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Le professeur, sa Maîtresse et l’élève

Le professeur, sa Maîtresse et l’élève



Certes, je ne suis pas un écrivain, je n’ai pas la prétention d’avoir la plume des Baudelaire, Zola, Hugo et autres grands écrivains. J’écris comme je pense. Parfois, je me mélange un peu les pinceaux. Je fais pas mal de fautes en grammaires, en orthographe et en français, je vous en demande pardon d’avance. Le principale étant que j’écrive de manière libérée et comme je le sens. Encore une fois, si cela déplaît, on ne peut pas plaire à tous. Encore une chose, j’ai écrit pas mal d’histoires. Dans tout, il y a une partie de ma vie qui y figure. Je vous laisse chercher. Et puis, ce n’est pas aujourd’hui, à mon âge, que je vais changer ma manière d’être, surtout que je m’amuse tellement en écrivant et donc…

Quand une lycéenne tombe amoureuse de son prof, rien de plus normal. Que ce dernier fasse découvrir des domaines inconnus, des territoires en friches, fait partie de l’expérience. Mais que derrière l’homme, le prof brillant, se profile une nouvelle silhouette, voilà qui est moins banale. Surtout si cette silhouette est féminine…

Je venais d’entrer en terminale et le professeur de littérature était gouailleur, Caustique, volontiers railleur et cynique, une mèche de cheveux qui retombait perpétuellement sur ses yeux, de petites lunettes rondes et un air malicieux pour regarder par-dessus, des mains longues aux doigts fins et nerveux : il n’en fallait pas plus que je tombe amoureuse.

Il me troublait avec ses paradoxes. « La liberté, c’est l’acceptation de la nécessité » ou « la valeur morale réside dans l’épanouissement du groupe ». Contradictions apparentes qu’il détaillait avec rigueur, tel un professeur de philosophie. C’était la première fois que quelqu’un bousculait mes idées toutes faites, sapait mes certitudes et m’obligeait à penser par moi-même.

Au bout de deux mois, j’étais séduite, au bout de trois, conquise. En moi-même, je l’appelais par son prénom. Victor, et je m’imaginais comme sa plus brillante discipline. En réalité, il faisait à peine attention à moi. C’est pourquoi, son attaque m’a prise entièrement au dépourvu. Je me suis retrouvée dans son lit, un samedi après-midi et j’étais sa maîtresse.

Je reprenais mon souffle, allongée à côté de lui, et j’observais du coin de l’œil cet homme qui venait de me faire jouir sans me laisser beaucoup d’initiatives. De toute façon, je n’aurais pas osé en prendre. Tout s’était passé trop vite. La rencontre, les sourires moqueurs, la proposition. Ses mains qui m’avaient déshabillée sans hâte alors que je me sentais fiévreuse.

Des caresses et puis son sexe en moi. J’avais déjà fait l’amour avec des garçons de mon âge mais, c’était la première fois avec un homme. Victor avait la quarantaine d’années. Il était en outre le prof de littérature dont j’étais amoureuse depuis deux mois. Ça m’intimidait un peu. Il avait eu la patience et l’habilité de m’aider à surmonter ma réserve.

Ensuite, la gourmandise sensuelle de mon corps avait gommé ma retenue. Elle avait exigé son dû et j’avais remué les reins et le bassin, serré entre mes cuisses les hanches de l’homme qui me chevauchait, tendu la pointe de mes seins vers sa bouche, enfoncé mes ongles dans les muscles de ses reins. J’avais réclamé et obtenu le spasme qui m’avait fait gémir de contentement a****l.

Maintenant, Victor fumait une cigarette en m’observant en coin. Au fond de son regard brillait une lueur amusée qui me mettait mal à l’aise. J’avais envie de me montrer tendre et câline avec lui mais quelque chose me retenait. J’avais l’impression qu’il m’évaluait et j’aurais donné cher pour savoir ce qu’il pensait de moi et ce qu’il voulait au fond.

Il n’a rien dit et je n’avais osé demander. Notre liaison s’était poursuivie pendant deux mois. Il me recevait deux fois par semaine dans son studio et nous faisions l’amour. C’était agréable, délicieux même. Mais il me semblait que Victor me cachait quelque chose. Le plus drôle, c’est que j’étais incapable de dire ce qui clochait.

C’était comme un manque dont j’avais le pressentiment, sans parvenir, à le formuler. Victor continuait à développer, devant moi, ses paradoxes et ses provocations. Il y en avait deux qu’il citait fréquemment et qui me révoltaient. Il disait « Si on juge de l’amour par la plupart de ses efforts, il ressemble plus à la haine qu’à l’amitié. » Il disait aussi : « Plus on aime une maîtresse et plus on est près de la haïr. » Il pouvait disserter pendant des heures.

