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Marilyn, ma jolie nièce. Ch. 7

Marilyn, ma jolie nièce. Ch. 7



Chapitre 7 : Stéphanie.

Jeudi et vendredi nous avons vécu comme de jeunes mariés en voyage de noce mais sans bouger de chez moi. Ma nièce est constamment collée à moi et mon sexe est son jouet préféré. Il passe de ses mains à sa bouche pour finir le plus souvent dans sa petite chatte gourmande. Je passe sur ces parties de jambes en l’air avec ma nièce car j’aurai l’occasion de revenir là-dessus.

Carole va nous foutre la paix car on s’est un peu engueulé au téléphone. Elle trouve que je ne pense pas beaucoup à elle depuis que ma nièce est arrivée. Et pour cause ! Du coup elle part passer ses vacances dans sa famille.
Je viens de finir mon petit déjeuner et je monte voir ma nièce pour voir si elle dort encore. Faut dire que la nuit a été courte et qu’il lui faut au moins 5 orgasmes pour qu’elle s’écroule sans force.

Dès que j’ai franchi la porte, Marilyn, complètement nue, saute dans mes bras en me serrant et en m’embrassant sauvagement.

– Oh, ça va être formidable ! Jacques, s’exclame-t-elle.
– Quoi ? Qu’est ce qui se passe ?
– J’ai eu ma copine Steph au téléphone et elle peut venir demain !
– Oooh, c’est formidable ! Tu l’aime bien ta copine,
– Je l’adore ! C’est elle qui m’a déniaisée et qui m’a fait découvrir les plaisirs du sexe.
– Et bien…ça promet ! Dommage qu’elle ne soit pas là !
– OK, Jacques ! Pardon…Tonton. Tu permets que je t’appelle Jacques par moment… Jacques mon amant ! Déshabille-toi, j’ai envie de toi ! et j’ai une super idée !

Elle retourne sur son lit, prend son portable et compose un numéro en me disant

– Nous pouvons la faire participer et la rendre jalouse ou frustrée de n’être pas avec nous.

Sur son dos, cuisses écartées, elle me tend ses bras.

– Viens Tonton, viens Jacques, fais-moi des bisous sur ma chatte. Des bisous avec ta langue…

Comment résister à une telle demande. Je place ma tête entre ses cuisses si douces, ma bouche sur son sexe pour que ma langue se régale de sa chatte déjà un peu humide tandis qu’elle hurle presque dans le téléphone.

– Steph ? Marilyn !

Et c’est une bonne chose, car avec mes oreilles coincées entre ses cuisses je risquais de n’entendre que la moitié d’une conversation intéressante.

– Devine ce que je fais ? Demande Marilyn,
– ….
– je me fais bouffer la chatte !… Tu veux savoir par qui… Par MON TONTON JACQUES !
Curieusement, ça me choque un peu, mais ce n’est pas pour autant que ma langue quitte sa chatte et surtout son clito maintenant sorti de son écorce, ni ne me dissuade d’avoir mon nez à l’intérieur de cette fente et de respirer le doux parfum de son sexe et que ma langue s’égare vers son anus.

– Ouiiiii ! Continuuuuueeeee !

Gémit Marilyn avant d’ajouter.

– Mon Tonton est tellement cool ! Il m’a rasé la chatte la semaine dernière. Et se tournant vers moi
– Elle est toujours aussi bonne, Tonton ?

Je grogne une réponse affirmative, car je suis totalement enfoui dans son entrecuisse et dans son sexe
.
– Nous avons hâte de te voir arriver. Tu vas t’arranger pour rester quelques jours…Quoi… Non… Je n’ai pas l’exclusivité. Oui, mais après nos retrouvailles. Ensuite tu pourras laisser mon Tonton d’amour te baiser. Je lui ai dit que tu aimerais te faire enculer… Ouiiiii, je sais…et sa bite est énorme ! Oh merde ! Il me fait jouir ! Aaaaahhhhhh…Tonton. Ouiiiiiiiiiii ! OOOooohhh, ouiiiiiii !

Marilyn, le téléphone toujours en main, crie sa jouissance. Mon nez et ma bouche sont arrosés pendant qu’elle se tortille sur le lit et hurle dans le téléphone
.
– Ooooohhhhh…attend…Aaahhhh…dit-elle, avant de reprendre sa conversation avec Stéphanie quand j’arrête de croquer sa chatte.
– Steph…Ouaiiis, Oh que oui… il me fait bien jouir ! Tonton Jacques me bouffe la chatte aussi bien que toi, t’imagine ! Maintenant, je pense qu’il veut me baiser, pas vrai Jacques ?

Marilyn n’a pas qu’une impression parce que je lui ai soulevé ses jambes pour placer ses mollets sur mes épaules et assis sur mes genoux, mon érection palpitante de désir se trouve en face sa chatte dégoulinante de cyprine. Je lui chuchote de raccrocher, mais elle me sourit et secoue la tête négativement.

