Voici l’été revenu et les vacances avec. Mes voisins, la soixantaine, ont deux filles. La plus agée des deux, Valérie 35 ans, habite Paris et travaille chez un assureur. Elle vient régulièrement voir ses parents depuis qu’elle est divorcée. Belle et grande brune mince aux yeux verts et cheveux courts mais toujours pressée et déçue de sa vie.
La plus jeune, Catherine 31 ans, vit seule à Bordeaux et ne vient que pendant les vacances d’été rendre visite à ses parents. Elle est un peu plus petite mais tout aussi mince, blonde cheveux mi-longs, avec des yeux bleus clairs, de jolis petits seins 90B et de jolies fesses bien rebondies. Elle travaille dans un magasin de vêtements et pour son métier est toujours habillée très sexy style mini-jupe mi cuisses ou même un peu plus courtes avec des hauts toujours décolletés pour plaire à la clientèle surtout masculine.
Quand je la vois je regrette d’avoir mes 55 ans et un peu de ventre. Mais quand elle est dehors devant la maison je ne peux pas m’empêcher de la regarder et d’aller la voir pour discuter un peu.
Les après-midi elle passe de longs moments au bord de la piscine de ses parents plus pour se faire bronzer que pour se baigner. Malheureusement la fausse haie qui sépare les deux propriétés m’empêche de la voir. Souvent elle écoute la radio et chantonne en même temps.
Pendant une semaine tous les jours elle allait se faire bronzer, mais il est vrai qu’elle profitait de ses vacances.
Puis un soir j’aperçu dans la fausse haie un petit rayon de soleil. Je m’approchai pour voir d’où il venait et je pu constater que la haie avait été écartée volontairement. Par qui et pourquoi, je ne savais pas mais déjà pas par moi.
Le lendemain j’eu la réponse rapidement en début d’après-midi. Comme tous les jours je pu apercevoir Catherine sortir de la maison avec un petit maillot de bain deux pièces à fleurs qui ne cachaient vraiment que l’essentiel. Deux petits triangles cachaient à peine ses seins et son petit bas était vraiment fin et laissait deviner une pilosité bien entretenue.
Elle me dit bonjour en souriant, sourire que je lui ai rendu bien évidemment en la saluant. Puis elle alla s’installer sur le transat derrière la haie.
Je rentrai chez en l’imaginant se faisant lécher par les rayons du soleil elle qui commençait à être bien bronzée. Puis je me souvins de la haie et de ce petit trou et je me demandai si je pourrais la voir discrètement.
JE ressortis de chez et sans faire de bruits en marchant dans les gravillons de ma cour je me dirigeai doucement jusqu’à l’endroit d’où je pourrais peut être la voir. Victoire ! En plaçant mon œil devant ce petit trou providentiel je peux enfin la voir allongée sur son transat et surprise, elle a retiré son haut de maillot. J’aperçois deux jolis petits seins qui se tiennent bien, tout aussi bronzés que le reste de son corps. Instantanément je ne peux retenir une érection dans mon short. Mon regard a du mal à se détacher de ce spectacle mais le trou est vraiment petit et ne m’offre que peu de possibilités.
Je quitte donc mon poste d’observation mais en partant j’avais oublié les gravillons qui crissent sous mes pieds. Heureusement plus de peur que mal elle ne semble pas avoir entendu.
Le soir venu je décide d’aller voir si elle est encore là aux derniers rayons du soleil. J’arrive prêt de la fausse haie et surprise à nouveau le trou est plus gros qu’avant. J’en profite pour regarder mais plus personne. Elle est rentrée. Mais dans ma tête je me demande qui agrandi le trou et fini par me dire que j’ai rêvé.
Le lendemain matin je la vois dans sa jupette et son petit débardeur dire au revoir à ses parents qui partent pour le week end à paris voir sa sœur. Elle va donc rester seule dans la maison pour deux jours et je ne peux m’empêcher de penser à elle se promenant dans les différentes pièces avec son petit deux pièces et même nue. Immédiatement une nouvelle érection me reprend et pour me calmer je rentre chez moi la tête pleines d’idées coquines.
Peu de temps après j’entends la radio allumée et je ne résiste pas je me précipite dehors pour voir si c’est elle qui fait sa séance de bronzage. Je ne fais même plus attention aux bruits des gravillons tellement je suis excité. Mon érection a repris de plus belle avant même de savoir si elle est là. J’arrive enfin devant le trou et cette fois c’est sûr il est encore plus grand. Je peux presque mettre les deux yeux devant. Je regarde et comme la veille je la vois allongée seins nus mais cette fois les jambes bien écartées ce qui me permet de voir sa petite culotte rentrer entre ses lèvres. Elle est magnifique et je ne peux ni détacher mes yeux de cette vue offerte, ni empêcher mon érection d’atteindre son maximum.
