A demi essoufflée, courant dans la cours du bâtiment, je retrouve Sarah qui fait les cents pas. Ne me laissant pas le temps d’arrivée ou même de reprendre ma respiration, Sarah se précipite vers moi pour prendre de mes nouvelles…
Bien évidemment elle sait, et devine par les taches sur mon chemisier que j’ai accepté sous la contrainte de faire une fellation à Philippe.
Sarah : « Estelle… comment tu vas ??? Il t’a… ???
Moi : A ton avis ??? Évidement que j’ai… tu crois que j’avais vraiment le choix ?
Sarah : Tu veux porter plainte ?? Je suis avec toi…
Moi : On verra… pour le moment laisse-moi me remettre. On a déjà des arguments depuis l’autre nuit avec eux….
Sarah : Oui c’est vrai… mais quand même…
Moi : Soyons plus fortes et malignes qu’eux… Fais-moi confiance… je me vengerai aussi et je ne le laisserai pas impuni. »
Sarah reste étonnée de mon appoint vu la situation, bien que je ne sois pas en position de force, j’essaie de me convaincre que je serai capable de surmonter cette souffrance interne et j’essaie de ne rien laisser transparaitre.
Sur le chemin du retour, sur le trottoir, nous parlons peu. Sarah me lançant parfois des regards pour savoir si je vais y répondre mais je reste concentrée dans mes pensées, mes yeux fixant le trottoir de béton gris.
Le fait d’être sous le joug d’un maitre chanteur, ma condition soumise, et mes tenues obligatoires, la soirée de clôture, les directives de Philippe vis-à-vis du PDG… tout se mélange dans ma tête. Le béton du trottoir défile sous le bruit de nos pas, je reste pensive et silencieuse… Face au vent, je profite encore du soleil qui me réchauffe, caresse mes jambes et glisse sur ma poitrine par l’ouverture impudique de mon chemisier… La sensation sur ma peau est douce bien qu’elle de m’aide pas à calmer les émotions ressenties dans mon ventre et mon esprit.
Dans le hall de l’hôtel, je demande Sarah d’aller chercher la clef de la chambre, de peur de revoir encore le réceptionniste.
Nous montons alors. Le silence est total dans l’ascenseur … Dans la chambre, je m’assois sur le lit…puis comme un coup de massue, le trop plein d’émotion resurgit et je fonds en larme…
Sarah ne dit rien et me tient la main…elle n’ose prononcer un mot de peur de me déranger… mais son affection et sa tendresse me touche sincèrement. Nous restons ainsi quelques minutes avant que je ne sente son visage effleurer ma joue…puis le bord de ses lèvres glisser dans mon cou …pour finir totalement sur ma bouche.
Le choc électrique de ce baiser et sa douceur me réveille de ma tristesse, et je réalise que nous échangeons notre premier baiser ensemble. Dans un mouvement de recul je regarde Sarah qui me sourit timidement, et s’excuse…
Moi : « Que fais-tu ???…
Sarah : (étonnée) Pardon… pardonne moi… J’avais juste envie de … »
Sarah s’enfuit dans la salle de bain, honteuse sans doute de son acte… Me réajustant, j’effleure du bout des doigts mes lèvres qui il y a quelques secondes à peine étaient couverte d’une douceur infinie et d’une sensation chaude et agréable.
Mes larmes se séchant, je vais voir Sarah dans la salle de bain…
Elle est assise sur le bord de la baignoire et semble très gênée…
Moi : « Viens me voir, s’il te plait ! Faut qu’on se parle. »
Obéissante, comme une enfant, Sarah se rapproche tout en baissant son regard de moi… voulant la rassurer, je lui prend la main et relève son menton pour que nos regards se croisent…. Je ne dis rien… le silence en est même angoissant et pesant…
Puis… Doucement je m’avance….et à mon tour, lui rend son baiser ….
Lèvres soudées l’une à l’autre, je ferme les yeux et me laisse porter par l’instant, Sarah ne réagit pas et me laisse faire délicatement…
20 secondes… juste 20 secondes de cet échange hors du temps et si intime avant que nos bouches ne se séparent dans un soupir.
Moi : « Merci…
Sarah :(étonnée) Comment cela merci ??? Mais…. Tu n’es pas… et j’ai …
Moi : Tu es juste là, et tu me soutiens…et j’apprécie…
Sarah : (…)
Moi : Tu sais je ne suis pas insensible… malgré ce que je montre…
Sarah : Moi non plus… j’en avais juste envie de te réconforter…
Moi : Oui je le sais bien… moi aussi… »
Sarah m’enlace tendrement et je la sers contre moi, telle une amie douce et aimante…mes mains dans son dos, remontant jusqu’à sa nuque et ses cheveux… on reste ainsi quelques secondes encore… nos poitrines se serrant l’une à l’autre, ne voulant pas casser ce moment si intime, ce moment si particulier et érotique entre femmes.
L’envie dans mon ventre, la chaleur et de la douceur de sa peau blanche sous mes doigts. Son regard, la délicatesse de ses lèvres… elle me donne envie de plus de tendresse… et bien que je ne sois pas lesbienne, je me laisse porter par cette amitié qui n’en est déjà plus une….
Nos corps se séparent doucement… je sais qu’en elle , elle ressent les mêmes choses, l’envie, le désir… l’envie de franchir un interdit… et ne profiter que de l’instant…
Soudain quelqu’un frappe à la porte, et nous sursautons…nous ramenant à la réalité.
Quittant les bras de Sarah, je me dirige vers la porte pour ouvrir… mais il n’y a personne au dehors… Je sais que mon tortionnaire se manifeste encore, et l’angoisse me saisit le coeur lorsque je découvre au sol une grande enveloppe blanche.
Dans l’enveloppe, je retrouve 2 nouvelles photos de moi, un petit mot et mes sous vêtement du matin laisser à l’accueil de l’hôtel.
Sarah : « C’est Qui ???
Moi :(cachant l’enveloppe)… Personne… sans doute un gamin qui joue dans le couloir… »
Sarah, toujours les joues roses de fièvre me regarde avant de se diriger vers le lit… je la suis du regard…mais l’effet est malheureusement retombé à cause de cette interruption…
A mon tour, je baisse les yeux et demande à Sarah de m’excuser…et regardant l’horloge, je lui fais comprendre que nous n’avons pas le temps à se laisser aller.
