Histoires de tromper Histoires tabous

Ch. 8 : Un premier de l’an un peu spécial (1)

Ch. 8 : Un premier de l’an un peu spécial (1)



Il est plus de midi, nous prenons le petit déjeuner tous ensemble. De belles cernes, les yeux vitreux, une haleine de chacal. Jennifer est assise en face de moi, décoiffée, pas encore douchée, mais toujours radieuse. Je lui demande si elle a bien dormi. Elle me répond avec un sourire complice:
– Oui bien dormi, mais pas assez…
Nous sommes les seuls à savoir ce qu’il s’est passé cette nuit.
Vous, qui me lisez, vous aurez donc compris, qu’entre elle et moi, il s’est passé quelque chose.

Le 31 décembre, nous fêtons le réveillon chez une amie, Florence. Au départ, nous devions être huit.
Stéphane, Nico, Jérémy, Arnaud, Gérald et moi. Du côté des filles, Florence notre hôte et Pauline. Cette dernière n’étant pas célibataire, mais son chéri préfère passer le réveillon avec ses propres amis.
Six mecs et deux filles, à ce moment là, je n’imagine pas qu’il se passe quoique ce soit.

Mais deux jours plus tôt, Florence nous a demandé à tous, si deux de ses copines de classe pouvaient se joindre à nous, car leur soirée était tombé à l’eau.
Aucun d’entre nous ne s’y est opposé. Moi et mes potes, nous sommes même plutôt ravis, surtout quand Florence nous a annoncé qu’il y avait Jennifer. Certains d’entre nous l’avaient déjà croisé dans un bar, lors d’une soirée avec « Flo ».

Jennifer est le stéréotype de la bimbo. Une belle blonde aux yeux bleus, une queue de cheval, une silhouette très avantageuse et une excitante bouche à pipe. Si le selfie avait existé à l’époque, elle en aurait été la reine. Enfin , pour nous c’était LA meuf « bonne ».

Le jour du réveillon, Gérald et moi nous rendons chez les parents de Florence vers 17h, afin d’aider aux préparatifs de la soirée. Pauline est déjà sur place. On s’affaire à la déco, aux toast et au repas. On rigole beaucoup tous les quatre, on s’entend bien, on se connaît depuis des années.

Vers 19h, les premiers invités arrivent. Il ne manque que les amies de « Flo » et Nicolas, qui est toujours à la bourre.
Soudain, on entend sonner, Pauline va ouvrir, ce sont les filles. Karine est la première à entrer. Elle est plutôt mignonne aussi. Petite brune, bien maquillée, enveloppée d’une belle robe noire lui arrivant aux genoux.
Puis, Jennifer fait son apparition. Je suis médusé. Blouson en jean, débardeur rose fushia à col montant, compressant sa grosse poitrine et un pantalon blanc très moulant. Je pense que tous les hommes ont remarqué qu’elle porte un string foncé en dessous. L’a-t-elle fait exprès? j’en suis persuadé. Cette nana sait qu’elle est belle, elle sait qu’elle plait et elle en joue. Les jalouses diront que c’est une allumeuse…

Une fois que Nico est arrivé, nous avons commencé les festivités. Comme souvent, lors de cet évènement, l’apéro est interminable. La plupart d’entre nous est « cuit » avant le repas, ce qui permet aux esprits de se rapprocher.
Pendant que Jérémy, Arnaud et Gérald font la cour à Jennifer, Nicolas réussit à séduire Karine. « Flo » et moi les avons surpris à se bécoter dans la cuisine.
Puis, avant le dessert, Arnaud et Jennifer sont allés fumer une clope, et 1/4h plus tard, ils sont revenus main dans la main. Les couples sont formés, je vais donc dormir sur la béquille ce soir. Ce n’est pas grave, ce soir j’ai décidé de m’éclater avec mes amis.

Minuit, tout le monde s’embrasse et se souhaite la bonne année. Puis on pousse les tables et on fait monter les décibels. On chante faux, on danse en titubant, la nuit promet d’être longue.

Lorsque je sors fumer une cigarette, j’interromps une discussion qui semble passionnante (ironie) entre Karine et « Jenny ». En discutant avec les charmantes demoiselles, je me rends compte que Jennifer est le parfait cliché de la blonde: Bonne, mais conne.
De retour dans la salle, Pauline s’apprête à partir. Elle va rejoindre son mec. Puis c’est au tour de Stéphane et Jérémy d’aller voir ailleurs. Ils s’en vont à une autre soirée organisée par le frère de « Jéjé ».
Nous ne sommes plus que 7 et nous lançons un jeu à boire. Un jeu de cartes, un pack de bière et c’est parti.
Florence ne souhaite pas y participer, préférant rester à peu près lucide pour gérer la soirée. Elle en profite pour aller mettre les chambres en place. En montant à l’étage, elle me demande si je peux la rejoindre pour l’aider dès que j’aurais jouer mon tour. Elle n’a rien préparer, ne sachant pas qui resterait dormir. Elle a seulement installé un matelas au pied de son lit pour ses deux copines. Mais vu la tournure des évènements, elle se doute bien que les couples vont passer la nuit ensemble.