Heureusement personne ne peux me voir la regarder et je suis le seul à pouvoir en profiter aussi. J’étais sur le point de quitter mon poste d’observation des idées plein la tête qu’elle se retour sur le transat, m’offrant une vue sur ses fesses rebondies et sur le maillot qui lui rentre dans la raie. Qu’elle est belle !
Je ne peux pas rester comme ça et je décide d’aller me calmer en me faisant jouir chez moi. Je rentre à la maison et commence mon œuvre. Mais au bout de deux minutes, ding dong, quelqu’un sonne à ma porte. Je me rhabille rapidement et vais ouvrir. Quelle n’est pas ma surprise de me retrouver face à Catherine toute souriante et qui a remis son haut.
Elle me salue gentiment et me demande si elle peut entrer. Aussitôt je m’écarte et la laisse passer devant moi en la regardant des pieds à la tête. Elle est encore plus belle de prêt et je me retiens de la toucher. A peine la porte fermée elle se retourne et toujours avec le sourire elle me demande si j’ai aimé le spectacle. Elle doit me voir devenir rouge écarlate et rigole, puis ses yeux se posent sur mon short déformé et elle me dit que c’est certain que j’aime.
A ce moment-là j’aimerais disparaitre tellement je suis gêné, mais elle ne me laisse pas le temps de dire quoi que ce soit et me demande si j’ai aimé qu’elle est fait ce trou dans la haie pour que je puisse la regarder. Je finis par dire en balbutiant un petit oui.
Sans hésiter elle me propose de me montrer ses seins de plus prêt et sans attendre la réponse elle retire le haut de son maillot de bain. Je vois ces deux petits seins en forme de pommes devant moi avec des tétons pointus qui sont déjà tendus en avant n’attendant plus que des lèvres gourmandes pour les caresser.
Voyant que je n’osais pas bouger elle s’approche de moi et me prend la main pour la poser sur son sein droit. Je sens sous ma main son téton dur et son sein ferme et je finis par le serré doucement. Elle ne dit rien mais frémis et s’approchant tout contre moi et en posant ses lèvres fines sur les miennes. Je lui rends son baiser et nous nous enlaçons dans une étreinte amoureuse nos langues se mélangeant de bouche en bouche. En même temps sa main vient se poser sur mon sexe dur à travers mon short et elle le serre doucement. Je ne peux plus me retenir et je pose ma main disponible sur ses fesses pour les caresser.
Elle quitte ma bouche pour me regarder avec un sourire coquin et me prose un deal. Tu enlèves ton short et j’enlève mon bas me dit-elle. Je ne réponds pas mais la lâche et me recule un peu pour retirer d’un coup ma tenue devenue un peu étroite pour mon sexe. En souriant elle me regarde et me dit qu’elle adore voir des bites lisses comme la mienne, puis elle retire son slip de bain et je m’aperçois que son sexe est lisse aussi ce qui explique le faite que je n’avais pas vu de poils déborder de sa culotte.
Aussitôt nus tous les deux nous nous recollons l’un contre l’autre et nos mains parcourent nos corps tout en nous embrassant. Puis au bout d’un moment elle s’écarte de moi et me demande si je veux aller plus loin. Cette fois je n’hésite plus et je lui réponds bien fort par un oui.
Moi qui pensais que c’était gagner je fus étonné de l’entendre me dire qu’il y avait des conditions à respecter pour lui faire plaisir. Mon étonnement passé, elle me répondit que je les découvrirais au fur et à mesure mais que pour commencer elle voulait que nous utilisions tous les deux un langage cru car elle adorait ça et que ça l’excitait beaucoup.
J’avais envie d’elle et de la découvrir et je lui dis que j’étais d’accord. En réponse elle m’a dit que j’étais un vieux vicieux, mateur et cochon, ce à quoi je lui ai dit qu’elle était une belle salope. Elle a souri et m’a embrassé de nouveau.
Les bases de notre future relation sexuelle, car c’était bien de cela qu’il s’agissait étaient posées, je lui proposais d’aller dans ma chambre sur le lit plutôt que de rester dans l’entrée de la maison, ce qu’elle accepta sans hésiter si je la portais jusqu’au lit. Je ne me fis pas prier et je la pris dans mes bras, jambes écartées autour de mes hanches, pour l’emmener jusqu’au lit. Je sentais en avançant que sa chatte était déjà mouillée ce qui m’excitait davantage.
Une fois dans la chambre je la posai sur le bord du lit et la fit s’allonger en lui gardant les cuisses ouvertes. Je reculai légèrement et je pu admirer sa fente fermée mais déjà brillante de cyprine et je ne pus résister à me baisser pour l’embrasser. Aussitôt elle ferma les jambes pour m’empêcher de continuer. Surpris je retirai ma tête en la regardant. Toujours avec son sourire coquin elle me dit que c’était elle qui allait commencer et que je la lècherais après. Ca me permettrais de reprendre vigueur le temps qu’elle jouirait et elle m’ordonna de m’allonger sur le lit ce que je fis.
