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Quand la chaire s’éveille.

Quand la chaire s’éveille.



Quand la chaire s’éveille.

Madame la baronne Éléonora Dupalkiri, de vieille noblesse espagnole avait épousé le baron Dupalkiri, noblesse d’Empire à l’âge de 16 ans et tout de suite elle fut mise enceinte et peu après, le baron ravalât son acte de naissance. Elle éleva son fils toute seule, mais la fortune de la famille était suffisante et elle tenait les affaires de son mari d’une main de fer.

À son service, il y a Jean, chauffeur et cuisinier, garde du corps et homme à tout faire et Jeanine, la gouvernante. Lors d’un déplacement pour les affaires de son ex-mari, Éléonora fut exposée à une situation délicate avec des truands qui en voulaient à sa personne. À cette occasion, Jean, qui entre autres était un adepte des arts martiaux, lui sauvât la mise, voir peut-être la vie. Le soir même, mélangeant les torchons et les serviettes, encore toute émotionnée, Éléonora l’invita dans son lit et depuis, il ne la quitta plus. Un mariage était exclu, mais, de sentir la force virile de Jean lui suffisait pour son bonheur.

Son fils Ramon, de manière très républicaine suivait l’école laïque, c’était un très bel adolescent qui arrivait sur ses 18 ans et l’an prochain, il devait rentrer à l’université de Loup vins. (spécialisée dans les jeux de mots stupides) Jean l’avait aussi formé aux arts martiaux et même parfois il dépassait le professeur.

Une affaire urgente appelant ses compétences au Japon, Éléonora, en compagnie de son garde du corps, demanda à son amie Luce de Joliharnais de la remplacer auprès de Ramon. La dite Luce était une rousse flamboyante bien pourvue par la nature, à la différence d’Éléonora qui était toute en finesse.
– Voilà Luce mon amie, je te confie à ses bons soins. Je ne sais exactement quand je vais rentrer du Japon, mais cela devrait être dans deux semaines environ, je prends Jean avec moi, car lui connaît mieux que moi les habitudes des japonnais, ayant pratiqué le judo jusqu’à la ceinture noire.
– Mais Maman, moi aussi j’ai le niveau de la ceinture noire, tu ne veux pas que ce soit moi qui t’accompagne.
– Non, j’ai décidé comme cela, et à priori, tu ne connais pas le japonnais à ma connaissance.

Le lendemain, l’hispano-suiza emmenait Éléonora et Jean vers le Japon, après que les présentations furent faites. Dans l’après midi, Luce proposa à Ramon de faire une promenade dans le parc qui était autour de la maison. Maison qui ressemblait plus à un petit palais qu’à une maison de maître.
Voyant Ramon, emmitouflé dans un pantalon d’hiver et pull-over de laine, par cette chaude matinée de mai, Luce ne put s’empêcher de lui recommander d’alléger sa tenue. Finalement elle lui choisit une culotte de sport et un petit chandail léger, ils prirent également avec eux un petit en-cas.
Après un quart d’heure de promenade à travers les bois de pin, ils trouvèrent un petit taillis, particulièrement discret où Luce proposa de s’arrêter pour utiliser l’en-cas emporté.
– Dis-moi Ramon, tu fais beaucoup de sport ?
– Oh! Oui, avec Jean, Maman a exigé que je m’entraîne régulièrement. J’ai un bon chrono à la course à pied et selon Jean, j’ai le niveau d’un candidat ceinture noire, mais maman ne veut pas que je fasse de la compétition. Elle dit que cela perverti l’esprit.
– C’est vrai que tu as des superbes jambes, dit-elle en laissant promener ses doigts effilés sur ses jambes en caressant les muscles.
Elle remonte même un peu plus haut que le genou créant un malaise chez Ramon qui se manifeste par un gonflement de sa culotte de sport.
« C’est quoi cela, se dit Ramon, j’ai déjà eu cette sensation pendant la nuit et le matin, j’ai mon pyjama tout plein de ce jus, ce qui poussait la gouvernante à lui faire des gros yeux quand elle venait faire sa chambre, mais à la différence de la nuit, où je ne me souviens de rien, ici, je trouve que ce n’est vraiment pas désagréable. »
– Dis-moi Ramon, est-ce que tu as une petite amie ?
– J’ai bien une amie avec laquelle je joue au scrabble quand notre famille rencontre les De Lambres, Ivana, elle a à peu près mon age, elle est très gentille.
– Oui, je comprends bien, mais une amie avec laquelle vous vous feriez des bisous ? « Mon Dieu, je suis retombée peut-être sur un vrai puceau pur crin » pense-t-elle, « il me va falloir jouer serré »
– Oh ! Non, Maman ne le permettrait pas, même Monsignor, le curé de la paroisse m’a fortement conseillé d’avancer mes études sans regarder trop les filles. Cependant, je trouve bizarre qu’il faisait la même chose que toi, mais c’était simplement désagréable.
– Tu aimes quand je masse tes jambes ?
– Oui, cela me fait tout drôle.
Luce contemple le résultat de ses caresses au niveau de la culotte de sport et se dit. « il a bien l’air d’apprécier et je vois un beau renflement de bon augure, mais ne poussons pas plus loin le bouchon pour le moment, il faut ferrer le poisson, mais pas lui arracher la bouche, à priori, je pense qu’il est bien ferré. »
– Bon on va rentrer, j’attends mon amie Line qui vient m’aider à te garder. « je suis en train de perdre la tête d’excitation en pensant à ce joyau encore tout vierge à disposition. J’en ai la culotte inondée, c’est une crue majeure, pire que millénaire, mais ne précipitons pas trop les choses. »
Ils remettent le reste de leurs pique-niques dans le sac à provisions et rentrent au château ; sur le perron, les attend une belle femme brune, aux cheveux courts, l’air un peu garçonne.
– Vous voilà ! Cela fait déjà un moment que je vous attends.
– Bonjour Line, nous étions en promenade, Ramon, je te présente Line, mon amie de toujours. Line, regarde ce beau garçon que nous devons garder.
… Ramon, viens nous montrer ta chambre. J’espère qu’elle est bien ordonnée.
– Oui, maman ne tolère pas le désordre. Venez, je vais vous montrer mon dernier modèle de train électrique.
– Je ne suis pas sûre que ce soit l’objet qui m’intéresse le plus, remarque Line, monte déjà, j’ai quelques choses à régler avec Luce.
– Je pense que c’est le moment de faire la sieste, réponds Luce, on viendra dans un moment.
– Je vous attends, mais ne tardez pas trop, je m’endors rapidement.
Le garçon, une fois parti, les deux femmes s’embrassent tendrement.
– Comment il est ce jeunet ? Questionne Line.
– Du diamant pure et vierge. Lui répond Luce
– Hum, tu penses que Éléonora n’a pas goûté ce fruit vert ? Cela m’étonnerait.
– D’après ce que j’en ai vu, non.
– Cela ne m’est pas arrivé depuis longtemps de prendre le label de garantie d’un tout jeune homme. Ça changera avec Julien qui m’énerve au plus haut point.
– Pourquoi tu ne l’envoies pas dans les roses ?
– À cause de son compte en banque, il faut bien que je puisse vivre décemment.
– C’est vrai. Heureusement que je n’ai pas ce problème avec la pension que je touche de mes parents. Viens allons voir ce qu’il a dans sa culotte.
– Arrête, je coule déjà, rien que d’y penser.
Les deux copines montent à l’étage et entrent dans la chambre de Ramon, là, elle le trouve couché sous l’édredon en pyjama.
Luce ne voulant pas trop le brusquer, s’asseye sur le lit et commence à lui caresser les plaques de chocolat qu’il a parfaites sur son thorax.
– Regarde Line comme il a un beau thorax. On voit qu’il fait bien du sport, dit-elle, en laissant ses doigts et même légèrement ses griffes parcourir cette poitrine, ce qui évidemment rappelle à Ramon la douceur de l’après-midi et se traduit par une érection que l’on peut deviner sous l’édredon.
Line, plus direct s’assied de l’autre côté du lit et sans hésitation se saisit de son sexe érigé.
– Il est plus homme que nous le pensions, dit-elle en rejetant l’édredon et en présentant un sexe ma foi fort honorable.
Line relevant sa robe lui présente à son tour son intimité légèrement cachée par une belle toison d’ébène, surpris Ramon constate qu’il lui manque quelque chose, elle n’est pas faite comme lui. Il avait bien remarqué déjà une fois avec sa copine dans le jardin, une fois où elle avait été prise d’une irrésistible envie de faire pipi qu’il lui manquait quelque chose, mais sa mère lui avait expliqué que cela pousserait plus tard, c’est comme cela avec les filles, mais là, il voit que cela n’a pas du tout poussé.

