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Le Gros, le fric, le cul

Le Gros, le fric, le cul



Ca parlait et ça rigolait fort dans le restaurant, l’alcool aidant,
il y avait quasi tous les employés de la boite et leurs coinjoints respectif à ce repas de fin d’année, ainsi que le patron. Si la conversation du début portait sur la crise et l’emploi, au fil des bouteilles de vin, le cul, sujet apprécié de tout le monde, s’immisçait largement dans nos phrases et détendait joyeusement l’atmosphère.
,chacun y allant de sa blague ou simplement en y faisant allusion. Les salopes chaudasses rigolaient à pleines voix et c’est d’ailleurs comme ça qu’on les reconnaissaient, les autres femmes plus timides et plus distinguées ne faisait que simplement sourire en rougissant, ce qui ne veut pas dire qu’elles soient moins coquines, bien au contraire!
Ma copine appartenait à cette deuxième catégorie. Assez petite, mince, taille de guèpe, jolie jambes, jolie cul, belle poitrine, visage fin et mignon, je lui avais demander de bien s’habiller pour faire bon effet devant mes collègues. C’était réussi, tous les crevards de tout âges la lorgnait. Celà l’intimidait un peu mais ce n’était pas si désagréable pour elle, toutes les femmes aiment être désirée.
Avec ses chaussures à talons, son jean bien moulant et son corset, on distinguait parfaitement ses belles formes. D’autant plus qu’avec les cheveux relevés et une pointe de maquillage, elle était même carrément sexy. Elle avait mis beaucoup de temps à se préparer d’ailleurs, et c’est pour ça que nous étions arrivés en retard, alors que l’apéritif avait déjà commencé. Il ne restait plus que deux sièges autour de cette grande table: A coté du patron, personne ne voulant s’assoir à coté de ce gros con.
Elle se retrouva donc installée entre lui et moi. Il faut que je vous décrive se personnage, c’était l’exemple type du gros PDG: Cinquante cinq ans, costume gris et chemise blanche XXl, trop serrés pour lui, sa bedaine passant largement par dessus sa ceinture, (sa bite, il ne devait la voir que dans un mirroir), grosse tête dégarnie, le teint plus que rougeot. A force de bouffer comme un porc tous les jours au restaurant avec des clients ou autres, avec le temps, il avait suivi le chemin du physique type du directeur.
Sa mentalité ne valait guère mieux: Vantar, orgueilleux, exécrable une fois enervé. Mais cet enculer avait bien mené son affaire et s’était fait beaucoup de fric sur le dos des autres. Enfin jusqu’à maintenant du moins, parcequ’avec la crise, c’était la grosse panique en ce moment! Sa femme l’avait quitté d’ailleurs, on se doutaient tous bien que c’était à cause du pognon. Cette grosse pute à fric avait levé le voile avant que la baraque coule. On se demandait d’ailleurs pourquoi il était avec cette énorme vache. Même maquillée, elle restait moche.
Si j’ avais brassé autant de blé que lui, ça ferait longtemps que je l’aurais foutue dehors à grand coup de pieds dans le cul et que j’entretiendrais une belle et jeune salope chez moi. Enfin bref, le gros cochon se retrouvait tout seul dans son slip depuis un bon moment maintenant!
Au moment du digéstif, certain étaient déjà partis; nous, assis, ont avaient bien bus, enfin surtout les hommes. Albert, mon patron bien torché, commençait sérieusement à s’interesser à Sophie, ma jeune copine. Ils voulait l’impressionner, il lui parlait des derniers appartements qu’il avait acheté, de sa piscine qu’il faisait entièrement refaire, etc…
Ca marchait bien d’ailleurs , Sophie était ravis qu’un homme avec de telles responsabilités s’interesse à elle. Il faut dire que c’était une fille un peu cruche aussi, facilement influençable, bonne à rien à part montrer son cul.
Nous fûmmes les trois derniers autour de la table, à siroter du « get », tout le monde s’étant rentré, bien déchiré.
