Je suis étudiante en sociologie en fin de cursus sur le campus et logée en résidence universitaire sur place. Il me reste une année à faire pour finaliser mon diplôme mais je suis à court de financement pour arriver à tout payer. L’année dernière j’ai travaillé avec des petits boulots à temps partiel de caissière, vendeuse, serveuse. Mais cette année j’ai besoin de beaucoup de temps pour finaliser mon mémoire de fin d’étude. Une de mes amies s’en sort mieux car elle a un amant plus âgé, marié et qui l’aide bien pour qu’elle soit discrète. J’ai donc travaillé cette piste en passant des annonces sur des sites de rencontre du genre : étudiante peu farouche cherche homme généreux en joignant une photo où on ne voit pas mon visage.
A ma grande surprise j’ai eu très vite des quantités de réponses et mon premier travail a été de les trier. J’ai éliminé les frustrés qui m’insultaient, les jeunes sans le sous qui cherchaient une copine, les hommes qui voulaient juste tirer un coup une fois, les fanfarons voire les mitos aux réponses non crédibles. Il me resta quelques contacts à tester par téléphone ce qui me permit de retenir trois « candidats ».
Le premier est un chef d’entreprise de 50 ans, marié mais depuis longtemps, qui n’a pas de temps pour draguer. Je le rencontre sur son lieu de travail à l’heure du déjeuner. Il m’envoie un sms et je prends tout simplement un rendez-vous avec sa secrétaire. Lui il me baise tout habillée sur son bureau sans quitter ses vêtements. Il me demande juste de lui faire voir mes seins et de venir en jupe sans culotte. Les rapports sont simples et protégés et durent un quart d’heure. Il paye bien et c’est régulier tous les quinze jours. Il ne m’a jamais fait jouir mais j’aime bien le rencontrer. Il dit que je le détends et que c’est meilleur et moins cher qu’une séance chez son psy. C’est un type correct qui me paye en cash le prix convenu au moment où je quitte son bureau.
Le deuxième est un commerçant assez gros et riche qui tient une bijouterie au centre-ville. Lui aussi a une famille et veut de la discrétion. Il passe me prendre à un arrêt de bus dans sa grosse limousine puis va se garer dans un coin d’un parking souterrain peu fréquenté de résidence privée dont il s’est procuré le badge. Il me demande de le sucer puis il me tripote avec ses doigts en s’introduisant dans mon sexe. Quand il est en forme il me met aussi un doigt dans le cul. Quand il s’est bien excité comme cela il me demande de le branler après avoir enduit son court pénis avec ma salive. Quand il va jouir je recouvre sa bite d’un kleenex pour ne pas salit son costar. Il ne m’a jamais ni embrassé ni fait l’amour et bien sûr je n’ai pas de plaisir quand je le rencontre. Lui je le sens plus tordu et je lui demande toujours de payer d’abord. Je le vois une fois par mois.
Le troisième est le plus attendrissant. C’est un homme de 45 ans, célibataire de longue durée puisqu’il est prêtre. Il est beau, délicat, cultivé et ne supporte plus la solitude et le silence assourdissant du Dieu de sa jeunesse. Nos rencontres lui permettent de s’équilibrer affectivement, sexuellement et probablement de continuer encore quelques temps d’assumer sa vocation. Lui je le rencontre, moins régulièrement, chez lui dans son logement modeste. Nous déjeunons ensemble, souvent j’apporte un en-cas, puis il m’offre un café et nous passons dans sa chambre. Nous faisons l’amour tous nus dans son lit sans vice et avec douceur. Dès la deuxième rencontre il m’a faite jouir. Lui je lui demande une somme très modique. S’il nous n’avions pas tant de différence d’âge je me sentirai capable de vraiment l’aimer. Nos échanges intellectuels sont intéressants.
Voilà comment je finance mes études et emmagasine des données sociales pour de futurs travaux de sociologie appliquée.
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