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Luce a ZombieLand – 6

Luce a ZombieLand – 6



Au pays des géants

Le tunnel déboucha dans une pièce circulaire tout en ciment haut de plafond et là…

— Non ses pas vrais ! Dis-je frapper de stupeur une main sur la bouche.

J’observais sans y croire deux immenses testicules contenus dans un scrotum gigantesque couleur chaire allant du rosé au brun foncé, dont la peau flasque était pleine de replie. Comme un vrai mais sans poils ! Cette chose s’étalait par terre devant nous, nous bloquant le passage et semblait se continuer à travers le mur du fond. Cet énorme scrotum montait en pente douce, les couilles formant comme deux petites collines gonflées et la haut, il y avait juste un espace étroit entre les testicules et le plafond par ou le tunnel semblait ce poursuive, mais vers quoi ? Je me voyais déjà grimper là-dessus en riant. Cette chose devait être gonflée à l’air comme ses matelas géants qui amuse tant les enfants dans les parcs d’attractions. Je ne pus m’empêcher d’éclater de rire en me tenant les côtes, la fatigue et le vin sans doute en plus de cette vision digne d’un film de Fellini. Je finis par reprendre mon souffle en m’essuyant les yeux sous le regard amuser des filles.

— Vas falloir monté là-dessus ? Demandai-je médusé.
— WAIS ! Mais au moins il n’y a pas de petit poil friser ! Dis 1 rieuse.
— Hum, fit 2, et elles sont aussi douces que des vrai, j’adore passé par la ! Ça un petit quelque chose de grisant de grimper nue à plat ventre sur de grosses couilles. T’aimes sa gros j’espère ?
— Y as des limites à tout les filles !
— Pas ici !
— Je vois ça ! On se croirait dans un épisode de « au pays des géants ! » mais pour adulte. Ce n’est pas vrai !
— Le truc c’est de s’agripper solidement, de déplacer un membre à la fois et de ramper à plat ventre pour monter Luce. Si tu dé****s tu vas glisser lentement jusqu’en bas et devoir recommencer. Bonne chance !

1 et 2 commencèrent l’ascension entre des couilles qui faisait deux fois ma taille en s’accrochant au replie de peau car c’était vraiment trop en pente pour y marché même a quatre pattes. Elle semblait s’amuser comme des folles. Les voir faire c’était… c’était surréaliste. Je m’approcher en essayant de ne pas trop penser a ce qu’il y pouvait bien y avoir de l’autre coté, là-haut. La bite ? Sans pouvoir m’en empêcher, je tendis la main pour palper du bout des doigts une des couilles géantes en grimaçant. Seigneur ! On aurait juré une vraie au toucher, presque aussi douce et aussi molle que celle de mon copain. Mes doigts s’enfonçaient dans la peau épaisse, c’en était presque agréable et le gros testicule rebondit mollement. J’en eus la chair de poule tout en me donnant l’impression d’être une lilliputienne !

Décourager, je m’installer entre les couilles la ou il y avait un affaissement et, en m’accrochant au replie de peau comme les filles, avec les doigts et les orteils, je réussit a me hisser lentement tout en réalisant que je grimpais sur un scrotum géant comme une alpiniste ! Je remis a rire comme une folle et je dé****r, glisser pour retomber sur mes pieds sentant rebondir mes seins. Je me retrouver au point de départ, debout, le visage écraser contre le scrotum en riant, les yeux pleins d’eau. Merde ! Et les filles aussi riaient en me regardant déjà arriver au milieu de la pente.

— Allez Luce, ce n’est pas la première fois que tu grimpes sur des couilles ! Hurla 2.
— Très drôle les filles.

Cette fois, je m’accrocher de toutes mes forces a la peau molle et je me mis a grimpé à plat ventre et effectivement c’était très doux, même que la peau s’étirait sous mes pieds. Heureusement la pente n’était pas trop abrupte, mais tout de même ses vrais que se traîner nue là-dessus donnaient le frison surtout quand mes mamelons frottaient. N’empêche que mes gros seins me nuisaient, je devais soulever le torse à chaque repli de peau pour les faire passer. Et je me cramponnais du mieux que je le pouvais, avec mes petits orteils surtout qui supportaient presque tout mon poids, je n’avais pas envie de tout recommencer encore une fois ! Mais je riais tellement que je fini par repartir en arrière paniquer en criant me laissant glisser bras en avant mes seins malmener var les vagues de peau. Mais cette fois je réussis à me stopper avec mes pieds puis à remonter après une petite pause. Mes rires se calmèrent sous l’effort et tant mieux car j’avais mal au ventre.

— Vous savez les filles que la personne qui a pensé à ça a un sérieux problème de santé mentale.
— Tu penses, fit 2 qui forçait en se tirant avec la vigueur de la vingtaine, pourquoi ?
— Je ne sais pas, peut-être parce que je suis en train de ramper sur des couilles géantes. C’est du délire total.

Quand je levais les yeux j’avais une vue imprenable sur l’entrejambe des filles. Bien des hommes auraient aimé être à ma place ou derrière moi. Seigneur !

Mes mains et mes orteils s’accrochaient inlassablement au repli qui s’étiraient, et j’avais raison, les couilles devaient être gonflé d’air sous la peau épaisse car ça bougeait chaque fois que l’une de nous faisait un mouvement. Je rebondissais en m’accrochant du mieux que je le pouvais et me remit a rire en me disant. « Si mes étudiants me voyaient, nue a grimper sur des couilles géantes et secouer comme une araignée sur sa toile ! Les gars surtout, il en ferait une maladie à cause de mes gros seins qui les dérangeait tant pendant les cours. » Je n’en revenais toujours pas de tout ça. Je rêve, c’est sûr et certain ! Un fort Boyard pour adulte, ça n’existe pas. Et pourtant, je me cramponnais de toutes mes forces pour ne pas dégringoler tandis qu’un sablier se vidait, quelque part, sans doute.

