Les parents de Marc lui ont offert une semaine de vacances en club all inclusive dans le sud de la Sicile pour le récompenser de son année scolaire remplie de bonnes notes.
Bine évidemment il est ravi de pouvoir passer du temps loin de ses parents mais il est aussi un peu gêné par la pochette UM qui lui pend au cou. Il sera récupéré par les gens du club à sa descente d’avion mais ses parents ont insisté pour la pochette. Pour continuer à le contrarier il n’a pas obtenu une place côté hublot alors qu’il adore regarder le paysage depuis le ciel. Le vol est très tard et quand il s’installe à sa place il est déjà bien fatigué. Timidement il demande à son voisin, un homme d’une cinquantaine d’année à l’air sévère, s’il peut lui laisser la place à côté du hublot. sans presque le regarder l’homme lui répond non. Déçu, Marc s’installe dans son fauteuil et se laisse gagner par le sommeil. Cinq minutes après le décollage il dort profondément et se met à rêver. Dans son rêve il revit sa tentative de vol ratée chez un marchand de journaux, échec qu’il avait payé d’une bonne fessée et d’un viol de sa bouche par le commerçant ce qui l’avait particulièrement excité (). Et les mêmes causes ayant les mêmes effets il se mit à bander comme un âne dans son sommeil. Son pantalon de toile était déformé par son érection, qu’il caressait doucement sans s’en rendre compte.
Un trou d’air particulièrement brutal secoue l’avion et réveille Marc en sursaut. Il a sa main autour de sa queue au travers du pantalon. Son voisin le regarde en souriant et lui dit « Petit, le soleil est levé regarde par l e hublot comme le paysage est beau. »
Ravi Marc se penche vers le hublot et quand il est au dessus du voisin celui ci retire la couverture qu’il avait sur ses jambes découvrant une bite de bonne taille bien bandée. Dans le même mouvement il att**** Marc par les cheveux et lui presse la tête contre son gland luisant d’excitation. Il lui siffle à l’oreille : « Suce ma queue petit vicieux »
Le visage de Marc est collé au chibre tendu dont le gland frotte sa bouche. Il essaye de se dégager mais rien n’y fait, l’homme a une poigne de fer. « Suce ! » Excité comme jamais Marc sait qu’il ne sert à rien de résister, d’autant moins que l’odeur de cette queue le ravit complètement. Il ouvre la bouche et s’empale sur la queue. Son voisin lui imprime un mouvement ample, l’obligeant à sucer depuis le gland jusqu’à la base de la queue. Complètement à la merci de cet inconnu Marc bavait copieusement. L’homme ne lâchait pas ses cheveux et lui baisait la bouche comme s’il s’agissait d’un fleshlight. Au bout de quelques minutes il se mit à donner aussi des coups de hanches avant d’exposer littéralement dans la bouche de Marc, lui envoyant son foutre au fond de la gorge en grognant sourdement. Surpris par l’abondance de l’éjaculation l’adolescent avalait ce qu’il pouvait. L’homme l’empêchait de se relever et ne le laissa filer qu’une fois que sa queue avait commencé à mollir dans la bouche de Marc.
Marc se redressa et repris son souffle, il essuya le foutre qui avait coulé sur son visage. L’homme lui attrapa la queue à travers le pantalon et lui glissa à l’oreille « Content de voir que ça t’excite de vider les couilles d’inconnus » avant de le relâcher.
Le reste du vol fut sans histoire. Marc jetait des regards nerveux sur son voisin qui l’ignorait complètement. Il avait envie de se soulager, de jouir mais il ne voyait pas comment faire avec les WC constamment occupées.
Lorsqu’enfin l’avion s’est posé Marc est sorti de l’avion aussi vite que possible pour aller se branler dans les première toilettes venues pour paraître détendu devant son comité d’accueil.
Arrivé dans les toilettes, il se dirige vers la cabine la plus éloignée de l’entrée. il pousse la porte se retrouve poussé brutalement à l’intérieur. Plaqué contre le mur il se retourne et voit son voisin de l’avion fermer la porte et commencer à sortir sa queue de son pantalon. « Maintenant je vais te soulager en t’enculant bien à fond ma petite salope. Tu vas aimer ! Baisse ton froc ! »
Marc est totalement figé, il ne sait quoi faire. Il bande comme un âne tellement la situation l’excite mais il est aussi très réticent à donner son cul à cette brute. A la manière d’un lapin dans les phares d’une voiture il est hypnotisé par cette queue qui lui a baisé la bouche. Sans la quitter Il défait son pantalon qu’il laisse tomber sur ses chevilles et se tourne en se penchant vers l’avant offrant sans mot dire son cul aux appétits de l’homme. Ce dernier s’approche et saisit les fesses de Marc à pleines mains les écartant sans ménagement. Il s’agenouille et crache copieusement sur la rondelle du jeune homme. Puis il enfonce un doigt puis un deuxième dans le petit cul serré de Marc qui gémit à la fois de douleur et d’excitation. A force de salive, les doigts finissent par glisser plus à leur aise pour le plus grand plaisir de Marc. L’homme se redresse et place son gland turgescent contre la rondelle de Marc et s’y enfonce inexorablement, lentement et ne s’arrête que quand il ne peut plus aller plus loin. Marc est suffoqué par l’intrusion, les larmes lui montent aux yeux.tellement cette queue l’écartèle. La pause que fait l’homme lui permet de s’habituer à la sensation. Sa propre queue est tendue comme un arc, il se sent totalement possédé par cet inconnu brutal. L’homme le saisit par les hanches et commence à le baiser lentement d’abord puis de plus en plus vite. Marc est dans un état second et gémit doucement, continuellement. Il se tient tant bien que mal au mur. Au bout de ce qui lui a paru une éternité Marc sent l’homme se tendre, et jouir à longs traits au plus profond de son cul dévasté. Il saisit la queue de Marc, la branle deux fois ce qui suffit à faire jouir copieusement le jeune homme. Il se retire ensuite sans ménagement, rajuste ses habits et quitte la cabine dont il laisse la porte ouverte. Marc titube sans réaction. Il sent le foutre de son baiseur couler le long de ses cuisses. Il lui faut se rhabiller pour commencer sérieusement ses vacances…
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