Au début, je l’écoutais sans lui répliquer. Mais peu à peu, je me suis enhardie et un jour, je me suis mise en colère en lui disant qu’il n’était qu’un beau parleur, un intello qui se gargarisait de mots mais était incapable d’agir. Nous venions de faire l’amour et nous étions tous les deux nus sur le lit. Il s’est jeté sur moi en serrant ses deux mains autour de mon cou.

J’ai cru à un nouveau jeu érotique et je l’ai mis au défi de me faire du mal s’il était si près que ça de me haïr comme il le répétait souvent. Il m’a demandé de lui tendre mes poignets et il les a attachés avec la ceinture de son peignoir. Je croyais toujours à un jeu et je l’ai laissé me fixer mon lien après le montant du lit. Il me tenait à sa merci et ça m’émoustillait.

D’autant plus qu’il a entrepris de me lécher. Il le faisait très bien et j’étais folle de sa bouche et des orgasmes à répétition qu’elle tirait de moi. D’être ainsi entravée, incapable de lui rendre ses caresses ou même simplement de le toucher ajoutait encore du piquant à cette nouvelle façon de procéder. Sa langue s’agitait divinement entre les lèvres de ma chatte.

Déjà, les premiers signes avant-coureurs de la jouissance me faisait torde les hanches et creuser mon ventre quand il s’est arrêté brusquement. Il a allumé une cigarette et il a parcouru mon corps avec le bout de ses doigts. De la pointe de mes tétons jusqu’au sommet de mon pubis. J’avais envie qu’il continue de me lécher et qu’il me mène jusqu’au plaisir mais je n’ai rien dit.

Quand mon excitation a été un peu retombée, il a de nouveau passé sa langue sur ma vulve. Un plaisir encore plus aigu et plus intense qu’il a stoppé à nouveau. Je n’ai pas pu retenir une plainte de déception. Il n’en a pas tenu compte. Quelques minutes plus tard, sa langue sur ma fente était si brûlante et si douce que je lui ai demandé de poursuivre.

Mais il a continué son manège sans tenir compte de ce que je disais. J’étais si excitée que j’en devenais incroyablement fébrile et chaque fois que sa langue me touchait, ne serait-ce qu’une seconde, il me semblait que j’allais jouis délicieusement. Victor s’arrêtait toujours juste avant que je n’atteigne l’orgasme. Cette à la fois merveilleux et éprouvant.

À la fin, je l’ai carrément supplié de me faire jouir. J’étais en sueur, plus chaude que si j’avais de la fièvre et je sentais trembler mes bras et mes cuisses. Victor est sorti de la chambre et j’ai cru que j’allais devenir folle s’il me laissait comme ça. Surexcitée et frustrée à un point que je n’avais jamais atteint. Je frottais mes cuisses l’une contre l’autre mais, c’était insuffisant.

Quand il est revenu, ma tension était un peu tombée ou, plus exactement, elle s’était répandue dans tout mon corps. Comme si j’étais devenue une pile électrique. Sans que je m’y oppose, il a attaché chacune de mes chevilles après les montants du lit, mes cuisses largement écartées.

Il tenait, à la main, un objet curieux. Un cylindre métallique semblable à un étui à cigare terminé par une ficelle. Il a ouvert mes cuisses pour l’introduire dans mon vagin. Une incroyable sensation de douceur et de plénitude m’a submergée. L’objet bougeait tout doucement à l’intérieur de moi et rallumait toute mon envie de jouir. C’était les mouvements de mon corps qui agitaient et j’ai très vite compris qu’il me fallait jouir si j’arrivais à lui imprimer une oscillation suffisante. Malheureusement, Victor m’avait attachée si étroitement que je pouvais à peine bouger. C’était une torture encore plus savoureuse et plus énervante que la précédente. Comme si je tenais en permanence sur le fil de l’orgasme sans pouvoir y basculer.

Alors Victor a sorti une cravache d’un tiroir et il en a cinglé mes cuisses. J’étais stupéfaite que j’ai violemment sursauté. Le bond a remué le cylindre dans mon vagin et m’a portée aux limites de la jouissance. Le second sur mes seins m’a procuré une douleur fulgurante et une secousse si vive que j’ai cru que l’orgasme allait exploser. C’est moi-même qui ai supplié Victor de me cravacher à nouveau.