Excité par cette intrusion dans son intimité, Ramon se rue sur Line, poussé par un instinct séculaire, mais elle ne se laisse pas faire et lui propose :
– Tu ne veux pas aussi déshabiller Luce, je pense qu’elle serait bien contente.
Se retournant vers Luce, il commence à lui enlever son tailleur et sa blouse, son soutien-gorge et à ce moment-là, Line s’exprime :
– Chérie, mais tu es absolument mouillée, vite enlève lui sa culotte.
Une fois la culotte enlevée, Line bouscule le pauvre Ramon et lui disant :
– Pour les femmes, il en est de même que pour les gourmets, le premier jus leurs est réservé, car c’est le meilleur, les suivants ne le sont que par tes efforts pour les obtenir.
Les deux femmes se mettent en tête bêche et se dévorent l’entre-jambe à grands renforts de
– Gloups gloups Hmm.
Line est particulièrement ordurière pendant cette passe, elle en remontrerait à un charretier.
– Salope, putain, ton jus est super, magne-toi sac à foutre.

Jusqu’à que se tendant simultanément comme des arcs, elles jouissent dans un orgasme non maîtrisé, les laissant momentanément épuisées, couchées sur le lit.
Pendant ce temps-là, Ramon laissé de côté, voit son excitation initiale tomber et son sexe pend lamentablement entre ses jambes. Cependant, les deux gouines ayant pris leur pied, Line quitte la chambre pour aller dormir dans la chambre d’hôte, laissant Luce seule avec Ramon.
Luce se sent un peu coupable du déroulement de la situation et se retourne vers Ramon qui a l’air très confus, avec sa pine toute rabougrie. À ce moment-là, prise d’un remord, elle fait ce qu’elle n’accepte de faire à aucun de ses amants, elle prend la nouille qui pend lamentablement entre les cuisses de Ramon dans sa bouche et commence à la lécher et à la sucer.
Le résultat ne se fait pas attendre, elle reprend vite forme et rapidement remplit la bouche de Luce qui continue à lécher son sucre d’orge, tant et si bien qu’à la fin Ramon lui décharge dans la bouche sa première jouissance consciente.
Il pense, si j’osais, je dirais à Maman. « tu sais maman, j’ai giclé dans la bouche de Luce avec mon sexe, mais ce n’était pas du pipi, je n’ai jamais eu autant de plaisir. »
Luce de son côté expérimente aussi une première, c’est la première fois qu’elle avale le produit de couilles mâles. Mais tout cela n’a toujours pas réglé le problème de lui faire perdre son pucelage. Après avoir bien vidé sa bouche du reliquat de sperme, elle le reprend en bouche et avec la main qui caresse le sac et le scrotum, elle ravive la tige à une dimension raisonnable et arrivée à ses fins, elle se met sur le dos et elle lui dit :
– Viens sur moi.
En mettant la main entre leurs corps, elle saisit l’objet de son désir et l’introduit dans sa vulve qui était plus que prête à cette intromission.
Ramon comprend très vite ce qu’il faut faire et il commence à faire un mouvement régulier au grand bonheur de Luce qui n’en revient pas de comment il a si vite compris.
Elle part à son tour dans un délire orgasmique et comprime le goujon qui la taraude de plus en plus fort, ce qui plaît de plus en plus à Ramon et finalement ils partent les deux dans une grande jouissance.
Quelques respirations plus tard, Ramon revient sur ses réflexions précédentes et complète : «  Maman, j’ai non seulement giclé avec mon sexe dans la bouche de Luce, mais j’ai aussi giclé dans le sien. Tu sais, il lui manque aussi quelque chose qui ressort, mais à la place, elle a un trou, ce qui permet d’agréables choses. »
Pour Luce, après ce premier round, elle estime qu’un supplémentaire serait pas mal, mais il faut un peu le dégrossir.
– Viens dans mes bras, que penses-tu de ma poitrine ?
– C’est joli, mais cela sert à quoi ? Pourquoi je n’en ai pas une comme toi ? Est-ce que c’est seulement les femmes qui ont ceci, comme maman.
– Oui, mais, si cela sert à alimenter un bébé quand il arrive, il sert aussi à créer le plaisir chez une femme quand un homme les suce, les lèche, les caresse.
– Je peux essayer ?
– Oui, j’allais te le demander. J’ai encore envie qu’on s’amuse un peu comme tout à l’heure, tu as aimé ?
– Oui, je n’ai jamais senti quelque chose de si bon, ou peut-être lors de l’entraînement d’endurance que m’impose Jean.
Mettant ses lèvres sur les bourgeons qui émergent de la poitrine de Luce, il a en même temps un parfum chargé de phéromones qui tout de suite lui fait repartir l’érection tant désirée.
– Dis-moi, c’est quoi ce parfum que tu as, cela me fait tout bizarre et je ne peux m’empêcher que ma zigounette se durcisse follement.
– C’est un parfum que beaucoup de femmes font naturellement pour attirer l’homme, un peu comme le papillon avec la lumière.
– C’est vrai que quand Jean sortait de la chambre de mère après avoir contrôlé la sécurité, il y avait aussi cette odeur qui me troublait toute la nuit. Tu penses qu’ils faisaient comme on fait maintenant ?
– Cela, je ne le sais pas, elle ne m’a jamais invité pour le contrôler, mais c’est bien possible.
… Mets-toi sur le dos, je vais te montrer une autre façon de faire l’amour.

La suite de l’éveil

Se plaçant à cheval sur son bas ventre, Luce place son sexe en face de celui de Ramon et lentement elle se laisse descendre en se l’enfilant avec un plaisir non dissimulé. Arrivée au fonds, elle sent que cette longue tige tape contre son utérus lui procurant des vibrations qu’elle ne connaît pas avec son amante. Elle remonte quelques centimètres et se laisse à nouveau choir, son pubis tapant celui de Ramon qui la ramone consciencieusement. On sent que c’est un bon sportif, il maîtrise bien son excitation avec les muscles du bas ventre.

– Tu feras un bon amant, lui susurre-t-elle essoufflée par sa cavalcade, tu tiens bien la distance.

– Comment cela ?, dit-il

– Tu ne prends pas ton plaisir tout de suite, mais tu laisses à la partenaire le temps pour s’éclater.

Sans autre, elle se penche en avant et elle arrive à d’une part taper son utérus et à caresser son bouton magique avec l’os du pubis de Ramon. Il ne lui en faut pas plus pour repartir dans la jouissance et lui, piéger dans cette chatte bouillante, il finit aussi par rendre les armes.

Ils s’endorment dans les bras l’un de l’autre.

Le lendemain, c’est Ramon qui s’éveille le premier et en descendant au rez, il passe devant la chambre d’ami où il voit que Line est en train de refaire son lit et après le bonjour, il lui propose de lui aider à le faire.

La jeune femme, sans s’en rendre compte, en se penchant en avant, présente une belle poitrine à la vue de Ramon, qui aux souvenirs de la soirée passée, ne peut empêcher son dard de guigner à travers son pyjama. Évidement, cela ne tombe pas dans l’œil d’une aveugle, mine de rien, Line fait le tour du lit et d’un coup se saisit de la pine de Ramon qui sortait de son pantalon de pyjama.

– Alors, on a bien joué cette nuit ?, dit-elle en tenant fermement l’objet convoité.