1 arriva aux sommets la première et se faufila tête première entre le plafond et les couilles et disparue suivie de 2. Enfin arriver moi aussi et quelques peut essouffler, je me faufiler a mon tour dans l’étroit boyau sombre, seins comprimer, sentant mes fesses glisser contre du ciment. Claustrophobe, je rampais comme un soldat qui se faufile sous des barbelés le plus vite possible pour sortir de là en m’aidant de mes coudes et de mes genoux. Heureusement que mes gros seins étaient plutôt mous car je serais sûrement resté coincé, même si la peau semblait toujours élastique sous moi. Je vis enfin la lumière au bout du tunnel. Et, comme je mis attendait, je me retrouvai a la base d’un énorme pénis recourber vers le bas qui s’étirait au loin. C’était un peut comme un toboggan, mais rond et gros comme un séquoia. Il avait l’air tout aussi réaliste que les couilles et veiner et il n’était pas en érection, heureusement car il aurait eu la taille d’un autobus. Le gland recouvert d’un prépuce reposait au loin sur le plancher d’une autre pièce plongé dans la pénombre quelques mètres plus bas. Il me fallait descendre tête première sur ça, bras et jambe écarter pour ne pas tomber, pas le choix. Impossible de me retourner dans l’espace restreint. J’étais environ à une vingtaine de pieds du sol. Ça me donna le tournis et de sacrées palpitations. 1 et 2 déjà en bas, m’attendait sur des matelas gonflables pour amortir ma chute au cas ou je glisserais de la verge géante. Elle me regardait en m’encourageant à descendre. Doux Jésus ! Personne ne me croirait si je racontais ça. De toute façon a qui je pourrais bien le raconter, mes amis, autour d’une table en prenant un verre : ‘ je vous jure les filles, j’étais nu a grimpé dur des couilles gigantesque et j’ai glissé tête première sur une bite tout aussi géante. » Elle me ferait enfermer ces sûrs.

Je fixais la bite, c’était effrayant d’avoir a ce lancer tête première là-dessus car c’était rond, si mon corps partait de travers… je ne me ferais sûrement pas mal à cause des matelas mais tout de même.. Mon coeur cognait et j’éclatai de rire par nervosité mais aussi parce que je me voyais trop bien de haut glisser sur une bite, tête première bras et jambes écarter. Moi ! Seigneur ! Mais qu’est-ce que je fais là ? Pierre, je vais te tuer !

— Vas s’y peureuse ! Cria 1. Allez, lance-toi, on n’a pas toute la nuit !
— Et sort la langue Luce en descendant, dit 2, tu vas le faire bander. Ça va glisser plus longtemps.

Elle riait comme des folles mais pas moi. J’avais la trouille. Le sport le plus extrême que je pratiquais c’était la marche en forêt.

Je soupirer longuement en m’avançant prudemment jusqu’a me retrouver assise en amazone pencher vers le bas en me tirant par les mains quelque pouces a la fois sentant mes pieds pendre dans le vide a présent. J’apercevais maintenant les couilles qui se poursuivait juste en dessous comme si elle sortait du mur. Deux énormes ballons de chaire de chaque côté. Et tout à coup, je me rendis compte que c’était glissant, comme lubrifier… même très glissant, mes mains ne me retenaient plus, mes cuisses non plus. Je partis comme un missile, tête première en criant, le coeur battant à toute allure, sûr de me casser la gueule en me plaquant le plus possible sur la verge y écrasant mes seins. Je m’accrochai du mieux que je pouvais avec mes bras et mes jambes, terrifier et amuser en même temps comme dans un manège. Sauf que la j’étais nue et que mes seins et mon pubis frottaient là-dessus et les petites bosses des veines me donnait de sacrées sensations. Ça me titillait tellement que je grimaçais comme une idiote. À la moitié de la descente je commençais à apprécier ces petits frottements et j’eus l’étrange impression que la bite rallongeait. Je devais rêver et je n’eus pas le temps d’y réfléchir car je rouler soudainement sur le flanc sans pouvoir me retenir pour basculer dans le vide en battant des bras et des jambes. J’hurlai de plus belle les yeux tout ronds de frayeur en rebondissant de côté sur une couille molle pour ensuite tomber sur le dos sur les matelas pour y rebondir plus sieurs fois avant de rester la, bras en croix avec le coeur qui voulait me sortir de la poitrine. 1 et 2 me regardaient les mains sur les genoux, mortes de rire. Je leur fis la grimace en disant :

— Personne ne s’est rendu compte que j’étais trop vieille pour ça.
— T’es pas si vielle, dit 1 en me tendant la main que j’agrippai.
— Wow ! Fit 2. C’était beau de voir rebondir tes grosses boules Luce.

Je lui tirer la langue en me relevant, essayant de garder l’équilibre sur le matelas tout en demandant :
— J’ai rêvé ou cette bite a rallongé ?

Que des sourires narquois tandis qu’on descendait du matelas gonflable. L’énorme phallus, même débander était deux fois plus haut et plus gros que ma voiture. On se trouvait dans une autre pièce sombre et j’entendais a nouveau des grognements de zombie tandis que mon coeur se calmait peut a peut. Mes seins, mon ventre, l’intérieur de mes cuisses étaient recouverts d’une sorte d’huile. Je me frotter les seins qui me faisait un peut mal à force d’être malmené.

— Jolie bête ! Dit 1 tapant sur la bite. Ça fait rêver, hein Luce ? Bon, continuons et lâche tes seins, on n’a pas le temps de s’amuser !

Je rougis en lui tirant la langue et on longea le membre jusqu’au gland qui comme tout ici avait l’air des plus naturel, cacher de moitié sous son prépuce mince. Il y avait même la fente de l’urètre, assez grosses pour que quelqu’un puisse y glissé un bras, même la tête. Je me demandé soudainement si ce n’était pas un immense canon. Mais qui tirait quoi ? Du sperme, sûrement pas, alors quoi ? De la crème fouetter. Hum !

— Attendez moi ici, ordonna 1 en disparaissant dans le noir. À part le bruit de ses pieds nus sur le ciment et le grognement plus forts de zombie j’entendais comme des clapotis, comme si on marchait dans de la boue. Moi qui étais toute propre, je frissonner a l’idée de me retrouver encore dans de la boue. Un (clac) sonore se fit entendre et des lumières clignotèrent et s’allumèrent.