Rapidement je me faufile dans la salle de bain pour m’isoler et me préparer.
L’enveloppe entre les mains, je l’ouvre et ressort mes sous-vêtements afin de les ranger discrètement… cependant, les prenant en main je m’aperçois qu’ils sont complètement souillés…mes doigts gluants d’un liquide épais, je constate avec colère que le réceptionniste ou quelqu’un s‘est masturbé avec ma lingerie et m’a laisser en cadeau sa semence en souvenir… de tristesse et de rage, je jette dans le lavabo les vêtements et tente de nettoyer cette humiliation supplémentaire.
L’enveloppe ouverte à côté de moi, laisse distinguer que son contenue n’est pas vide… et me séchant les mains, je retire de celle-ci la lettre et 2 nouvelles photos …
« CHERE ESTELLE, FELICITATIONS….
Voici tes affaires en récompense pour ta journée.
La suite : tu sais ce que tu dois faire…
Si tu respectes ton engagement, ton calvaire prendra fin demain au réveil.
Dans le cas contraire, tu perdras tout ce qui te tient à cœur…
Je te surveille… »
Ce message de menace, est à la fois angoissant et plein d’espoir… (Demain tout s’arrêtera) …A moins que cela ne soit qu’un mensonge parmi d’autres…
Je sais que d’ici là, d’autres aventures et humiliations seront à franchir… d’autres défis sur moi-même.
Je dois poursuivre ce jeu malsain, je dois tenir… je pense a Sam qui de son côté cherche ce malfaisant qui me terrorise, je dois lutter pour ne pas sombrer dans la folie.
Les photos jointes sont explicites… comme a l’habitude…
Je me vois a genou devant Philippe lors de la fellation forcée des toilettes, le front collé à son ventre rond, la mâchoire ouverte et déformée par son chibre qui me possède.… et sur l’autre c’est une vision prise sans doute par la caméra de surveillance du portique d’accès au colloque lorsque j’ai été humilié par les 2 vigiles, la jupe trousser sur les reins, poitrine en avant, exposée lors de ma première fouille au corps….
Dans ma tête, tout va très vite, mon tortionnaire n’agit pas seul et il a sans doute de gros moyen pour me surveiller et me torturer… l’accès aux caméras de surveillance ou le fait qu’il puisse déjà éditer une photo d’une action passée dans l’après-midi me confirme que je suis prise dans un piège terriblement machiavélique.
Et pourtant…je dois tenir…
Dans la salle de bain, le reflet du miroir en face de moi, me renvoie une image peu agréable… Mon maquillage a coulé et mes yeux rougis par les larmes me donnent un aspect fatigué. (ce qui n’est pas faux en soit).
18h00 : Rapidement je prends une douche et me brosse les dents… prenant soin de nettoyer chaque partie de mon corps souillée par tous ses affronts et supplices.
Puis une fois rincée (bien que l’esprit, lui, ne le soit pas), j’appelle Sarah pour lui céder la place… et rejoins notre chambre et ma valise pour préparer mes affaires du soir…
Sarah qui est postée sur la terrasse, contemple le jardin… Elle n’entend pas mon appel et je la rejoins un moment afin de profiter, comme elle, des rayons de soleil du soir dans le calme du parc…
Enroulée dans ma serviette, la peau encore humide, je sens l’air du parc passé sur moi… L’atmosphère est doucement et tiède, et nous restons un instant au balcon profitant de la brise du vent et du chant des oiseaux.
Moi : « Sarah ??? La douche est libre…
Sarah : (pensive) Oui je sais…. Merci…
Moi : Ca va ?
Sarah : … heu. Oui…oui ça va ».
Sarah s’éloigne mais ne me semble pas convaincue de sa propre réponse.
Rentrant à mon tour, je me dénude dans la chambre et regarde Sarah nue, elle aussi dans la salle de bain. J’ai presque envie de la rejoindre et reprendre notre tendre moment, mais l’heure me rappelle que nous devons encore finir la journée et que la soirée de clôture du colloque sera dans moins d’une heure.
Dans ma valise, je sors ma robe à bretelle bleu marine. La belle robe décolletée que Sam m’avait convaincu d’emmener pour être féminine et à mon avantage pour les soirées huppées de la semaine.
Etrangement je regrette cette décision, mais aux vues de mes affaires, il ne me reste guère de choix de tenue pour une telle soirée…
Aucun chemisier n’a survécu et se présenter en jeans ne sera sans doute pas du meilleur gout pour la direction.
Mécaniquement, j’enfile ma robe, et la laisse glisser délicatement sur ma peau blanche et nue… bien évidemment, je ne porte rien au-dessous et la sensation en est très grisante. Rapidement les bouts de mes seins se dressent et apparaissent sous l’étoffe soyeuse, mais ce sont mes hanches et ma chute de reins qui donne le plus de galbe a la robe et qui dessine avec volupté mes courbes.
Le dos à demi-nu, j’ajuste les fines bretelles sur mes épaules afin que mon décolleté (déjà profond) ne s’ouvre pas plus qu’il ne faut…
La robe ainsi posée, je m’observe dans le miroir et la ligne sur mes hanches est parfaitement limpide, au point qu’on pourrait deviner que je ne porte pas de culotte ce soir…
Un fond de maquillage pour souligner mes yeux, un peu de rouge à lèvres, quelques bijoux… mes talons et mon écharpe en cache cœur et je suis prête…
18h45 : Sarah finie sa douche et me voit ainsi… elle a un moment de pause et m’observe de haut en bas…me félicitant de ma beauté.
Bien qu’elle soit magnifique et plus jeune physiquement, ce soir je suis pratiquement son égale et je pense que nous serons parmi les plus belles femmes de la soirée.
19h05 : Sarah est prête à son tour… dans une robe clair crème et des souliers beiges, sa taille de guêpe se dessine magnifiquement avec la ceinture ruban de cuir rouge et son boléro assorti. Maquillées et pomponnées nous nous toisons l’une l’autre admiratives et mutines.
Sarah :(interrogative) « Tu n’as pas mis de Soutif ???
Moi : heu. Non comment veux-tu avec une telle robe…
Sarah : Oui c’est vrai. Tu es vraiment superbe…mais on voit un peu que tu pointes… c’est mignon…
Moi : (plaisantant) Pitié Sarah, je n’ai pas besoin de ça… toi aussi tu es très jolie.