Ne faisant pas la différence entre ses deux femmes, Ramon la renverse sur le lit et ouvre la nuisette qui la protégeait, mettant en évidence une belle fourche bien garnie et juteuse à souhait, sans préliminaire, oubliant les conseils de Luce, il la plaque sur le lit, écarte ce qui le gêne, c’est-à-dire les cuisses et sans autre forme de procès, se plante au beau milieu de Line, lui labourant le vagin de sa pine insatiable.

– Salaud, cochon, violeur, tu ne m’auras pas comme cela.

Se rappelant que c’est sa façon de jouir, d’avoir un langage qui dépasse la réalité, il continue à la bourrer et à labourer son sillon, comme avec Luce, il ne se laisse pas aller à se satisfaire tout de suite, mais s’applique à laisser monter les tours de Line. Il sent le petit ergot qui frappe son pubis et a un malin plaisir à le limer, tirant une symphonie de gloussement de la part de Line qui n’en revient pas qu’un homme puisse lui apporter une telle félicité. Finalement elle jouit bruyamment et violemment avant que Ramon lui octroie une rasade de jus concentré de pruneaux.

– Salaud, tu m’as bien fait jouir, je ne pensais pas que cela m’était possible avec un homme.

– Et encore, je n’ai pas touché tes accélérateurs, qu’est-ce que cela aurait été si j’en avais abusés.

– Je dois y aller, je reviendrai peut-être ce soir si tu veux.

– Vois avec Luce, c’est elle qui gère. Ciao bella.

Remontant dans sa chambre, il retrouve Luce qui émerge d’un profond sommeil et en s’étirant comme une chatte, elle lui lance un sourire chaleureux.

– Alors, tu as été réveillé Line ?

– Oui, j’ai voulu lui aider à faire le lit quand elle m’a pris par les sentiments et cela s’est transformé en une bataille. Bataille qu’elle a perdu du reste. Mais elle ne m’avait pas l’air trop traumatisée.

– Quoi tu …

– Oui, comme pour toi hier soir, j’ai vite mis en pratique tes leçons et elle m’avait l’air très contente, elle m’a du reste avoué qu’avant moi, elle n’avait jamais pris son pied avec un homme. J’en avais les chevilles qui gonflaient.

– Tu as réussi effectivement une chose assez rare, il faut croire qu’elle avait de bonnes dispositions ce matin. Habituellement, elle hait les hommes. Je suppose qu’elle a eu un traumatisme dans sa jeunesse, mais là, puisque tu étais un innocent aux mains pleines, elle n’a pas eu le ressentiment habituel.

– Mais il y a une chose que je ne connais pas, quand vous avez commencé hier, vous vous êtes mises en tête-bêche et cela semblait très bon. J’aimerai aussi bien essayer, mais je ne l’ai jamais fait.

– On va commencer de manière asynchrone. Mais d’abord, je vais prendre une douche, il y a les restes de notre nuit et je ne suis pas sûr que tu aimerais, si certains en raffolent, la plupart des hommes évitent.

– Alors on va les deux sous la douche.

– Si tu veux, dit-elle en se découvrant et lui présentant sa nudité affriolante.

À cette vue, son jeune amant ne peut que manifester son enthousiasme en présentant une gaule qui sort de son pyjama. Le prenant par la main, elle l’attire vers la douche en se réjouissant de la suite. Mutuellement, les deux enlèvent les résidus amoureux qui polluent les parfums intimes de chacun.

Une fois propre, après essuyage mutuel, où Luce devant cette marque vibrante d’affection que Ramon lui témoigne ne peut s’empêcher de lui donner un petit bisou sur l’objet de son désir.

Bien que très fier de susciter un tel engouement, Ramon a une autre idée en tête, goûter ce parfum qui sort de l’intimité féminine.

– Viens Luce, j’ai hâte de m’occuper de ton intimité.

Elle s’étend sur le dos en laissant ses jambes fines posées sur le lit.

– Commence par le bas, embrasse-moi les pieds, puis remonte en léchant les mollets, puis l’intérieur des cuisses.

Sans contrariété, suivant les indications de sa maîtresse, il remonte jusqu’à l’aine en laissant traîner sa langue sur cette peau très fine. Arrivé à l’aine, à l’orée d’une charmante petite forêt de poils, agrémentée d’une clairière d’où jaillit une source divine d’un parfum étourdissant, comme l’abeille, il sort sa langue pour récolter ce nectar.

Relevant ses jambes fines, Luce présente sa corolle, surmontée d’un joli pistil à l’abeille butineuse qui s’appelle Ramon.

– Voilà, tu y es, plonge ta langue au milieu de ma corolle et essaye de boire un peu de mon nectar, ensuite, rien ne s’oppose à venir butiner mon pistil qui n’attend que ta visite.

Mettant en pratique ces doctes conseils, Ramon plonge sa langue au milieu de la fleur de Luce et butine du mieux qu’il peut ce nectar sourdant des profondeurs de sa maîtresse. Il se pourlèche les babines en léchant ces lèvres qui sont si accueillantes et douces, finalement il remonte lentement vers la tête et au passage happe ce bourgeon érigé à l’entrée de la crevasse, il le suce comme un bonbon, créant chez Luce un véritable tsunami, les vannes de fond du barrage de l’amour sont grandes ouvertes, de puissantes giclées de cyprine viennent heurter le menton de Ramon, lui rappelant qu’il y a une suite à donner et que sa maîtresse attend probablement un complément à ce hors d’œuvre.

– Somme-toute, je le fais à l’envers, j’ai commencé par les pieds et vais aboutir vers ta poitrine qui m’attend, je suppose avec impatience.

– Viens en moi, je suis impatiente de te sentir dans mon ventre. J’ai faim de toi. Mon sexe appelle le tien.

À nouveau, Ramon, présente son mat à l’entrée de la mer de Chine, à moins que ce soit le détroit de Gibraltar et d’un coup de rein brusque et pas sec, vu comme elle mouille, il s’enfonce dans les délices situés au milieu de ces cuisses.

– Ha ! C’est bon, j’aime quand tu me mets ton sexe dans le mien, ils s’adaptent bien l’un l’autre. Et c’est encore meilleur quand tu pompes avec persévérance. Donne-moi ta bouche, j’aimerais aussi avoir ta langue et jouer avec.

Quelques orgasmes plus tard, Luce un peu vidée et lui, les couilles un peu asséchées, ils décident de faire un break pour se restaurer et jouir d’une belle journée. Comme hier, ils se baladeront dans le parc, mais avant de partir, Ramon lui demande :

– Au fait, Line, elle revient ce soir ?

– Je ne sais pas, elle aurait déjà dû me téléphoner.

– Si elle téléphone, tu lui dis de venir ?

– Tu veux ou si tu préfères être tout seul avec moi ?

– Je ne sais pas, d’un côté, c’est mieux quand on est que les deux, mais à trois, c’est plus instructif. Mais pour ce soir, je préférerais que l’on soit que nous et pour demain, invite-là, si elle n’y voit pas d’inconvénient.

À ce moment précis, le téléphone de Luce sonne et comme par hasard, c’est Line qui s’informe si elle peut venir ce soir.

– Bonjour ma chérie, est-ce que cela te dérangerait de venir que demain ? J’aimerais voir encore certaines choses avec Ramon.

La leçon de sciences naturelles.

– Je te comprends ma chérie, ce mâtin, ce matin, il m’a fait décoller, comme un Tupolev, j’ai vraiment dû m’accrocher sérieusement pour ne pas partir et me satelliser. C’est fou ce qu’il apprend vite, cela va  être le nirvana demain si tu perfectionnes encore ses qualités.

Le soir venu, c’est le téléphone de sa mère qui veut avoir des nouvelles :

– Alors mon chéri, comment cela se passe avec Luce ? Vous vous entendez bien ?

– Oui maman, elle m’apprend des tas de choses que je ne connaissais pas.

– Par exemple ?

– Comment une cavalière peut monter un pur sang sans décoller les pieds du sol.