Ahuri, je m’aperçus en clignant des yeux que l’on était juste au bord d’un bassin rectangulaire en ciment, large mais plutôt étroit. Il était assez profond et remplie de liquide verdâtre très épais et qu’il y avait des zombies femelles en bas qui tendait les bras vers nous en piétinant sur place comme si elle était affamée. Elles étaient comme les autres, carrément nu ou presque et c’était peut être les même au fond. Une échelle permettait de descendre de notre côté mais pas jusqu’en bas sans doute pour éviter que les zombies y grimpent et il y en avait une autre juste en face pour en sortir. Mais celle-là était comme une échelle de secours en deux sections. Il suffisait de tirer une des sections vers le bas pour pouvoir monter à condition de pouvoir l’atteindre.

— Ah non ! Lâchai-je en soufflant longuement, les mains sur les hanches, Pas encore ! On vient juste de se nettoyer les filles. Je démissionne, ramenez moi à mon casier.

Et la, en levant les yeux, je vis que de l’autre côté du bassin, en guise de porte, il y avait un gigantesque sexe de femme, une vulve parfaite entre deux cuisses gigantesques et écarter qui disparaissait dans le mur de chaque côté du bassin. Comme si une géante s’était fait coincer la pendant la construction de cette place de fou. Les grandes lèvres étaient brunes, plisser et ouvertes, les petites lèvres étaient plus pâles à l’entrée du vagin rose bonbon. Au sommet là où les lèvres se rejoignaient il y avait même un clitoris énorme en partis cacher sous un capuchon. Je ne vis aucune autre porte évidemment, on allait devoir se faufiler dans un vagin. Réaliser ça me fit expirer encore longuement puis sourire en secouant la tête de découragement.

— Jésus, Maie Joseph ! Lâchai-je abasourdis en regardant à gauche et à droite sans voir aucune autre sortit, évidemment. En plus, pas moyen de traverser sans descendre dans ce maudit bassin et pourquoi ? Pour s’enfoncer dans une vulve apparemment.
— Elle comprend vite, dit 2.
— Hum ! J’aime les femmes intelligentes, rajouta 1. Surtout celle a grosses boules.
— Calmez-vous les filles, vous êtes pires que mes étudiants mâles. Faut sauter là-dedans et se battre encore ? C’est pas vrai !
— Pas besoins de se battre avec elle Luce, juste si on tombe du pont, dit 1.
— Du Pont ! Quel pont ?
— Ben celui-là, répondit-elle tapant le gland juste derrière nous qui rebondit légèrement.
— Ça ! Fi-je en me retournant pour examiner le phallus géant. Mais, on pourra jamais tirer ce machin ! Il n’est pas assez long et il est coincé dans le mur de toute façon.
— Pourquoi se fatiguer quand on a juste a lui donner quelque baisé ! Fit 2 tout sourire.
— Là, je vous suis plus les filles ! Je suis trop épuisé pour réfléchir et j’ai mal partout.
— Luce, fit 1 langoureuse, qu’est-ce qui arrive a une bite si une fille la caresses, la bécote, la lèche, même mieux, trois filles ?

Je soupirer le sourire aux lèvres en disant :

— Ben, ça vous crache du sperme en plein visage les jeunes ! Vous devriez savoir ça hum ! Délurer comme vous êtes. À moins que vous soyez toutes les deux des lesbiennes pures et dures et à voir votre fixation sur mes seins, je pense que c’est le cas.
— Si ça t’excite de le penser Luce. Dit 2 en m’en prenant un. Je lui donner une petite tape sur la main. Elle la retira les yeux tout petits et luisants.
— OK ! Dit 1. Ça vous jouis dans face mais avant ça fait quoi ?
— Ben, avant ça…. sa rallonge, sa bande plus dure et…

Là, je commençais à comprendre. Je n’avais donc pas rêvé en dévalant cette bite, elle avait vraiment rallongé. Bouche ouverte de stupéfaction tellement c’était tordu je dis :

— Je dois dormir ses pas possible, c’est un rêve… OUTCHHHH !

1 m’avait pincé une fesse avec ses petits ongles et ça me faisait mal, je me la frotter.

— Tu dort Luce ?
— Non ça vas, mais comment on amène ça a bandé, a rallongé, pas… pas comme j’imagine ! Non, impossible ! On ne peut pas… enfin… le masturber ou pire. On ne va pas glisser là-dessus encore non plus ? Pas question.
— Mais non, fit 2, juste la caresser et la bécoter.

Elles me regardèrent tout sourire et je ris, c’était trop fou.

— Mais ces en caoutchouc je vais pas…
— Quoi, embraser ça fit 1 narquoise, t’as jamais posé tes lèvres sur une bite recouverte d’un condom Luce ?
— Et merde ! Fi-je en riant. Et une fois de l’autre bord faut se faufiler dans une vulve, c’est dément !
— WAIS, mais faut que ça bande avant, dis 2 tapant sur la bitte et la bécotant. Le gland sursauta et moi aussi. Seigneur ! C’était comme s’il venait de prendre vie tout à coup.
— Des caresses, des bisous, comme ça, fit 1 en passant de l’autre coté et commençant a frotter la hampe des deux mains en l’ambrassent. Ça bougea, ça s’étira devant moi car j’étais juste devant, ça rallongeait, pas croyable. Une bite animatronique ou quelque chose comme ça. À Disneyland ils on le pirate des Caraïbe moi ici j’ai une grosse bite, des couilles et un vagin. Wow ! Je rejoins 2 pour ne pas tomber dans le bassin perdant 1 de vue.

— Continuez les filles, ça marche. Dis-je morte de rire en croisant les bras. Allez les esclaves, faites-moi bander ce truc.

2 lâcha le membre.

— Tu nous aides ou on descend. Dit-elle. Faut être au moins trois pour réussir.
— Ben oui, fi-je, comme par hasard.

Je déglutis en tournant la tête et regarder la vulve qui se trouvait a 25 pieds au moins de nous. Il nous fallait 25 pieds de bite pour traverser. Je regarder en bas la boue verte, non, je n’avais vraiment pas envie de tremper là-dedans maintenant que j’étais tout propre.

— Jésus Christ ! Dis-je en m’y mettant aussi…

Me sentant idiote, je me mis à caresser cette chose avec 2 et à donner des becs en me sentant rougir encore une fois.

— Je ne sais pas comment ils ont fait ça, dit 1 de l’autre côté, mais si tu cognes dessus ça ne marche pas, ça fonctionne juste si tu la caresses doucement.

