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la fille au pair

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La jeune fille au pair
Fessée dominicale de la patronne
Un dimanche matin, Mr Duchemin demanda à Marie de venir dans leur chambre. Son épouse était au piquet dans un coin de la chambre, à genoux et en déshabillé de dentelle transparente. Marie, complice et désormais habituée aux usages de la maison, fit comme si elle ne voyait pas l’insolite de la situation. Comme tous les dimanche, elle avait mis une petite robe stricte et toute simple qui, tout en respectant la morale la plus stricte, laissait deviner qu’elle portait des sous-vêtements endimanchés, de taille fort réduite et en dentelle noire.
Henry lui expliqua alors que son épouse avait renversé une tasse de café sur le lit et qu’elle devait être punie avant d’aller à la messe. Comme il ne retrouvait pas la cravache, pouvait-elle leur apporter le martinet qu’ils lui avaient confié pour l’éducation de leurs enfants.
Marie revint peu après avec le martinet rouge et Mr Duchemin lui demanda alors si elle acceptait d’appliquer elle-même le châtiment à son épouse, car il avait une foulure du poignet. Marie acquiesça et Mr Duchemin demanda à son épouse de se mettre en position de punition sur le lit.
Marie-Christine, habituée à obéir en tout à son époux, se releva et vint se placer au milieu du lit comme il lui avait appris, en déambulant les mains derrière la nuque, position qui mettait en valeur sa lourde poitrine enserrée dans un soutien-gorge renforcé. Elle portait un mini-string de dentelle qui faisait ressortir sa croupe large et généreuse.
Dès que Marie-Christine fut en position, le cul largement relevé, le déshabillé enroulé en boule autour de ses épaules et la tête dans les oreillers, Mr Duchemin demanda à Marie de lui appliquer vingt premiers coups de martinet. Marie, maintenant entièrement dans le jeu, dit :
– « Mais je ne veux pas faire de mal à Madame».
Henri se tourna alors vers son épouse, et lui dit :
– « Marie-Christine, tu entend la petite, elle n’ose pas te donner la correction que tu mérites. Encourages là.
– Marie, j’ai mérité d’être fessée. S’il vous plait, fessez-moi et fessez moi vraiment.
– A vos ordres ».
Et sans plus aucun remord ni hésitation, Marie entreprit de flageller la croupe rebondie qui s’offrait à elle. Les premiers coups furent légers et irréguliers, puis Marie prit le rythme et les coups claquèrent sur les fesses patronales.
Marie-Christine avait spontanément entrepris de compter les coups et lorsque le vingtième tomba, ses deux joues fessières étaient déjà d’un beau rose. Mr Duchemin demanda alors à son épouse de se mettre entièrement nue pour recevoir la deuxième partie de la punition.
Marie-Christine se releva et entreprit de faire passer le déshabillé au-dessus de sa tête, dévoilant son soutien-gorge bien rempli. Puis, elle enleva sa parure mammaire et ses seins très lourds et pendants apparurent. Lorsque son époux l’avait remarqué à dix-neuf ans dans une garden partie organisées par ses parents, elle faisait déjà du quatre-vingt quinze C. Cette particularité faisait que tous les hommes la lorgnaient de l’œil alors que sa timidité naturelle lui faisait rentrer les épaules et chercher à cacher l’opulence de sa poitrine.
Dix-huit ans après, suite à ses cinq grossesses et à un traitement hormonal mis au point par un médecin ami de son mari, Marie-Christine avait une poitrine qui dépassait le cent cinq et les pointes de ses mamelons étaient toujours dressés comme des petites bites roses et vibrantes. Mr Duchemin refusait toute opération esthétique des attributs mammaire de son épouse, qui étaient donc des outres pleines et très lourdes, veinées de bleus et tombantes.
Marie-Christine dut relever les jambes afin d’enlever le mini-string dévoilant une vulve nue et une entaille sexuelle du plus bel effet. Les longues séances de dilatation avaient fait leur travail et son sexe rose et dodu était toujours ouvert et accueillant, une goutte de mouille montrant l’excitation qu’elle ressentait à s’exhiber ainsi devant leur fille au pair.
