Nous avions comme voisin Jean un monsieur bien gentil, la soixantaine
environ, bedonnant, en retraite depuis peu puisque il était tout le temps chez
lui. Il vivait seul et en croisant soit mes parents ou moi-même disait bonjour
ou bonsoir et avait envers moi toujours un petit compliment gentil sans être
vulgaire. Même si parfois, il lui arrivait de me dire que pour mes 18 ans,
j’étais pratiquement une femme et que j’avais de très jolies jambes lorsque je
portais une jupe courte.
Je ne pensais nullement à ce qui allait arriver par la suite. Il me voyait
parfois avec mon petit copain Eric avec lequel nous nous retrouvions aux
abords de la maisonnée, parfois nous étions assis sur un muret ou les
escaliers qui menaient à la rue au-dessus. Avec Eric j’étais souvent en jupe
courte ou robe. Nous n’avions pas d’endroit où pouvoir se donner du plaisir et
même des caresses et il aimait que mes trésors soient aisément accessibles, je
veux parler de mes petits seins déjà bien formés, de ma chatte et également de
mon cul. Eric aimait surtout m’enculer même si parfois il désirait que je lui
suce la queue qu’il avait déjà bien épaisse. Nous étions moi et Eric assis dans
les escaliers publics enlacés quand se profila non loin de nous Jean, mon
vieux voisin dont le regard se fixait surtout sur mes cuisses dévoilées par mon
mini bleu ciel. Jean nous as dit cordialement bonjour et une fois passé, Eric
me demanda de ne pas bouger, se leva et descendit quelques marches pour
remonter vers moi :
-Il a du se régaler de la vue de ta petite culotte rose ma Lolo, j’en vois
autant que lui que lorsque il est passé devant nous ce vieux cochon
Je savais que le fait que mon vieux voisin voir ma culotte ne dérangeait
nullement Eric et même si je n’en avais pas porté. Combien de fois il m’avait
conduite dans les hautes herbes où je me retrouvais à poil carrément en
levrette avec sa bite bien souvent dans le cul et un jour où il m’a semblé que
nous étions observés mais cela ne gêna point mon petit ami quand je lui en fis
part une fois qu’il se soit vidé en moi.
Un soir assez tard même Eric me retroussa la jupe alors que j’étais appuyée les
mains sur le muret de la maison de mes parents et il me prit ainsi le cul à
l’air alors que nous étions sous le réverbère éclairant la rue et je me
laissais faire.
Un matin ou jour de lycée n’avait pas lieu, avant de sortir, ma mère me demanda
d’aller chez le voisin qui avait demandé d’aller porter chez le voisin un plat
qu’elle avait fait pour lui.
Ce matin là je portais une petite robe légère, en coton, aux fines bretelles
nouées sur les épaules et dessous juste une culotte basse rose en coton
également. Aucun soutien-gorge, mes petits seins se tenant bien droits.
Je sonnai chez Jean notre voisin et aucune réponse. Je clanchai la porte qui
était ouverte et j’appelai dans la maison Jean quand j’entendis une voix
venant su sous-sol.
-je suis à la cave qui est-ce ?
-C’est moi Laurence, votre petite voisine, descends à la cave j’y suis
Je descendis après que Jean m’ai indiqué le chemin pour y accéder. Je l’avais
rejoint, et le plafond étant bas pour y accéder je devais me pencher.
Jean m’attendait au bas de l’escalier. Une fois dans la cave je pu me
redressée. Jean me remercia pour le plat qu’avait fait ma mère et commença à
discuter avec moi.
-tu as un peu de temps Laurence pour discuter à moins que tu ne sois pressée de
rejoindre ton petit copain.
-Non Mr jean je ne suis pas pressée et vous désirez parler de quoi ?
-De toi ma jolie Laurence, tu es si belle, tu vas rejoindre ton petit copain
ainsi, une petite robe et dessous tes petits seins nus. L’autre jour où j’ai
monté les escaliers, quelle belle vue de ta culotte petite culotte rose en
coton qui moulait le renflement de ta chatte et en descendant là les escaliers
pour me rejoindre tu m’as offerte celle de tes petits nichons quand alors que
tu étais penchée. Il va encore te baiser comme sur le muret l’autre soir alors
que je vous regardais derrière mes rideaux ?
– Vous vous trompez sur nous et sur moi surtout Mr Jean
-Je ne pense pas que je me trompe sur toi ma petite, ta mère sait que tu ta
fais enfilée par ton petit copain ?
-Non Mr jean ma mère ne sait rien du tout de ce que je fais avec Eric mon
petit ami et je crois qu’elle n’apprécierait pas du tout et si elle venait à
l’apprendre je serais punie et privée de sortie.
– Alors ma petite si tu veux encore sortir et profiter de ton petit copain il
faudrait m’en dire plus pour commencer. C’est juste pour sortir avec ton
copain ou tu es vêtue aussi comme cela quand tu n’es pas avec lui ?
– Je vais en ce moment puisque c’est l’été au lycée habillée comme je le suis
en ce moment et je prends le bus scolaire pour m’y rendre.
– Tu veux dire que tu te ballades dans la rue tes petits nichons libres sous
ta robe à fines bretelles et le prof doit bien se régaler si il passe dans les
rangs de la classe et sue tu es penchée.
– Cela je ne le sais pas mais il voit peut-être mes petits seins nus , par
contre dans le bus que je me baisse pour ramasser mon sac un copain et des
garçons ont déjà pu voir mes seins nus et jusqu’à ma petite culotte par le
décolleté de ma robe quand je me penchais pour prendre mon sac.
-Et à Mr Jean tu vas lui en montrer plus qu’à ces gens là
Je ne répondis pas alors qu’il se tenait juste derrière et qu’il tira doucement
sur les flots noués des bretelles de ma robe qui glissa à terre. Je ne bougeais
pas et ne disait rien, je me retrouvais seins nus et juste avec ma petite
culotte moulant mes fesses. Je me disais que si je me rebellais il ferait part
à ma mes parents de ce que Eric mon copain et moi faisions. Tout en me pelotant
le cul par-dessus ma culotte et mes petits seins Mr Jean me demanda :
-Et avec ton petit copain Eric vous faites quoi ?
-Il aime surtout mettre sa queue dans mon cul
-Il aime surtout t’enculer mais tu jouies quand même ?
-Non pas toujours Mr Jean
-Si tu veux je vais te montrer ce qu’une jolie gamine comme toi peut jouir, tu
veux bien ?
Je savais que je n’avais pas trop le choix. Le vieux Jean se tenait derrière
moi contre mon dos et fouillait dans ma culotte. Apres que ses doigts
glissèrent sur ma toison il m’en enfila deux directement dans le con sans mal
car je mouillais déjà abondamment. Il me fouillait la chatte si profondément
que je dégoulinais. Jamais encore je n’avais autant mouillé et mon jus
imprégnait littéralement le fond de ma petite culotte. Je ne jouissais pas
encore mais je poussais de longs râles pour le plus grand plaisir de ce vieux
vicieux. Quand Jean les retira de mon con ses doigts étaient plus que poisseux
de ma mouille. Il les porta directement à ma bouche et les enfourna dans cette
dernière, me les fit sucer.
-Tu aimes sucer ton jus ma petite salope de Laurence je suis sûr que ce n’est
pas la première fois que tu lèches ta mouille et tu dois te branler la connasse
quand tu es en manque.
-Oui des fois je me branle la chatte et le clito surtout. C’est vrai que j’ai
déjà goûté à mon jus.
Jean fit glisser ma culotte trempée à mes pieds, me la retira et je me
retrouvais à poil tout contre lui. Il me fit m’allonger sur une table
vieillotte mais robuste, cuisses écartées au large tandis qu’il déboutonnait
son pantalon et baissai son slip de vieux présentant à mes yeux une queue assez
épaisse et bandée. Sans prétention il m’enfila son dard dans la chatte d’un
coup, sa queue rentra jusqu’à buter contre le fond de ma cavité. Mu par
l’excitation, il me pilonnait très fort jusqu’à faire claquer ses couilles
contre mon petit cul tout en faisant rouler entre ses gros doigts mes petits
tétons tout durs et gonflés d’excitation.
-Tu as déjà une belle petite fourrure noire entre les cuisses pour ton âge,
j’aime les gamines de ton âge qui sont poilues de la chatte
Il est vrai que pour 18 ans j’avais déjà un petit triangle noir assez fourni en
poils et que cela plaisait à certains garçons.
-Je vais te remplir la chatte de mon jus petite salope de Laurence qui aime
autant se faire baisée par son vieux voisin que par son petit copain.
-Ne juter pas dans ma chatte Mr Jean, je ne prends pas la pilule et je ne
voudrais pas être engrossée, S’il vous plaît.