Sophie s’excusa un insant et partit aux toilettes. « Jabba the hut » se tourna vers moi avec la gueule encore plus violacée par l’alcool et me dit: « Sacrée pouliche ta petite copine! Tu en as de la chance, veinard! »
L’idée me vînt immédiatement et je lui répondit: « Copine, copine! C’est un bien grand mot! On est ensemble mais c’est juste pour le sexe, on a pas vraiment d’affinités! » puis d’enchainer du tac au tac avec un grand sourire: « Elle à l’air de vous plaire à ce que je vois et elle ne serais pas contre à mon avis! ah!ah!ah! Elle est bien moins farouche avec un canon dans le nez! Maintenant que l’on est seul et bien rassasié, on pourrait peut être profiter d’elle pour se faire plaisir, non? Ah!ah! »
Surpris un court instant, il arbora un petit sourire pervers et répondit: « Je ne te connaissais pas comme ça! ah!, ah!,ah! Mais si tu es prêteur, je veux bien! C’est une sacrée belle jument que tu as là, tu dois te faire plaisir mon coquin! On pourrait peut être se rejoindre chez moi, qu’en dis-tu?
« Oui,c’est une bonne idée, c’est vrai qu’écarter les jambes et couiner, ça, elle sait faire! C’est bien la seule chose qu’elle sache faire d’ailleurs! Mais c’est bien ce qu’on leur demande non? ah,ah,ah! Vous parliez de « jument » à l’instant, et bien que diriez-vous de simuler une saillie? Vous seriez l’étalon reproducteur et elle, la belle jument à féconder. »
« J’adore les scénarios! Mais crois-tu qu’elle se laissera convaincre? En tout cas, tu mérites bien une prime, toi! »
« Faisons-la boire encore et impressionné-la par votre pouvoir, elle se laissera faire, je la connais. »
A peine Sophie revint des toilettes, que sans plus attendre, le gros nous invita chez lui pour boire un dernier verre. Elle accepta avec un innocent sourire. Il proposa même de nous emmener dans sa mercedes, ce que nous acceptâmes. Elle devant, siège passager, ne se doutant pas qu’elle allait être la cible de nos envies primaire.
Il faisait chaud dans le salon à « fat boy », une bouteille de get31 déjà aspirée, Sophie, avachie dans le canapé avec le cul devant nos yeux, commençait sérieusement à avoir reçu. Elle rigolait toute seule. On lui gifflait joyeusement les fesses pour qu’elle arrête mais ça la faisait encore plus rire. De fil en aiguille, nos mains restaient plus longuement sur son postérieur, Albert en profitait même pour bien le malaxer. D’un coup, je soulevais sa juppe. Pas de culotte la garce! Cette fois on pelotais à pleine main!
D’une voix peu convaincante, elle nous sortie un : « arrêtez! », ce que nous ne fîmes pas, bien sur! Elle montait en chaleur cette petite pute, elle était à la merci de nos caresse sur tout le corps maintenant. C’était un réel plaisir d’effeuiller ses vêtements, elle etait belle, cette femelle.
Une fois totalement dévêtu, elle paraissait si fragile, si vulnérable, ses fines jambes, ses petits pieds, cette peau si si douce et tellement lisse! Sa taille de guêpe contrastait avec ses deux jolies mamelles pour s’amincir jusqu’à son innocent visage de petite fille. Elle essayait tant bien que mal de nous résister, tout en restant plus que désirable, son instint lui dictant ses gestes.
Devant sa magnifique plastique, je dis à mon boss: » Alors! Elle ne donne pas envie?! »
Le gros n’en pouvant plus me demanda: « elle est parfaite! Puis-je la satisfaire? J’ai trop envie! »
« Bien sûr! », je lui répondis, « c’est l’heure de l’honorer par son trou intime! »
Alors sans plus attendre, le gros baissa son pantalon et nous fît découvrir ses étranges organes de reproduction. En effet son penis n’était pas franchement beau.Il avait une petite queue mais de fort diamètre et son gland était tout applatit, comme s’il s’était prit une porte de face dans la bite, avec par contre une pointe au bout du gland au niveau de l’urètre! Je ne sais pas si vouv voyez comment est la teub d’un chien mais sa y ressemblait! Un gros pavillon du gland applatit avec l’urètre en pointe! De plus, une longue poche de peau faisait pendre très bas ses deux grosses couilles bien rondes!
Perso, je trouvais ça dégoutant, mais apparement, vu les réactions de Sophie, cela ne semblait pas effrayer une femelle en chaleur plus que ça! La queue se raidit rapidement,courte, large et tendue. Ca devais faire un moment qu’il n’avait pas été excité, la fente de l’urètre s’ouvrait tellement son envie était grosse, ça allait cracher fort et épais!