Je soupirer longuement en me disant qu’un technicien quelque part regardait sur un écran d’ordinateur trois idiotes entièrement nues embrasser une bite géante en caoutchouc pendant que lui la faisait bouger lentement pour profiter du spectacle en appuyant simplement sur les touches de son clavier et sans doute en se masturbant. Il devait être mort de rire le pauvre et bander dure.

Peut a peut le gland sortit du prépuce et pendit dans le vide et fila, lentement mais sûrement vers l’autre coté du bassin en se balançant mollement et les zombies essayaient de l’att****r. Sous mes mains je sentis des vibrations, probablement des moteurs électriques, des capteurs, des senseurs et la peau s’étirait. S’il n’y avait pas de techniciens, c’était ingénieux et délirant et surtout, complètement fou.

Arriver a mis parcoure elle ramollie et pencha dangereusement vers le bas. Les doigts des zombis l’effleuraient.

— Allez Luce, embrasse et caresse plus fort, m’encouragea 2 en frottant comme si elle lavait une voiture, si elle l’att**** elles vont grimper dessus et essayer de nous jeter dans le bassin.
— Je leur souhaite bonne chance, ce machin est lubrifié.
— OK mais leur poids vas le garder en bas, on seras baiser ma belle et faudra descendre.
— Hum, hum ! Fis-je septique.

Je redoubler d’effort tout de même en riant, prise au jeu, mais j’avais mal au bras à force de frotter cette imitation de peau molle et veiner tout en donnant des bisous a cette chose énorme qui fini par remonter et atteindre l’autre coté et même a pénétré la vulve. Je m’étais posé la question, a savoir si ça irait jusque-là cette folie et j’avais ma réponse. Une fois que le gland fut largement dans le sexe 2 me fit la courte échelle, je grimper facilement à cheval sur la bitte en tendant la main a 1 qui me rejoignit pour s’asseoir devant moi. Puis on aida 2 qui se plaça comme toujours derrière nous. Et 1 me dit :

— Luce, ça débande un gars quand il a fini sa petite affaire, mais si ça arrive caresse le, frotte toi dessus pour qu’il reste en érection.
— Pas question que je me rabaisse a ça les filles, je préfère la boue.

Je lever la tête et chercher des caméras encore une fois. Fallait bien que quelqu’un surveille tout ça. Mais, là encore, je ne vis rien sauf des gicleurs. L’idée d’être à califourchon sur un phallus géant et de m’y frotter, nue, sous le regard de caméra fit battre mon coeur plus vite. Tout ça était trop délirant, 3 filles nues assises sur une bite géante et celle-ci se mit à remuer lentement d’avant en arrière.

— Non, non, non ! Fi-je éberluer en me cramponnant la verge un peut glissante mais pas trop. Ce n’est pas vrai !

Le mouvement était très lent et pas assez brusque pour nous faire tomber mais tout de même, être trimbaler d’avant en arrière sur une grosse bite servant de pont avec son gland enfoncer dans un vagin c’était quelque peut troublant. Mes seins se frappaient ensemble mollement.

— Et oui Luce, me dit 1 tout sourire, allons s’y avant qu’il ne finisse sa petite affaire. C’est peut-être un éjaculateur précoce.
— Debout ça irait plus vite non, c’est suffisamment large et pas trop glissant ?
— WAIS, dit 2, mais ça vas devenir vraiment glissant !

Juste a se moment des gicleurs au plafond démarrèrent et une pluie de liquide orange, épais comme de l’huile s’abattit sur nous Je pencher la tête et fermer les yeux pour protéger mon visage. C’était tiède, huileux, presque visqueux. Ça ne dura que quelques minutes, mais ce fut suffisant pour tout détremper, nous, la verge, la vulve et les zombies.

— Pouashh. Fi-je crachant le liquide poisseux qui adhérait a mon corps en m’essuyant les yeux puis repoussant mes cheveux gluant derrière mes oreilles, j’en étais entièrement recouvert. Moi qui étais si propre tantôt, là j’étais d’un orangé luisant, comme les filles. La bite bien lubrifier maintenant semblait aller légèrement plus vite. Merde !

1 se coucha sur le ventre enserrant bien ses jambes contre l’énorme queue et commença à se tirer avec les mains dépassant déjà le rebord de la plate-forme. Je fit pareille écrasant mes seins là-dessus fixant le petit cul de 1, sa vulve et surtout son anus rosé maculer d’huile orange qui pulsait sous l’effort et grimacer en pensant que j’offrais la même vue a 2. Ça me donna de drôle de sensation dans le bas ventre de me traîner là-dessus aussi écartelé surtout avec ce mouvement de vas et vient.

En bas, les zombies femelles essayaient de nous agripper les pieds qui dégoulinait d’huile et il s’en fallait de peux. Ce liquide rendait la bitte glissante évidemment et plus d’une fois je me sentis basculer mais j’arrivais toujours à me redresser, complètement paniquer à l’idée de tomber dans le bac de liquide verdâtre. Les zombies s’approchaient et reculaient, sans doute pour éviter qu’on les blesse en chutant. Ce n’était pas très haut mais pas rassurant du tout. Quelques doigts m’effleurèrent les orteils me faisant lâcher de petits cris. Ma peau se recouvrait aussitôt de chair de poule et c’était plutôt agréable. C’était plus probablement juste pour me donner de petits frissons que de me faire tomber mais… ça marchait.

Et la, arriver au milieu de la traversé épique, je me sentis reculer, je crue glissé mais ce n’était pas moi, mais la bite… Le sexe commençait à se rétracter ! Le gland s’approchait du rebord de la plate-forme. Moment de panique total ! On dut le flatter très fort pour qu’il rallonge à nouveau et je fus pris d’un énorme fou rire qui faillit me faire tomber. Ces quant même pas banal comme situation. Assise en amazone et pencher sur une bite géante a lui caresser les flancs comme a un cheval. Ça m’amusait même si j’étais fatigué. Mais le pire c’était ma vulve écraser sur cette bitte huileuse, jambe écarter comme ça et qui s’y frottait quand j’avançais en me tirant, mon clito surtout. Nue comme je l’étais, mes parties sensibles me donnaient de sacrés frisons, même mes mamelons à nouveau durcit. Je faillis jouir et du stoppé pour, bien malgré moi faire des pressions sur mon pubis contre-la bite. C’était trop bon, je ne pouvais m’en empêcher.