– Maintenant, Tonton va m’enfiler sa bite au fond de ma chatte, tu veux rester en ligne ?
– …..
– C’est bien ce que je pensais.

Je secoue la tête négativement, mais elle att**** ma bite et commence à la frotter dans l’entrée de sa chatte glissante pendant qu’elle continue sa conversation.

– Oooohhhh, tout son gland vient de franchir l’entrée de ma petite chatte…Steph…il est en moi ! AAAAHHHHhhhhh, doucement Tonton, soit très doux.
– ….
– Oui, Steph, elle est grosse…tu ne peux pas savoir comment Jacques me baise bien et me fait jouir comme une folle. Mais il est si gros que la première fois ça m’a fait mal et on a dû attendre plusieurs jours pour qu’il recommence.
– Quoi ?… Oui, je t’ai dit qu’elle est longue aussi. Un peu plus que Michel ou Paul. Waouh, ça fait mal, mais c’est un mal qui va faire du bien. Il a maintenant la moitié de sa bite enfoncée. Quoi ? Ce qu’il… ? OK, attend !

Marilyn m’att**** par le cou et heureusement que ma main sur ma bite se trouve entre son pubis et le mien car elle se serait enfoncée plus loin. Elle me coince le téléphone entre mon cou et le coté de ma tête en me murmurant :

– Dis bonjour à Stéphanie, Tonton.
– Euh, Bonjour ?

Une voix impertinente me répond :

– Tonton Jacques… que diable faites-vous à cette petite fille ? T’as mis ta sale bite dans sa chatte, hein ?
– Ou…iii.
– Je parie que ça coince un peu si vous êtes aussi gros et long qu’elle semble le dire.
– Ouiiii, elle est très étroite ta copine.
– Tu devrais la prendre par le cul. C’est plus élastique et moins fragile. Elle t’a laissé le faire ?
– Non…pas encore…
– Ben merde alors, c’est encore une petite poulette vierge du cul ! Ça alors ! Je te laisserais m’enculer quand je serais avec vous deux. Je suis sûre que tu vas aimer ça !
– Heuuu, je ne l’ai jamais fait… Oooohhhhh, merde…. Marilyn…
– Difficile de parler et baiser en même temps Tonton ? Repasse-moi Marilyn.

Tu parles ! Ma nièce, accrochée à mon cou, vient de s’empaler sur ma queue en se laissant tomber en arrière pour me retrouver au-dessus d’elle.

– Reste au téléphone Stéphanie, déclare Marilyn. Écoute-nous.

Marilyn cale le téléphone à côté d’elle sur le lit et elle commence à crier assez fort. Pendant que je la baise elle donne des coups de reins pour s’enfoncer sur mon pieu maintenu par une de mes mains pour ne pas aller trop loin. Elle me surprend une nouvelle fois par des mots vulgaires qui sortent de sa bouche
– Vas-y vieux salaud, baise là ta petite nièce de merde ! Prends-moi comme une sale pute. Enfonce-toi à fond ! Plus loin ! Enlève ta main ! Plus fort ! Aaaaaahhhhhhh…l’enfoiré il m’empale carrément ! Stéphanie…C’est presque un viol. Hooouuuuuu… à moi maintenant !
Marilyn me fait basculer sur le dos, se retourne et se rassied à cheval en me présentant son cul.

– Steph…je viens de passer sur lui et je reprends sa queue en lui tournant le dos. T’imagines ?

D’une main elle att**** ma queue et elle la renfonce dans sa chatte inondée de cyprine. J’aime cette position car je peux mieux la pénétrer, presque à fond.
C’est elle qui pousse son cul et je pénètre jusqu’au bout de son vagin sous un cri strident de Marilyn.

– Hiiiiiiii…Aaaaaahhhhhhh…qui couvre le mien.

La pensée d’être écouté me stimule encore plus et mes mains sous ses fesses, je guide ses mouvements pour mieux la sentir et qu’elle profite pleinement de ma queue enfouie dans son étroite petite chatte. Quelques minutes plus tard, mon corps en sueur s’écroule sur celui de ma nièce après une jouissance peu commune qui nous a fait hurler à plein poumons.
Dès que ma nièce respire mieux, elle reprend le téléphone et elle dit à Stéphanie à quel point c’était fort. Puis Marilyn me tend le téléphone une fois de plus
.
– Whaaooouuu ! Tonton c’était dingue ! Hurle Stéphanie dans mon oreille. Je me suis presque enfoncé mon poing dans ma chatte quand vous avez eus tous les deux votre orgasme. Putain… j’ai hâte d’arriver !
– Et moi, aussi ! J’ai hâte de vous voir.
– Économise ton énergie, Tonton, je suis plus gourmande que Marilyn. Il va falloir que tu assures. Et pour deux chattes en plus!
– Je ferais de mon mieux

Et je repasse le téléphone à Marilyn.
Je ne suis pas sûr de bien cerner cette demoiselle. Elle est certainement impétueuse et vulgaire, et je n’aime pas qu’elle m’appelle Tonton. En tout état de cause après ce qui vient de se passer j’ai envie de la baiser cette salope car c’est elle qui a dévergondé ma jolie nièce. Pour mon plus grand plaisir.