Le premier coup sur mon ventre m’a cambrée de souffrance, soulevée en arc de cercle et plongée en même temps dans une extase voluptueuse si intense que j’ai hurlé en en réclamant plus encore. J’étais au-delà de tout ce que j’avais pu ressentir. Pendue dans un bonheur charnel tellement puissant que j’ai cru m’évanouir.

Je suis restée quinze jours sans retrouver Victor. Je l’ai vu près de la cathédrale, sur la place du marché aux chevaux, en compagnie d’une belle femme brune. Le soir-même, j’ai frappé à la porte du studio. Sans un mot, il m’a prise dans l’entrée, debout contre la porte. Nous étions déshabillés ni l’un, ni l’autre et l’élastique de mon slip me mordait les cuisses pendant que sa verges me faisait jouir très vite et très bien.

Au moment de partit, il m’a demandé si je reviendrai pour la cravache. J’ai fait signe que oui. Ma gorge était trop nouée pour que je puisse dire un mot. La fois suivante, Victor avait disposé sur le lit, un corset blanc bordé de dentelles qui laissait à découvert le haut de mes seins, le pubis et mes fesses. Il m’a aidé à le lacer dans le dos et j’ai fixé moi-même les bas blancs après les longues jarretelles.

Les balconnets du corset soutenaient mes seins par-dessous mais, ne cachaient même pas mes tétons qui semblaient reposer sur la bordure de dentelle. Victor a emprisonné mes poignets dans des menottes garnies de velours qu’il a accroché au pied du lit. L’attache était symbolique et elle m’obligeait surtout à me tenir un peu penchée vers l’avant.

Victor m’a demandé si je voulais la cravache. J’y pensais depuis quinze jours. C’était ce qui m’avait tenue si longtemps éloignée de lui. J’étais obligée de reconnaitre que la douleur que j’ai ressentie, si intimement liée à la jouissance, avait exercé sur moi une profonde attirance. Une sorte de fascination physique que je ne pouvais nier.

Et plus encore, un envoûtement psychologique que me faisait peu à peu. L’idée d’être livrée à un homme qui pourrait exiger de moi ce qu’il voudrait. La répulsion instinctive que j’éprouvais à cette et la séduction dangereuse qui s’insinuait dans mon esprit. Cette abdication de ma volonté dans la volonté d’une autre dégageait un charme trouble qui me perturbait.

Victor a cravaché ma croupe jusqu’à ce que j’éclate en sanglots et l’implore d’arrêter. La souffrance physique était intense mais j’avais retrouvé dès le premier coup de cravache toutes ces sensations qui m’avaient tenue si inquiète depuis deux semaines. Une excitation indéniable qui irradiait sa chaleur à l’intérieur de mon ventre.

La correction avait été dure que je m’étais laissée tomber sur les genoux. Je savais qu’il suffirait que Victor introduise sa verge dans moi pour provoquer un orgasme délicieux. J’attendais et je m’en voulais de l’attendre. J’avais honte de me soumettre et cette honte me procurait une sombre et lourde satisfaction intérieure.

Victor m’a demandé si je voulais quelque chose et j’ai répondu « baise-moi s’il te plait, baise-moi… » À cet instant, la porte du studio s’est ouverte et une femme est entrée. J’ai voulu me relever, mais un coup de cravache m’a rejetée à genoux. La femme était la brune que j’avais vue avec Victor sur la place du marché aux chevaux.

– Tu crois que je peux la prendre en main mon petit Vicki ?

– Oui Maîtresse, je crois qu’elle a des dispositions…

– Est-ce que tu l’as possédée par le cul ?

– Oh non, Maîtresse, je savais que tu la réservais pour toi…

– C’est bien mon Vicki, laisse-moi maintenant…

La femme s’est assise sur le lit et elle m’a regardée longtemps sans rien dire. Je savais que mes yeux étaient rouges d’avoir pleuré et que mon maquillage avait coulé. J’étais plus humiliée de le montrer à cette femme qu’à Victor. De même que les menottes la position agenouillée, le corset et les manques de la cravache sur mes fesses m’humiliaient plus devant elle que devant lui.

En outre, j’avais une peur panique qu’on me pénètre l’anus. Une angoisse indicible et une répulsion immense. Les deux se mélangeaient si bien que je ne supportais même pas qu’on me touche à cet endroit. Or, mon amant venait d’affirmer que cette femme allait me sodomiser. J’étais paralysée par un effroi qui me bouleversait.

– Victor à tout de suite pensé que tu ferais un sujet adorable. C’est vrai que tu es ravissante et les larmes te vont bien…je suis sûre que j’aurais beaucoup de plaisir avec toi !