– C’est quoi cela ?

– Je ne sais pas, c’est ce qu’elle m’a dit ce matin lors du réveil.

– J’ai peur de comprendre, passe-la-moi tout de suite.

– Allo, c’est vous Luce, je ne comprends pas ce que me raconte Ramon, racontez-moi plus en détail.

– Ce n’est pas difficile, je lui montrais quelques vidéos sur des chevaux qui ont le garrot relativement bas. Comment se passe votre séjour au Japon ? Et Jean, il va bien.

– Oui, très bien, mais on reviendra séparément. J’ écourte mon séjour et lui, il veut rester encore au moins un mois au Japon pour améliorer son aïk**o, si bien que je vais me trouver sans chauffeur, ni garde du corps.

– Mais Maman, je viens de passer mon permis et comme garde du corps, je garderai bien le tien, juste que mon entraîneur me manquera et je suis un piètre jardinier, mais cette dernière chose n’est pas trop grave je pense.

– Alors, il te faut t’attendre à ce que je rentre la semaine prochaine, je te dirai en détail quand il faudra venir me chercher à Charles De Gaule.

Là-dessus, elle coupe la communication.

– Zut, cela va être court comme vacances, commente Ramon, j’aimerais encore bien profiter de mes nouvelles connaissances.

– Ne t’en fais pas, je vais bien t’entraîner également, mais pas dans les arts martiaux, mais plutôt dans les arts maritaux. On va dans ta chambre pour répéter les derniers chapitres vus et on va ajouter un nouveau.

Arrivés dans la chambre, évidement les deux se retrouvent rapidement nus comme au premier jour et Ramon a toujours cet air enthousiaste en voyant cette belle rousse resplendissante. Il a déjà le goût à la bouche en pensant la dernière confrontation, lorsqu’il l’a léchée de tout son saoul.

– Ce soir, je vais t’offrir la dernière virginité qui me reste.

– C’est quoi ?

– Mon anus ! Rien, ni personne n’y a pénétré, c’est un cadeau que je veux te faire en remerciement de m’avoir donné ton pucelage. Mais au préalable, il faut bien le préparer si j’en crois mes copines qui l’ont déjà perdu. Si c’est mal fait, c’est vraiment désagréable.

… Si au commencement, Dieu créa l’homme et la femme, c’était pas pour le plaisir, dit-on, mais pour prospérer. Finissant par en avoir marre d’être en cloque chaque année, elle s’est dite qu’il y avait un autre trou et que cela devait aussi fonctionner. Mais cela ne fut pas immédiat, il lui fallut plusieurs générations pour s’en rendre compte, mais une fois la découverte faite, elle en abusa et la terre commença à se dépeupler, ce qui ne faisait pas les affaires du barbu de l’étage supérieur.

… Fâché, il les punit d’abord avec un déluge , puis dans une ville où c’était la règle, l’enculage, et non l’exception, il lui envoya l’équivalent de deux ou trois fois la bombe d’Hiroshima, après, il baissa les bras et laissa tomber et du coup, il inventa l’église et lui recommandant de proscrire cette mauvaise habitude à ses yeux. Voilà pour l’histoire.

… Maintenant la pratique. L’homme, bénéficiant de ce cadeau doit être très doux et attentif à celle qui se soumet à cette façon de faire. Avant toutes choses, madame a intérêt être particulièrement propre et un lavement est recommandé, car il est bien vu que l’homme fasse un baiser sur l’anus et même le lèche, comme si c’était un sexe. Ce qu’il faut faire abondamment, car contrairement à la vulve, l’anus ne produit presque pas de lubrifiant. Une fois bien léché et pourléché, on peut mettre un corps lubrifiant, de l’huile, du beurre, de la cyprine, les plus rustres, du crachat. Après seulement, on envisage de faire pénétrer le sexe dans l’anus.

– Mais chérie, ce que tu me racontes là, c’est presque un cours de la Sorbonne. Mais viens, j’ai soif de ta fontaine, j’aime tellement ton goût et ton odeur de rousse.

– Tu ne veux pas qu’au préalable, je passe sous la douche et me fasse un lavement pour avoir un petit cul tout propre à déguster ?

– Si tu veux, mais c’est moi qui tiens la pomme et la poire.

– Petit coquin, c’est d’accord.

– Je vais chercher le nécessaire dans la chambre de bain de maman, si je me souviens bien, elle l’utilise souvent, maintenant, je comprends pourquoi.

– Va.

Revenant de la chambre avec ce nécessaire, il ne peut s’empêcher d’y mettre son nez.

– Mais cela ne pue pas la merde, mais plutôt le parfum intime.

– Normal, parfois, il faut bien nettoyer aussi l’intérieur de son sexe, viens on va dans la tienne pour faire le lavement.

C’est ainsi que Luce se retrouva à quatre pattes, le cul en l’air attendant que la burette vienne faire son office. Ramon, appuie délicatement l’embout sur l’œillet, fait pénétrer la canule au maximum et serre la poire de toutes ses forces, expulsant force d’eau tiède dans l’intestin de Luce.

Celle-ci, sans façon, se pose sur les toilettes et rejette toute l’eau qui avait été injectée. Ramon n’en perd pas une miette de voir tous ces détails.

– Encore une fois, dit-il par excès de prudence.

Luce,  après s’être bien essuyée, lui tend son cul vers la figure :

– Contrôle si c’est bon.

Si le chaton de la chanson y mit la patte, Ramon, lui y mit le bout du nez, pirouette cacahuète.

– Je confirme, c’est bon, je suis impatient de la suite, dit-il en pensant : Fleurs au balcon, tison dans le fion.

– Mais avant, j’aimerais bien sucer pour apprêter cette belle saucisse.

C’est ainsi qu’elle se retrouve à genou, comme une communiante, la main tenant la baguette magique pour la faire rentrer dans sa bouche.

– C’est très bon. Mais ce que je veux, c’est ton fion, maintenant que tu me l’as promis.

– Le voilà, dit-elle en présentant son fessier à la concupiscence de Ramon.

Tirant la langue, Ramon passe une fois à l’entrée principale, car c’est là que l’apport gustatif est le plus grand, la crevasse étant déjà bien humide, avant de se diriger vers l’entrée de service pour la ripoliner.

– C’est bon, je le fais bien.

– Oui, très bien, c’est très agréable, tu peux me mettre un, puis deux, puis trois, puis quatre doigts pour l’assouplir avant d’enfiler ta queue. Mais avant va chercher un peu de vaseline, il doit bien y en avoir dans la chambre de bain de ta mère.

Il cherche un bon moment et revient avec une boite assez grosse :

– Il est écrit dessus graisse à traire, tu penses que cela va faire l’affaire ?

– Mais oui, c’est exactement ce qu’il faut. Je vois que Madame la Baronne, de temps en temps, permet l’utilisation de l’entrée de service à Jean, je suppose pour se soulager.

… Mets en bien sur la corolle avant de mettre les doigts pour bien graisser et que cela glisse bien.

– Il faut aussi m’embardoufler le sexe ?

– Ce serait aussi pas mal.

Après tous ces préparatifs, Ramon présente les armes à l’entrée de la grotte, Luce fait semblant de pousser un gros caca et dit :

– Vas-y, je crois qu’on ne peut pas plus préparer, mais va lentement pour m’habituer et profite pour me caresser le bouton d’amour ou les seins.

Poussant avec conviction sa queue à l’orée du puits de Sodome, il y fait pénétrer le gland et s’arrête :

– ça va ?

– Oui, continue, maintenant que le gros des troupes est passé, cela ne devrait pas poser de problème.

– Mais ça serre terriblement, j’ai l’impression de forcer le détroit de Gibraltar.

– Va bien au fond et commence à ramoner ma cheminée.

Se tenant à la poitrine de Luce, Ramon commence la journée avec les pompes, et un et deux et trois. Arrivé à un nombre impressionnant, quand même pas Gogol, Luce qui a déjà grimpé tous les rideaux de la chambre et est en train de s’essayer sur les stores et les volets, puis finalement épuisée, elle abandonne la course, elle a largement gagné, vu que Ramon, maîtrisant bien la situation n’a pas encore fait dégorger son poireau.

