement.
Je le pousse vers le lit sur lequel je le fais tomber.
Je me mets à genoux entre ses jambes puis tenant son pénis avec une main je le lèche partout en insistant sur le gland qu’ensuite je suçote.
Je lui fais une fellation d’abord avec des va-et-vient lents de ma bouche sur sa queue puis j’accélère progressivement les aller-retour.
Il ne peut pas résister longtemps à la torture, son corps se tend, sa verge est agitée par des soubresauts pendant que des jets de sperme inondent ma gorge.
J’avale le liquide puis je continue un peu la fellation pour être sure qu’il soit toujours en érection.

Je me couche sur le dos et écarte les jambes, Thomas ne se fait pas prier et s’allonge sur moi.
Avec une main je l’aide à positionner sa queue à l’entrée de mon intimité dans laquelle elle s’enfonce quand il pèse avec le poids de son corps.
Il commence à bouger et à coups de reins fait aller et venir son membre dans ma chatte pendant un moment, je remue en même temps que lui.
Nous sommes en pleine action quand la porte de la chambre s’ouvre.
La tôlière pénètre dans la chambre tenant des serviettes dans les mains.
En nous voyant elle reste immobile, pétrifiée, pendant un moment.
Elle reconnait son mari, elle devient livide et un rictus déforme son visage.

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Le mari bredouille et n’arrive pas à sortir une phrase correcte.
Satisfaite par la tournure des évènements j’enfonce le clou.
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Son visage devient cramoisi.
Des mots haineux sortent de sa bouche.
Tout en me remettant mes vêtements, sans me démonter, je réplique à ses invectives avec des mots piquants.
Thomas reste là la bouche ouverte ne sachant pas quoi dire ni quoi faire, ne répondant même pas aux injures dont sa femme l’abreuve.
Je me dirige vers la porte et avant de sortir de la chambre j’ose un dernier tacle.
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Je sors de la chambre laissant la scène de ménage toujours très bruyante se poursuivre puis je quitte l’hôtel.
Je croise des personnes dans le couloir et j’aperçois des têtes qui dépassent de portes entrouvertes.
Alertées par les cris elles n’ont rien perdu de ce qui s’est passé vu que la porte de la chambre était restée ouverte et elles se marrent.
Je ne peux pas m’empêcher de sortir une dernière vacherie.
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Je quitte l’établissement le sourire aux lèvres pas mécontente de ma petite vengeance.

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