Ça me rappelait trop mon premier orgasme à 11 ou 12 ans, coucher sur le ventre sur le sofa du salon a la maison après l’école, un pied par terre a écouté la télé. Mon sexe écraser contre le rebord dur du sofa m’avait procurer de drôle de sensation, mais très agréable. Je m’étais mise automatiquement a faire des pressions de plus en plus fortes en soulevant ma jambe pendante et j’avais joui dents serrées, le coeur battant, sans comprendre ce qui m’arrivait tandis que ma mère, juste a côté a la cuisine préparait le souper. Je l’avais fait comme ça longtemps au salon ou dans mon lit en raffinant ma technique. Et là je ressentais le même plaisir en plus que la verge bougeait d’avant en arrière. J’étais si près de jouir que mes orteils en étaient retrousser et que j’en oubliais de frotter l’a****l qui se rétractait encore et 2 me rappela a l’ordre en me tapant les fesses.

— Allez petite vicieuse, on va tomber dans la soupe verte. Arrête de te frotter là-dessus.
— Je ne peux pas, dis-je la voie basse et tremblotante en serrant les fesses pour faire plus de pression.

Je sentais trop bien mon sexe gonfler, humide et ouvert juste sous ses yeux tandis que j’appuyais sur mon clito durci. Mon anus pulsait, je me donnais en spectacle. Et puis ! Je n’y pouvais rien, je ne pouvais plus m’arrêter, c’était trop bon.

— Bon, pas le choix alors. Dit 2 en me rentrant un doigt bien lubrifier d’huile orange dans le vagin déjà détremper, puis deux et jusqu’a la jointure, sans ménagement pour les faire aller et venir a toute vitesse en m’écrasant le sexe avec son poing, m’agaçant l’anus au passage. Alors fait sa vite Luce, on va tomber.

Elle faillit justement me faire tomber en me faisant ça, mon coeur bondit de me sentir pénétrer. J’aurais préféré une belle bite mais… tout de même, ça m’agaçait tellement. J’accentuai mes pressions et un orgasme puissant me traversa aussitôt le bas ventre comme une grosse décharge électrique et me fit secouer le derrière comme la dernière des putes en gémissant bouche ouverte. J’étais prise de convulsion frénétique comme si je n’avais pas joui depuis des années. Les yeux fermer, je savourais cet orgasme fabuleux en me mordillant les lèvres tout en grimaçant. Mais il s’évanouie rapidement me laissant abasourdit et a bout de souffle. Je me sentis vider mais quelque soulager. Une vraie délivrance mais ces doigts qui s’agitait toujours risquait de me faire jouir a nouveau.

— Arrête, arrête ! Criais-je le front coller a la verge en sentant les doigts stopper leurs vas et viens et se retirer mais trop tard. Je sentis clairement mon anus se resserrer en jouissant a nouveau. J’en trembler des pieds à la tête en écrasant le plus possible mon pubis sur cette verge géante. Je ressentis cet orgasme jusque dans la pointe tendue de mes seins comprimer sous moi et mes petits orteils crampées.

— Aller les filles, dit-1 qui s’acharnait a frotter les flancs de la verge. Je ne tiendrai pas longtemps toute seul. Le gland sort du vagin.
— Luce est en plein orgasme.
— Je vois ça, dit-elle en me regardant. Elle grimace autant que les zombies qui lui chatouillent les orteils.

Je la regarder les yeux petits, dans les vapes en me reprenant peut a peut. Je tremblais des pieds à la tête en finissant de jouir. 2 me tapota les fesses en disant :

— Frotte la bite avec les mains cochonnes pas avec ton sexe si tu ne peux pas te retenir de jouir.
— Plus facile à dire qu’à faire. Répondis-je la voie enrouer, cassé.
— Hum ! dit-elle. Mes doigts goutte bons. Tu veux un petit coup de langue Luce.
— Obséder, dis-je en souriant mais j’aurais bien aimé. Sauf que là, notre curieux pont menaçait de s’écrouler.

On s’y remit toutes les trois, caressant les flancs du monstre comme si on voulait faire tourner les roues d’un train. Chaque fois que je bougeais les bras je ressentais des sensations au niveau de mon sexe, une vraie torture surtout remuer d’avant en arrière comme on l’était toujours. Et le gland retourna peut a peut bien au chaud dans le vagin et on put se remettre a avancé. Je me tirais sur le ventre difficilement et je ne pensais qu’à stopper à nouveau pour un nouvel orgasme surtout en fixant la petite vulve ouverte et humide de 1 juste sous mes yeux encore une fois. Je lui aurais bien donné un petit coup de langue juste histoire de lui nettoyer de cette huile orange qui nous recouvrait. Elle devait bien avoir de douces sensations elle aussi. Elles se frottaient là-dessus tout comme moi. Si elles avaient des petits copains, elles devaient leur sauter dessus en sortant d’ici.

Finalement 1 arriva de l’autre coté et moi peut après, soulagée de pouvoir me mettre enfin debout pour enlever cette pression sur mon pubis. Gêner, je sentais l’odeur de mon sexe me monter au nez, se mélangeant à celui de l’huile épaisse qui me recouvrait toujours. Comme une odeur de mandarine. Dès que 2 nous rejoints elle plaqua une main sur son pubis poilu, l’autre sur son sexe en soupirant y fourrant un doigt tout en commençant a se masturber violemment jambe écarter, presque plier en deux. Je me sentis toute électrique de la voir faire.

— Ouf, fit-elle d’une voix larmoyante, ça me fait ça à chaque fois.
— Qui est la vicieuse maintenant, dis-je narquoise a 2 en jetant un coup d’oeil a 1.

J’eus droit à une grimace ou un sourire crisper ou un gémissement de 2, difficile à dire.

— Quand ce n’est pas l’une ses l’autre, se plaignit 1 en croisant les bras sous ses petits seins devenus orange comme les miens.

On était belle à voir toutes les trois le corps recouvert de cette maudite huile qui semblait nous coller à la peau.