Sarah : Merci… mais par contre je vais faire comme toi, sinon Cédric va te mater les seins plus que moi… »
Sarah tombe le haut de sa robe rapidement et retire également son soutien-gorge… sans doute par peur de ma concurrence … Ses seins sont superbe, petits et rond mais remplisse tout de même par la robe… je l’envie d’être encore si jeune et fraiche….
Nous plaisantons encore un instant sur nos poitrines respectives, mais bien que mon âge et ma corpulence soient un avantage certain, je sais que l’air mutin et les attitudes plus délurées de Sarah feront d’elle un grand centre d’intérêt sur la piste de danse.
19h12 : Main dans la main, ou presque, nous descendons dans le hall de l’hôtel et de nombreuses personnes sur retournent et admirent notre passage.
Philippe et Cédric sont là, et nous attendent…Ils ne peuvent s’empêcher de soupirer et d’exprimer le plaisir de nous voir ainsi…
Philippe : « Vous êtes superbe… merci …
Cédric (à Sarah) : Whouaa…. Tu es… magnifique… tu me donnes envie…
Sarah : On se calme… c’est juste pour la soirée…
Philippe : (à moi) Mmmm … je vois que tu as fait un effort… le président sera content…
Moi : Comment cela le président ???
Philippe : Oui je t’ai désigné pour l’accompagner sur scène et pour la remise des médailles du travail.
Moi : Quoi ??? Mais non…
Philippe : Tu n’as pas le choix…. Je sais que c’est ton « Fantasme »…
Moi :(choquée) Heu…Mais… c’est…à votre service…
Cédric (riant): Merci Estelle, jolie robe. J’espère que le projecteur de la scène nous montrera plus de toi comme la dernière fois. »
Prise à nouveau au piège, la honte me rougi à nouveau les joues lorsque je sens la main de Philippe effleurer ma hanche et mes fesses…
Partant ensemble pour le colloque, je reste muette durant tout le trajet, ne sachant quoi penser ou comment réagir…Bien que je sois habillée j’ai l’impression d’être nue face au monde…
Arrivée au portique de sécurité, mon estomac se serre… les vigiles inspectent comme à leurs habitudes les femmes plus que les hommes… et lorsque vient mon tour, ils ne manquent pas de glisser leur mains partout sur moi, voir même sur mon ventre et mes seins au-dessous de ma robe…
Vigile :(riant) « … Jolie madame… très jolie…
Moi : (timide et honteuse) Merci… je peux passer ?
Vigile : Oui, Allez-y…. (et en murmure il rajoute : belle petite salope) »
Cédric : (derrière moi) Jolis seins Estelle, il te fait de l’effet le vigile…tu aimes les blacks quand ils te touchent?
Vigile : Oui je crois que Madame doit bien fantasmer…. Comme toute les blanches d’ailleurs… ha ha ha.
Moi : Mais Monsieur, je vous en prie… non…
Vigile : Pardon madame… vous dites… ???
Moi : (baissant la tête de honte)…Heu… a votre service…
Vigile : C’est ce que je pensais… »
Cédric a côté de moi, n’en reviens pas de ma réponse, et regarde médusé le vigile black qui a présent me ratt**** par le bras avant de me saisir un sein et le pincer violement a travers ma robe.
La douleur est vive et je grimace en silence afin que le public autour de nous ne sache ce que l’on me fait subir dans la file d’attente.
Cédric, les yeux grands ouverts ne rate pas une miette du spectacle qui pourtant ne dure que quelques secondes… puis mon tyran me relâche et s’approche de Sarah à qui c’est le tour … Cédric, spectateur entre nous, se retourne et observe le vigile faire son inspection sur sa belle…
Vigile : « Elle aussi je suis sure, … elle est comme sa copine…
Cédric et Sarah ensemble: Comment cela ???
Vigile : Regard gamin… toutes les petites blanches aiment les beaux black. Ce sont toutes des jolies salopes …. »
Et joignant le geste à la parole, il saisit d’une main la poitrine de Sarah, et de l’autre plaque sa main directement sur son sexe….
Sarah, choquée, ne bouge plus et reste pétrifié de cette situation de surprise et de peur mélées … regardant Cédric comme un appel au-secours. Elle se fait triturer et toucher sans pudeur par ce monstre colossal devant elle….
Vigile : « Tu as vu !! Elle ne bronche même pas!! Elle adore ça ta copine…
Cédric : Mais…. Mais…
Vigile : (ricanant) Allez c’est bon… Au suivant ! Barrez-vous et toi aussi gamin. Sinon…»
Le colosse relâche son étreinte sur Sarah aussi rapidement qu’il l’a saisi et comme si de rien passe à la personne suivante sans se soucier du regard de Cédric, de Sarah ou des personnes ayant assistés à la scène…
Sarah, sous le choc, titube un peu et me rejoint. Elle n’ose parler et Cédric à côté de nous, perplexe, nous regarde avec un semblant de compassion dans les yeux.
Cédric : « Mince alors… Sarah… Ca va ?
Sarah : heu… oui, je crois… quel connard ce type…
Cédric : Oui… j’en reviens pas…
Moi : Oui, ils abusent ces 2 salopards… mais tu aurais pu t’épargner ta remarque. C’est aussi à cause de toi …
Cédric : Je suis désolé, je ne savais pas que …. Je plaisantais…
Moi :(furieuse) La prochaine fois tu la fermes…
Cédric : (penaud) Oui.. Mais bon… je voulais juste …
Sarah : (au bord des larmes) Tu te retiendras …. Je me sens humiliée par ta faute… »
Sarah et moi nous éloignons, laissant Cédric à son désarroi et à ses doutes… Je console un peu Sarah qui ne s’attendait pas à être traitée de la sorte, et lui garantit toute ma sympathie pour ce mauvais moment passé. Personnellement, mon sein me faisant encore mal, nous échangeons encore un peu ensemble à l’écart de la foule, avant que mutuellement nous reprenions nos esprits et nous dirigeons vers la salle de conférence.
19h45 : La cérémonie commence… le PDG fait son discours habituel et félicite chacune des agences … assise dans la foule, mon angoisse monte d’un cran lorsque Philippe se penche vers moi et m’annonce « que cela va être à moi de jouer »..
