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Ann ésie – episode 3

Ann ésie – episode 3



« Ha ! Ha ! Ha ! »
« Oui ! Oui ! Oui ! »
Anne est à quatre pattes, allant et venant le long d’un double gode. Pommy est de l’autre côté, dans la même position. Autour d’elles, des mecs se branlent, certains à quelques centimètres de leurs visages. Ça pue la mouille et le mâle en rut. Nos putes font bien le show.

Nous atteignons la ferme.
« Bonjour Robert ! »
« Bonjour m’sieur »
« Comment allez-vous ? »
« Bien, bien. Je vous offre un petit apéro ? »
« Avec plaisir ! »
Robert est un paysan du coin. J’aime bien aller chez lui pour me procurer des légumes frais, ou l’occasionnel pâté qu’il aura préparé. Il n’est plus tout jeune, mais c’est une force de la nature. Et ses produits sont délicieux. J’aime bien sa femme Raymonde aussi. Ses seins énormes, ses hanches larges, son vice rustique. Maintes fois, je l’ai prise sur la table de leur salon, baisant violemment sa grosse chatte fatiguée. C’est qu’on s’ennuie parfois à la campagne, et Robert aime bien partager.

(La lectrice est bien chaude. Elle joue avec un gode, excitée par les insultes que lui balance le mickey qu’elle s’est trouvée sur MnF plus que par les coups de bite que reçoit son avatar. Ses pensées dérivent un peu, vers Anne, la façon dont son maître trouve à l’humilier. Elle aimerait parfois se glisser dans sa peau).

Anne adore que je la donne en spectacle, en pâture, réduite à l’état de jouet sexuel… Mais toujours sous ma garde, couverte d’un regard à la fois bienveillant et pervers. Quand nos yeux se croisent, un frisson la parcourt. Un petit jet de mouille s’étoile sur l’estrade occupée par les 2 chiennes. Les mâles assemblés apprécient.
« T’as vu comme elle a giclé la salope ?! »
« Ouais ! Ça doit lui plaire cette forêt de bites toutes dures ! »
« Attend un peu que je lui balance ma purée sur la gueule ! »

Nous sommes attablés, Anne, Robert et moi. Raymonde prépare un petit frichti pendant que nous sirotons de la gentiane. Robert ne peut s’empêcher de regarder Anne. Sa beauté marmoréenne tranche un peu dans ce lieu modeste et chaleureux.
« Elle te plaît, Robert ? »
Il passe la langue sur ses grosses lèvres moustachues.
Je regarde Anne. Elle incline la tête. « Suce-le »
Anne s’agenouille et défait la ceinture de Robert. Elle extirpe son énorme bite odorante du pantalon souillé, puis elle commence à lécher la hampe.
Elle décalotte délicatement le gland du vît monstrueux et le prend en bouche doucement. Le goût est très fort. Le sel de la terre…
Robert avale d’un trait son reste de gentiane, puis il pose ses énormes pognes de chaque côté de la tête de ma si belle esclave.
« Ngnnnf ! »
Il lui fait gober sa grosse queue, l’étouffant à moitié.
Anne sent le membre gigantesque lui remplir la bouche, lui taper le fond de la gorge. Elle en vomirait presque.
Elle se met à mouiller, sentant le poids de mon regard, excité par sa bouche déformée par l’assaut de Robert.

(La lectrice repense à l’histoire d’Anne. Ses humiliations répétées. Des images lui reviennent, en surimpression des mots salaces du mickey, des trous bien remplis de son avatar. Elle branle le gode plus vivement, des frissons plein la chatte)

Une certaine fébrilité gagne les mecs en cercle. Les 2 filles commencent à sucer des bites, branler des queues tout en continuant leur godage mutuel. Pommy les invective.
« Allez mes cochons ! On veut du sperme bien chaud sur la gueule, sur le corps, partout ! »
Certains déchargent, excités par le spectacle.

« Ah, tu l’aimes la grosse pine de mon Robert ! Espèce de petite pute ! »
Anne est allongée sur la table, sur le dos. Sa tête en suspension, elle se fait casser la bouche par le paysan.
« Ngaaa ! »
Raymonde nous a rejoints. Elle s’est enduite la main d’huile, et elle fiste la chatte de mon esclave. Accolé derrière elle, je lui ai descendu sa culotte blanche et fatiguée pour lui doigter le minou. De l’autre main, je pétris l’un de ses gros seins flasques, échappés de sa blouse. Je préfère infiniment les seins d’Anne, mais je veux faire plaisir à nos hôtes. Et les cris étouffés que pousse ma belle, la vision de sa chatte écartelée par la main de Raymonde, m’excitent au plus haut point.
« Je te sens qui durcit mon salaud ! Ça te plaît comment on besogne ta mignonne ? »
Ce disant, la femme de Robert s’écarte une fesse imposante, révélant un anus marron et velu que je sais accueillant.
« Prend moi le cul pendant que mon homme baise ta pute ! »

(La lectrice est prise dans un tourbillon. Elle entend son maître lui susurrer des mots aussi brûlants que sa chatte à l’oreille. Le mickey ne ménage pas ses efforts, défonçant le cul de son avatar en la traitant de tous les noms. La braise allumée fait du gode un brandon. « Putain, ça le fait… »)

Ça vire au bukkake. Les deux filles se sont mises à genoux, bouche ouverte. Elles se font gicler sur la gueule, les yeux, les cheveux, sur la langue, dans la gorge. Les seins aussi, pour ma belle. La quinzaine de mecs les couvre de liquide séminal gluant, tiédasse et odorant. Ça pue le rut a****l. Anne et Pommy s’embrassent, échangeant du sperme.

Je glisse ma bite dans le cul de Raymonde, pétrissant ses grosses loches bien lourdes. Elle en a vu des bites, la rombière; ça rentre tout seul. Elle écrase sa bouche sur ma princesse amnésique, que Robert a retournée pour fourrer son énorme mandrin dans sa chatte dilatée par le fist de sa femme. Elle pleure, pousse des cris étranglés, offerte à notre lubricité sauvage, mais sous le voile des larmes, elle me sait là.
Cette pensée fait tressaillir ma queue dans le cul accueillant de Raymonde, que je pilonne à coups redoublés.
« Vas-y mon cochon, encule moi bien fort ! » éructe la vieille salope.
Mon sperme jaillit, tapissant son anus de foutre, qui s’écoule lentement quand je me retire, Raymonde s’écartant allègrement les fesses pour faire couler le jus.
Son mari n’est pas en reste, qui éjacule à gros bouillons dans la chatte tyrannisée d’Anne. Retirant sa grosse queue avec un « plop » humide, une flaque de sperme se forme aux pieds de la table.

(La lectrice se mord les lèvres. La lectrice n’en peut plus de se goder la chatte. La lectrice jouit, en se disant « j’en voudrais encore ». La lectrice cherche un maître pour la prendre, la traiter, la baiser, l’enculer. La lectrice est pantelante.)

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