Un essai chez jade
Michel passait la plupart des Fin-De-Semaine avec sa fiancée, Jade, et celui-ci n’était pas une exception. Il tombait à verse et il conduisait pour se rendre chez elle comme prévu, espérant tout oublier des sujets du bureau, et toutes les choses désagréables qui se succédaient dans sa vie. Il voulait essayer et mettre des événements récents entre parenthèses et de retourner à la normale. Comme on était un samedi, le trafic était dense et il est arrivé un peu en retard, juste quand Jade était sur le point de partir pour un rendez-vous chez le coiffeur.
« Je serai de retour dans deux heures chérie. Fait comme chez toi à la maison. Au revoir… » Et elle s’en est allée.
Il l’a observée partir pour être sûr qu’elle n’allait pas revenir et puis a commencé à regarder autour de lui. Il avait rarement eu l’occasion de rester seul dans son appartement et n’avait pas l’intention de le gaspiller. Il était tout à fait jaloux, car d’était un endroit fantastique. Naturellement elle n’aurait jamais pu se permettre d’acheter cet appartement elle-même mais il semblait que ses parents étaient riches et l’avaient aidée à l’acheter. Il y avait une grande cuisine avec tous les derniers accessoires, un salon avec des portes coulissantes menant à une terrasse couverte, deux grandes et belles chambres à coucher, et une salle de bains carrelée de marbre. Il était très impressionné, mais il ne faisait pas une excursion de son appartement pour le visiter. Il se dirigea vers la chambre à coucher.
Pendant des semaines, elle l’avait allumé, au point de le rendre idiot, au sujet de toute la lingerie sexy qu’elle avait acheté pour son trousseau de mariage et il ne pouvait pas attendre pour la voir. Avec son cœur battant dans sa poitrine, il a commencé à passer en revue sa garde-robe et ses tiroirs. Il se sentait comme une sorte de cambrioleur de bas étage furetant parmi ses affaires féminines, bien qu’il ait douté que n’importe quel cambrioleur soit aussi intéressé qu’il l’était par toute sa lingerie magnifique. Il y avait tant de dentelles précieuses pour occuper son attention mais il fut désappointé de voir qu’il n’y avait rien qu’il n’avait pas déjà vu avant. Où cachait-elle cette lingerie pour lune de miel dont elle avait parlé ? Il a réfléchit pendant un moment et alors il s’est soudainement souvenu de la chambre d’amis.
Gagné ! À l’intérieur, il a trouvé une grande garde-robe avec deux nouvelles robes, plusieurs chemisiers et une petite jupe trop courte. Il a eu des papillons dans l’estomac pendant qu’il prenait une des robes et la tenait contre lui. Elle était faite d’un tissu léger, principalement noir mais avec des points blancs. La jupe qui arrivait à la hauteur du genou avec sa multitude de plis était particulièrement large et s’évaserait vers le bas. Il a deviné que c’était la robe de lune de miel qu’elle avait mentionné. Il fit courir ses mains sur la jupe plaquée sur lui, appréciant la douceur du tissu fin. Il sentait cette excitation familière qui allait droit à son pénis, son cœur battait furieusement, et il se sentait décidément comme dirigé malgré lui. Il a tendu la jupe en tirant sur l’ourlet de la jupe. C’était un grand bonheur de voir ce genre de jupes de près, et pour ce qu’il en savait, c’était la première fois que jade en avait acheté une.
Il a continué à chercher. Il était sûr qu’il y aurait un jupon pour aller dessous. Ce serait un crime que de porter une si belle jupe sans un jupon et en outre, elle était si fine qu’il avait besoin de quelque chose sinon il montrerait à chacun sa culotte ! Jade ne ferait jamais une chose comme ça ! » Il a continué à chercher avidement dans les tiroirs de la commode à côté de la garde-robe, priant qu’il en serait bien ainsi. Un jupon était la chose la plus féminine qu’une fille pouvait porter, et sûrement elle en aurait acheté un. Il y avait plusieurs dessous dans différentes couleurs et alors dans le tiroir suivant… son cœur a sauté dans sa poitrine.