2 Minutes seulement après, le PDG appelle dans la foule un ou une « volontaire » pour les remises de prix et les médailles du travail…
Le projecteur balaie la foule, et se fixe sur moi sans grand suspense…
Tremblante, je regarde Sarah puis Philippe, qui affiche un large sourire pervers…
N’ayant pas le choix, je me lève et entend dans la foule quelques applaudissements et des sifflets…
Doucement je me glisse entre les sièges, mais Philippe, l’œil averti me saisit le poignet et att**** mon écharpe afin de me la retirer…
Philippe : « Tu n’as pas besoin de ça…
Moi : Mais ??? Si.. hée…
Philippe : Dépêches toi d’y aller… tout le monde attend… »
Mon écharpe glissant de mon cou puis abandonne mes épaules, je me retrouve debout face à la foule, juste revêtue de ma robe de soirée à bretelle…les épaules nues et mon décolleté offrant sans doute la plus belle des vues a tous les males de la salle. Philippe les yeux brillant et tenant mon écharpe à la main, jubile de m’avoir dépouillé du seul rempart que je pouvais avoir en protection.
PDG : « On l’applaudit… on applaudit la belle Estelle… notre volontaire qui nous vient de l’agence de l’est. »
L’exclamation du grand patron, les rires et les regards me réveillent tout le corps, transpercé de mille lames de couteaux à la fois j’avance dans l’allée centrale sous le feu du projeteur…
Le bruit de la salle s’amplifie à chacun de mes pas…et je comprends que la lumière sur moi à l’effet d’un véritable scanner…dévoilant certainement mon dos et mes fesses nues sous le fin tissue.
Arrivée sur scène…je baisse les yeux et me tourne humiliée face à la foule, qui explose sous les applaudissements…
LE PDG a côté de moi, ne bouge pas et me regarde, presque sans voix…il voit et tout le monde voit que ma robe sous l’effet du canon de lumière offre une légère transparence. Je suis là, debout, face à la foule qui s’anime… mes épaules frêles et blanches sont nues et rayonnent la lumière aveuglante, la pointe de mes seins pousse légèrement le tissus de ma robe et on distingue le tour de mes brunes aréoles. Mon ventre, mes bras, mon bassin, mes hanches, mes jambes et même le duvet de mon sexe…tout se distingue sous la puissance du projecteur…
PDG : « Hééééé bien merci Estelle…. Merci d’être si …. Volontaire…
Moi : (honteuse) Mer… merci Monsieur le Président. »
M’approchant de la table des prix, je sens les regards sur mon corps. Bien que très intimidé, j’essaie de paraitre le plus naturelle possible et utilise chacun des objets (diplômes, plaques ou bouquets de fleurs) afin de me cacher derrière …
Je sais et sens le regard de la foule sur moi… la chaleur de la lumière et la honte font réagir mon corps…je transpire et ma peau brille de la moiteur de la situation…
Le photographe mitraille chaque remise de prix, et je sais que par son flash il expose davantage ma peau claire a la vue du monde…
Durant près de 10 minutes mon calvaire sur scène se prolonge…
Puis le président clôture la cérémonie et invite la foule au buffet dinatoire puis la soirée dansante juste dans la salle mitoyenne.
PDG : « (souriant) Merci à vous toutes et tous…merci à la belle Estelle pour ses charmes… enfin … je veux dire sa charmante participation. Merci à tous, je vous invite à passer dans la salle voisine pour la fin de la soirée…
PDG (en off et presque énervé) : Estelle, vous venez me voir à ma table. J’ai des choses à vous dire … c’est compris !
PDG (à la foule) : Bonne soirée et rentrée à tous… »
Sortant de scène, le projecteur s’éteint enfin et les applaudissements m’accompagnent jusqu’à ma chaise ou je récupère mon sac et mes affaires…J’ai envie de pleurer, de sortir toute la honte qui me noue la gorge et l’estomac…
Philippe : (souriant) «Je savais que je t’avais demandé d’être gentille, mais tu aurais pu mettre une culotte…
Cédric : Oui…tu as une très jolie chute de reins…d’ailleurs.
Moi : Fichez moi la paix, vous êtes content… vous vouliez m’humilier ??? Vous avez gagné… maintenant laissez-moi…
Philippe : OK ok , on y est aller un peu fort… mais tu aimes ca….
Moi : (furieuse) Pas du tout !!!!
Philippe : Aah… et pourtant tu as fait fantasmer toute la salle ce soir…
Moi : je… je suis à ton service…mais rien de plus… j’ai fait ce que tu as dit…maintenant laisse-moi… »
Je m’éloigne seule dans la foule, certains hommes me regardent avec envies d’autres avec mépris. J’imagine qu’ils me jugent comme la dernière des trainées, et pensent que je dois la réussite de ma carrière par des faveurs en natures accordées aux clients ou autres… Je marche ainsi, tête baissée, perdue dans mes pensées.
Je rejoins la grand salle de spectacle du soir, essayant de me faire le plus discrète dans la foule… mais parfois je sens une main ou un frottement sur mon dos, mes reins et mes fesses… un prédateur ou juste un curieux…chaque sensation, chaque effleurement me fait frissonner, et mon corps commence a réagir et se sentir exciter…malgré moi.
Après quelques verres, le buffet dinatoire touche doucement à sa fin, et la soirée de fêtes va débuter… je dois être présente sur scène…mon tortionnaire m’observe quelque part et je dois obéir encore ce soir si je veux que ce cauchemar cesse.
Cherchant Sarah dans la foule, je me faufile tout en essayant de ne toucher personne. Puis par hasard ou malchance j’arrive à la table du PDG…
PDG : « haaa , je vous attendais Estelle…
Moi : Oui…heu …je sais…je suis désolée… vous vouliez me parler… ?
PDG : Oui parfaitement, approchez… Asseyez-vous je vous prie.
Moi : (…)
PDG : Sachez madame, que vous avez fait forte impression ce soir…et quand je dis ce soir je dirais même cette semaine.
Moi : (faignant l’ignorance) Comment cela… ???