Je souris en regardant 2 soupirer et gémir a son tour et soudain le pénis se mit a aller et venir plus vite juste derrière elle, comme si ça l’excitait celui-là. J’hallucinais, je n’en croyais pas mes yeux et soudain il stoppa et le gland sortit du vagin laissant sur le sol de ciment une traînée de liquide blanchâtre et visqueux qui ressemblait vraiment à du sperme. Dégoûtant ! Ça s’écoulait de son urètre et du vagin tandis que 2 se lamentait comme une fille au supplice avec ses petits pieds aux orteils replier qui trempait là-dedans. Elle se branlait avec force en tremblant, en serrant les dents, les cheveux plaquer sur son crâne par l’huile orange tout comme nous. Un drôle de tableau avec ses seins généreux qui sursautaient comprimer entre ses avant-bras et qui se frappait mollement. Ses mamelons roses pointaient encercler de grosse chaire de poule. Je la trouvai si jolie, si mignonne surtout à gémir comme ça que je dus déglutir. Son doigt qui allait et venait dans son vagin était luisant et recouvert de déjection. Je déglutis troubler par ce spectacle très érotique. Soudain se cuisses se refermèrent et elle lâcha un long gémissement qui en disait long sur ce qu’elle ressentait. Elle sembla cesser de respirer, ses genoux plièrent et son corps fut parcouru de spasmes tandis que ses doigts comprimaient son sexe. Ça me donna presque le goût de faire comme elle. Mais 1 regardait, le corps dégoulinant d’huile, attendant qu’elle se calme.

— La chose a fini sa petite affaire on dirait bien. Dis-je pour me changer les idées en repoussant mes cheveux collant derrière mes oreilles.
— Oui, on a traversé juste à temps malgré tes grimaces Luce.

Une bouffée de chaleur m’envahit tandis quelle me regardait moqueuse.

Je tourner les yeux vers cette vulve immense qui me paraissait encore plus gigantesque vue d’aussi prêts. Du faux sperme en jaillissait maintenant a profusion me coulant jusqu’entre les pieds avant de tomber sur les zombies accumulés la, en bas, et qui était sur le point de réussir a faire descendre l’échelle de secours. Ça me fit grimacer en me reculant me retrouvant acculer a une cuisse géante juste au bord du bassin. Ce sperme s’étalait partout maintenant sur le planché, pas moyen de l’éviter. Je le sentais épais et gluant sous mes pieds.

Le pénis se rétracta lentement en se balançant jusqu’a son point de départ tandis que 2 se reprenait, rouge des joues jusqu’a la naissance des seins. Au moins elle ne faisait pas semblant, elle avait vraiment joui.

— Oups ! Fit1, vaut mieux filer ! Elles ont presque réussi à faire descendre l’échelle.
— Là-dedans, pour vrai ? Dis-je décourager, montrant du pouce la vulve géante qui expulsait toujours un peut de sperme, enfin, quelque chose qui y ressemblait drôlement et ce n’était vraiment pas ragoûtant.
— À t’ont avis, fit deux. À moins que t’aimes mieux les attendre. Elles vont t’inviter dans le bassin
— Eh ! Non ! Allons s’y.
— Pas si vite ! M’ordonna 1 allant avec 2 vers les grandes lèvres qui c’était refermer et se plaçant face à face. Je croyais qu’elles allaient les écarter mais au lieu de ça elles se prirent les mains, bras croisé, pour faire la courte échelle en me faisant signe d’approcher avec leurs têtes.

La, je ne comprenais pas, mais pas du tout. Je regarder au plafond, mais il n’y avait rien.

— Quoi ?
— Bien… un vagin Luce, ses pas l’idéal pour une pénétration s’il n’est pas dilater et lubrifier ! Il vient de se rétracter après l’éjaculation du pénis. Il faut l’encourager à se rouvrir un peu.
— Ehhhh… et…? Je ne vous suis pas les filles !
-Bien… si on te caresse un peut le clitoris Luce avant de te pénétrer, soit avec les doigts, soit avec la langue, tu mouilles et…?

Pour toute réponse je soupirer connaissant bien la mécanique de mon sexe.

— Bref, si tu mouilles et si tu te dilates on se faufile mieux en toi non ?

Je comprenais à présent en fixant le sommet de la vulve vers ce qu’on appelait habituellement, le petit bouton de chaire. Mais la… c’était gros comme ma tête.

— Seigneur, les filles, regardez-nous. On est lubrifié et ce vagin déborde de sperme dégoûtant, ça devrait aller non ?
— Non ! Vite Luce, grimpe et caresse un peut son clito ça vas mouiller, mais grouilles. Je pense que l’échelle descend.

Elles se penchèrent un peu en pliant les genoux attendant après moi. Pas le choix…

Je lever ma jambe droite en secouant la tête de découragement, mon pied mouiller de sperme épais en dégoûtait, je le poser tout de même sur leurs mains et grimper sans attendre, après tout, plus rien ne me surprenait ici. Elles se redressèrent, j’espérais juste qu’elle ne me trouvait pas trop lourde en posant l’autre pied sur leurs mains. J’avais le visage au sommet de la fente, c’était du délire total. Et dire qu’en un moment pareil, je m’inquiétais pour mon poids.

Je soulever le chapeau du clitoris de la main gauche et le vit, énorme, rose et arrondit, je poser la main droite dessus et le flatter en retenant un autre fou rire. C’était bien trop gros pour que je m’en occupe avec un seul doigt ou avec autre chose… Comme ma langue par exemple et il devait fonctionné comme le faux phallus car le clito banda, gonfla et sortit du capuchon. Je pus le caresser à deux mains en soupirant encore très fort, puis on entendit un bruit de liquide qui gicle.

— Bingo Luce tu la fait jouir ! S’exclama 1.
— Déjà, ce n’est pas une vraie femme ! Affirmai-je amuser en reposant mes pieds gluant par terre en faisant attention pour ne pas glisser dans le sperme.

Elles écartèrent les grandes lèvres brunes et les petites plus pâles en me fixant tout sourire. Je regarder méduser l’intérieur rose de la vulve hyperréaliste, mais en même temps c’était surréaliste. Le clito toujours enfler, l’urètre et l’entré du vagin qui devait faire deux pieds de haut pas plus. Il devait s’étirer car le gland de la verge faisait a lui seul beaucoup plus.. Je compris que j’allais devoir y ramper. Je grimacer a l’idée d’avoir a me mettre à plat ventre dans ce faux sperme qui en coulait toujours.

— Pas moi, en premier ? Fis-je éberluer, montrant le vagin du doigt.
— WAIS, fit 2, grouille Luce !
— Et si je reste coincer là-dedans ?
— On te poussera avec un tampon, aller vite, elles arrivent.
— C’est d’un goût douteux les filles ! Si je recule et j’avance là-dedans ça va se lubrifier plus j’imagine !