– Tu ne veux vraiment pas craché ton miellat, j’en peux plus.

– J’attendais que tu rendes les armes pour inonder tes boyaux. C’est intéressant comme sensation de sentir mon saucisson racler les parois de ton colon. Je viens ! et d’un grand coup de balancier, il lui envoie le lisier. Ah ! c’est bon, dit-il en se retirant de l’antre de Sodome, mais je préfère l’autre côté, on a moins tendance à s’emmerder.

– Ne me dis pas que tu t’es emmerdé, avec les 2 lavements que l’on a faits !

– Non, mais je pense aux fois qu’on oublierait de nettoyer le passage.

– Je pense que maintenant on peut dormir un peu, je suis épuisée.

Les deux s’endorment à l’hôtel du cul tourné, quant au milieu de la nuit, Ramon se retourne et voit Luce dans toute sa splendeur, avec sa chevelure rousse étalée, éclairée par une lune insolente. Il se sent à nouveau prêt pour un autre combat amoureux, ses armes sont bien affûtées. Délicatement, il met la main sur les seins de Luce, ce qui entraîne un grognement qui se transforme en ronronnement au fur et à mesure du réveil de la belle. Sa poitrine généreuse se tend et ses tétons s’érigent, durcissent jusqu’à obtenir une dureté Brinel convenable.

– Hmm ! Voilà un réveil de rêve, je vois que tu as encore envie, dit-elle en mettant la main sur la preuve de son intérêt qui est tendu comme un arc mongol.

Elle se retourne vers lui et le couche sur le dos, l’enjambe et présente sa tirelire à ce dard, affamé sitôt le matin. Lentement elle se laisse descendre sur cette colonne Vendôme, jusqu’à ce que sa toison se mêle avec celle de Ramon et là, elle reste immobile, appréciant ce moment de plénitude matinale avant d’entamer un mouvement chaloupé qui se transforme bientôt en la charge héroïque de la X brigade lors de la prise de Sébastopol. Massant consciencieusement la tige qui occupe son vagin, elle réussit pour une fois à le faire sortir de ses gongs avant elle, il n’arrive à contenir l’invasion de ses spermatozoïdes qui viennent tapisser violemment les parois de sa grotte, ce qui irrémédiablement l’amène à un orgasme libératoire.

– La journée a bien commencé, mais j’aimerai encore un peu dormir, c’est trop tôt pour se lever.

– Excuse-moi, mais ta beauté, auréolée par une lune indiscrète a créé un besoin de câlin très fort. Tu ne m’en veux pas ?

– Non, mais on va s’endormir encore une fois dans les bras l’un de l’autre.

C’est ainsi que mettant sa tête sur le torse de Ramon, elle jouit des parfums de l’Andalousie qui malgré son état de fatigue remuent à nouveau sa libido. Elle promène sa main sur son thorax et griffant légèrement la peau.

– Si c’est ainsi que tu conçois le repos, j’ai l’impression qu’il sera de courte durée, tes caresses ne vont pas tarder à réveiller le colle os, l’avertit Ramon en caressant son abondante chevelure.

– Ce qui doit arriver, arrivera. Je ne me plains pas. Tu me baises si admirablement.

Le soir, qui voit-on arriver ? C’est Line sans Renaud qui a envie à nouveau d’un petit coup de pioche ou d’une grande léchée avec Luce. Elle les trouve les deux à table, avec des escargots et des coupes de champagne. Jeanine qui avait bien compris le manège de Luce s’était appliquée et avait sorti toutes ses recettes de cordon bleu. Le beurre à l’ail était tout simplement fabuleux. Aux Charbonnières, il faut dire qu’ils savent les apprêter les gastropodes et encore les délicieux Mont-d’or.

– Je peux m’inviter ? J’ai grand faim et ce que je vois ne résout en rien ma fringale.

– Mais bien sûr, Janine, tu peux rajouter un service et une ration.

– Pour le service et le champagne, tout de suite, mais pour les escargots, il faudra un peu de patience.

– Tant qu’à faire, mets toi aussi un service pour toi et partage avec nous ce repas.

– Je ne sais si j’ose ?

– Mais bien sûr si c’est moi qui te le demande ! Par la même occasion, à la suite, tu nous feras des pêches flambées au cognac.

Une fois les impératifs du service réglé, elle vient s’asseoir à côté de Line qui d’une manière polissonne, entreprend de la draguer.

– À table, allégez votre tenue Janine, je vais vous aider à enlever votre tablier et ce qui n’est pas nécessaire, lui dit-elle

En détachant les cordons qui tenaient les tabliers, elle ne peut s’empêcher pour le prendre, de mettre ses deux mains sur les seins de Janine qui devient toute rouge de confusion que son petit maître voie qu’elle se fasse tripoter les nichons par une femme.

– Tu as une jolie poitrine, lui affirme Line, est-ce que Ramon y a déjà touché ?

– Line, tu vas trop loin, l’admoneste Luce qui a l’esprit des convenances ; on ne mélange pas les torchons avec les serviettes.  

– Quand on ajoute un sommet à un triangle, cela fait un quadrilatère. Enfin je sais que toi et les math,

– Dites-moi Jeanine, êtes-vous fâchée ?

– Non, mais juste un peu troublée, je n’ai pas l’habitude d’avoir une jolie femme me tripoter les nichons, mais je ne me plains pas !

– Plus directement, voulez-vous jouer avec nous cette nuit ?

– Volontiers, surtout que depuis que Monsieur a décédé, la vie est bien morne.