PDG : Ne soyez pas modeste… j’ai beaucoup entendu parler de vous durant la semaine… ici ou à votre hôtel… bien que cela ne soit que des rumeurs… Néanmoins, à ce que m’a dit Philippe, (qui vous apprécie beaucoup) vous êtes un très bon élément, et j’aimerai vous avoir dans mon équipe ici…
Moi : C’est… c’est gentil. Mais je ne peux pas…
PDG : Et pourquoi cela… j’ai besoin de vous dans ma société…de vos compétences…et vos qualités humaines
Moi : je suis désolé mais j’ai ma famille et je ne peux pas venir vivre ici…
PDG : Hé bien c’est dommage…. Je n’y reviendrais plus… c’était une belle offre de promotion pour vous…vous savez que je ne fais pas 2 fois la même offre donc…???
Moi : Je vous en remercie, mais je ne peux accepter …navrée»
Disant ces mots, son regard se fige dans le mien et sa main glisse sur mon genou…je n’ose plus bouger. Mon verre encore à la main, assise à côté de lui, ce vieux cochon commence à remonter ses doigts sur ma cuisse et découvrir ma peau sans permission.
Il est doux, et ses effleurements m’électrisent jusque dans les reins… Sa main remonte encore…mi-cuisse, puis revient au genou…il s’amuse a pousser ma robe toujours plus haut…sans que je n’ose réagir…l’angoisse me serre le ventre…
PDG : « Vous savez… je suis vieux… mais je reste un homme…et ce soir je m’interroge sur ce que vous avez a répondre sur les rumeurs qui circulent sur vous…
Moi : heu… rien… heu…c’est totalement faux…
PDG : Pourtant…vous le savez … il n’y a pas de fumée sans feu… a moins que je ne fantasme… à vous voir..»
Les mots résonnent encore… je suis tétanisée face à lui et surprise de m’entendre lui répondre que je suis à son service…
Comme sous hypnose, je laisse ce vieillard me toucher et m’imposer sa main…Discrètement, il touche mes flancs et le bord de mes seins cachés par ma robe…mais son autre main, elle, cachée par la table, investie plus loin encore sa possession entre mes cuisses…
Je le subi et lui obéi…. Dans le creux de l’oreille Il me demande de venir à lui, d’ouvrir le «passage » et de me laisser aller…
Sans réfléchir, je le laisse faire… me tenant assise sur le bord de la banquette, le dos droit, je le laisse glisser ses gros doigts fripés jusqu’au contact de ma fente déjà humide…ma respiration s’accélère encore…
J’ai peur et suis excitée à la fois…par la situation… le bruit et la vue de la foule..
Du bout de doigt il joue sur ma fente qui s’ouvre comme une fleur…mon clitoris ultrasensible se gonfle malgré moi et la chaleur dans mes reins s’intensifie.
PDG : C’est bien gentil cela, belle Estelle, approchez-vous encore…bougez vos reins sur moi…
Moi : (murmurant) Noonnn, pitié…
PDG : …un petit effort….pour moi…»
Encore un peu, j’avance mon bassin tout en ouvrant mes cuisses sur le siège. La table me servant d’appui dans cet exercice d’équilibre… A présent, ma robe est pratiquement totalement remontée et sa main au-dessous me caresse avec délicatesse sur chacune de mes ondulations. Puis doucement, sans force ni effort, je le sens glisser 2 doigts dans mon vagin humide…. Il coulisse en moi mimant une pénétration phallique, son pouce tournant sur mon bouton…
Durant quelques minutes, ou secondes, j’ai chaud et je sens l’orgasme arriver en moi…ses doigts enduits de mon jus coulissent sans efforts au creux de moi et chacun de mes mouvements augmente le plaisir naissant dans mon ventre.…
Afin de ne pas perdre le contrôle, mon regard fixe la foule devant moi, mais cachée par la table je continue docilement mes actes, me masturbant sur la main de ce vieil homme…qui lui me fixe avec désir et perversité.
Son regard me transperce, sa deuxième main posée sur mes reins accompagne le rythme mon bassin, puis je sens qu’un troisième doigt vient investir mon antre… Je monte et ondule sur sa main…les spasmes creuses mes reins de plus en plus… il me prend et me griffe par l’intérieur… je ne contrôle plus mon corps qui appel la jouissance. Je me ferme les yeux, contracte mon ventre sur lui et émet (sans le vouloir) un feulement de plaisir durant cet orgasme qui me terrasse sur place….
Quelques secondes se passent, je suis épuisée et mon PDG ravi…
Prenant une serviette sur la table, il s’essuie la main et sans tendresse me la jette afin que je puisse m’essuyer à mon tour.
PDG : « Philippe avait raison, je vois que tu as aimé… j’espère avoir autant de plaisir de ta part …
Moi : (fatigué et interrogative) Co…comment ???
PDG : Tu vas danser… devant moi … et sois convaincante…»
Me relevant de table, j’ajuste ma robe afin de ne rien laisser paraitre…
J’ai les jambes qui tremblent … mais je dois me forcer d’avancer.
Montant sur la piste de danse, les hommes et femmes déjà présents, me sourient, comme s’ils devinaient mes actes et me laissent la place… les projecteurs de la salle ballaient la foule et parfois passent au travers de ma robe… je danse sans chorégraphie, un peu désarticulée mais en prenant soin de rester dans le champ de vision du PDG qui m’observe…
Ma robe bien que stricte, vole un peu sur le bas dévoilant mes cuisses… mais le spectacle vient principalement de ma poitrine qui balance en cadence sur la musique et qui a chaque mouvement cherche à s’enfuir de mon corsage.
J’enchaine les danses, rapides puis lentes… parfois un homme se colle à moi et nous dansons ensemble… puis Cédric et Sarah arrivent et se joignent à moi…
Me voyant Seule, Philippe monte aussi sur scène et m’accompagne..
Philippe : « Puis je être ton cavalier… ??? Tu es seule ???
Moi : Très bien… mais pas de gestes inconsidérés ou déplacés… je te préviens. ! »
Au bout d’une heure, l’alcool aidant, j’oublie peu à peu le PDG qui m’observe du coin de l’œil…je me laisse porter par les musiques parfois très « caliente »
Bien évidemment, après que Philippe ai déclaré forfait par épuisement, Cédric lui succède avant de me partager dans d’autres bras masculins et inconnus de la piste.
Salsa, tango, rock et slow, je passe de bras en bras…de corps à corps.
La plupart sont corrects, mais une minorité abuse de ma fragilité et ose quelques attouchements dont je n’ai plus la force de repousser…
Des mains glissent sur moi…devant, derrière…parfois en même temps… coincée entre 2 hommes, je remarque qu’on m’encercle doucement.