Il redressa délicatement ma chienne pour la mettre à quatre pattes, il avait une belle tête de lubrique à ce moment-là et Sophie geignit timidement car elle n’appréciait pas. C’était trop peu bien sûr pour arrêter le reproducteur, s’en était même plutôt excitant d’entendre ses plaintes féminines avant la pénétration. J’en rajoutais une couche en disant à haute voix:  » Je suis très fier que ma femme soit au goût de mon patron, c’est avec plaisir que je vous la prète en esperant qu’elle vous donne toute satisfaction, son corps vous étant offert pour assouvir votre fantasme et son vagin pour faire votre basse besogne! »
Sophie gémit en m’entendant mais c’était trop tard, le gros, avec toute la grâce d’un éléphant de mer, recouvra ma salope en levrette pour l’emmancher par derrière. C’était partit! A peine pénètré, Fat boy était déjà en vitesse de croisière, comme un chien! Il agrippait ma femmes par ses deux belles mamelles, il bavait ce gros porc!
Elle le sentait bien ma salope, qu’il était là pour assouvir ses tensions lubriques et que l’organe si tabou de ce senior, qui lui servait à pisser et à se soulager était bien entrain de travailler dans sa jeune et fraîche intimité. Son burin à tête plate et gicleur pointu, court, épais et veiné, lui écartait biens les parois vaginales en cadence, heureusement qu’elle mouillait vite! On voyait déjà sa cyprine qu’il faisait resortir du trou qu’en il se retirait. Les couinements que Sophie émettait, étaient un mélange d’orgasme physique et d’appréhension psychique. C’était magnifique à entendre!
Pour un homme, rien n’est aussi encourageant que ces cris aigus de jeune femelle durant la saillie. D’ailleurs, Big Ben ne pût tenir guère plus longtemps, je le vît à la pure expression perverse que son visage prît soudain. Il luttait mais c’était trop fort.
A pleine voix il dit: « Je ne peux plus me retenir, tu es trop bonne à enfiler! le trop plein commence déjà à couler, tu le sens Sophie ? »
Elle gémit de plainte en ouvrant grand les yeux, elle sentait bien la chaude pré-éjaculation couler lentement dans son corps, cela annonçait une éruption violente de laitance d’homme mûre qui s’abstenait! Les grosses testicules pendants étaient remplis comme une citerne, claquant les fesses de la belle à chaque coup de pilon!
Il poussa un brame puis soudain, il se tut, stoppant ses va-et-vient en plaquant contre lui le magnifique arrière-train de la jument pour avoir la queue complètement en elle.
La pompe à foutre se mit vraiment en pression cette fois, faisant raidire à chaque grosse giclée, le membre tabou dans l’orifice agréable et puant de cette femelle. C’était plaisant à voir! Sophie poussait un gros gémissent plaintif à chaque fois que ça sortait, on pouvait deviner quand il déchargeait!
Les gros geysers terminés, il resta encore un moment au fond du trou, laissant lentement se déverser l’épaisse jute de fond de couilles et poussant même pour faire sortir les dernières gouttes encore dans l’urètre.
Il se retira,la bite pleine de cyprine, un long filament de sperme jaunâtre, épais et gélatineux, pendait de dix centimètres du bout de son gland. Sophie, toujours à quatre pattes, les cheveux tombant et épuisée par toutes ces émotions, tourna la tête et regarda le visage pervers de celui qui avait profité de son intimité pour se soulager. Ses yeux se baissèrent, elle observa la bite sale qui venait de cracher. Elle exprima une dernière plainte devant ce spectacle, puis, fatiguée, elle referma les yeux en s’allongeant sur le coté.
Le gros porcs, lui saisit doucement l’un de ses jolie petit pied. Sans réaction de la part de la réceptrice de jus odorant, il lui leva une de ses jambe pour renifler le trou puant abusé par ses soins. Après l’effort, elle avait les lèvres écartées en forme de papillon, pleines de souille, et le trou encore entrouvert, laissait dégouliner le surplus de lait masculin.
Il se tourna vers moi et dit de pleine voix: « Je n’ai jamais autant joui! je l’ai remplie! Regarde tout ce que je lui ai donné! Et ça coule encore! Tu en as de la chance de te vider régulierement les couilles en elle! » Il se tourna vers elle, et lui dit: » Tu es un femme magnifique! Irrésistible! Ton corps est parfait et ton petit vagin est idéal pour se masturber. Je n’ai pas pu me retenir longtemps et je me suis laissé aller longuement tellement c’était agréable! J’espère que tu as apprécié ma grosse saucée! »
Ne sachant que répondre à de tels propos, la belle Sophie ferma les yeux et fit semblant de s’endormir.

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