Histoires gays Premières histoires de sexe

Samia 14 – Partouze marine.

Samia 14 – Partouze marine.



Partouze marine.

On monte dans le zodiac avec Luigi, le marin/garde du corps. Je dis à Julien :
— Tu commences.
Comme ça, je vois comment ça se passe. Il est tout fluet, ça m’étonnerait qu’il y arrive. Luigi lui montre bien la position et Julien se retrouve dans l’eau avec des skis. Il n’est pas à l’aise du tout, on dirait qu’il va pleurer. Quelle petite moule ! Le marin met en route le moteur et accélère. Et, là… Julien sort de l’eau ! Je suis très étonnée. Gilou a un appareil avec un gros télé pour le photographier. Ensuite, c’est mon tour. Je chausse les skis et je vais aussi dans l’eau. Il ne faut pas que je me plante ! Le bateau accélère et je sors également de l’eau. J’adore cette sensation, j’ai presque l’impression de voler. Je vole au-dessus des vaguelettes, nue et mouillée.
C’est trop bien. Je demanderai à lui aussi d’avoir des photos…. Je ne tombe qu’une fois, mais je repars. Je skie encore un long moment, je fais un peu la conne en me tortillant et je tombe. Le zodiac vient près de moi. Gilou me dit :
— Remonte, on termine avec Moira et Luigi.
Oh ?! ça sent la partouze marine, ça ! Oui, mais c’est plus de l’érotique. Gilou sort un billet de sa poche et me donne 1000 F de plus ! Bon, va pour la partouze marine. Il dit :
— Pour commencer, je voudrais que le petit se mette à genoux à hauteur des seins de ma femme pour qu’elle le suce. Luigi s’occupera de toi.
Moira est un peu descendue sur le lit de plage pour être à plat et elle a levé les bras, dévoilant les buissons roux de ses aisselles. Julien va délicatement se mettre à genoux au-dessus d’elle, manquant de l’éborgner avec sa bite. Je rigole ! Il met son tout petit engin sur les lèvres de la belle rousse, tandis que son mari mitraille. Elle ouvre la bouche et l’engloutit littéralement. Il est tellement menu qu’elle arrive à enfourner sa bite et ses couilles en même temps. Ce n’est plus un homme… mais entre nous, ça ne l’était pas beaucoup avant que sa virilité disparaisse dans la bouche de la dame ! Elle le ressort. Ouf ! il est redevenu un homme. Enfin, je veux dire un garçonnet.
Luigi s’est déshabillé et il vient se coller à mon dos. Oh ! c’est pas un garçonnet ou un lutin, lui, mais un vrai mâle. Son sexe est dressé sur mes reins (il est beaucoup plus grand que moi) et il me caresse les seins. Il tire sur mes tétons avec juste ce qu’il faut de brutalité pour que je me frotte à lui en gémissant. Son patron fait des photos, bien sûr. Quand il s’arrête, c’est pour dire à sa femme :
— Ne le laisse pas jouir.
Julien se retire, son petit service trois-pièces tout luisant de salive. Clic, clic, clic… Gilou me dit :
— Lèche ma femme, ma belle.
Moira me sourit et dit :
— Attention, je sens la ménagerie.
— Pas plus que je ne suis une voleuse, Madame.
Je me mets à genoux et je me penche pour lécher sa chatte, mais elle la couvre de sa main en disant :
— Demande.
— Euh…
— Demande la permission de me lécher !
Elle veut jouer… mais, bon, avec ce que je suis payée, on ne va pas discuter. Donc je lui dis :
— Je peux vous lécher la chatte ?
— Mieux que ça.
— Je vous en prie, j’ai tellement envie de vous lécher, Madame.
Un hochement de tête. Le flirt avec Luigi et maintenant ce jeu avec elle, je commence à être vraiment excitée. Si un exocet ou poisson volant fait un bond hors de l’eau et atterrit sur ma chatte, je jouis ! Je pose ma bouche sur ses grandes lèvres tout en me cambrant pour présenter mes fesses aux éventuels marins qui passeraient par là. Allez-y les gars : à l’abordage !
Moira a posé son pied sur le haut de mon dos tandis que je la lèche du vagin au clito. Difficile de décrire deux actions simultanées, mais tandis que je la lèche, Luigi pose son gland à l’entrée de mon vagin ! Si mon sexe avait des mains, il l’att****rait et se l’enfoncerait bien profond. Mais vas-y, merde ! T’as peur ? Ah non, il s’enfonce complètement dans ma chatte et ses couilles viennent même claquer sur mes cuisses. Voilà, on est en accord, ma langue dans une chatte et une bite dans la mienne. Je ne suis pas la seule à être très excitée, Moira caresse mon dos avec un pied tandis que de la main, elle m’ébouriffe les cheveux comme on fait à un chien. Je lèche et je suce son clito. Je me dis, « Attends petite snobinarde, je vais t’envoyer en l’air ! Tu vas griffer les mains de ta mère » (c’est une image !). Ça y est, elle colle mon visage contre sa chatte et jouit comme la première Romanichelle venue.
Les clics clics n’ont pas cessé, tandis que Luigi continue à me baiser lentement… Je tortille un peu mon cul, en espérant qu’il accélère… Bobby dit à sa femme :
— Tu pourrais bouger, ma chérie ?
Il prend sa place en me disant :
— Lèche ma bite sans la prendre en bouche.