Je monte donc à l’étage quelques minutes après, pour lui filer un coup de main, pour mettre les draps sur les lits. En arrivant dans une des chambre, je vois Florence, penchée en avant, qui borde le lit.
– Je t’ai déjà de dit de ne pas te mettre comme ça devant moi, tu vas avoir des problèmes lui ai-je dis en plaisantant.
Elle a poursuivi la boutade en me chambrant:
– Et qu’est ce que tu pourrais bien me faire avec ton petit asticot?
– Tu ne dirais pas ça si tu le voyais.
Un fou rire nous a envahi et je ne sais pas pourquoi, mais inconsciemment, des idées coquines me sont venus en tête.
Florence, mon amie, qui ne m’a jamais attiré auparavant, me laisse imaginatif. Petite, cheveux chatains clairs, un peu pâlotte, mince et plate, elle n’est vraiment pas mon genre, mais ce soir, l’alcool et le fait d’être seul, alors que mes potes ont trouvé leur moitié (chose qui m’arrive généralement en priorité), me pousse à la tentation.

Je m’approche d’elle et je l’embrasse. Elle me repousse en me disant:
– Arrêtes, je sais ce que tu fais, je ne veux pas être la dernière roue du carrosse.
– Allez Flo, lâche toi un peu, c’est une nouvelle année et je suis sûr que tu es en manque de câlins.
– Oui c’est vrai, mais pas avec toi, on se connaît trop bien et imagine ce que vont dire les autres.
– Mais ils n’en sauront rien, ça restera entre nous insistai-je, et au pire, il n’y a pas de mal à se faire du bien non?
Je l’embrasse à nouveau et elle me rend ce baiser. Nos langues tournoient dans ensemble et on s’allonge sur le lit, qui vient tout juste d’être fait. Nous nous cajolons, nous câlinons.
Rapidement, je glisse ma main sous sa jupe pour frotter son nid d’amour, par dessus sa culotte en coton. Haletante, elle soulève son panier et baisse sa culotte. Elle m’ouvre la voie vers l’autoroute de son plaisir.
Je suce mon majeur et je caresse son petit bonbon déjà bien gonflé. mes mouvements circulaires lui arrachent de frêles gémissements. ses joues rosirent de plus belle lorsque mon doigt la pénètre, écartant ses lèvres, tel Moïse ouvrant la mer rouge.
La tiédeur de sa cavité ne me laisse pas de glace et mon glaive s’érige, enfermé dans mon boxer. Je déboutonne mon futal et le fait glissé, ainsi que mon boxer jusqu’à mi-cuisses.
Je reprends mon activité de doigtage intempestif et Florence empoigne mon sexe, droit comme un i.
En m’astiquant, elle me dit en se marrant qu’avec un asticot comme le mien, on ferait une sacrée bonne pêche.
– La preuve, j’ai attrapé une sirène lui ai-je répondu
– Merci, tu es trop mimi de me dire ça
– Oui tu es une sirène, moitié femme, moitié thon
– Espèce d’enfoiré.
On rigole à gorges déployées en pleine masturbation mutuelle.
Mais la voix de Gérald, qui résonne dans l’escalier, nous stoppe net dans notre plaisir.
– Ca va là-haut, vous avez besoin d’aide?
Florence lui répond, anxieuse qu’il nous trouve dans cette situation:
– Non, non ,c’est bon, on a presque fini, on arrive dans 5 minutes.
On rit discrètement, soulagé.
Nous reprenons là où l’on s’est arrêté. Je doigte « Flo » vigoureusement, elle se met à jouir en silence, en accélérant également ses va-et-vient verticaux jusqu’à ce que mon gland expulse mon liquide crémeux.

Florence redescend la première, pendant que je me nettoie dans la salle de bain. Quand je rejoins toute cette joyeuse troupe, j’aperçois Karine et Nico, assis dans le même fauteuil en train de se peloter. Ma première réaction est de blaguer:
– Non mais ça va tous les deux, il y a des chambres pour faire vos cochonneries.
Personne ne se doute de ce qu’il vient de se passer entre Mon amie et moi. Parfait!
C’est le moment que choisi Gérald pour nous mettre son CD des années 80 et l’ambiance repart aussitôt. Ca chante, ça danse, ça boit, ça fume, bref on fait la fête. Et la soirée est loin d’être terminée…

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire