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Une vraie famille

Une vraie famille



Je viens d’avoir 18 ans ; je suis grande, brune, avec des yeux bleus, une petite poitrine, pas mal faite.

Il y a une année, j’étais toujours vierge, malgré les caresses de mes petits copains et mes masturbations nocturnes et journalières. Je trouvais que mes copains n’étaient pas assez doux pour que je fasse l’amour avec eux ; mais dès que je trouverais, je n’hésiterais pas perdre mon pucelage.

J’habite chez mes parents. Ma tante, la sœur de ma mère et mon oncle viennent à la maison, ou bien nous allons chez eux passer le week-end.

Ma mère m’a eu à 20 ans, alors que mon père est beaucoup plus vieux qu’elle : il avait 40 ans quand il a épousé ma mère qui, elle, avait 19 ans. Mon oncle a aussi une vingtaine d’années de plus que sa femme, qui est cadette de maman d’un an.

Le week-end, nous regardons la télévision avant que j’aille me coucher et, après avoir fait la bise à tout le monde, je rejoins ma chambre. Mes parents restent seuls avec mon oncle et ma tante. J’ai remarqué que l’après-midi, maman et sa sœur passent beaucoup de temps dans la salle de bains pour se préparer ; elles nous rejoignent habillées de tenues sexy, souvent après dîner, où maman se place toujours à côté de mon oncle, et papa à côté de ma tante. Une fois que je m’étais placée en bout de table, j’avais remarqué que ni ma tante, ni maman n’avaient de culotte, et qu’elles portaient des porte- jarretelles.

Un soir, je fais semblant de gagner ma chambre, mais je rejoins le salon en me cachant ; j’attends un petit moment. Papa est à côté de ma tante, maman à côté de mon oncle, et ils s’embrassent comme je le fais avec mes petits copains. Puis, rapidement, le chemisier de maman s’ouvre : j’admire sa grosse poitrine ; ma tante sort aussi ses seins, quoique moins gros que ceux de maman mais largement plus gros que les miens. Papa et Tonton sucent ces belles poitrines, puis leurs mains descendent dans les entrejambes de maman et tata sans trouver de grandes résistances.

Ils décident d’aller se coucher. Je regagne ma chambre sans faire de bruit pour qu’ils ne se rendent pas compte de ma présence ; je me déshabille et passe un tee-shirt et une petite culotte pour la nuit.

Je me couche, et j’entends mes parents gagner leur chambre. Je commence à me caresser comme je le fais chaque soir, mais plus fort que d’habitude car je suis excitée par le spectacle que je viens de voir.

J’ai joui avec mes doigts, mais je ne les rentre pas dans ma chatte, de peur de perdre mon hymen seule alors que je veux une queue d’homme. J’ai un peu mouillé mon lit ; maman va s’en apercevoir, mais je verrai bien… J’entends des bruits qui viennent de la chambre de mes parents ; sans bruit, je me lève et, par le trou de la serrure, je vois papa derrière tata qui est agenouillée. Par les mouvements qu’ils font, je comprends qu’ils baisent ensemble, puis j’aperçois maman qui suce tonton : je vois sa grosse queue dans la bouche de maman. J’observe discrètement, et je vois maman baiser avec tonton et papa continuer avec tata.

Je les mate tous les week-ends et je me branle de plus en plus fort à chaque fois. Maman ne m’a toujours rien dit pour ma mouille, qui le lendemain a séché ; elle pense que cela est normal pour une fille de mon âge.

Mon manège durait depuis un certain temps ; puis un soir, alors que je matais, je voyais bien maman se faire baiser par tonton tout en suçant papa, mais je ne voyais pas tatie. Elle était peut-être dans la salle de bain en train de se laver un peu. Je venais de mettre ma main dans ma culotte pour commencer à me caresser quand la porte s’ouvrit : c’était tatie qui me surprit. Je n’ai pas eu le temps de retirer ma main qu’elle m’attrapait par le tee-shirt et me fit entrer dans la chambre. Papa, maman et tonton se retournèrent vers moi ; ils me dirent que ce n’était pas bien de regarder par le trou de la serrure.

Ma tante, qui me tenait toujours, m’allongea sur le lit ; mon tee-shirt et ma culotte furent très vite retirés et nous fumes tous les cinq nus. Maman et tatie me sucèrent chacune un sein, et tonton m’écarta les jambes pour mettre sa bouche sur ma chatte gluante. Puis papa se tint devant mon visage, sa queue à quelques centimètres de moi ; maman me demanda de la prendre dans ma bouche, en me disant que ce soir j’allais devenir une femme.