Les grandes lèvres étaient très prononcées et faisaient comme deux gros plis qui entouraient deux petites lèvres fines et vibrantes, qui s’ouvraient comme les pétales d’une orchidée sensuelle et généreuse. Quant au pistil, c’est-à-dire son clitoris, il était long et gros comme un petit doigt. Il pointait d’une manière particulièrement obscène et tentatrice et Marie eut du mal à ne pas se jeter dessus pour le lécher et le sucer goulument.
Son déshabillage finalisé, Marie-Christine se remit d’elle-même en position. Son mari se tourna alors vers Marie et dit :
– « Il semblerait que Madame prenne du plaisir à cette punition. Ce qui n’est pas le but de l’opération. Marie, voulez-vous bien vérifier l’état de son vase naturel.
– Monsieur, madame mouille abondamment.
– Bien, ou plutôt je devrais dire, quelle honte. Il faut empêcher cette mouille de souiller les draps.
Allez prendre une des bouteilles de parfum de madame et comblez l’orifice en question.
– Oui Monsieur. Est ce que je prends la bouteille de Divine essence ? »
A l’évocation de la bouteille de parfum la plus large de sa collection, Marie-Christine ne put s’empêcher de trembler d’angoisse. Son mari l’avait déjà obligé à se l’enfoncer dans la chatte et elle se rappelait comment la forme oblongue lui avait défoncé la vulve. Comme ce jour là elle avait tardé à s’ouvrir sur la bouteille posée sur une chaise, il l’avait abondamment fouetté jusqu’à ce qu’elle disparaisse au trois quart dans sa vulve, son clitoris saillant insolemment hors de son capuchon protecteur.
– « Non, prenez le flacon de Crime parfait, sa forme ressemble à celle d’une de ces bites d’étalons noirs dont madame raffole.
– Dois-je l’enduire de gel intime.
– Pas la peine, la mouille de madame fera l’affaire. De plus, enfoncez le bien profond dans sa vulve afin qu’il ne tombe pas durant sa punition. Sinon il faudrait la recommencer à zéro».
Marie enfonça consciencieusement le flacon dans le con qui s’ouvrait lentement sous ses regards et elle ne put qu’admirer l’obéissance et l’adaptation physiologique de Madame, dont les pétales intimes se collèrent contre la bouteille avec un petit bruit mouillé.
Madame Duchemin fit jouer ses muscles intimes ainsi qu’elle l’avait appris dans un bordel de Saïgon où son mari l’avait mis en stage durant un mois cinq ans après leur mariage et bientôt le flacon disparu presque entièrement dans sa chatte glabe.
La jeune fille au pair recommença à fesser sa maitresse et elle sentait une douce chaleur envahir son bas-ventre alors qu’elle flagellait en cadence la croupe rebondie de Mrs Duchemin. Bientôt, les deux joues fessières furent d’un beau rouge carminé et la punie commença à geindre doucement.
En effet, Marie-Christine, comme son mari le lui avait appris dès leur premiers mois de mariage, avait glissé une main experte vers son sexe et elle se masturbait furieusement. Elle alternait des frottements sur le capuchon de son petit organe et le passage de ses doigts en ciseaux le long de la hampe clitorienne afin de faire saillir la petite boule de chair qui la faisait gémir de plus en plus fort.
– « Marie, vous voyez bien que Madame prend un plaisir impur à ce qui devrait être une punition. Redoublez d’efforts pour les dix derniers coups ».
– Bien, monsieur».
Sans se faire prier, alors qu’elle avait elle-même entrepris de croiser et décroiser les jambes afin de diminuer la tension sexuelle qui s’emparait de son petit sexe roux, Marie allongea le bras et donna ainsi plus de force aux coups de martinet qui cinglait le derrière rouge et vibrant de sa patronne.
Soudain, le flacon de Crime parfait commença à ressortir lentement de la vulve épilée et, bien malgré elle, Marie-Christine, ne put s’empêcher de le ratt****r en plongeant sa seconde main sous son ventre et en l’utilisant comme un godemiché géant qu’elle fit aller dans un va et vient rapide entre ses lèvres intimes gorgées de sang et gluantes de mouille.
Et là, avant même que son mari n’intervienne, Madame s’abandonna à la montée du plaisir devant la petite Marie, la dernière conquête de son époux. Marie-Christine avait en effet peu à peu découvert son penchant certain pour le masochisme et elle ne jouissait jamais mieux qu’en présence d’une de ses rivales du moment, surtout lorsque celle-ci ne savait pas encore que tout ceci était un jeu entre Monsieur et Madame.
Marie-Christine était parcourue de longs frissons annonciateurs de son prochain orgasme pendant que le flacon de parfum entrait et sortait de plus en plus vite de sa vulve dilatée. Autant clitoridienne que vaginale, elle n’avait pas lâché le symbole de sa féminité et, tout en l’engluant régulièrement de sa mouille translucide, elle le faisait rouler furieusement entre ses doigts.
– « Marie, continuez à fouettez Madame jusqu’à ce qu’elle est finie de prendre son plaisir honteux.
– Mais, Monsieur, je risque de toucher ses mains.
– Fouettez, fouettez, vous dis-je.
La digne Madame Duchemin n’était plus qu’une femme de quarante ans en train de prendre son pied et elle râlait de plaisir tout en exhibant sa croupe qui tressautait sous les yeux ébahis de Marie.
– « Henry, donnez moi votre queue, je veux votre bite.
– Mais, Marie-Christine, et la petite ?
– Qu’elle continue à me fesser pour mes péchés mais donnez moi votre gourdin, laissez moi vous délivrez».
Mr Duchemin sortit alors de son pantalon son impressionnante verge de dix huit centimètres, qui était déjà demi-érigée, et il l’enfourna sans plus de manière dans la bouche de son épouse qui l’attendait sur le bord du lit. Et elle se mit à le pomper avec voracité et une efficacité certaine. Mr Duchemin lui tenait la tête avec ses deux mains et il enfonçait toujours plus profondément son outil maintenant dressé dans la bouche de son esclave sexuelle préféré.
Les coups tombaient drus sur la croupe martyrisée mais Marie-Christine transformait la douleur en plaisir de plus en plus intense et tout son corps était électrisé. Soudain, elle ne put s’empêcher d’abandonner la bite de son mari pour râler sa jouissance, son orgasme.
Mr Duchemin, qui n’attendait que cet instant, jouit sur le visage de sa femme, son gland congestionné projetant de véritables jets de semence sur le front, le nez ou les joues de sa moitié. Puis, alors que Madame retrouvait peu à peu ses esprits, Henry promena sa grosse queue sur son visage, étalant le sperme afin qu’il ne coule pas mais fasse un sorte de masque gluant et hautement sensuel à son épouse. Ensuite, son gland souillé buta contre les lèvres de Marie-Christine qui entreprit sans se faire prier de nettoyer le sexe de son mari.
Elle commença par sucer le gland marital puis elle lécha consciencieusement la hampe encore à demi-dressée et elle finit par le prendre en bouche durant deux à trois minutes, le temps qu’il reprenne ses douze centimètres au repos.
Une bonne partie du sperme s’était perdue dans la longue chevelure brune de Marie-Christine qui regretta de ne pas avoir eu la présence d’esprit de tendre le visage afin d’y concentrer la semence maritale. En effet, une des règles qu’avait établi Mr Duchemin était que le sperme répandu dans la longue chevelure de son épouse du fait de la maladresse de celle-ci, devait y rester toute la journée.
– « Marie, merci pour votre aide. Madame va vous remercier elle aussi.
– Oui, merci pour cette fessée que je méritais pour mes fautes…
– Et…
– Pourriez-vous m’appliquer la cravache la fois prochaine
– Je suis à la disposition de Madame.
– Encore merci, Marie, vous pouvez disposer à présent».
Et la jeune fille était sortie, sa petite robe d’été virevoltante autour de ses jambes graciles. Marie se rendit aussitôt dans sa petite chambre, pratiquement occupée par un grand lit double où elle se sentait bien seule la nuit. Elle s’allongea sur le lit et commença malgré elle à se caresser à travers le tissu en pensant à ce qu’elle venait de voir, à ce qu’elle venait de faire.

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