Le retour de mère.
Mardi après midi, ils reçoivent un câble.
:Sauf accident, arrive demain à 12h au Bourget E.
Les voilà partis Luce et Ramon pour arriver un peu avant midi au Bourget (CDG n’était pas construit à l’époque), à peine arrivés, ils constatent que l’avion arrive pile à l’heure. Les formalités douanières ne sont vraiment qu’une formalité pour Mme la Baronne.
– La voilà, remarque Ramon en se précipitant vers sa génitrice.
– Mère, que je suis heureux de vous revoir ! Lui dit-il en la pressant sur sa large poitrine.
– Moi aussi mon poussin. J’ai l’impression que tu as encore grandi ! Bonjour Luce ! Alors Ramon a été sage et à la hauteur ?
– Oui Éléonora, un vrai ange et qui fut bien à la hauteur !
Les voilà qui s’embarquent tous dans la voiture et Luce qui a déjà préparé ses valises, doit un peu réfréner les ardeurs de Ramon qui voudrait le faire une dernière fois.
– Non mon biquet, il n’en est plus question ! Les vacances sont terminées tout rentre dans l’ordre.
– Mais je vais faire comment, maintenant que tu as débloqué ma sexualité ?
– C’est pas mon problème, tu trouveras bien une petite amie ou une autre femme, il faut chercher.
– Oui, certainement, mais une aussi bonne que toi, cela va être difficile.
– Merci du compliment, cela me touche, mais c’est non. Je ne veux pas me mettre à dos Éléonora.z
Redescendant au rez, Ramon a une idée :
– Mère, tu me permets de raccompagner Luce chez elle avec l’Hispano ?
– Si tu veux mon chéri, moi je vais dormir un peu, cela fatigue ces longs voyages et pour moi, il est passé minuit à l’heure du Japon.
C’est ainsi que prenant l’Hispano, Ramon reconduit Luce chez elle et surprise, il y a aussi Line qui l’attendait impatiemment.
– Bonjour ! Tiens tu es là aussi, maman t’a laissé sortir, fait-elle de manière impertinente.
– Pourquoi es-tu si impertinente ? C’est normal que je raccompagne Luce.
– Certainement, mais j’espère que tu ne vas pas traîner trop long temps, j’ai des tas de choses à voir avec elle !
– Dis-moi un peu, est-ce que ces tas de choses à voir, ne serait pas plutôt des tas de choses à sucer ?
– Gros malin, comment tu as deviné, mais dis-moi, c’est ma vue ou ma conversation qui gonfle ton pantalon ? Répond-elle en lui mettant la main sur l’entre-jambe, il me semble que tu as de biens belles choses à apprécier ici.
– Line, tu m’emmerdes, j’ai déjà eu assez de peine à lui faire comprendre que maintenant c’était fini avec nous et maintenant tu le provoques.
– Tu ne serais pas pour un petit au revoir à trois.
– Peut-être, mais pas une au revoir, mais un adieu.
Ces querelles de femmes avaient bien refroidi l’enthousiasme de Ramon et de manière significative.
– Voilà, avec tes remarques, tu nous fais encore rater un bon coup, se plaint Line qui, du coup, a lâché l’objet de ses envies.
– Bon mes amies, il faut que je rentre, maman va m’attendre, dit-il alors qu’il sait, que sa mère est au lit, profondément endormie.
– Attends un peu, je reviens sur ce que je t’ai dit, on va faire un petit adieu coquin, mais après ce sera fini n i ni, demande Luce.
– Je serais d’accord si Line me fait le même cadeau que toi !
– Qu’est-ce que tu lui a fait comme cadeau, j’ai peur de comprendre, s’effraie Line qui s’image avec raison que son dernier pucelage risque bien de partir sur les couilles de Ramon.
– Je pense que tu as bien deviné, tu as toujours de la vaseline, celle qu’on utilise pour nos jeux.
– Oui, mais cela va être dur.
– Ne t’en fais pas, je vais bien te préparer le trou du cul pour qu’il soit bien accueillant.
Les voilà qui se retrouvent les trois, tous nus dans la chambre de Luce, avec un lit kingsize, Line, les fesses en l’air, Ramon tendu comme un arc mongol et Luce, le visage entre les fesses de Line en train de lui faire une feuille de rose. Line, voulant mettre toutes les chances de son coté, a saisi le sexe de Ramon qui est bien tendu et lui le tartine avec la graisse à traire, Produit recommandé par l’OMS pour toutes activités de ce type, car elle contient non seulement de la vaseline, mais aussi un produit désinfectant, destiné aux mamelles des vaches.
Luce plonge aussi un doigt dans la boite pour en extraire une belle coquille et retirant sa langue de l’anus de Line, l’embardoufle en profondeur en lui mettant deux doigts dans rectum.
– Voilà, je crois qu’elle est prête pour se faire enculer, annonce Luce, très satisfaite que sa compagne perde aussi son dernier pucelage.
Ramon, avec sa tige bien au garde-à-vous, d’un mouvement lent s’enfile dans le rectum de Line, sous la surveillance de Luce.
– Putain, t’es gros, mon petit cul ne va pas le supporter.
À ce moment-là, Luce présente sa moule non frite à la dégustation de Line.
– Tiens, bouffe-moi mon minet, cela t’occupera et t’empêchera de faire de mauvais commentaires.
– Putain, c’est vrai qu’elle est étroite, j’ai presque de la peine à rentrer. Je vais lui mettre trois doigts pour lui l’assouplir un peu.
– Non continue lui dit Luce qui tient fermement la tête de Line entre ses cuisses, cela va lui faire un énorme plaisir de souffrir un peu.
– Ah bon si tu le dis, commente Ramon qui du coup pousse un bon coup et rentre complètement dans son boyau.
– Aïe, brute ! Marmonne Line, la tête collée au pubis de Luce, Salaud, ça fait horriblement mal.
Du coup, Luce se penche un peu en avant et libère une main qui s’abat avec vigueur sur les fesses de Line, les teintant d’une belle couleur rouge pour ne pas dire écarlate. Ce qui a pour effet de diminuer la souffrance anal pour la concentrer sur les fesses et lentement, Line sent les biens-faits du ramonage de Ramon.
– Putain, cela devient bon, plus fort, du nerf mon gaillard, brame-t-elle , la bouche collée sur la fourche de Luce. Encore, encore Je viens j’arrive je décolle, je m’envole complète-t-elle en donnant de violents coups de cul contre la bite qui lui laboure l’arrière-train. Viens, vide-toi dans mes intestins.
– À tes ordres lui répond Ramon qui envoie de voluptueuses giclées de crèmes béchamel lui crépir le gros colon et après, il retire son trépan passablement enrobé de matières brunâtres.
– Il faut que je passe sous la douche, tu m’as laissé pas mal de souvenirs peu ragoutants de tes intestins, je ne peux décemment honorer Luce avec une queue au chocolat. C’est bon pour abîmer les outils de camping.
– On peut y aller ensemble, un petit coup devant ne me gênerait pas, dit Line d’un petit air gourmand.
– Et moi et moi pleurniche Luce en singeant Claude François.
– Et toi et toi, ce sera pour plus tard, lui dit Line. J’ai acheté un gode ceinture, on pourra te faire une double, après tu seras certainement repue.
Deux heures plus tard, les deux femmes, le cul en compote, mais contentes de cet intermède prennent congé de Ramon qui rentre au bercail. Il a la surprise de voir mère debout les yeux sévères.
– Tu en as mis du temps pour raccompagner Luce.
– Tu sais, maman, il y avait Line et elles m’ont proposé une partie de poker et comme je ne savais pas bien jouer, j’ai perdu.
– Certainement, mais j’ai l’impression que tu as perdu plus que tu ne m’avoues, je sens comme une drôle d’odeur. Une odeur de femme !
– Oui, c’est Line, je ne sais pourquoi, elle se frottait toujours contre moi et c’est vrai que j’avais remarqué cette odeur quand j’étais là-bas, mais je suppose que je dois m’y être habitué.
– Bizarre, je pensais que Line n’appréciait que les femmes !
– Ça, je ne sais pas ! Mais j’ai l’impression qu’elle m’a à la bonne. Mais tu sais, maman, cette odeur, je l’ai déjà respirée ici, quand Jean quittait ta chambre après avoir contrôlé la sécurité.

Les travaux d’approche

Là-dessus, Éléonora pique un phare qui lui rappelle que cela fait déjà trois jours qu’elle n’a pas été visitée. « Comment vais-je faire pour tenir si longtemps à l’absence de Jean, il ne revient pas avant un mois au minimum et je me demande s’il ne va pas en profiter. »

– Là n’est pas la question réplique-t-elle. Demain, nous irons à Marseille, je participe à un conseil d’administration, tu m’accompagneras comme le faisait Jean. Je compte sur toi. Il faut que tu t’investisses un peu dans les affaires familiales.

– Bien, mais tu devrais encore te reposer, pour être en forme demain.

Le lendemain, ayant fait le plein de l’Hispano, les voilà les deux sur les routes de France et de Navarre. Lyon, Montpellier, Marseille, avec un petit arrêt intermédiaire dans un trois étoiles Michelin. Sur les indications de sa mère, Ramon se gare devant le Continental en laissant les clés au chasseur.

– Viens on va se rafraîchir, lui dit sa mère.

Arrivés à leur chambre, qui comme du temps de Jean est commune, Ramon, ne peut s’empêcher de remarquer :

– Mais mère, tu vas manquer d’intimité.

– Qui te dit que je la recherche. Maintenant que tu es un homme et un beau, cela ne me gêne pas de manquer d’intimité.

– Que dois-je comprendre ?

– Ce que tu peux.

Après avoir pris une douche, séparément, les deux se retrouve dans le salon de la suite.

– Il faut que je te débriefe un peu la séance. La première fois, j’étais avec Jean et cela a failli mal se terminer, heureusement que Jean était là pour remettre les pendules à l’heure, ce que je ne sais pas, c’est que si avec ton air juvénile, ils ne vont pas se permettre de gestes déplacés pour faire pression sur moi. Là, il te faudra intervenir, avec tous le tact voulu.

– Si Jean a réussi à te sortir d’une mauvaise situation, il n’y a pas de raison que je ne le puisse pas.

– La société est: « immobilière pour tous. » Je les soupçonne d’avoir un pied dans la mafia.