Ma blague tomba à plat.

— Vite ! T’as jamais rêvé d’entrée dans un vagin tête première ?
— Seigneur non !

Je regarder en bas vers les zombies, l’une d’elles grimpait l’échelle recouverte de sperme, une autre la suivait. Wash ! Résigner et dégoûter je me mit à plat ventre dans ce liquide visqueux au possible qui, étrangement, sentait la noix de coco et malgré mon stresse je plonger tête première dans un vagin mouiller qui s’étirait effectivement. Malgré tout, cette fois je ne pouvais pas jouer au commando c’était trop étroit. Je devais me tortiller pour avancer sans avoir quoi que se soit après quoi m’accrocher, soit avec les mains, soit avec les pieds. Du délire total. Je ne pus m’empêcher de m’imaginer rampant dans mon sexe. Le seul réflexe de mon cerveau dans un moment pareil pour me faire oublier ma claustrophobie fut de me faire rire.

Une fois entrer complètement je m’aperçus que ce n’était pas totalement noir, il y avait une lumière rose diffuse qui passait par les parois en caoutchouc plutôt douces au toucher. Je rampais en me contorsionnant pour avancer mais c’était bien lubrifié. Effectivement, valait mieux que ça le soit pour passer là. Il y avait comme une huile épaisse qui recouvrait les parois sur laquelle mais mains et mes pieds glissait, avec mon ventre, mes seins et mes cuisses qui baignait dans le sperme qui formait comme un petit ruisseau qui s’asséchait progressivement. Non, personne ne me croirait jamais si je décidais de raconter ça. Absolument personne. Peut-être que j’avais eu un accident de voiture et que présentement j’étais dans le c*** à l’hôpital. WAIS ! C’était sûrement ça.

Puis soudainement ça se mit a descendre, je glisser vers l’avant un peut trop facilement et de plus en plus vite sans pouvoir me retenir et ça tournait d’un côté puis de l’autre. Mes mains glissaient sur la paroi élastique. Un signal d’alarme s’alluma dans ma tête, j’allais sûrement plonger encore une fois. Mais dans quoi ? Je pris plus de vitesse en lâchant un cri puis je glisser tête première et trop vite a mon goût, dans une espèce de toboggan avec de grosses ondulations qui m’aplatissait les seins et les faisant rebondir. Mes pauvres seins n’étaient pas près de s’en remettre de cette équipée. Soudain je plonger dans le vide tête première, bras en avant pour atterrir à plat ventre dans un basin de liquide blanchâtre qui me submergea. C’était si épais que cela amortit ma chute, heureusement car j’atterris encore sur mes seins qui s’écrasèrent sur le fond.

Je n’osais ouvrir ni les yeux ni la bouche là-dedans et me relever pour en émerger en crachant quelque chose qui goûtait vaguement la noix de coco. J’avais l’impression qu’une glu épaisse me recouvrait tout le corps pour s’écouler très lentement et ça me bouchait les narines. Je faillis même vomir en ouvrant la bouche pour respirer tout en me frottant les yeux qui me piquait. Je dus écarter les bras pour garder mon équilibre tellement c’était glissant, une vraie patinoire. Enfin les yeux ouverts, en reprenant mon souffle plus décourager que jamais, je vis que c’était le même faux sperme que là-haut, je m’en doutais.

Je me trouvais dans une espèce de petite alcôve éclairer faiblement par une lumière rosâtre, le fonds du vagin probablement et remplis de cette imitation de sperme. Apparemment, la bite avait décharger suffisamment pour remplir tout ça ou c’était plus probablement déjà la. Je me tenais debout face au tunnel d’ou j’avais jailli, quand 2 dévala bras en avant. J’écarquillai les yeux de surprise tandis qu’elle me frappait de plein fouet suivit de 1. Je retomber sur le dos avec elles empiler sur moi a me débattre au fond du bassin sentant les seins de 2 écraser encore les miens. Elles se relevèrent aussitôt, puis m’aidèrent a m’en sortir, j’aspirai l’air a grandes goulées. En ouvrant les yeux une nouvelle fois je me dis qu’ont avait l’air de trois femmes qui venait de se faire venir dessus par une bonne centaine d’hommes et il n’y avait rien d’excitant là-dedans. On aurait juré qu’on portait un vêtement en latex blanc ou un condom gigantesque en train de nous fondre sur le dos.

— Les filles, dis-je tout bas en m’essuyant la bouche avec mon bras puis mon front, c’est franchement : Dé-geu-las ! Écoeurant ! Répugnant !
— Tu devrais essayer le forfait tueur en série la prochaine fois, dit-2 en se tordant les cheveux, ça, ces répugnants. Ici c’est amusant, c’est rien comparer au tueur. Et quand t’ont homme vas te décharger en plein visage Luce après une bonne pipe, tu vas en rire.
— WAIS ! Mais j’aurais pu me casser cou ou autre chose a descendre du tunnel tête première ou sur la verge tout à l’heure.
— Tu te serais ramassé à l’infirmerie Luce. Nos infirmières zombies sont vraiment hot. Grosses boules et mini-jupe. WAIS ! Vraiment cool !

Cette fois j’éclatai de rire avant de rajouter.

— Revenir ici… dans ce parc de fou, jamais ! Je trempe dans toute sorte de liquide répugnant depuis mon arrivée, on m’a arraché mes vêtements, j’ai mal partout surtout aux seins à force d’être écrasé, je suis recouverte de bleus, je meurs de faim et de soif. Revenir. Jamais au grand jamais !
— Elle revienne toute Luce. C’est comme une drogue. Dit 1 fièrement.
— Mon oeil ! Même celles qui finissent au cachot ?
— WAIS !
— Ben oui.
— Je n’ai jamais dit qu’elles étaient seules au cachot à s’ennuyer.

J’ouvris la bouche pour répondre quelque chose mais… rien n’eut le temps de sortir. Mes pieds glissèrent, je m’accrocher désespérément a 2 qui s’accrocha a 1 tandis qu’on retombait toutes les trois dans la soupe de sperme. On en ressortit piteuse à souhait.

— Derrière toi, dit 2 essouffler en s’essuyant le visage du mieux quelle le pouvait comme nous mais cette maudite substance était si épaisse quelle résistait quasiment a la gravité.

