Clotilde de Saint Just était ce qu’on appelle une « oie blanche ». De son passage chez les Sœurs de la Vierge, elle n’avait rien appris de la sexualité…à 18 ans passés, son bac en poche et
ne sachant que faire de sa vie, elle avait accepté l’offre de ses parents d’épouser un jeune ingénieur, qui quoique
n’étant pas de la noblesse avait à leurs yeux une immense qualité, il était riche…il avait quelques années auparavant déposé un brevet qui lui rapportait de substantiels dividendes…
Elle était donc sorti avec lui chaperonnée comme il se doit par une de ses cousines prénommée Bertille. Bertille était déjà mariée et avait deux affreux gamins d’un mari militaire qui ne faisait que de courtes apparitions entre deux départs pour l’étranger.Tous les trois avaient donc visionnés ensemble les films autorisés par les parents de Clotilde, avaient dîné ensemble, Bertille faisait alors garder ses enfants par une baby-sitter rétribuée par les Saint-Just…a l’abri des oreilles de Laurent,le fiancé, elle la mettait en garde contre un rendez-vous galant avec son promis qui disait elle risquait de lui faire perdre son bien le plus précieux: sa virginité.Laurent se contentait donc de lui prendre la main et de l’embrasser sur la joue. la vie sexuelle des deux tourtereaux était des plus platonique. Clotilde en rentrant de ses « rendez-vous » sentait parfois poindre un désir jusque là inconnu et dans son lit ou sous la douche, elle se caressait
doucement ce qu’elle sentait instinctivement être le centre du plaisir féminin il lui arrivait parfois ainsi de se faire « rougir » et elle en éprouvait une certaine honte.Si elle avait su que Laurent une fois qu’il l’avait déposé chez ses parents, qu’il était allé saluer ceux-ci ne ramenait pas directement Bertille chez elle, mais qu’il faisait un détour par sa garçonnière…
Là les deux amants se livraient à des ébats que le puritanisme des Saint-Just réprouvait.Bertille que son célibat forcé agaçait s’était découverte un goût prononcé pour la fellation et elle suçait Laurent jusqu’à ce qu’il explose dans sa bouche…la gourmande se repaissait alors de sa semence puis reprenait ses succions jusqu’à ce qu’il soit de nouveau « en forme ». Alors il était autorisé à la pénétrer…Elle appréciait particulièrement la sodomie, sans doute pour le caractère prohibé que cela revêtait…
Laurent ne se faisait pas prier pour l’enculer jusqu’à la garde et ne cessait de la limer qu’une fois que les deux amants aient jouis…Il recueillait alors le sperme dégoulinant de l’anus de sa maîtresse et le lui faisait laper comme « la chienne » qu’elle était.Ces seuls mot suffisait parfois à la mettre en transe et elle se jetait de nouveau avidement sur le membre viril de Laurent.
le mariage approchant,Bertille avait commencé à distiller quelques consignes pour la nuit de noce: il fallait que la mariée soit intégralement épilée et qu’avant le passage à l’acte elle se fasse un lavement…devant les interrogations de Clotilde, Bertille justifiait de cela par une question d’hygiène, tout en faisant comprendre que cela était affaire de jeunes filles « modernes » et qu’il n’était nul besoin que cela vienne aux oreilles de ses si chastes parents…Clotilde, heureuse de pouvoir enfin faire quelque chose de novateur dans sa sexualité, demanda à Bertille de l’aider dans la délicate opération de l’épilation…La cousine ne se fit pas prier. Elle prit goût à l’enduire de crème à raser puis à faire glisser le rasoir sur les contours de la chatte de Clotilde. Doucement, et surtout discrètement elle lui caressait les lèvres puis le capuchon du clitoris et riait intérieurement de voir sa cousine rougir.
* tu sens comme c’est bon ?
* euh …oui
* c’est encore mieux quand c’est un homme qui le fait…ton mari, je veux dire..
*oui, bien sur, mon mari…les hommes jouent avec cet endroit-là, ce n’est pas sale ?
*bien sur si tu es indisposée, ce n’est pas agréable pour eux, c’est pour cela qu’il y a l’autre coté…
*l’autre coté ?