Sarah et d’autres filles plus loin sur la piste de danse, sont également prisent à partie par les males…
L’ambiance s’échauffe doucement…les danses sont plus intimes…je sens des main remonter mes cuisses et ma robe parfois très haut… d’autres glissent sur mon ventre sur et sous la robe… l’un d’entre eux placé derrière moi me malaxe un sein…mais je ne distingue pas son visage…préoccupée à tenir les mains d’un autre devant moi qui me presse les hanches contre lui et la bosse de son pantalon.. …
Plusieurs fois on me touche les reins, les seins et les fesses…mon excitation est palpable…et vaincue par le nombre, je me laisse faire au milieu de ses prédateurs en chaleur…
Il est presque minuit, et je suis toujours sur la piste… Nous ne sommes plus que 4 femmes…toutes un peu saoules en train d’être pratiquement mise à nue par les males…
Beaucoup de monde est déjà parti… le PDG et Philippe sont toujours à table et discute. La musique est forte et on ne s’entend pas parler…
Cédric danse avec Sarah…et tente de la protéger des affamés masculins, mais le nombre a raison de lui … et Sarah subi également plusieurs attouchements de danseurs.
Pour ma part, je suis à bout de force, ivre et épuisée…
Les mains sont impudiques et je sens qu’on me touche de partout…certain allant même jusqu’à mon ventre…la couture de ma robe a été déchirée pour que l’échancrure laisse apparaitre mes cuisses plus facilement…une bretelle est pratiquement arrachée aussi et les globes blancs de mes seins surgissent régulièrement dans les jets de lumière de la piste de danse…
Coincée entre plusieurs hommes, je les sens se frotter à moi, ma robe remonte, toujours et encore plus haut… Puis ils gagnent….
Ma robe levée au niveau de ma taille. Tous s’extasient de me découvrir sans culotte et nue au milieu d’eux… Les fesses à l’air, un type me maintien les bras en l’air pendant qu’un autre frotte mon entre jambe sur sa cuisse tout en me tenant les fesses durant une danse…
Puis on me retourne, malgré mes plaintes de refus et mes tentatives de défenses désarticulées, on me fait passer de mains en mains… chacun y allant de son commentaire ou de son geste sur mon corps livré en pâture…
Par chance, avant que cela ne dégénère complètement, Philippe se lève et intervient afin de me sortir de la…
Je le suis, sous les brimades des hommes chauds sur la piste de danse…
Sarah de son côté est également éloignée du groupe…Cédric devant pratiquement l’arracher et se battre avec les males en ruts qui l’a harcèles.
Epuisées, nous nous retrouvons tous a une table, essayant de nous réajuster au mieux malgré nos vêtements froissés voir déchirés…
Reprenant nos souffles, j’entends à demi-mots, Philippe et le PDG parler de la scène et de moi… mais ne comprend pas leurs discussions.
Philippe : «Je t’ai encore sauvé ma chère… tu me dois donc une petite faveur…
Moi : Comment cela ??? Quelle faveur… ??
Philippe : Tu m’as très bien comprise…. Nous y allons, rentrons à l’hôtel, ici cela devient dangereux pour les femmes….
Sarah : Oui, rentrons ca deviens trop pénible ici… »
Silencieuse, je reprends mes affaires et suis Sarah, Philippe et Cédric pour notre retour …
A cause de la salle surchauffée (en plus de l’ambiance), ma peau est moite de sueur, et la fraicheur de la nuit me fait frissonner sur tout le corps.
Marchant dans la pénombre nocturne, j’imagine et cherche ce que Philippe voulais dire par «faveur »…et connaissant sa perversité je m’attends à tout….
Je pense à Sam, pourvu qu’il soit là, quelque part, et qu’il trouve mon tortionnaire afin de faire cesser mes mésaventures…
A l’hôtel, Sarah et Cédric s’éloigne dans un coin afin de se cajoler et prendre un peu de temps pour eux. Sans un mot, Philippe et moi remontons chacun dans nos chambres, mais je sais et me doute que la soirée et la nuit ne sont pas encore finies….
Pour m’occuper l’esprit, je prépare ma valise pour le lendemain.
Cherchant à rassembler mes affaires et en triant celles qui sont bonnes à jeter.
Au loin mon portable vibre, un message arrive…
Pensant à Sam, espérant de bonne nouvelle, je me précipite dessus afin de découvrir qu’il s’agit en réalité que de Philippe.
SMS : « Rejoint moi, immédiatement à l’accueil… »
Je suis dans le doute. Que me veut-il ? Et pourquoi maintenant ? Il est presque minuit et demi et nous avons nos valises à finir…ignorer son message ou y aller ??? Je suis dans le doute. Néanmoins j’ai hâte que mon calvaire se finisse…
Descendant les étages, j’imagine et cherche ce qu’il me veut…
Dans l’accueil, l’espace est vide… personne dans le hall ni même au bar de la réception. Je tourne en rond dans cette immense espace désert, n’entendant que mes talons sur le carrelage. Puis depuis la porte du local de sécurité, derrière l’accueil, Philippe apparait et me fait signe de le rejoindre.
D’un pas décidé et ferme, je m’avance vers lui afin de lui faire comprendre par ma démarche qu’il ne m’impressionne pas et que je suis sûre de moi. Plus forte qu’il ne le pense.
Arrivée près de lui, il ne prononce aucun mot…mais je vois sur son visage une impression de regret et d’anxiété…
Philippe : « Tu sais que tu me dois une faveur…
Moi : Comment cela ??? Quoi ?? Non..
Philippe (me tenant le bras)… Je t’assure que si et tu vas m’écouter…
Moi : (surprise) Mais… ? Lâche-moi… Ça ne va pas… non … hors de question… tu me fais mal …lâche moi… »
Je n’ai pas le temps de finir que Philippe m’attire dans le local et ferme la porte dans mon dos…Le local est petit, quelques armoires et casiers de vestiaires habillent les murs blanc de peinture, La lumière industrielle par le tube fluorescent est forte, au centre de la pièce se trouve une table avec 2 chaises de basse qualité, un clavier d’ordinateur et des écrans de contrôle accrochés en tableau au mur pour les caméras de surveillance de l’hôtel. Bref un local banal de fonction poussiéreux et mal odorant comme il en existe des centaines.
Philippe : « Tu me dois une faveur… tu le sais … !!!