– La question est de savoir si ils ont des armes à feu ?

– Non, je ne crois pas, mais les secrétaires ont l’air plutôt de joueurs de rugby, alors que monsieur Delpatio a l’air d’une tapette. Mais la première fois, il a essayé de me peloter, ce qui lui a créé un problème ensuite pour aller pisser, vu le coup de genoux que lui a refilé Jean. Après, il lui a fallu se farcir les joueurs de rugby, cela a bien duré une bonne minute avant qu’ils soient tous KO, finalement, les mains sur son bas ventre en grimaçant et terrifié, Delpatio a accepté toutes nos clauses qui fut à l’origine d’un très bon contrat pour les deux. Il semble qu’il a envie de le renégocier.

Ne voulant pas laisser l’Hispano à la vue et à portée de tout un chacun, surtout à Marseille, ils prirent un taxi en lui demandant de repasser dans une demi-heure pour les faire rentrer. Ils s’annoncèrent et furent conduits dans une salle de conférence, avec plusieurs participants, dont quelques-uns avaient effectivement la stature de joueurs de rugby ou de football américain.

Il est clair que Ramon faisait figure un peu de minus.

La séance débute bien et à la remarque que Delpatio de vouloir renégocier le contrat, Éléonora demande quelle est la nouvelle mouture pour donner une réponse. Suite à la lecture, elle ne peut s’empêcher de remarquer :

– Mais il n’y a plus rien d’intéressant pour mes entreprises dans ce contrat.

– Oui, mais contrairement à la dernière fois, vous n’avez pas avec vous monsieur Jean pour défendre de manière efficace vos arguments.

– Monsieur Delpatio, ce n’est pas de cette manière que les affaires se font, il faut que les deux partenaires y trouvent un avantage.

À ces mots, Ramon se déplace vers monsieur Delpatio, qu’il faudra bien un peu raisonner. À peine a-t-il parcouru la moitié de la distance, un des secrétaires se lève pour lui faire obstacle.

– Pouvez-vous vous enlever de mon chemin, demande-t-il gentiment.

L’autre veut de suite le frapper pour marquer qui a raison ici, mal lui en prit, d’un coup de pieds dans la rotule du genou et un atemi bien placé, il est hors de service. Un autre se lève et subit le même sort et il arrive vers Delpatio, le prend par le col et le soulève de sa chaise et lui dit :

– Si tu ne veux pas être invalide à vie, tu as intérêt à participer de manière loyale.

Pendant ce temps-là, un troisième comparse s’est approché de sa mère pour lui faire un malheur.

– entre temps, recommande à ton sbire de se retirer si tu ne veux pas que je te réduise tes noisettes en poudre, lui dit-il en lui attrapant ses couilles à travers son pantalon, c’est comme tu veux.

Il commence à serrer de plus en plus fort, jusqu’au moment, au bord de l’évanouissement, il rappelle ses troupes à l’ordre.

– Fais sortir tous les participants qui n’ont rien à voir avec les négociations et revoyons les termes du contrat.

– Sortez et ne revenez pas sans mon ordre express. Madame, vous avez encore amélioré votre protection comme je vois, félicitations. C’est qui ce beau jeune homme ?

– C’est mon fils et l’élève de Jean qui est en train de le dépasser.

– Zut, je l’aurai bien enrôlé, mais je pense que je n’aurai que peu de chance.

– En effet. Revenons à nos moutons. Je propose que les termes du contrat existant soient maintenus avec cette petite restriction que l’article 6 sera à mon entier bénéfice pour vous punir que votre attitude.

– Vous êtes dure en affaires, mais je dois reconnaître que je ne devrais pas me plaindre, je n’ai que ce que je mérite.

– Affaire conclue ? J’attends que le contrat soit refait et que votre secrétaire nous l’apporte à signer dans la demi-heure, en attendant, veuillez nous servir des cafés.

– André tu as entendu, exécution.

Les cafés sont amenés et si Éléonora s’en sert largement, Ramon n’y touche pas, bien lui en pris car peu de temps après, sa mère s’endort, droguée.

D’un bon, il se trouve à nouveau vers Delpatio et cette fois, il lui sert le cou et lui annonce la couleur.

– Demain à dix heures, tu te pointes avec un seul de tes sbires à l’hôtel Continental, au salon B avec le contrat prêt et sans entourloupe, car à défaut, tu risques d’être estropié sérieusement et je ne rigole pas. Je sais où tu habites donc tu comprends.

– Oui, je regrette, mais je ne suis pas à l’origine de ceci, c’est une action indépendante de ma volonté.

– Je veux bien le croire, appelle ce taxi pour venir nous prendre. Celui-ci et pas un autre ! Demande à un de tes secrétaires rugbymen de porter ma mère évanouie jusqu’au taxi.

En arrivant au rez, effectivement le même taxi est là à attendre.

– Je n’avais rien de spécial à faire et je suis resté dans les environs à vous attendre. Madame a eu un malaise ?

– Non, elle a été droguée et il faut nous ramener à l’hôtel

– Montez à l’arrière.

– Ma mère va être placée à l’arrière, mais moi je monte à l’avant, avec vous.

– Comme tu veux.

– Raschid, je te recommande de ne pas faire de fantaisie, l’admoneste Delpatio, il n’a l’air de rien, mais c’est un super dur.

– Bien patron.

C’est ainsi que malgré ces petits désagréments les deux ont débarqué à l’hôtel et là, Ramon demande s’ils ont une chaise pour invalide, sa maman ayant eu un malaise. Ce qu’ils lui amènent de suite. Il y place sa mère et prie la réception de régler la course, n’ayant sur lui pas la monnaie nécessaire. Une fois qu’elle sera réveillée, il réglera le tout.

Une heure plus tard, Éléonora émerge de son shot, les yeux vaseux, mais heureuse de reconnaître leur chambre. Elle est allongée sur son lit toute habillée.

– Mère, tu peux me confier ton porte-monnaie, il faut que je règle le taxi et la chaise qui t’a amenée ici.

– Oui mon chéri, comment s’est passé la suite ?

– Pas trop difficile, j’ai saisi Delpatio par le cou et je l’ai menacé de le rendre définitivement invalide s’il y avait encore un coup fourré et que demain, il apporte au salon B les documents à signer. Salon que je vais réserver en redescendant.

– Oui mon chéri, tu t’es débrouillé comme un chef, mieux que Jean je dirai. Fais le nécessaire.

Redescendant la chaise, il arrive à la réception et demande le chef réceptionniste.

– Je n’aimerai vraiment pas que le no de notre chambre soit communiqué sous aucun prétexte, par contre, j’aimerais réserver le salon B pour ma mère qui compte recevoir monsieur Delpatio.

– Voilà c’est fait, je demanderai dans ce cas au service de sécurité de se renforcer un peu pour demain, on ne sait jamais, Delpatio n’a pas une très bonne presse.

– Je sais, mais c’est une bonne idée de renforcer la sécurité ! Vous nous téléphonez dès qu’ils arrivent, en principe, ils ne devraient être que deux. S’il y a un problème, vous m’appelez moi, si cela semble en ordre, vous appelez ma mère. On comprendra. Voilà, je remonte pour voir comment elle va.

Remontant dans la suite, Ramon frappe à la porte et elle lui dit :

– Entre mon chéri.

– Mais maman, il faudra apprendre que la porte de la suite ne doit pas rester ouverte à tout un chacun, surtout après notre visite à Delpatio. Je pense que si je m’étais jeté sur le café comme toi, je ne sais dans quelle mauvaise position on serait maintenant. Je n’ose y penser, peut-être que je serais mort et toi dans la salle de supplice avec tous les rugbymen de Delpatio qui attendent leur tour pour te passer dessus ou pire.

– Arrête, rien que d’y penser, j’ai la chair de poule. Viens vers moi pour me réconforter.