A peine étais je allongé qu’elle se plaça au-dessus de ma queue en me disant qu’elle allait me tailler une pipe pour me faire jouir et qu’elle voulait mon foutre pour le déguster. Je lui promis de lui donner le maximum et elle commença son travail de salope. Elle prit ma queue dans sa main et la décalotta au maximum et l’embrassa du bout des lèvres avant de l’embrasser goulument. En même temps elle me branlait doucement sans rien dire appliquée à son œuvre puis elle lécha doucement mon gland avant de s’attarder sur la base en tournant sa langue autour. JE sentais déjà monter mon désir et mon plaisir et d’un coup elle enfourna mon gland dans sa bouche en continuant de le lécher avec sa langue. J’étais aux anges, mais je me demandais si j’allais tenir bien longtemps à ce rythme. Elle a vite compris qu’elle devait aller doucement car elle ralentit et lâcha ma bite de sa main et elle l’enfourna plus loin dans sa bouche. Ses lèvres me caressaient et sa langue ne tournait plus dans bouche mais elle commençait une pipe d’enfer.
Je ne pus me retenir de lui dire : « salope tu suces bien, vas-y continues. »
En toute réponse elle accéléra en grognant et en enfonçant encore plus ma tige raide dans sa bouche. Je la sentais prête à me faire une gorge profonde et bien sur elle le fit à ma grande joie. Elle prenait son temps pour mon plus grand plaisir mais je sentais monter ma sêve bien malgré moi car je voulais que ça dure le plus longtemps possible. Ma respiration devenait saccadée et elle le sentit. Elle accéléra encore et je gémis : trainée je vais gicler prépares toi à avoir toute mon foutre dans ta gorge. J’avais à peine finis de lui dire que je me mis à jouir. Trois jets de foutre gluant et chaud inondèrent sa bouche pendant que je ralais de plaisir. Elle serrait les lèvres autour de ma queue pour ne pas en perdre et je me sentais baigné dans mon sperme dans sa bouche.
Quand j’eu fini de lui envoyer ma purée elle délaissa ma bite et me montra sa langue recouverte de foutre en souriant puis elle ferma la bouche pour tout avaler.
Enfin elle me fit un grand sourire avec un HUMMMMM de satisfaction.
« Grosse pute ! tu m’as bien vidé les couilles lui dis-je. »
Un décile ton foutre de vieux salop me dit-elle j’espère que tu m’en donneras encore pendant mes vacances.
Elle venait de me proposer de recommencer les jours suivants. Mais avant je comptais bien continuer nos ébats et enfin pouvoir déguster sa petite chatte mouillée. Je lui demandai si je pouvais maintenant et elle dit oui en s’allongeant et en écartant ses cuisses pour m’offir son jardin secret. Je me jetai dessus comme un mort de faim et lui léchai les lèvres en les faisant s’ouvrir. Son jus était délicieux et déjà abondant. Je fourrais ma langue dans sa fente pour la pénétrer et je finis par remonter doucement jusqu’à son clitoris. Je fus étonné par la grosseur et reculai la tête pour le regarder. J’avais devant les yeux un magnifique spectacle sur un clitoris assez gros et bien tendu rouge vif comme si je l’avais déjà caresser.
« Suces moi mon cochon ! Je veux jouir sous ta langue ! Viens bouffer la chatte de ta salope de service ! » Ces mots furent les seuls qu’elle prononça car j’obéis aussitôt et aspirai son clitoris. Je le pinçais entre mes lèvres et je lui enfilai un doigt dans la chatte en même temps. Elle se mit à gémir et à frissonner et je commençai à jouer avec son petit bouton du bout de la langue.
Ces gémissements s’accentuèrent au fur et à mesure que je la léchais et que mon doigt fouillait sa fente trempée. Je fis rentrer un deuxième doigt et plongeai au plus profond que je pus avec et ma langue insistait sur son clitoris. Elle commença alors à pousser de petits cris, d’abord doucement puis de plus en plus vite et fort, et d’un coup elle se mis à trembler se raidir et partie dans un orgasme qui la fit hurler et dégouliner de cyprine sur mes doigts. Je continuais de la caresser sans m’occuper de son état et au bout d’une minute sa cyprine partie en un jet puissant qui m’arrosa le menton. J’avais trouvé sans le savoir une femme fontaine, se dont je rêvais depuis longtemps. Je descendis rapidement ma bouche grande ouverte contre sa chatte et un nouveau jet, moins puissant, vint s’écraser dans ma bouche. Je relevai la tête et lui montrai ma bouche avec son jus et comme elle un peu plus tôt j’avalais sa cyprine chaude et un peu salée. Elle se décontracta et au bout d’un instant me dit :
« Baises moi gros salop, je veux sentir ta bite dans chatte au plus profond de moi. Remplis mon trou à foutre et vidanges toi »
Je relevai ses jambes et sans hésiter je fis glisser ma bite dans sa chatte dégoulinante. Trempée comme elle était aucune résistance ne se fut sentir ma bite s’enfonçait en elle sans difficulté. Quand je fus sur le point de la mettre en entier elle grimaça et aussitôt je stoppai mon avancée. Elle m’ordonna de continuer, qu’elle la voulait en entier même si elle était longue. Elle voulait la sentir jusqu’au plus profond de son ventre et avoir mes couilles sur son cul.