*cela s’appelle la sodomie
*les Sœurs en ont parlé une fois, c’est à l’encontre des préceptes de la foi…
* c’est surtout que cela permet aux femmes d’éprouver énormément de plaisir sans risquer d’avoir des enfants…tu ne veux pas avoir d’enfants tout de suite ?
*c’est à dire que je suis jeune, je voudrais d’abord découvrir le monde…j’ai été cloîtrée si longtemps et je me sens si ignorante de tant de choses…
*tiens, voilà une ordonnance que j’ai demandé à mon gynécologue, tu suis le traitement sans interruption et cela te permettra de n’être plus indisposée surtout si cela devait arriver durant ton voyage de noces…
*tu es vraiment une amie pour moi…que dois-je savoir d’autre sur…les hommes ? Je ne voudrais pas décevoir Laurent…Je suppose qu’il n’en sait pas beaucoup plus que moi sur la sexualité…
Bertille riait intérieurement de la naïveté de la future mariée, d’autant que tous ses « conseils » lui avaient été dictés par Laurent…
* écoutes, j’ai ici un …comment dire …un jouet qui imite le membre masculin en érection…excité si tu préfères…
* tu as ça pour quoi faire ?
* Denis mon mari, comme tu le sais est souvent en mission à l’étranger et je ne peux l’y suivre…alors ce jouet , on dit sex-toy, m’aide à compenser ses absences…
Elle sortit le jouet de son sac sous les yeux écarquillés de Clotilde…
*tu vois, il faudra le caresser doucement, comme cela, puis tu mettra tes lèvres là, tu jouera avec ta langue comme cela…
Clotilde s’empourprait de voir sa cousine se comporter ainsi mais ne put s’empêcher de l’imiter quand Bertille lui tendit le « jouet »…Bertille s’était glissée derrière elle et lui prodiguait des conseils sur les gestes à faire. Elle en profitait aussi pour de temps à autre lui effleurer un sein ou lui caresser la fesse…Clotilde était une femme simple, peu sure d’elle et n’ayant pas conscience de sa beauté…Ses 1m70, ses 55 kg et sa petite poitrine (un 80 c) ne lui semblaient pas en mesure d’être des « aimants » à mâles…Bertille qui n’avait pas été aussi gâtée par la nature, savait l’effet que sa cousine pouvait faire sur la gent masculine…
Quand Clotilde eut explorée toutes les possibilités que sa bouche pouvait offrir au sexe postiche, Bertille, un regard lubrique dans les yeux lui proposa de l’essayer « en condition »…
*que veux tu dire par là ? Je dois offrir ma virginité à mon futur époux !
* comme je te l’ai dit il y a une autre voie…
* ça va me faire mal…
* laisses moi faire.
Bertille coucha sa cousine qui n’offrait qu’une résistance symbolique tant sa soif de savoir était grande…
Ses lèvres vinrent titiller le bouton de sa cousine pendant que ses doigts agiles lui enduisait l’anus d’un gel lubrifiant…
Clotilde sentait le plaisir monter, son éducation réprouvait les plaisirs saphiques, mais ses sens lui indiquaient de laisser faire…l’intromission d’un doigt puis de deux dans son anus se fit sans difficulté, elle gémit un peu quand le jouet fit son entrée en elle. Bertille poussait délicatement tout en tournant doucement le gode. Les sphincters libérèrent enfin l’étroit passage, dans un cri étouffé de Clotilde. Bertille entreprit alors un doux va-et-vient du « jouet » tout en l’enfonçant un peu plus à chaque mouvement . Clotilde avait cambré les reins et les lèvres de Bertille jouaient à présent sur la vulve excitée de sa partenaire…L’orgasme submergea Clotilde , son corps révulsé laissa échapper un flot de cyprine qui surprit Bertille.
*j’en connais un qui va être content !
* mon Dieu, mais c’est sale et je ne peux pas me contrôler…
* ce n’est pas sale et je suis sure que ton mari aimera te prendre par là…et que toi tu aimeras être ainsi prise, en voilà la preuve…
*merci Bertille, c’était très…bon
*j’ai préparé ta garde-robe pour ta nuit de noce ainsi que pour ton voyage de noce. A n’ouvrir qu’au moment dit…je crois que ton mari appréciera…
*je l’espère…tu sais je ferai tout pour lui…Il est tellement gentil et courtois
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