Il enlève ses chaussures et monte sur le lit et la prend dans ses bras et pose sa tête sur son thorax, respirant ses cheveux noirs fraîchement lavés, il ne peut s’empêcher à une situation un peu similaire avec Luce, la première fois, ce qui lui crée une érection bien embarrassante. Sa mère à son tour caresse ces pectoraux musclés juste ce qu’il faut et de sentir la douceur de la peau de son fils, ce qui lui donne, à la suite de ces événements, un sentiment de plénitude profond et un léger émoi.

– Tu ne veux pas prendre un bain ou une douche après tous ces événements,
cela te détendrait, après tu peux mettre une tenue de nuit, on ne va pas ressortir ce soir, je vais commander un souper léger dans la chambre.

i****te ?

Il va prendre sa douche et commence aussi à se poser des questions. « Ma mère a la même odeur que Luce quand elle était avec moi et qu’elle m’a expliqué que c’est avec cela qu’on att**** les mâles, qu’est-ce que cela veut dire ? Désire-t-elle que je fasse comme avec Luce ? Rien que d’y penser, voila que mon sexe se durcit, mais ce n’est pas possible, c’est ma génitrice quand même ou est-ce que Jean lui manque ? »
Finalement, après avoir bien nettoyé la transpiration de la journée, il prend le grand linge pour se sécher et aller chercher son costume de nuit. En le sortant de la valise, il ne fait pas attention et voila que le linge se détache, le laissant nu comme au premier jour.
Sa mère, l’air de rien apprécie la beauté du paysage et lui remarque :
– Dis mon fils, je vois que tu es vraiment un homme maintenant, bien bâti.
– Excuse Maman, je n’ai pas fait attention, il est tombé tout seul et il enfile son pyjama sans autre commentaire.
– Viens encore près de moi pour me raconter la suite de nos aventures pendant que j’étais dans les vapes.
– Oui, voilà, quand j’ai saisi Delpatio par le cou, lui laissant qu’un mince filet de vie, je lui ai ordonné qu’il commande à un de ses rugbymen de te porter jusqu’au taxi. Là, le chauffeur a voulu me faire monter à l’arrière, mais je ne suis pas tombé de la dernière pluie. Je suis monté à l’avant et voyant ceci, Delpatio lui a recommandé la prudence en précisant que j’étais un dur des durs. J’étais drôlement flatté, mais pas impressionné. Après, nous sommes arrivés à l’hôtel et j’ai demandé un fauteuil pour invalides et j’ai prié de réceptionniste de régler le taxi, je ne voulais pas qu’il traîne inutilement et voie à quel étage nous nous arrêtions.
– Tu as super bien agi, dit-elle en se serrant affectueusement contre lui, et après ?
– Je suis redescendu à la réception et j’ai arrangé qu’on revoie Delpatio dans le salon B et qu’il nous informe dès qu’il arrive, j’ai convenu d’un code, s’il y a un problème, c’est moi qu’il appelle et s’il n’y a pas de problème, c’est toi qu’il appelle. Il a prévu de renforcer le service de sécurité.
– Eh bien je dois dire que je suis impressionnée par tout ce que tu as fait. On sent l’homme déterminé. Je ne regrette pas que Jean soit resté au Japon. J’aime autant que ce soit toi qui me protèges, dit-elle en se serrant cette fois amoureusement contre lui.
– Dis-moi mère, c’est avec quel parfum que tu te parfumes, je ne le connais pas.
– C’est le 5 de Chanel.
– Non, je ne crois pas, Luce avait le même et je ne l’ai pas vu dans sa chambre. C’est un parfum qui me trouble beaucoup. Mais ces mésaventures m’ont un peu fatigué. Je pense qu’il serait bon de dormir un peu.
Éléonora, baissant les yeux remarque qu’effectivement Ramon a bien l’air très troublé et que cela se voit distinctement. Du coup, elle sent une boule qui lui enserre les entrailles et le besoin de tendresse devient très fort. La pression du mâle dominant lui brouille un peu la tête et elle a besoin de se sentir la femelle alpha. Mais Ramon, c’est son fils, il y a un profond dilemme. Morale et sens du devoir contre pulsion.
Mais Ramon, épuisé s’endort profondément d’un sommeil profond ; un peu dubitative, Éléonora s’endort à son tour, elle ne veut pas brusquer son fils qui a si bien réagit pendant cette journée. Elle le voit déjà la remplaçant à la tête des entreprises familiales.
Au cours de la nuit, suite à un rêve probablement érotique avec son amant Jean, confondant la réalité avec l’onirique, elle découvre son fils, le caresse doucement, les yeux bordés d’amour plus i****tueux que d’une mère à son rejeton, jusqu’à ce qu’il réagisse, toujours endormis, par une magnifique érection. Sans attendre, elle monte sur lui et s’embouche avec impatience sur ce priape à disposition et se ramone la figue au sens propre et figuré.
Dans un demi-sommeil, dans l’obscurité, Ramon se sent bien, comme c’était avec Luce et cette femme qui le pompe avec son sexe est bigrement bonne.
– Luce ! Quel exquis réveil tu me fais, mais je croyais qu’on ne devait plus le faire !
Comprenant que son fils n’a pas encore tout à fait émergé de son sommeil, elle se pose le problème de sa réaction, elle-même l’esprit un peu embrumé par le côté onirique de la nuit, croyant avoir affaire à Jean, elle se rend compte qu’elle s’est enfoncée jusqu’au cou dans les méandres de l’i****te et qu’il est bel et bien consommé.
– Ramon, je m’excuse, mais dans le sommeil, je t’ai confondu avec Jean et c’est de ma faute si cela s’est produit.
– Qu’est-ce qui te retient ? C’était pas suffisant ? Lui demande-t-il
– La morale et ce qu’il adviendrait si cela était connu.
– Mon professeur de philo nous disait que la morale, c’est ce que l’on exige des autres et qu’on n’applique pas à soi, quant au public, il suffit de ne pas le crier sur les toits. Viens mère, embrassons-nous, j’aimerais avoir le goût de ta salive, la douceur de ta bouche avant de connaître tes lèvres basses que j’ai aussi envie de déguster.
– Mais dis-moi, tu m’as l’air bien dégourdi d’un coup. Ne me dis pas que c’est Luce qui t’a initié, je lui avais fait confiance et je m’aperçois qu’elle l’a trahi.
– Oui mère, c’est bien Luce et aussi Line qui se sont permises de m’enseigner les rudiments de l’amour, enfin je devrais dire plutôt de la technique sexuelle.
– Je l’aurai parié quand tu m’as annoncé que tu avais réussi à maîtriser un étalon en pleine course. Son explication ne m’avait pas trop convaincue. Dans ce cas, le pas étant franchi, on va consommer, mais là-dessus, motus et bouche cousue.
Sur ce, il approche sa bouche de celle de sa mère et commence à lui lécher les lèvres, elle pour ne pas rester en arrière, elle continue son balancement d’avant en arrière, l’orgasme n’étant pas loin et au diable la morale, c’est vraiment trop bon. Son fils est vraiment mieux qu’un substitut, elle se questionne sur l’avenir de sa relation avec Jean, maintenant qu’elle a consommé avec son rejeton qui remplit mieux que tout ce qu’elle a pu imaginer dans ses rêves les plus fous.
Elle accélère de plus en plus ses mouvements, venant même frotter son clito sur la tige lorsqu’elle est à moitié sortie, augmentant de ce fait la suavité du rapport.
– Comment tu le ressens Ramon, je me sens très coupable, mais je dois reconnaître que c’est mieux que tout ce que j’ai connu jusqu’à ce jour, probablement dû aux mystères des interdits.
– Maman, c’est comme moi, c’est 100 fois mieux qu’avec Luce et Line réunies, il y a une telle communion entre nous, j’aimerais que tu restes des heures comme cela à te balancer sur ma queue qui apprécie si bien ton intérieur, mais toutes fois, j’aimerais aussi lécher ton sexe et ton bouton d’amour pour m’imbiber de ton parfum !
… J’ai ressenti tous les parfums de l’Andalousie, la passion de notre terre des Andals, le suc des fleurs de Gre

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