– Mais je ne veux pas de vous…

– Ne soit pas stupide. Tu es à moi depuis la première fois que Vicki t’a fait jouir. Souviens-toi comment tu as jouit…

Et la femme s’est mise à pousser des gémissements courts et flûtés entrecoupés de « oui, oui, oui » plus énervés et aigus. Exactement comme quand je jouis. Son imitation de mon plaisir était si parfaite que je ne pouvais pas douter qu’elle y avait assisté. Elle était présente quand je croyais être avec Victor dans l’intimité la plus secrète. Je me suis sentie rougir jusqu’au blanc des yeux.

– Mais je ne suis pas une…une gouine !

– Tu l’apprendras, comme tu as appris la cravache. Est-ce que tu n’étais pas en train de supplier Vicki de te baiser quand je suis arrivée ? Pourtant il venait de te cravacher et balançais ton petit cul tout rouge dans tous les sens pour qu’il éteigne le feu qui incendiait ta jolie chatte…

Tandis qu’elle parlait, elle caressait mes épaules et le haut de mes seins gonflés par mon corset. Venant d’une femme, ce contact me répugnait un peu mais, je ne pouvais m’empêcher ma peau de frémir sous cette douceur. Pas plus que je n’ai pu m’opposer à l’émoi de mes tétons quand elle s’est mise à le taquiner l’un après l’autre du bout des ongles.

– Tu vois ! Tu dis que tu n’es pas une gouine mes tes petites tétines gonflent et durcissent dès que je les touche….

Sa main est descendue le long de mon ventre, les doigts ont joué à s’emmêler dans les poils de mon pubis et je me suis raidie quand ils ont effleuré la crête sensible de mon clito.

– Aussi nerveuse qu’une pouliche, hein ? je vais t’apprendre à ne plus renâcler…mais ces poils vont me gêner pour te fouetter comme je le désire. Je vais tout de suite t’en débarrasser…

J’aurais peut-être dû réagir. Tenter de me révolter. Encore que je sois certaine que ça n’aurait servi à rien. De toute façon, je n’ai pas fait. Irène, la femme m’avait permis de l’appeler Irène, a coupé aux ciseaux le majeur partie de mes poils et elle les a rasé ensuite très soigneusement. Le froid du métal et son glissement sur ma peau me faisaient frissonner.

Elle a disposé un miroir entre mes cuisses et j’ai contemplé mon sexe entièrement glabre. C’était la première fois que je le voyais ainsi depuis ma puberté. Une fente rouge bordée de lèvres inégalement découpées et légèrement entrouvertes. Cette vision me rebutait un peu et j’ai rapidement détournés les yeux.

Elle a glissé deux oreillers sous mes reins et elle a attaché mes chevilles et mes bras aux montants du lit. Je ne pouvais plus bouger mais, je ne m’en souciais pas. Une apathie étonnante c’était emparée de moi. Comme si ce qui m’arrivait ne me concernait pas. J’avais l’impression d’être spectatrice d’une représentation qu’on allait jouer devant moi.

Même ma gêne et ma honte avait disparu. J’avais parfaitement conscience de mes reins surélevés, de mes cuisses écartées et du tableau impudique que j’offrais. De ma vulnérabilité de mon sexe ouverte et sans défense. Irène avait dit qu’elle allait le fouetter et je n’éprouvais pourtant aucune crainte. Je me sentais curieusement détachée.

Elle s’est mise nue pour me fouetter et j’admirais son corps aux formes pleines et épanouies. Elle était exactement telle que j’aurais voulu être. Des seins fermes et abondants, un ventre large et doucement arrondit, des hanches amples, un derrière rebondi et parfaitement rond, des cuisses solides et galbées comme celles d’une statue.

Je la voyais si sensuelles et si belle dans sa maturité que je ne comprenais pas ce qu’elle me pouvait me trouver. Elle m’a fouettée avec une précision effrayante. À tous les coups, elle atteignait le sillon de mon sexe. La souffrance a failli très vite m’obliger à crier mais, j’ai réussi à me contenir sans proférer un son. Je pleurais en silence.

Ça n’était pas du goût d’Irène qui s’est acharnée pendant de longues minutes. À la fin, elle se concentrait presque exclusivement sur mon bouton et j’ai cru qu’elle allait le déchiqueter. C’est alors qu’elle s’est arrêtée. Une impression de froid m’a fait trembler et je me suis rendue compte que j’étais en nage. Couverte de sueur qui avait transpercé le corset.

