La soirée de vendredi a été horrible, je repense sans cesse à ce moment magique dans la réserve avec Eric. Le weekend est mortel. Mon mari a voulu me faire l’amour samedi soir… L’horreur, je n’arrive pas à m’ôter de la tête la vision du sexe si long et si épais d’Eric. Je repense en boucle à ses baisers, ses caresses, les sensations lorsqu’il m’a pénétré et les 2 orgasmes qu’il m’a procuré en si peu de temps. J’ai envie d’être avec lui, de le toucher, de le sentir. J’ai envie de lui, de sentir ses mains qui me pétrissent, sa bouche sur moi, son sexe en moi. Comme d’habitude mon mari me caresse à peine, ne prend pas le temps de m’exciter correctement, et me pénètre sans originalité dans un pauvre missionnaire sans saveur. J’ai beau fermer les yeux et m’imaginer que je suis avec mon fantastique amant, je n’éprouve aucun plaisir. C’est à peine si je ressens la bite de mon mari coulisser en moi. Je la trouve aujourd’hui ridiculement petite. Il faut dire qu’il ne me laisse pas non plus beaucoup de temps pour fantasmer. Au bout de 2/3 minutes il a terminé ses affaires et se tourne de son côté pour s’endormir sans tarder, me laissant comme une conne avec toute ma frustration.
Le dimanche je ne tiens plus en place. Tant pis, bien que nous nous soyons imposés le « silence radio » pendant le week end, je lui envoie un texto.
« Tu me manques. J’ai envie de toi »
Presque instantanément, il me répond:
« je croyais que tu ne voulais pas que je t’appelle. Tu es seule? »
« non mais je suis tranquille pour l’instant … j’ai envie de t’entendre »
« tu peux m’appeler, mais fais gaffe quand même!!! »
Je compose son numéro, une seule sonnerie …
« oui … qu’est ce qu’il t’arrive? »
« j’avais trop envie d’entendre ta voix …. C’est horrible … Tu me manques, j’ai envie d’être avec toi, j’ai trop envie de toi »
Je le sens amusé
« hummm … je suis flatté par cette déclaration madame !!! … Tu sais, j’ai beaucoup apprécié notre « câlin » de vendredi »
« Arrête, ne te moque pas, je ne pense qu’à ça … tu m’as rendue folle … je ne peux pas trop te parler, mais je voulais que tu le saches … je t’embrasse … à lundi »
« A lundi … bisous »
Je raccroche juste à temps. Quelques secondes après mon mari rentre dans la pièce.
Le lundi, nous nous retrouvons dans le service, la journée se passe sans particularité, mais avant de débaucher, il me propose de venir chez lui « prendre un café ». J’accepte sans hésitation, même si je sais que ce n’est pas pour son café que j’y vais.
Arrivés chez lui, il m’invite à prendre place dans son canapé et part dans la cuisine préparer les cafés. Je m’installe confortablement, il revient dépose le plateau sur la table basse, va mettre de la musique et revient prendre place à côté de moi. Il passe sa main derrière ma tête et approche ses lèvres des miennes. Il m’embrasse chaleureusement et son autre main est déjà posée sur mon genou, elle comme à remonter le long de ma cuisse, relève le pan de tissus de ma petite robe en jean mais remonte jusqu’à ma poitrine. Il fait ainsi quelques aller-retour par dessus ma robe.
Interrompant le baiser et prenant un peu de recul, il me regarde et dit :
« Tu sais que tu es magnifique dans cette petite robe, cela change de nos tenue de bloc. Je te préfère et de loin habillée ainsi … tu sais que je te trouve terriblement sexy »
Je n’ai pas le temps de lui répondre qu’il a commencé à déboutonner ma robe et à l’ouvrir, laissant apparaître mon soutien gorge. J’ai bien fait ce matin de choisir ce petit ensemble.
« Humm … magnifique ce petit dessous, j’adore les dessous féminins, le tiens est superbe » dit il en prenant mon sein gauche dans sa main et en venant déposer un baiser juste au dessus de la dentelle du bonnet.
Je me laisse aller sur le dossier, rejetant la tête en arrière et fermant les yeux. Je profite de ce moment, je sens sa grosse main qui me caresse les seins, sa bouche qui s’affaire sur ma poitrine, m’embrasse dans le cou, remonte jusqu’aux lobes de mes oreilles qu’il suce ou mordille, redescend vers mes seins et recommence. Il écarte un bonnet de mon soustif et se met à titiller mon mamelon qui est déjà tout gonflé et dur. Il pétrit mon sein et joue avec mes tétons, les mordille, les suce goulument, gobe presque tout mon sein. Je suis envahie par le désir, je sens monter en moi cette fièvre depuis ma vulve qui est déjà toute humide. Il défait en un tournemain mon soutien gorge et je me retrouve les seins à l’air. Il les pétrit alors frénétiquement et les suce en insistant sur les mamelons. Je suis déjà terriblement excitée.