Je suis en courses quand Stéphanie arrive le lendemain. Quand je vois la vieille Peugeot garée sur le côté de la maison, mon cœur bat déjà plus vite.
Personne au rez de chaussée, je monte à l’étage pour dire bonjour à notre invitée.
Quand j’arrive près de la porte de Marilyn, celle-ci est entrouverte et je jette un coup d’œil.

En voyant Stéphanie, l’amie de Marilyn, assise sur le lit, je dois admettre qu’elle a l’air un peu effrayante.
Les cheveux noirs, courts comme une coupe en brosse et beaucoup de maquillage sur les yeux qui lui donne une apparence macabre bizarre, genre gore. Stéphanie porte des jeans et une veste kaki de l’armée qui ne donne aucune indication sur son corps. Elle lève les yeux et m’aperçois dans l’embrasure de la porte.

– Hello, Tonton Jacques ! Dit-elle haut et fort, J’avance et je souris à cette jeune effrontée.
– Bonjour Stéphanie, Vous n’avez pas à m’appeler Tonton. Jacques fera l’affaire.
– Dommage, j’aime bien Tonton Jacques…
– Tonton, laisse-la faire… murmure Marilyn
– Bon, très bien… je suis d’accord. Vous deux pouvez m’appeler comme ça… mais dans l’intimité. Bon je vous laisse à vos retrouvailles.

Je sors en pensant que je viens de m’engager dans une d’histoire dangereuse qui pourrait bien me péter à la gueule.
Je n’ai pas le temps de réfléchir plus loin car une main me saisit par derrière et m’entraîne dans la salle de bains… Stéphanie !
Elle tire le verrou avant de sauter dans mes bras et dès qu’elle écrase mes lèvres de sa bouche, je sens sur sa langue qui cherche la mienne, l’odeur de cigarette qu’elle a dû fumer plus tôt.
Elle s’adosse au lavabo, soulève son polo et elle me dévoile une paire de seins qui je trouve gigantesques. Elle me demande :
– Comment notre Tonton trouve mes seins ?

Je gémis tout de suite quand la main de Stéphanie se pose sur mon pantalon à la recherche de ma bite.

– Ohhh, merde… la vache ! Tonton ! Tu bandes déjà !

Dit Stéphanie lorsque sa main trouve ma queue, qui s’est rapidement mise sous tension à l’intérieur de ma cuisse.

Stéphanie me tire à elle en s’assoyant sur le siège des toilettes. Elle baisse mon pantalon et libère ma bite pour la branler violemment plusieurs fois aux sons de mes gémissements de plaisir.

– Whaaaa ! Marilyn ne plaisantait pas…T’as vraiment une grosse bite, dit-elle avant de la porter à sa bouche
.
Je regarde mon nœud disparaitre à l’intérieur de sa bouche et ses lèvres glissent avidement vers le bas de mon pénis essayant de le prendre entièrement.

Un peu plus âgée que Marilyn, je devine qu’elle a beaucoup plus d’expérience que ma nièce Marilyn et qu’elle est une experte en tailleuse de pipe. Sa main branle ma bite tandis que ses lèvres suivent le mouvement tout en utilisant adroitement sa langue. Quand sa main descend sur mes couilles, sa bouche absorbe ma queue entièrement et je sens mon gland passer ses amygdales pour rentrer dans sa gorge.

– Aaaarrrrrgh !

Je gémis de plaisir car c’est la première fois que mon gros gland passe dans la gorge d’une femme…que dis-je…d’une jeune fille !
Si elle continue comme ça je vais lui balancer mon foutre dans sa gueule de salope. Mais un bruit vient de la porte fermée heureusement au verrou.

Stéphanie sort ma bite de sa bouche et dit.

– Quoi !
– C’est moi Marilyn. Je n’en ai pas pour très longtemps. J’ai une grosse envie !
– Une minute ; j’ai bientôt fini.
– Oh, excuse-moi, je suis désolée ! Prends ton temps. Ça ne presse pas tant que ça ! Je t’attends dans la chambre.
Cette salope me serre les couilles d’une main et reprend sa fellation profonde. Je ne vais pas pouvoir me retenir si elle continue comme çà.

Stéphanie me suce encore un peu et sa langue passe sur mon gland pour récolter la perle de pré sperme qui suinte avant de tirer la chasse des toilettes, puis de se laver les mains avant de sortir et de murmurer à mon oreille.

– Huuummm, j’aime le gout de ta queue et la saveur de ton jus, Tonton. Je me sauve mais je sens que je vais bientôt me régaler !

J’attends deux minutes avant de sortir de la salle de bains et ridiculement, je me sauve comme un voleur. Je ne sais pas bien ce que ma nièce a prévu de faire avec sa copine, mais ce qui est sûr, c’est que je vais me la payer cette grosse salope.

Phantome

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