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Esclave de ma Belle-mère (20)

Esclave de ma Belle-mère (20)



Obéis !

C’est un début d’après-midi en semaine. Je suis en plein entretien professionnel à la collectivité où je travaille ; Enfin, « travailler » est un bien grand mot… mon portable sonne, le portrait de ma belle-mère avec la légende « Maitresse adorée » apparaît sur l’écran. Tout en m’excusant, je décroche :

– Dis, Jean, je voulais me laver les dents et je vois qu’il n’y a plus de dentifrice. Tu sais que j’ai horreur d’avoir les dents sales après mon déjeuner. Comme c’est toi qui a fini le tube sans le remplacer, pourrais-tu en acheter et me l’apporter ?
– Quoi, maintenant ?
– Oui dépèche-toi.

Je sais qu’il est inutile de discuter, et de toute façon, ma Belle-mère de 73 ans a toute priorité. Je prétexte une sortie urgente et écourte notre entretien. Je sors la voiture, file acheter le dentifrice préféré de Béatrice et le lui porte à notre appartement.

Lorsqu’Elle ouvre la porte, je la découvre en tunique genre léopard et en legging brillant noir. Je hausse les sourcils tout en la détaillant. Je la prends dans mes bras et lui dis qu’Elle est vraiment séduisante. Ma cage m’empêche de bander et je dois vite retourner au boulot. Dans ma voiture je me redis combien j’ai de la chance d’avoir une femme mure qui ose me provoquer. En arrivant je lui envoie, comme tous les jours, un sms :

«  Tu es la plus belle Femme de ma vie, merci de provoquer mon émoi. Je suis à Toi pour toujours ».

Lèche !

Après une après-midi courte mais qui n’en finit pas, je rentre chez nous. Béatrice me demande comme Elle le fait parfois d’aller chercher une serviette de bain. Je sais ses intentions, et je me réjouis intérieurement. Madame pose la serviette sur un fauteuil du salon, baisse son legging, se vautre dans le fauteuil et remonte ses jambes.

– Allez viens, tu as bien mérité de me lécher. Si je suis satisfaite, tu pourras jouir.

Encore habillé, je m’accroupis sur le sol et entreprends de lécher longuement la vieille chatte poilue de ma Belle-mère. Ses lèvres pendent et ma langue s’immisce entre les plis, mes lèvres entourent son clito d’amour, je la lèche très délicatement. J’aime ses odeurs de vieille chatte. Au bout de 20′, Elle n’en peut plus et se raidit quelques secondes en m’agrippant les cheveux. Son corps est traversé de convulsions d’extase.

– Salaud, vicieux, tu as aimé me lécher, hein ? Et mon anus, nettoie-le maintenant.

Je reste penché sur l’entrejambe de ma femelle, et ma langue s’attarde sur son anus, puis s’y enfonce. Un goût amer, un peu âcre, Elle ne dit rien, je continue à enfoncer ma langue le plus loin possible entre les plis de son anus souple et entouré de petits poils gris. Je touche ce ce que j’imagine être son prochain étron. Je réalise que je suis complètement dingue. Je poursuis mes caresses linguales sur le cercle de son anus.

– C’est bien mon chéri, viens prends-moi maintenant,.

Ma Maitresse sors la clé de sa tunique et ouvre le cadenas de la cage qui finit de brider ce qui me reste de masculinité . Je me déshabille enfin complètement, entraine ma Belle-mère sur notre lit, m’allonge sur Elle en La caressant. Puis je La pénètre doucement et longuement. Béatrice jouit.

– Chéri, j’aimerais que tu éjacules sur mon visage. Je voudrais essayer ton jus de cochon comme une crème hydratante. J’ai lu aussi que cela raffermissait la peau. Alors ne te gène pas, mais surtout pas dans les cheveux.

Je suis un obsédé, mais je dois me forcer à obéir à ma Belle-mère pour faire cela. Je vois encore en Elle une figure d’autorité que je respecte énormément, Elle m’intimide tellement. Alors, je fais un effort mental pour finir par jouir sur son visage en osant projeter mes jets de sperme sur son front, ses yeux, son nez, sa bouche et ses joues. Elle a fermé les yeux et maintenant étale mon jus de mâle sur son visage dans un geste qu’Elle fait habituellement avec des cosmétiques.

Je réalise qu’Elle va rester ainsi pour la soirée, le sperme séchant sur son visage. Ayant joui, je suis à la fois dégoûté quand Elle vient m’embrasser et bouleversé par le geste très osé de Béatrice qui étale désormais mon sperme sur son visage ridé. Nous dinons.

Chien !

Dans le courant de la soirée, ma Belle-mère me demande de reposer la cage en métal la plus courte que j’ai et de me dénudé complètement. Ensuite Elle vient avec le collier et la laisse, me demande de me l’attacher autour du cou et de me mettre à quatre pattes. Elle vient ensuite en pouffant insérer dans mon anus un petit god qui a la particularité d’avoir une touffe de poils, ce que l’on appelle « pony tail ». Ainsi j’ai l’air d’être un cleps. Je fais ouah ouah en souriant mais je découvre la suite avec stupéfaction.

Ma Belle-mère qui était restée habillée, prend son manteau dans la penderie, enfile des mocassins à petits talons et att**** la boucle de ma laisse.

– Viens toutou, c’est l’heure de t’emmener pisser.

Je ne ris plus du tout lorsqu’Elle ouvre notre porte d’appartement et allume la lumière du couloir. Elle tire sur la laisse et je suis contraint de la suivre à 4 pattes dans le couloir de l’étage. Elle appelle l’ascenseur, nous descendons. Je sens déjà le froid et tremble de croiser un voisin malgré l’heure tardive. Lorsque je me retrouve à ses pieds sur le trottoir sale, ma nouille recroquevillée dans sa cage, les poils de mon god couvrant mes couilles, et le collier bien serré au cou, je réalise que Béatrice a franchi une nouvelle étape dans ma soumission : je deviens un chien.

Je sais que tout cela est un jeu, mais je suis bouleversé par divers sentiments. Je marche à genoux et sur les paumes des mains sur une surface dégueulasse. Je frémis de cette situation folle, Madame se promène lentement d’un réverbère à l’autre. Bientot, Elle me demande à l’abord d’un poteau de lever la patte pour pisser. Je suis abasourdi mais je finis par m’exécuter. La situation est folle. Quand j’ai fini, je réalise qu’un homme nous regarde de l’autre coté ayant lui même un vrai chien à la main.

Il nous rejoint, je ne sais pas où me foutre. Irréel. Ils devisent ensuite de moi :

– première fois que je vois une chose pareille, dit l-homme. C’est un jeu ? Un pari ?
– Non, c’est mon mari, et je l’éduque comme esclave et soumis à mon service. Il est consentant bien sur.

Je n’ai pas droit à la parole. Bientot l’inconnu s’éloigne, et nous rentrons enfin.

– Va te laver, chien, tu as bien obéi, ce soir, tu peux dormir sans cage, me dit ma Maitresse.
– Merci ma Chérie.

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