Quelque chose de blanc et voluptueux est apparu, gracieusement plié mais occupant le tiroir entier. « Ahhhhhh. Magnifique, Jade. Je savais bien que vous ne me décevriez pas, ma fille. » Dit-il tranquillement, en réprimant un sourire. C’était un jupon bouffant blanc composé de tissus fins superposés, transparents, presque chatoyants, avec un tas de dentelle. L’élastique qui entourait son emballage claqua bruyamment quand il la retira. Maintenant son cœur battait dans sa poitrine.
Il étendit soigneusement le jupon sur le lit, stupéfait qu’il puisse tenir d’un bout à l’autre du double lit. Retournant aux tiroirs, il a rapidement cherché à nouveau, espérant trouver quelques culottes spéciales pour aller dessous. Il n’a pas eu besoin de regarder bien loin, l’odeur douce du parfum de Debbie lui a signalé qu’il trouverait ce qu’il cherchait.
« Je l’aurait juré. » A-t-il murmuré. C’était si typique de Jade d’avoir toutes ses affaires admirablement rangées. Il a hoché de la tête. Elle n’était pas fille à simplement jeter sa lingerie en vrac dans un tiroir. Il y avait des ensembles complets : les soutiens gorges, les culottes et les portes jarretelles, certains avec les chemisiers assortis, et au-dessous de cela, il y avait des tiroirs entiers emplis de bas, des jupons de dentelle et des chemises de nuit.
Il passa voluptueusement ses mains sur ses sous-vêtements les plus intimes. C’était stupéfiant. Tout était en satin glissant ou en nylon brillant dans plein de couleurs différentes, tout était décoré d’une abondance de dentelle et de fanfreluches féminines. Il souri avec incrédulité à son organisation méticuleuse. Les ensembles blancs étaient rangés du côté gauche, suivis de près par les crèmes, les jaunes, les roses et des bleus pâles, puis les bleus foncés, les rouges, et finalement les noirs.
Il fur particulièrement attiré par un soutien gorge noir à demi balconnet, tout en dentelle et ruban. La pensée de ses seins pendants, pleinement supportés par ces armatures, tout en étant montrés avec audace et facilement accessible le fit saliver. Il s’est presque évanoui !
Cependant, ses sentiments de joie furent de courte durée. Il commença à réaliser que le mauvais côté de ses talents d’organisation et de rangement en matière de lingerie, ferait qu’il n’y avait absolument aucune chance d’enlever ou de remplacer un de ses dessous savoureux sans qu’elle ne le remarque. Elle noterait même la plus légère perturbation.
Pendant un moment il a eu un sentiment de tomber de son nuage, un sentiment de déception intense. Si prés de son rêve, si prêt. Alors, dans le tiroir inférieur il a noté un petit paquet, tout seul, bien rangé et enveloppé dans du papier de soie de soie. Il a voulait voir ce qu’il en était il s’est senti assez confiant pour le prendre et pour l’ouvrir soigneusement.
À l’intérieur d’un autre tiroir… il y avait un ensemble exquis de lingerie de luxe. Elle était belle. Cette fois il ne pourrait pas résister. Il ne s’embarrassa plus de ses précautions et il l’a étendue entièrement sur le lit à côté du jupon, se disant que cela lui rappelait la manière dont ses sous-vêtements étaient rangés. Soutien gorge, culottes, porte jarretelles et un paquet de bas en nylon cousus, tout qu’il pouvait espérée.
Son cœur s’emballait, car c’était le genre de lingerie somptueuse des vedettes de film si populaire vers la fin des années 50, et toutes ces aspirations au luxe et au glamour. Les étiquettes brodées bleues lui ont indiqué que c’était lingerie originale de marque » Vanity Fair « . Cela ne signifiait pas grand-chose pour lui mais il a deviné que c’était cher.
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