Moi (interrogative et anxieuse) : Mais non… arrêtes… je… je…
Philippe : (souriant)… Tu es mon fantasme !!!
Moi : (choquée)… à ton service. »
Philippe me lâche et me toise de bas en haut de son regard vicieux. Je comprends qu’il me veut et que je n’ai pas le choix que de céder à ses demandes…
Philippe : « Reste tranquille… je t’ai vu avant… sur la piste de danse…sans culotte en plus… et avec le PDG aussi… tu es une vrai petite salope…
Moi : Mais non… je n’ai… je t’interdis de dire ca !!!
Philippe : Tu ne m’interdits rien. Tu es une salope…et ton mari Sam est un cocu qui s’ignore…
Moi : Laisse Sam en dehors de ca…
Philippe : (criant) Relève ta robe maintenant…. Dépêche-toi ou je te l’arrache… »
En état de choc, reculée et appuyée contre le bord de la table. Je tremble, j’ai l’impression d’être une petite fille (de 40 ans) grondée par son père après une bêtise…
Il répète son ordre, plus doucement mais avec plus de fermeté, je sais qu’il ne faut pas jouer avec lui si je veux éviter qu’il exécute ses menaces. Doucement, du bout de doigts, je saisi les bords de tissu et commence à relever l’étoffe sur mes cuisses glabres… J’ai honte…
Philippe : « Plus haut !!… montre-moi tout !!… comme sur la piste de danse. »
Mécaniquement la progression de ma robe sur mes cuisses se poursuit, je ferme les yeux pour éviter son regard, mon humiliation et ma peine me montent aux yeux. J’expose ma fente à présent à mon patron sans pudeur, sans dignité…
Philippe : « Tourne toi et montre-moi ton cul… tu aimes ca je le sais… tu n’as pas arrêté de nous narguer de la semaine …
Moi : (sanglotant) Non… arrêtes maintenant… ca suffit…
Philippe : Tourne-toi…. !!! »
Je m’exécute, lui présentant mes fesses nues et blanches… Jambes tendues et la robe sur les reins… je fixe le mur de brique face à moi pour ne plus penser…
Philippe est dans mon dos. Je le sens approcher… il me touche, me caresse les fesses et l’intérieur des cuisses. Malgré la situation, et la froideur du local, sa main sur mes fesses est douce voir tendre… je m’attends à recevoir une fessée mais étonnement il n’en fait rien…
Sa main pousse dans mon dos et je m’incline sur le petit bureau devant moi…
Maintenant derrière moi, il m’impose d’écarter les jambes… il joue avec mes fesses, ma raie culière et ma fente déjà humide de peur…je sais et je devine qu’il veut me baiser… ses doigts me touchent et ouvrent ma vulve délicatement, sa main creuse mes reins et me cambre.
J’entends sa ceinture s’ouvrir et je le sens presser son ventre contre mes reins…
Calée entre lui et la table, je ne peux rien faire, je me retiens, la paume de mes mains à plat sur la table, les seins a demi hors de ma robe aussi par la posture et effleurant le plateau, je suis à sa disposition…
J’attends ainsi, humiliée et honteuse…mais il ne me prend pas, il joue de moi.
Sa ceinture en main, il la glisse sur mon dos et plus bas…il m’électrise tout le corps, m’obligeant à me cambrer davantage pour présenter mon cul a lui, mes jambes tremblent a chaque passage. Je suis partagé entre l’envie et la peur, entre le désir et la fuite…mon ventre appel et s’inquiète…
Apres un moment de ce petit jeu, il me saisit les poignets et m’attache les mains dans le dos avec sa ceinture…Je me laisse faire… vaincue par son autorité… priant et espérant que mon calvaire passera vite. Et qu’ainsi soumise et docile il me laissera en paix.
En me redressant, les bretelles de ma robe quittent mes épaules et mes seins se libèrent de leur carcan… ma robe n’est plus qu’une ceinture autour de ma taille, ma peau frêle et nue glisse sous ses doigts, il admire et abuse de son pouvoir.
De mes seins à mes reins, de mon ventre à mes cuisses, ses caresses sont précises et délicates. Tout mon corps réagi, ma respiration s’accélère et du fond de ma gorge quelques soupirs s’échappent laissant croire que j’apprécie ses actes odieux…
A plat ventre au travers de la table, il profite de mes charmes encore un peu, avant de venir face à moi.
Devant mon visage, son sexe épais et large se balance sur le bord de la table… ses mains pressant sur mon dos pour écraser mes seins sur le plateau froid… les fesses tendues vers la porte que je n’entends pas s’ouvrir…
Philippe me tient pour lui, d’une main il me tient la tête et de l’autre il glisse sa main sur son chibre et guide l’extrémité de son gland sur mes lèvres et mes joues.
Il force, il insiste… puis passe le rempart de mes lèvres pour une fellation…
Il me tient le dos, la nuque, les cheveux, il me caresse la tête et me baise la bouche… il pousse en moi, et je le sens grossir encore entre mes joues…
Durant un instant, j’espère qu’il jouisse rapidement et m’applique à jouer avec ma langue pour le faire venir plus vite…
Un courant d’air me saisit alors le ventre et les jambes, Philippe me remplissant la bouche, je ne peux crier ma surprise lorsque des mains me saisissent les hanches et qu’un nouveau sexe se présente à l’entrée de ma fente humide et offerte.
En détresse, je me tortille sur la table pour échapper à l’intrus, mais son sexe ouvre déjà mon ventre et se plante au fond de moi…
Prise de part en part, seuls les soupirs et les gémissements résonnent dans le local…
Durant plusieurs minutes, l’homme derrière moi me besogne, claquant mes fesses contre son ventre. Philippe au-devant ajustant son membre pour me remplir en cadence.
L’effet est total, les mains sur moi, les sexes en moi, je suis traversée par un puissant orgasme que je ne pensais possible… Philippe, me sentant frémir, ne tient plus et décharge sa semence tout en me bloquant la tête et me forçant à déglutir son foutre gluant et épais qui m’étouffe….
Se retirant enfin, il se penche à mon oreille pour me remercier d’une voix sarcastique.
Philippe : « Merci Estelle.. tu es une bonne salope… je vois que tu aimes ca..
Moi : (secouer par l’intrus)…mmm hann…. Non… ahh.. assez… haa…
Philippe : Ne bouge pas… j’en pas encore fini avec toi.»
