Je m’appelle Florence j’ai 43 ans je suis mariée et je n’avais jamais eu de relation avec une autre femme avant l’aventure que je vais vous décrire
C’était il y a quatre ans j’étais en déplacement au mois de juin sur Paris pour mon travail (stage informatique de deux semaines) Je prenais le métro chaque matin et chaque soir pour faire le trajet entre mon hôtel et le lieu de stage Un soir de la première semaine je m’attardais un peu en discussion avec le formateur et je me retrouvais à prendre le métro en pleine heure de pointe. Au bout de trois stations la ram bondée je me tenais à la barre en fond de wagon quand je sentis une main se frotter sur ma fesse à travers ma robe légère. Ma première réaction a été de tourner la tête pour dire ce que j’en pensais à ce que j’imaginais un homme un peu trop entreprenant. Qu’elle ne fut pas ma surprise en découvrant une femme faisant un petit geste de la tête comme pour s’excuser. Du coup je ne dis rien. Le trajet continua mais au bout de 5 minutes environ le manège recommença. Nouveau regard et nouveaux geste de la tête avec un sourire en plus. Puis à nouveau la main mais cette fois coté paume serrant un peu ma fesse. Il n’y avait pas de doute sur le geste qui n’avait rien de hasard. C’était la première fois que je me faisais draguer par une autre femme comme ça directement. J’avais envie de la repousser mais en même temps je ne voulais pas faire d’esclandre moi la provinciale. Je ne bougeais donc pas attendant quelle descende ou que je sois à ma station mais à la station suivante près de la gare de l’est, il monta encore du monde et je me retrouvais pratiquement collée à elle dans mon dos. Je sentis très vite sa main revenir sur ma fesse et la caresser plus sérieusement sans être gênée par la situation. De mon côté je dois dire en étant honnête que de sentir ses doigts à travers le tissu fin me troublait. Ce manège dura trois stations jusqu’à la gare de l’est ou pas mal de monde descendit. A ma grande surprise alors que de la place s’était un peu libérée elle ne s’écarta que très peu et elle me dit à l’oreille « je descends à la prochaine suis moi ».
Sans un regard, elle descendit effectivement à la suivante non sans avoir laisser trainer ses doigts sur mes fesses. Je ne sais pourquoi je la suivis en me disant que j’allais luis dire ce que je pensais de sa manière de faire. Elle se retourna sur le quai pour se rendre compte si j’étais descendue moi aussi. Elle me fixa me souris et repris sa marche jusqu’à la sortie. Elle m’attendait en haut des marches de la station. Comme j’allais parler elle me dit souriante « chut, viens tu pourras me dire ce que tu en penses mais pas là pas sur le trottoir ». Et bêtement sans y penser je l’ai suivie deux rues plus loin chez elle.
Arrivée là juste dans son entrée je commençais à protester mais à y réfléchir avec le recul ce n’était pas vraiment très convainquant comme discours. Elle souriait en m’écoutant elle me laissa finir puis s’approcha me fixa et elle reposa ses mains sur mes fesses m’attirant doucement à elle. J’avais les bras ballant ne réagissant pas j’avais envie de me sauver mais je ne faisais pas un geste. Elle a posé ses lèvres doucement sur les miennes. J’ai senti son corps se coller au mien, sa langue sur mes lèvres et comme si tout était normal mes lèvres se sont entrouvertes pour elle. Elle a fait glisser mon petit sac à dos sans me lâcher la bouche puis ses mains ont dégrafé les boutons de ma robe derrière jusqu’à ce qu’elle tombe doucement à mes pieds me laissant en soutien-gorge et petite culotte dentelle. Quand elle a passé sa main dans mon dos sur ma peau nue j’ai frissonné et j’ai fait mon premier vrai geste en posant mes mains dans son cou. Elle a dégrafé mon soutien-gorge et doucement sa bouche à glisser vers mes tétons qu’elle a pris l’un après l’autre me faisant gémir sous le plaisir naissant. Puis elle a continué à descendre léchant mon ventre le haut de ma culotte la tirant doucement vers le bas pour laisser la place à sa langue découvrant ma toison foncée passant sur le côté pour continuer à me la retirer et je me suis retrouvée nue dans son entrée tremblante presque comme une gamine qui découvre l’amour.
Elle m’a pris la main et m’a attiré dans sa chambre ou je me suis très vite retrouvée allongée sur le lit. Sans se déshabiller elle s’est allongée sur moi, m’a à nouveau embrassée à laisser courir sa bouche ses mains sur moi doucement. Mes jambes s’ouvrant quand ses doigts remontèrent à l’intérieur de ma cuisse. Voilà j’étais à elle juste à mon plaisir et cela sans plus aucune question dans ma tête sans plus aucune réticence. Juste emportée par elle vers une jouissance fantastique qui arriva sous sa langue me léchant et ses doigts en moi me faisant resserrer mes cuisses sur sa tête me faisant soulever mon bassin tremblante et puis me laissant sur le lit ébahie.
Tendrement elle m’embrassa à nouveau puis se leva et devant moi elle se déshabilla. Là je découvris son corps que je n’avais pas imaginé une seule seconde avant n’ayant attardé mes yeux que sur son visage entouré de cheveux mi court au reflet roux. Nue elle s’allongea contre moi puis sur moi je sentis la chaleur de sa peau de son corps les pointes de ses seins sur les miens. Elle nous fit rouler un peu m’amenant doucement sur elle prenant ma tête entre ses mains la dirigeant doucement vers le bas vers ses seins me montrant le rythme en la retenant sur ses pointes quand je voulus descendre trop vite vers sa douceur. Puis elle me repoussa la tête vers le bas et la laissa descendre seule comme pour me laisser le choix de ce qui allait se passer ensuite. Timidement doucement ma bouche arriva sur sa toison très courte, ma langue glissa vers ses lèvres chaudes humides. Je découvris l’odeur le gout d’une autre. J’insinuais timidement ma langue humide entre puis au fur et à mesure je me suis laissée aller et je découvris le plaisir de la sentir onduler sous moi de m’arrêter juste au bord de sa jouissance et de reprendre un tout petit après pour finir par avoir sur ma langue sur mes doigts tous les signes de son plaisir et d’entendre sa jouissance quand ma bouche devenue gourmande finis par se régaler de son miel.
Puis je suis remontée vers elle on est restée enlacée un moment se caressant doucement jusqu’à ce qu’elle reprenne la direction en me disant « moi c’est Sandrine et toi ». Alors j’ai ris en répondant « Florence »
Voilà ma première fois avec une autre femme et j’ai eu la chance immense de le faire avec Sandrine. Je ne suis pas retournée souvent pendant mon séjour parisien dormir à l’hôtel réservée par mon entreprise.
Ajouter un commentaire