« Salope ! Tu en veux encore plus je parie ! Tu es une chienne et je vais t’engrosser comme une pute. »
A ces mots elle me tira par les fesses pour que je sois bien enfoncé me bloqua en elle et me supplia de ne pas gicler dans sa chatte. Son ton avait changé et son regard m’implorait. Je la regardai et lui dis :
« Tu ne prends même pas la pilule ? » La réponse à peine audible fut non, mais si tu veux te vider en moi, tu peux m’enculer j’adore aussi, mais c’est la seule fois ou je ne demanderai rien avant.
Je me demandais pourquoi elle me disait ça mais son beau cul me faisait envie et je ne réfléchis pas plus. Je soulevai ses jambes et commençai de lui doigter doucement l’entrée de sa rondelle mais elle m’arrêta aussitôt.
« Non, pas besoin! Je veux que tu m’encules comme une pute, direct, à sec ! »
Je connaissais la sensation que cela provoquait, puisque je me godais souvent et moi aussi j’aimais me goder à sec et bien profond.
Alors sans hésiter j’ai présenté mon gland contre sa rondelle, j’ai tenu ses hanches à deux mains et j’ai poussé sans trop forcer quand même. Ma bite s’enfonça en elle sans aucun problème. Elle poussa juste un cri quand mon gland rentra, mais plus de plaisir que de douleur. Elle souriait toujours et m’aidait en me tendant son cul pour que je l’empale. Elle tirait mes fesses pour que je m’enfonce encore et rapidement ma bite entière était au chaud dans son cul serré. Je m’allongeai sur elle pour l’embrasser à pleine bouche et au bout d’un instant en me redressant je lui dis :
« Grosse salope ! tu veux que je t’encule à fond ? tu vas être servie je te promets ! je vais limer ton gros cul de trainée sans m’arrêter jusqu’à le remplir de foutre ! »
La seule réponse fut un grans « OUIIIII » Encules moi bien, pètes moi bien le fion ! remplis le de ta semence de porc ! »
Je commençai alors mon va et vient dans son cul en pinçant ses tétons en même temps et en tirant dessus. Ma bite rentrait au plus loin que je pouvais et je ressortais presque en ne laissant que mon gland à l’entrée de son cul. Ce dernier se dilatait facilement et je coulissais en elle facilement. Je donnais de grands coups de bite dans son fion et à chaque fois elle criait un coup. Je pouvais voir sa chatte qui coulait doucement en même temps et je décidai de lui Peter son cul en l’enculant comme un fou. Elle hurlait et en voulait encore et encore et j’allais de plus en plus vite dans son fion tout en pinçant toujours ses tétons en les tournants et en les tirants.
Je sentais monter en moi ma jouissance quand elle jouit dans un cri et me gicla sa cyprine à nouveau sur le ventre cette fois. Je finissais mon œuvre sans la ménager et de longs jets de cyprine n’arrêtaient pas de m’arroser puis je giclai dans son cul au plus profond. Trois jets de foutre se succédèrent dans son fion avant que je n’arrête de la défoncer. Elle tira ma tête vers elle et m’embrassa plusieurs fois à pleine bouche. Je restai allongé sur elle un moment le temps de reprendre nos esprits et ma bite se retira toute seule de son cul en ramollissant.
Au bout d’un moment de caresses l’un contre l’autre nous sommes allés prendre une douche commune sous laquelle nous avons continués de nous embrasser et nous caresser comme deux enfants qui découvrent le corps du sexe opposé. Puis nous nous sommes rhabillés et elle est partie continuer sa bronzette en me promettant de recommencer le lendemain dès le matin mais avec une grosse surprise pour moi en prime. Je l’ai invitée à venir dès le matin pour en profiter un maximum et qu’elle mangerait avec moi. Elle a bien sur accepté car elle avait très envie de recommencer le plus possible et toute la soirée se fut un échange de textos coquins et cochons avec même des petits photos de gros plans de ses seins, sa chatte comme de ma bite bien sur.
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