Je pleurais toujours, sans discontinuer. C’était comme si j’étais perdue toute seule au fond d’un gouffre glacial. Abandonnée de tous, sans aucun espoir de me retrouver. Irène s’est agenouillée à côté du lit et elle a posé sa joue sur mon pubis en tournant son visage vers le mien. La douceur de sa joue duveteuse sur le renflement du mont-de-Vénus. Ses yeux dans les miens.

J’étais si lasse que je me suis endormie. J’ai sans doute dormi longtemps puis que j’ai ouvert les yeux, la nuit commençait à tomber et le studio était déjà dans la pénombre. La joue appuyée sur mon pubis, Irène me fixait de ses yeux sombres et brillants. J’avais grimacé un sourire. La souffrance assagie s’effaçait peu à peu.

Avec d’infinies précautions, Irène a léché les rebords de mon sexe. L’amorce du sillon. Un extraordinaire sentiment de calme et de paix m’a envahi. La langue d’Irène s’est petit à petit hasardée à suivre la crête dentelée de mes grandes lèvres. Elle faisait renaitre une douleur diffuse et lointaine mais le bien-être et la chaleur sont progressivement devenus plus fort.

Je n’ai pas tardé à prendre conscience du formidable orgasme qui se préparait. Comme si tous les nerfs de mon corps convergeaient vers un but unique et suprême. Et soudain, une évidence m’a traversé l’esprit. Je désirais qu’Irène me possède aussi complètement que c’était possible. Plus que personne l’avait fait jusqu’à présent. Je voulais lui donner ma dernière peur et mon ultime abandon.

Sitôt que j’ai dit à Irène que je désirais qu’elle me prenne par derrière, elle s’est allongée à côté de moi et ses lèvres ont pressés les miennes. C’était la première fois qu’un baiser me bouleversait aussi intimement. Ce n’était pas seulement sa langue que j’accueillais dans ma bouche, sa salive que je buvais mais tout son être que j’absorbais en moi.

Nous nous sommes chuchotées des mots de tendresses et de câlineries. Je lui ai dit que j’allais l’aimer comme jamais personne ne pourrait plus l’aimer. Que je deviendrais sa servante, sa captive, sa prisonnière et sa domestique, sa chienne et son esclave si elle le voulait. Elle m’a répondu que j’étais son égale et son amante. Qu’elle m’acceptait pour mon amoureuse.

Je lui ai demandé de me prendre sans tarder et de ne surtout pas m’épargner. Elle a sorti de son sac un gode qu’elle a mis en place en me confiant qu’elle avait décidé de ne le montrer que si j’en faisais la demande. Victor lui avait confié mon angoisse à l’idée d’être sodomisée et elle espérait bien que j’aurais le courage de lui donner mon cul, l’entier de mon corps.

J’étais excitée par ses confidences et ses préparatifs, si touchée pas sa confiance et son aveu que j’ai gémi avant même qu’elle m’entreprenne. Elle a délié mes poignets et mes chevilles et j’ai défait moi-même le corset et les bas. Je voulais être nue pour lui appartenir complètement. Qu’aucun obstacle ne puisse nous séparer. Que le pointe du gode s’est posée sur les muqueuses de mon anus. J’ai compris que je ne m’étais encore jamais donnée à personne. Irène serait la toute première et j’en étais des plus heureuses.

J’ai appuyé mes reins et la dure colonne s’est frayée un passage dilatant mes muscles consentants. Je sentais s’introduire ce gode délicieusement en moi. J’ai encore gémi. Elle cherchait ma bouche, je la lui offrais sans plus aucune restriction. Je lui répétais mon désir de la servir, d’être sa chienne, son esclave, sa servante, sa captive et, mais surtout, sa prisonnière. Elle finit par accepter, une onde de chaleur envahit mon corps quand sa main s’abattit sur mes fesses. J’atteignais l’orgasme tant recherché.

Je ne rentrais plus chez moi. Dès la fin de mes cours, je rejoignais ma douce domina pour m’asservir à elle, lui donner mon corps. Elle m’apprit à aimer la femme dans toute sa splendeur. Outre son Vicki, mon prof, elle avait une autre soumise. Elle me chargea de la convaincre de me rejoindre. Il ne fut guère difficile de la convaincre, ma bouche était une experte et mes mains passaient pour donner de magistrales fessées.

Irène me dressa, me modela, elle fit de moi ce que je rêvais d’être depuis qu’elle était entrée dans ce studio. Ce studio que nous aimions à nous retrouver pour que je subisse sa cravache ou son martinet. Parfois, Victor se joignait à nous. Il me léchait de sa langue experte. Sur ma croupe, la cravache cinglait mon cul avec délice.

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