– Très bien petite salope mais je veux que tu goûtes à mon jus alors trouves
une solution
-Dans ma bouche Mr Jean si vous voulez et j’avalerai tout votre jus.
Il continua à me besogner la con tout en me caressant du pouce mon clito sorti
de son capuchon. Je me suis mise à jouir sans crier gare et je tremblais de
tous mes membres tant mon orgasme avait été fort. Je n’avais pas encore reprise
totalement mes esprits qu’il se retira de ma chatte pour me présenter sa queue
toute tendue et luisante de mes sécrétions. Mon vicieux bonhomme me fit me
mettre à genoux devant lui ; sa queue à hauteur de ma bouche. Sans qu’il ne me
dise ce que je devais faire j’enfournai sa bite dans ma bouche et le suçai
fort jusqu’à sentir ses jets de sperme chauds et même si il n’y avait pas
grande quantité j’avalai tout sans en perdre un soupçon. C’est de la sorte que
je fis jouir Mr Jean pour cette fois. Je devais à présent rentrer chez moi pour
ne pas être inquiétée par mes parents à savoir pourquoi j’étais en retard, où
je me trouvais et avec qui. J’allais pour récupérer ma petite culotte trempée
de mon jus
-je la garde ta petite culotte Laurence, elle est imbibée de ton parfum et ca
me fera un souvenir. Quand tu rentres chez toi tu n’auras qu’à en enfiler une
autre mais celle-ci c’est celle de ma petite salope de voisine.
Je lui laissai donc mon petit slip comme un cadeau et nous ne nous somme pas
vus durant quelques jours. Cependant le soir dans mon lit je me branlais le
clito en pensant au fait que j’avais aimé me faire fouillée, baisée et que
j’avais sucé ce vieil homme et je jouissais comme jamais. Je m’imaginais toute
à lui et un jour je ne pu me retenir. J’arrivai chez lui à l’improviste
directement après être descendue du bus qui me ramenait du lycée.
Mr Jean fut un peu étonné mais ravi de me voir après notre relation. J’étais en
mini avec des collants et dessous une petite culotte blanche en dentelle.
-Que t’arrive t-il ma petite Laurence ?
-J’ai envie de sentir votre sperme en moi, je me caresse en pensant à vous, au
plaisir que vous m’avez donné l’autre fois.
-Tu m’as dit ma chérie que tu ne voulais pas de sperme dans ta chatte par peur
d’être engrossée.
-Oui c’est vrai mais vous pouvez vous vider dans mon cul
-Tu veux que je t’encule pour me vider les couilles
-Oui Mr Jean ainsi vous pourrez dire que vous vous êtes vidé en moi
-Tu sais que tu es une petite allumeuse et une salope pour ton âge
-Pourquoi dites vous cela ?
-Parce que tu es assise en face de moi et que malgré tes collants je vois ta
petite culotte blanche en dentelle et une ombre de tes poils noirs de ta chatte
-Tu es habillée comme cela depuis ce matin ? Ou tu viens de te changer ?
-Je suis habillée comme cela depuis ce matin je suis allé au lycée comme je
suis vêtue
-il y en a plus d’un qui a du se rincer l’oeil en en matant tes cuisses et ta
culotte dans le bus et même tes profs à l’école.
-Peut-être, je n’aie pas trop faite attention mais si vous voyer ma culotte il
est sûr que d’autres ont vu aussi.
Je me levai et je commençais à retrousser ma mini quand Mr Jean s’approcha de
moi et posa ses lèvres sur les miennes
-Fais-moi voir comment tu embrasses ma Laurence si tu veux que je te mette ma
bite dans le cul tu dois m’exciter très fort.
Je posais mes lèvres mes lèvres sur celles de Mr Jean quia accueillait ma
langue que je mélangeai à la sienne , un vrai baiser d’amour et ce vieux salop
embrassait mieux que mon petit ami Eric. En même temps j’avais osé mon main
dans son pantalon, cette fois il ne portait pas de slip, et je le branlais en
même temps que nous échangions notre baiser.
Après ce baiser langues mêlées j’oie obtenue ce que je voulais, j’aie baissé
mon collant et ma culotte et je lui ai donné mon cul . J’aie sentie son jus
me remplir le cul et nous avons jouis tous deux ensemble. J’étais comblée
d’être replie de son sperme dans mon cul et mon voisin Jean d’avoir pu
enculer une petite jeune de 18 ans.
L
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