Tonton me léchait bien la chatte, qui mouillait de plus en plus ; maman remarqua que j’étais une femme fontaine et qu’elle le savait en voyant les taches dans mon lit. Puis tonton s’allongea sur moi pendant que maman et tatie s’occupaient toujours de ma poitrine et que j’avais le sexe de papa dans la bouche. Il enfonça sa grosse bite dans ma petite chatte ; j’en avais tellement envie que je ne sentis pas mon dépucelage. Puis il jouit en moi sous les yeux de sa femme et de mes parents. Papa prit sa place dans ma chatte, et très vite par des va-et-vient rapides, il se déversa lui aussi en moi.

Maman me dit que ce n’était pas fini, et que j’allais faire l’amour avec elle puis avec tatie, et que mon oncle et papa allaient me baiser en double : papa allait me prendre par derrière, et cela fera un peu plus mal que par devant.
Avec tatie et maman, cela s’est bien passé : j’ai joui dans leur bouche et elles ont avalé mon jus, puis j’ai goûté le leur.

Ensuite, je me suis allongée sur tonton ; maman et tatie m’ont passé du gel entre les fesses et enfoncé leurs doigts en moi, puis papa a mis sa queue dans mes fesses. Maman avait raison : j’ai eu très mal, mais papa – malgré mes plaintes qui le suppliaient d’arrêter – continua avec l’approbation de maman son insertion en moi, s’arrêtant de temps en temps pour que je m’habitue à un gros sexe dans mon cul.

Bientôt, je sentis ses couilles sur mes fesses ; maman me dit qu’il est rentré en entier et que ce n’était pas si terrible. Je m’habituais à la grosseur et je sentais mon petit cul s’élargir. Papa commença alors un va-et-vient très lent, puis de plus en plus rapide, jusqu’à ce que je lui demande d’aller encore plus au fond à chaque mouvement. Maman lui caressait les couilles, et très vite je sentis son liquide chaud entrer dans mon ventre. Puis tonton et papa changèrent de position afin que j’aie deux bites dans mon cul comme je les avais eues dans ma chatte. J’avais enfin perdu mes pucelages avec des hommes doux ; tatie et maman me dirent que j’étais une belle salope comme elles, et que maintenant j’allais partager leurs jeux.

Quelques mois plus tard, alors que je baisais régulièrement avec eux, maman me proposa de passer quelques jours chez ses parents, sous prétexte que cela me reposerait. J’acceptai, et le dimanche maman m’emmena chez sa mère ; visiblement, maman l’avait prévenue de mes changements et que maintenant j’étais une vraie femme.

Mamy m’embrassa comme d’habitude en me faisant remarquer que j’ai bien grandi, et que papy allait être content de me voir.
Maman nous quitta en me disant qu’elle viendrait me chercher la semaine prochaine. Mamy m’emmena dans ma chambre et me dit « C’est pour tes affaires, puisque pendant ton séjour tu vas partager notre lit. » Papy revint de sa promenade quotidienne ; il m’embrassa en me serrant dans ses bras ; lui aussi était au courant que j’étais chaude.

Je voulus aider Mamy à préparer le souper, mais elle me dit qu’elle n’avait pas besoin de moi et que je ferais mieux d’aller retrouver papy dans le salon. Il était assis sur le canapé ; il avait sorti sa queue et il se branlait. Je m’assis à côté de lui, me penchai et pris sa bite dans ma bouche. Je commençais à le sucer quand Mamy entra et nous dit que nous avions pris de l’avance sans l’attendre. Elle se mit de l’autre côté pour elle aussi la prendre en bouche, me disant que c’était bon de sucer la queue qui avait dépucelé ma tante et ma mère.

Nous avons dîné puis nous sommes allés nous coucher. Nous avons fait l’amour tous les trois, et Mamy m’a raconté l’histoire de notre famille :

« J’ai commencé à baiser vers 16 ans ; je me suis tapé tous les jeunes du village de mon âge et leurs pères ; puis ton papy m’a demandée en mariage : il m’avait déjà baisée et connaissait ma réputation. Son père ne voulait pas qu’il m’épouse parce qu’il était aussi un de mes amants ; mais il m’épousa quand même. Je posai mes conditions : c’est-à-dire garder mes amants et m’en faire d’autres. Comme ton papy accepta, nous nous sommes mariés. Pour notre nuit de noces, je me suis fait tous ses copains ; mais la plupart étaient déjà mes amants.

Quelque mois après, je suis tombée enceinte : pas de mon mari, mais de l’un de mes amants. Puis, neuf mois après, ta mère est née. Donc ton papy n’est pas ton grand-père. Je suis retombée enceinte tout de suite après mon accouchement, mais ni de mon mari, ni de ton grand-père, mais d’un autre amant ; j’accouchai donc de ta tante.