Je me retourner en clignant des yeux pour voir un autre tunnel ou il fallait se pencher, voir avancer a quatre pattes dans le maudit liquide pour y passer. Mais c’était tout de même mieux que de ramper.

— Et ben, fi-je, ses humides votre petit jeu !
— Oh, fit 1 en me caressant une fesse, humide ? Ou sa Luce ? Hum… AHHHH !

Je me retourner, 1 venait de retomber, il n’y avait que ses jolies jambes qui émergeait et un bras dont les doigts s’agitait comme pour dire (aidez moi). J’éclatai de rire mais pas longtemps, je faillis retomber moi aussi.

— Aller Luce, dit 2, en aidant 1 a se relever, entre dans le tunnel, les autres…
— WAIS, je sais, je connais le refrain maintenant. Dis-je en m’avançant prudemment vers l’entrée pour m’engouffrer dans ce trou à quatre pattes mes gros seins traînant dans le sperme. Burk !

Mais ça me procurait tout de même de douces sensations. Ce liquide était tellement épais que c’était comme s’il me caressait le corps, les mamelons surtout. Les parois étaient élastiques sous mes doigts et mes genoux et laissaient ici aussi passer une lumière diffuse d’un rose écoeurant. J’étais tout de même curieuse de savoir ce qui m’attendait cette fois ou si c’était terminer. Et qu’est-ce qu’il y aurait après ? Un souper naturiste dans une salle bonder ou en tête-à-tête avec mon petit ami, ou ex-petit ami. Je n’étais pas encore décidé. Ça tournait vers la droite avant de reprendre vers gauche. Nerveuse je m’attendais à tout moment a une nouvelle glissade. Soudain je me retrouvez nez à nez avec une grille. Au travers j’aperçus un couloir en ciment rempli de brume vaporeuse et je vis un groupe de zombie passer lentement, en fait je ne voyais que leurs jambes et leur pied maculer de faux sang. Puis elles disparurent. J’attendis mais les autres n’arrivait pas alors je pousser la grille doucement. Elle tomba avec fracas sur le ciment. Je passer les épaules et la tête pour regarder à droite et à gauche, rien. J’attendis tout de même un peut, de peur que les zombies reviennent, mais rien. Je sortis et me relever prête a reprendre le tunnel au cas ou. Je rester planter la, dans la brume, un peut nerveuse a dégouliner de partout. Ça me donnait le frison.

J’étais dans un couloir rempli de brume que la faible lumière des plafonniers n’arrivait pas a percé et il y avait des bruits de machinerie au loin et a nouveau les bruits ambiants habituels. Et puis je crue voir des hombres bouger a ma gauche au fond du couloir et je frissonner plus. Tout cela avait beau être un jeu, ça n’en était pas moins inquiétant. Je pouvais m’attendre à tout ici. Mais j’avais surtout peur de perdre les filles.

— Ou ! Ou ! Dis-je en me penchant vers le tunnel. Vous arrivez ?

Pas de réponse et j’entendis des bruits de pas traînant qui se rapprochait et cette maudite fumée devenait de plus en plus dense, un vrai brouillard. Mes yeux allaient de droite à gauche mais c’est à peine si je voyais ma main à présent devant mon visage. Je me préparais mentalement a me glisser dans le tunnel vite fait.

— Et, je ne suis pas toute seul, on se grouille les filles ! Dis-je tout bas, par peur d’attirer l’attention en recroisant mes mains sur mes seins glissants. Les bruits étaient tout proches maintenant. Voyons me dis-je trouvant le temps long, elle me suivait pourtant.

Et j’entendis enfin la voix de 1.

— WAIS ! WAIS ! Ses 2 qui coincent avec ses grosses fessent, hum, j’ai la face dedans…
— Ah, arrête, fit 2…

J’entendis rire.

— Lâchez-vous les vicieuses et ramenez vos fesses, ça bouge devant moi. Merde ! Tant pis, je viens.
— Non, on arrive Luce, pas de panique.

Plier en deux je voyait 2 qui s’amenait tranquillement seins pendants dans la soupe blanche. Ouf !

Mais soudain je hurler en me sentant agripper fortement par deux bras puissants et musclés se croisant sur mon ventre, me bloquant les bras et je fus soulevé facilement. J’agitai mes petites jambes en l’air en sentant des seins durs écraser contre mon dos. Salie, le monstre a la tronçonneuse de l’entrepôt, j’en frissonner et je n’avais rien entendue venir ! Des zombies femelles m’entouraient maintenant, une bonne dizaine mais avec cette brume je les voyais à peine, on m’agrippa les pieds, les mollets, les cuisses, les hanches, les bras. Je me débattait mais pour la forme, ce n’était qu’un jeu après tout. Mais même lubrifier comme je l’étais elle me tenait solidement. On me souleva à l’horizontale, comme ses filles dans les films et que l’on amène comme victime dans un sacrifice rituel bras et jambes écarter.

J’avais des mains partout sous moi, sur les mollets, les cuisses, les fesses, les reins, les épaules, les bras et même une main qui me pressait la vulve un doigt en avant. La vicieuse du groupe, me dis-je en criant à 1 et 2 de venir m’aider pour la forme. Mais on m’entraînait déjà et rapidement dans la brume loin du tunnel. Je ne voyais que les faibles lumières du plafond qui défilaient à quelques pieds de mon visage et en baissant les yeux je ne voyais que mes gros seins aplatis au mamelon dur toujours recouvert de ce liquide blanchâtre et secouer de gauche à droite et mon pubis. Vers quelle autre folie on m’amenait cette fois ? Mais ce n’était pas désagréable somme toute d’être trimbalé comme ça, juste embarrassant d’être nu. Mais au point où j’en étais de toute façon dans ce jeu de dément. Et puis j’étais épuisé alors… je cessai de me débattre comme une idiote, résigner a mon triste sort. Mais lequel ? Le cachot et avec qui ? Et ou était passé mes supposés anges gardiens ? Bof, tant pis ! Je commençais même a apprécier la balade, toutes ses mains sur moi me tenant à bouts de bras, ça me donnait l’impression de flotter. C’est ce que devait ressentir Madona quand elle se lançait sur la foule devant la scène.

Et tout ça était prévu évidemment, enfin je l’espérais.

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