Histoire vraie d’un membre du site, romancée pour la mise en forme.
J’avais 14 ans au début des années 80 quand ma vie à pris un tournant des plus curieux. Une période emplie de changements, mes parents venaient de divorcer et ma mère s’est retrouvée seule avec un enfant à charge à 48 ans.
Une femme formidable au caractère méditerranéen qui a tout fait pour que l’on puisse vivre correctement malgré son petit salaire et les charges qui s’accumulaient.
À l’époque elle faisait le ménage dans une usine en fin de journée. Elle avait en charge les bureaux, les douches, les toilettes, les réfectoires et les vestiaires, autant dire qu’elle ne chaumait pas.
Elle pointait à 19h et ne finissait pas avant 23h. Seule femme dans une entreprise d’hommes, il n’était pas rare qu’elle côtoie les ouvriers de la maintenance et ceux en poste de nuit et il fallait être sacrément motivée et assurée pour faire face à ses conditions.
Elle ne se laissait pas abattre et avait toujours une attention particulière pour son apparence.
Ma mère, Maria, d’origine espagnole, portait la fierté et la prestance des femmes ibériques.
Femme coquette, elle ne sortait jamais sans être maquillée. Ses cheveux châtains ondulaient naturellement et mettaient en valeur son doux visage fin.
Toujours vêtue de petits hauts moulants et de jupes, de collants qu’elle remontait toujours très haut pour affiner sa silhouette et de chaussures à talons qui lui donnaient le port et le galbe de la femme latine sensuelle assumant ses rondeurs. Elle ne perdait pas espoir de se trouver un nouveau mari.
De temps en temps elle m’emmenait avec elle, j’aimais bien car ça me permettait de passer plus de temps avec ma maman. C’est là que j’ai remarqué avec qu’elle attention particulière la gente masculine regardait ma mère, il faut dire qu’il y avait de quoi.
Il faisait toujours une chaleur étouffante dans les locaux de l’usine de cartons et elle transpirait beaucoup ; pour pallier à ce problème Maria avait la solution : elle se mettait nue sous sa blouse trop petite pour elle.
Autant dire que quand elle passait la serpillière, les ouvriers ralentissaient la cadence afin de se rincer l’œil sur les formes de ma mère.
Chacun de ses mouvements faisaient danser sa poitrine et se dandiner son postérieur.
Il faut dire que Maria est gaulée comme une reine de Saba.
Elle a de bonne hanches qui lui font un cul bien rond et galbés, un petit ventre tombant mais pas trop et des seins lourds tombants.
La blouse blanche et fine devenait légèrement transparente avec la sueur, ce qui laissait paraître le dessin de ses larges aréoles et ses gros tétons. Même moi je n’en restait pas de marbre, mais c’était ma mère.
Les mecs lui tournaient autours et j’avais remarqué que ça avait l’air de lui plaire. Elle semblait prendre plaisir à les exciter voir limite les provoquer. En même temps elle était célibataire avec des envies, et c’est toujours flatteur de voir que l’on plaît. Mais il y avait quelque chose en moi qui me disait que chez ma mère ce plaisir semblait plus …plus… plus je ne sais pas, comme si c’était un moteur dans sa vie.
Je découvrais donc chez ma mère une autre facette qui semblait de plus en plus prégnante à chaque fois que je l’accompagnais.
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