Sans en rajouter, je le vois s’éloigner et se rhabiller, mais rapidement un autre homme se présente devant mon visage…
Les yeux embrumés de larmes, à hauteur de sa ceinture, je ne distingue pas qui il est. Sans ménagement, il me saisit les cheveux et force à son tour ma bouche de sa queue…. Son sexe est court et large. Il sent fortement l’urine et ne bande presque pas pourtant il me remplit déjà…Il coulisse entre mes lèvres et me tient la tête pour se motiver… je subi son érection naissante, et suffoque quand il pousse trop loin.
Son gout est horrible et me donne la nausée, j’en oublie presque l’intrus dans mon ventre qui vient a son tour de jouir…
Les larmes coulent sur mes joues, ma vulve ruisselle de mon jus et du trop-plein de sperme, au-devant l’homme immonde souffle et pousse péniblement des râles…
Entre mes jambes, je sens l’arrivée d’un nouvel intrus… plus massif, plus grand et plus gros…son gland forçant l’entrée de mon ventre… il le guide, m’ouvre et m’écarte afin de se loger en moi…. Je gémis de son intrusion…me sentant complètement remplis et écartelée…
Entre les bruits de baise, j’entends quelques rires, des commentaires salaces et des chuchotements… la voix de Philippe se mêlant à celle des autres tortionnaires…
PDG : « Je viens…. Avale petite pute… »
Entre les spasmes, essayant de respirer, je reconnais la vois du Directeur qui m’annonce sa jouissance… Le sexe mou et dégelasse qui coulisse entre mes lèvres n’est personne d’autre que le PDG des agences…son gout, ses mains fripées sur moi, je le reconnais et me sens davantage humiliée par sa possession hiérarchique et physique sur moi…
L’intrus derrière poursuit sa besogne, poussant au plus loin sa queue en moi, tapant contre mon utérus, et écartant mes chairs endolories…il est massif et violent…
Durant près d’une heure, couchée sur la table à plat ventre ou sur le dos, j’accueille en moi les sexes et le sperme d’une poignée d’hommes… mes directeurs, l’un des colosse black du colloque amis sans doute avec les rustres de l’accueil de l’hôtel. Tous me passent dessus…forçant mon ventre et ma bouche à tour de rôle…abusant de mon corps, mes seins et mes charmes sans pudeur ni tendresse.
Après leur départ, dégoulinante et remplie de leur semences, usée et épuisée par 2 orgasmes non consentis mais foudroyants. Je me laisse tombée au sol… repliée et anéantie par tant de débauche.
Les mains enfin libres, à genou, mes larmes ont cessées de couler…Philippe assis à côté de moi me regarde et attend que je me remette de ces émotions.
Moi :(épuisée) « Pourquoi ??? Qu’ai-je fait pour mériter cela ???
Philippe : Rien… tu es juste une jolie femme et nous fantasmons tous sur toi depuis des années… Le colloque était enfin l’occasion idéale pour se faire plaisir…
Moi : Mais…
Philippe : Je sais que c’est cruel…mais l’envie est plus forte… et puis je sais que tu tiendras le secret… je sais que tu aimes ton mari plus que tout…donc. »
Ne répondant pas, je le regarde haineuse et à la fois anéantie. Je pense à Sam, a ma vie…a toute ses aventures…. Ma tête me tourne.
Philippe : « Viens vers moi maintenant, que l’on finisse en beauté…
Moi : Hors de question…
Philippe : Ne m’oblige pas a être violent avec toi… n’oublis pas qui commande…
Moi : Va te faire voir…
Philippe : Ok… alors tu n’auras pas tes documents comme promis…
Moi : Co…comment ??? C’était toi le tyran ???
Philippe : Possible…. Maintenant viens ici si tu veux en finir… tu vas me faire plaisir..»
A 4 pattes sur le sol, résignée, je m’avance vers lui…j’ai envie de lui sauter a la gorge et de l’étrangler mais la raison et la fatigue m’impose de tenir encore…
Entre ses jambes, le visage à hauteur de son sexe…je devine ses souhaits et d’une main fébrile je commence à le masturber tout en le fixant du regard.
Rapidement son érection revient et son gland rond et brun pointe vers mon visage…
Nos regards se croisent mais je ne le suce pas…continuant mes massages sur son pieux de chair… sa respiration s’accélère encore…son chibre sous mes doigts se gonfle et je sens son cœur battre dans ses veines.
Je le sens monter le bassin, je sens qu’il veut jouir…et cracher sur moi…je m’active encore…approchant mon visage et commençant à le lécher pour l’exciter et en finir…
Mais voyant ma stratégie, il me repousse avant le moment critique… en riant.
M’obligeant a me retourner et me mettre en levrette, il se présente sur mon œillet fragile et pousse directement son pieux contre mon petit trou. Malgré mon refus et mes plaintes, il force mes sphincters…. La douleur est vive…son pilonne forçant mon anus étroit, je me contorsionne pour me libérer, mais le gland passe la rondelle et l’intrusion me tétanise…. Il est en moi… par là…
Doucement mais surement, il commence ses va et viens, afin que je m’adapte a lui…
Il grogne, m’insulte (salope, putain…)et pousse, enfonçant sa matraque dans mon intestin progressivement…
Sous lui, mes seins frottant le sol sale, le cul dressé et ouvert, je cherche mon souffle et griffe le sol de mes ongles sous la pression et la douleur.
Je me sens comme un papillon épinglé sur une feuille, transpercée et clouée…il m’ouvre et coulisse dans mon cul…il grossi et je serre les dents…
Puis la délivrance arrive, par long jet brulant, ses couilles frappant ma fente, son pieux entièrement plongé en moi… il se vide et inonde mon ventre.
Les fesses en l’air, épinglée, je ne bouge pas…haletante entre mes larmes, j’attends la délivrance …et son retrait.
« Plop », son gland ressort de moi. L’anus béant, je m’écroule au sol…sans vie ni énergie couverte de sueur et de poussière.
Il est 3h20 du matin… je ne sais pas si je me suis endormi ou évanouie…
Sarah, a côté de moi m’a enroulée dans un drap et me porte dans les couloirs de l’hôtel… le silence est pesant…
Dans la chambre, je m’écroule sur le lit…puis vient le trou noir…je dors…
A suivre
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