D’un geste rapide il défait les derniers boutons de ma robe, et écarte totalement le tissus de celle ci. Il vient s’agenouiller devant moi, il dépose quelques baiser sur mon ventre avant de plonger entre mes cuisses. Il m’écarte les jambe et vient coller son nez sur le petit triangle de mon string, embrassant à travers le tissu ma vulve qui est détrempée. Il lèche mon sexe, dégustant ainsi mon jus qui a inondé ma culotte. Il écarte un peu celle ci, laissant apparaitre les lèvres qu’il s’empresse de lécher et de sucer. Il découvre mon clitoris et se met à le titiller du bout de sa langue, à l’aspirer entre ses lèvres puis à le sucer et le lécher. Gêné par mon string, il ne tarde pas à le faire glisser le long de mes jambes jusqu’à mes chevilles et à me le retirer. Il retrouve aussitôt mon sexe.
Il se délecte de mon jus. Sa bouche ne s’intéresse qu’à ma vulve qui n’est plus que fontaine d’où s’écoule mon désir, tandis que ses mains pétrissent mes seins. Il me déguste avec sa langue, avec ses lèvres, tantôt jouant avec mon clitoris, tantôt léchant mes lèvres gonflées de plaisir, tantôt enfonçant sa langue au plus profond de ma chatte. En à peine quelques minutes, j’ai mon premier orgasme d’une extraordinaire intensité. Je me tord sur son canapé en hurlant cette fois mon plaisir sans crainte d’être entendue. Je suis à peine remise de ce tsunami, que je sens son pénis à l’entrée de mon vagin. Il a fait glisser mes fesses au bord du coussin et s’est redressé. Il caresse ma vulve en frottant son gland. Il tient son membre d’une main et le fait aller et venir de haut en bas entre mes lèvres et comme vendredi me pénètre lentement. Je sens son impressionnante bite me pénétrer de toute sa longueur. Je le regarde faire, je regarde son pieu s’enfoncer en moi et se retirer tout aussi lentement. Je ne parviens pas à quitter ce « monstre » des yeux. Il est dur comme un roc, je n’en reviens toujours pas de son calibre qui laboure les parois de mon vagin et vient buter au plus profond de moi. Il me tient maintenant par les hanches avec ses deux mains et intensifie ses va et vient. Ce sont de véritables coups de boutoirs qui viennent maintenant défoncer mon vagin. Il att**** mes chevilles et vient mettre mes jambes sur ses épaules, de chaque côté de son cou. La pénétration est encore plus profonde. Il accélère ses mouvements et j’explose très vite dans un deuxième orgasme tout aussi fulgurant que le premier, lui continue sans interrompre ses allers-retours de me besogner. Il m’att**** de nouveau par les chevilles, et me tire hors du canapé en me retournant comme une crèpe. Je me retrouve à genou par terre devant lui, les bras posés sur les coussins de l’assise. Il achève de retirer ma robe et mon soustif et jette le tout par terre. Il me re-pénètre en levrette cette fois et sans ménagement. Ses coups de reins se font de plus en plus forts, son extraordinaire chibre écartèle mes lèvres, déchire ma vulve, explose le fond de ma chatte. Il s’enfonce jusqu’à la garde et je sens ses couilles qui viennent battre contre ma vulve. J’ai les mains crispées, Je m’agrippe aux coussins, je crie de plaisir sans discontinuer et un nouvel orgasme me submerge pour la troisième fois en quelques minutes à peine. Il n’interrompt toujours pas pour autant son va et vient. Enfin il jouit en moi bestialement. Il termine d’éjaculer en m’assénant encore quelques coup de boutoirs d’une puissance inouïe en lâchant des râles de plaisir telle un fauve en rut. Je suis épuisée, anéantie même dois je dire. Je n’ai jamais connu cela auparavant, un homme capables de me procurer autant de plaisir en aussi peu de temps, doté d’une telle virilité.
Je suis incapable de bouger, de me relever. Je reste là agenouillée devant le canapé, reprenant mes esprits. Il se retire, se lève et va chercher une bouteille d’eau. Lorsqu’il revient, j’ai juste trouvé la force de me rassoir, de m’avachir plutôt.
Il vient me retrouver, me prend dans ses bras, m’embrasse tendrement. Je perd toute notion de temps au point que je m’assoupis confortablement blottie contre lui. Il est 17H lorsque j’émerge de ma torpeur. Je suis en panique, il faut que je rentre chez moi, je n’en ai aucune envie. Je me rhabille sans prendre le temps d’une douche. Je vais rentrer chez moi comme cela, remplie de sa semence.
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