Mes filles grandissaient ; pour les 16 ans de la cadette, ton papy leur fit perdre leur pucelage en même temps. Elles avaient pris l’habitude de baiser avec mon mari et avec mes amants ; mais elles baisaient bien évidement avec leurs pères, et elles le savaient.

Puis, vers 20 ans, elles sont tombées amoureuses de leur père, et l’un et l’autre les épousèrent. Donc ton père est en réalité ton grand-père ; mais comme elles n’ont pas arrêté pour autant leurs relations extraconjugales – avec l’assentiment de leurs maris – ton tonton est ton véritable père. Ta tante n’a jamais pu avoir d’enfant malgré les efforts de ton « père » pour la mettre enceinte. Maintenant que tu baises avec tout le monde, tu as le droit de savoir. Demain, tu viendras faire les courses avec moi, et je te ferai prendre par mes amants : leurs femmes sont au courant puisqu’elles baisent aussi avec moi ou avec papy. »

Le lendemain, j’étais prête de bonne heure. Mamy regarda si j’avais une petite culotte ; elle me dit de l’enlever, que j’en aurais pas besoin, qu’elle n’en mettait jamais et que c’était plus pratique pour se faire prendre. Je la retirai donc, puis nous sommes parties faire les courses.

Chez le crémier, Mamy s’étonna de ne pas voir la crémière ; son mari dit « Elle est dans la remise ; elle réceptionne la livraison. » Nous sommes donc allées dans la remise, et nous avons vu la crémière baiser en levrette avec le livreur. Elle nous dit « Vous arrivez trop tard ; venez un peu plus tôt vendredi, il a une livraison à nous faire pour le week-end : comme cela, vous pourrez goûter à sa crème fraîche. » La crémière regagna le magasin ; elle me dit « Tu ne seras pas venue pour rien : mon mari va te sauter. Va dans l’arrière-boutique avec lui. » Mamy m’attendait en causant avec la crémière, qui connaissait aussi ma mère.

Chez le boucher, la bouchère nous dit que son mari et le commis étaient dans l’atelier ; Mamy m’entraîna vers celui-ci en disant « Pendant que tu baises avec le boucher, je me fais le commis : il ne m’a pas encore baisée. »

Puis nous sommes passées de boutique en boutique, et ce fut à peu près le même scénario. Mamy a pris rendez-vous dans un salon de beauté de la grande ville proche pour me faire épiler entièrement ; je n’en éprouvais pas le besoin, mais Mamy y tenait beaucoup, surtout que l’esthéticienne était une de ses copines.

Avant de commencer la séance d’épilation, elle me mit un gros gode dans la chatte. Au sex-shop, Mamy m’offrit des boules de geisha pour ma chatte et un gros plug pour mon cul, que le vendeur m’a fait essayer.

Lorsque nous sommes rentrées à la maison, papy nous a demandé si nous avions bien baisé ; et que lui, dans la forêt, il avait baisé une femme de 80 ans, et qu’elle a eu l’air d’aimer ça.

L’après-midi, nous avons fait l’amour avec papy, et Mamy s’est gouinée avec moi, comme ma mère le fait avec sa sœur et elle avec ses filles ou les femmes de ses amants. Elle me dit que tous les samedis soir, ils organisent une soirée où tous ses amants viennent accompagnés de leurs femmes pour dîner et baiser ensemble, et que samedi prochain ce sera en mon honneur, et elle me promit une surprise.

La semaine se passa et le samedi soir arriva. Mamy m’aida à m’habiller : bas auto-fixants, pas de culotte, soutien-gorge sexy, mini-jupe qui ne cache rien (ras la moule).

La soirée commença, mais je ne connaissais toujours pas la surprise. Tout le monde était là : les commerçants que je connais, maman, tatie, les amants de Mamy (j’en connais quelques uns), mais je ne voyais pas papa ni tonton.

Le dîner commença ; au dessert, Mamy me banda les yeux et me demanda de sucer tous les hommes présents ; le dernier que j’ai sucé était mon copain avec qui je ne voulais pas baiser (j’avais retiré mon bandeau). Il était arrivé en dernier avec papa et tonton quand j’avais les yeux bandés ; maman m’avait dit de ne pas m’inquiéter : il savait tout, et avec ta tante nous nous en sommes occupées cette semaine ; c’est un excellent baiseur. Après avoir sucé toutes les queues, j’ai baisé avec mon copain ; les conseils de tatie et de maman ont été bénéfiques.

Mon copain désirait toujours me baiser, à condition que j’aie d’autres amants ; de toute façon, je ne comptais pas arrêter. Maintenant, tous les week-ends, il vient à la maison et nous ne sommes plus cinq, mais six.

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