Je fais coulisser sa peau — clic, clic — et sors bien la langue pour lécher son gland — clic, clic. Luigi commence à me baiser plus rapidement… Mon vagin se resserre tandis que dans mon cerveau, mon hypothalamus s’apprête à lâcher une bonne dose d’endorphines. On est en pleine mer, il y a peu de voisins, à part dans le ciel et dans la mer. Alors je peux me laisser aller à gueuler :
— Ohhhh oouiiiiii….. c’est boooooooonnnnnnn !
Evidemment, j’affole un peu les mouettes, mais putain, ça fait du bien !
Je sens que la bite de Luigi quitte ma chatte, qui lui fait plein de bisous au passage. Il a du self-control, le matelot ! Gilou demande :
— Pour terminer, tu as des idées Moira ?
Elle réfléchit… Je réponds à sa place :
— Moi j’ai une idée, c’est…
Moira me coupe :
— Tu t’appelles Moira ?
— Non… pardon, mais…
— Allez, vas y. Crache-la, ton idée. Mais si elle n’est pas bonne, on te met aux fers dans la cale.
Elle plaisante, hein ?
— C’est que des photos de Luigi et moi, ça pourrait être bien.
Elle répond :
— Dis plutôt que tu as envie d’encore te faire baiser par lui.
— Euh… oui… c’est vrai.
— Allez, montre ce que tu sais faire.
OK. Je me colle à lui comme une moule à son rocher, je l’embrasse tandis qu’il me caresse les fesses. Quand nos bouches se séparent, j’embrasse sa poitrine, le nez dans ses poils… Je descends jusqu’à me mettre à genoux à ses pieds. J’embrasse ses couilles, je les lèche, les mordille.. Ensuite j’embrasse son sexe de la base jusqu’au gland qui a si bien fouillé mon vagin… Quelle belle queue ! Je me relève et je mets mes bras autour de son cou en lui demandant :
— Tu veux bien me prendre par les fesses et m’asseoir sur ta bite, mon beau marin ?
Entendons-nous, je fais ça… pour que Gilou ait de belles photos, bien sûr. Luigi positionne son sexe sur ma chatte, la gravité fait le reste… Oh, je suis pleine de sa bite… Avant de me laisser au plaisir de me faire baiser, je dis vite à Bobby :
— Gardez quelques photos pour la fin.
— D’accord.
Luigi m’a solidement empoignée par les fesses et il me fait monter et descendre sur les 22 ou 23 cm de chair durs de sa bite. Je commence par gazouiller, puis je chante, genre :
— Oh oui… c’est boooon, défonce-moi ! Plus fort…. je sens rien ! Aaaiiieee ! Oui, comme ça, aaaahhhhhhhhhh….
Ça y est, je grimpe aux rideaux (il doit sûrement y en avoir dans les cabines) ! Et, foin de son self-control, Luigi jouit en moi…
J’imagine ses spermatozoïdes super costauds partir en bande pour aller violer un de mes ovules.. Enfin, violer, c’est un grand mot. Si mes ovules me ressemblent, elles doivent les accueillir, genre « welcome strangers »…
Voilà, c’est fini. Luigi me fait descendre… J’ordonne à Julien :
— Couche-toi sur les dos.
Dès que c’est fait, je m’accroupis au-dessus de son visage et j’ai la générosité de lui faire ce cadeau : des globules de sperme et de sécrétions qui tombent dans sa bouche. Il en sort 2, puis 3… Je m’assieds, la chatte sur sa bouche, en lui disant :
— Fais le ménage !
J’adore l’idée… Quelques minutes de nettoyage plus tard, je me relève. N’allez pas dire « pôv’ Julien », il aime ma chatte même pleine du foutre d’un autre. La preuve : il bande ! Enfin, il bande comme un ouistiti pygmée…
Quand je me relève, Moira me dit en souriant :
— T’es une vraie salope toi, de traiter ton petit frère comme ça.
— Enfin un mot gentil !
Luigi me dit :
— Très bonne séance de photos. Et avec Dennis, ça s’est bien passé ?
— Oui, il va même m’envoyer des photos, dont une ou deux signées.
— Garde-la précieusement, il devient de plus en plus célèbre.
Cool. Il va sûrement nous inviter à manger avec eux. Je regarde Gilou… Il parle avec Moira d’une invitation chez des amis. Ça me va aussi…
J’interromps leur conversation pour lui demander :
— Vous voudrez bien donner quelques photos à Simone des Flots bleus ?
— Oui, oui… si j’y pense.
Quel rat ! Pendant qu’on faisait des photos, il était tout miel ! Moira me dit :
— On est train de parler, là… Luigi va vous reconduire.
On ne mange pas ensemble, on ne s’embrasse pas, on ne se parle même plus ! Sales riches ! J’ai compris : n’étant pas du même monde, on est congédiés ! Je leur dirais bien : le père de Julien est aussi riche que vous. Qu’ils aillent se faire voir ! Luigi nous dit :
— Venez dans le zodiac, les enfants.
On s’installe. Je lui fais remarquer :
— En fin de compte, ils sont vraiment pas sympas.
— Qu’est-ce que tu veux, ce sont des riches.
Ah, qu’est-ce que je disais ! Il ajoute :
— Le principal pour toi, c’est que tu as été très bien payée.
— Oui, c’est vrai. On va se revoir ?
— Pourquoi pas. Tu as une petite chatte… accueillante.
C’est tout ? J’aime pas les larbins des riches ! Il nous dépose devant « Les Flots bleus ». Je lui dis :
— Salut… et peut-être à un de ces jours.
— C’est ça, tu me liras les lignes de la main.
Bon, passons à autre chose.

A suivre.

PS : J’ai hésité à publier cet épisode. Pour le précédent : pas de commentaire, un pouce levé, un pouce baissé : c’est peu. Si vous ne m’aimez plus, j’irai me… faire lire ailleurs…

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire