Il fait chaud, je suis dans mon village, et je sors me promener. J’ai 17 ans. C’est en plein été, donc je sors en maillot de bain, un short simplement. Je suis un garçon plutôt fluet avec les cheveux longs et blonds. De dos, on peut penser que je suis une fille… bref, par où je me promène, il n’y a personne…un endroit désert. Je décide de faire une petite halte pour me reposer de la chaleur écrasante… je vaquais à mes pensées et m’assoupis.
Au bout d’un moment, j’entends une voix masculine avec un fort accent marocain du sud (je vous l’écris en français, ce serait difficile de retranscrire la discussion exacte).
– Petit, tu vas bien ? Il ne faut pas rester à la chaleur comme ça, ce n’est pas bon pour un jeune garçon.
Moi, les yeux à demi-ouverts.
– Je me suis endormi, merci de m’avoir réveillé monsieur.
– Ahmed, je préfère, Monsieur ça ne se dit pas dans mon pays, je n’habite pas loin, viens boire un peu d’eau et après tu rentreras chez toi.
Moi, trouvant cet homme sympathique, je lui fis oui de la tête et le suivis jusqu’à chez lui… .
Nous arrivâmes devant une baraque pourrie où il était logé par ses patrons, le temps de son contrat de travail.
– Entre, n’aie pas peur ! Me dit-il.
Je rentrai et en passant devant lui, il me toucha les fesses, je n’y prêtai aucune attention. Il me fit asseoir et me servit un verre d’eau fraîche.
– Tu sais, personne ne parle avec moi, et je m’ennuie tout seul, c’est gentil de me tenir un peu compagnie.
– Ben vous avez été gentil avec moi en me réveillant et en m’offrant à boire, c’est naturel que je vous remercie et que je reste un peu avec vous.
– Tu sais, être seul c’est dur et les femmes, elles ne me parlent pas, elles ont peur d’un vieux comme moi, et ça me démange parfois.
Alors qu’il disait ces mots, je regardais son pantalon et il y avait une grosse bosse à l’entrejambe : il bandait, j’en étais sûr !
– J’ai chaud, ça t’embête si j’enlève mon pantalon ?
– Non.
Il l’enleva je voyais distinctement la bosse dans son caleçon.
– Tu as déjà vu une femme toute nue ?
– Oui, c’est beau ça me plaît les filles.
– À moi aussi et tu as déjà vu un monsieur tout nu ?
– Non jamais.
– Tu veux voir ?
Et là, je ne sais pas pourquoi, c’était plus fort que moi, je dis oui. Il se déshabilla, il était en face de moi, son énorme zob dressé, son gland rouge apparent …
– Alors, ça te plaît ?
– Oui.
Il commença à se toucher, il se masturbait devant moi et me dit :
– Tu m’excites, tu veux t’amuser un peu ? J’ai envie que tu me fasses des choses !
– Quelles choses ?
– Suce-moi la bite, j’en peux plus ! Je veux du sexe, ce n’est pas grave si tu n’aimes pas les garçons, c’est juste pour se faire du bien.
Je ne sais pas pourquoi mais je le fis, je pris son énorme zob en bouche, je léchais avec plaisir son gland, je le suçais avec délice. Mon sexe était dur aussi, je glissai une main dans mon short pour me branler… je sentis son sexe palpiter et il éjacula un flot de sperme très abondant dans ma bouche, j’avalai le liquide chaud et gluant avec délectation…
– Maintenant, laisse-moi faire, je vais te baiser, dit il en haletant.
Je me levai, je baissai mon short et mon slip, il vit mon sexe dur et il le caressa.
– Hum…tu es un bon garçon toi, on va bien s’amuser.
Il passa derrière moi, me pencha en avant, je sentis le bout de son sexe contre mon anus, la sensation était étrange mais agréable au final, puis il me pénétra.
Son énorme zob était en moi et il commença à me baiser, je le sentais aller et venir jusqu’à ce qu’il stoppe et qu’il éjacule… le flot était encore plus important que dans ma bouche… il se retira, laissant mon anus dégoulinant de sperme et béant.
Il me demanda si je voulais le sucer à nouveau. Je ne me fis pas prier tellement c’était bon. Il éjacula à nouveau, me régalant encore une fois de sa semence. Puis, je finis par le branler jusqu’à ce que je le voie éjaculer.
Je lapais tout le sperme au sol et je léchais sa queue pour la nettoyer.
Depuis, tous les étés, je lui rends visite pour qu’on s’amuse un peu …
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