
Ma queue est maintenant bien engagée dans ta bouche et ta gorge. Mon va-et-vient s´accélère…
– « Salope… T´aime ça, hein, avoir une bite qui baise ta bouche ? Hein ?… allé pompe moi bien… »
Mon sexe durcit dans ta bouche. Tu le sens se contracter entre tes lèvres et ta gorge, prêt à faire gicler sa semence.
– « oui… oui ça viens… Tiens !… petite chienne !!! »
Le premier jet de sperme atteint le fond de ta gorge. Le deuxième est presque tout aussi puissant. Tu te forces à tout avaler… te souvenant de ma menace… (cf épisode précédent mon éjaculation est trop abondante et ma semence coule sur ta joue.
Ma queue est encore bien dure lorsque je me retire d’entre tes lèvres. Tu reprends ton souffle. Tu ne peux encore y croire… Je t’ai violé ta bouche et ta gorge…
Tu te relève péniblement en t’appuyant sur la porte d’entrée…
– « Détachez-moi maintenant… » Ta voix est faible, ton ton suppliant. « J’ai fait ce que vous vouliez. »
– « Te détacher ? Mais, il nous reste encore toute la nuit… et tu sais qu´on peut faire plein de choses en une nuit… »
De nouveau, je te plaque contre la porte. Ma queue à moitié bandée se presse contre ta cuisse nue.
Je t´empoigne encore par les cheveux. Mon autre main, se referme sur ton sein droit que je commence lentement à malaxer par dessus ton pull…
– « Non, non… vous m´aviez promis. »
– « Promis ? Promis ?… mais je ne t’ai rien promis, moi. Crois-tu vraiment que je vais te laisser partir avant de t’avoir vue à poil ? Petite salope … »
Tu supplies, tu gémis, tu cris, rien n´y fait. Ta résistance et tes protestations ne font qu’attiser mon désir sauvage. Déjà mon baobab a repris toute sa vigueur. Tu sens ses veines saillantes sur ta cuisse…
Je relève ton pull. Ton petit soutien-gorge en dentelle noire qui recouvre à peine tes seins est maintenant le seul obstacle entre la nudité de ta poitrine et ma main.
– « T’as de jolis seins dis donc. Laisse-moi les voir… »
Ma main est maintenant dans ton dos. Avec agilité je dégrafe ta brassière. Le souffle court, la bouche entrouverte, te regardant dans les yeux, mon visage à quelques centimètres du tien, j’enveloppe avec ma main ton sein rond dont la pointe est dressée sans qu’on sache si c’est de honte et de peur ou de plaisir…
Ton soutien-gorge et ton pull relevés à la hauteur de ton cou, ma main courre bientôt partout sur ta poitrine, malaxant, pressant, palpant, pinçant tes petits mamelons rosés.
– « Hummmm …magnifiques. De si beaux mamelons. Je sens que t’aimes ça te faire toucher, salope… hein ? »
Ma bouche est sur tes seins, je les lèche, les suce, les mordille. Ta poitrine est couverte de salive. Tu te débats mais je te retiens fermement par les cheveux…
Pendant que ma bouche passe d’un mamelon à l´autre, ma main a soulevé ta jupe et se plaque sur tes fesses pour les caresser…
– « Quel beau petit cul tu as … De belles petites salopes dans ton genre, je dois d’habitude les payer. Mais toi, j´aurai pas besoin de te payer… je vais te violer, ma petite Agnès… »
Je te retourne violemment. Tu es maintenant arque boutée, penchée vers l’avant sur une chaise blanche de ton salon, le ventre appuyé sur le dossier, les mains sur le siège. Je fait tomber mon pantalon jusqu’à mes chevilles.
– « Viens, viens me montrer ta petite chatte… » Ta jupe est relevée. Tu entends le tissu qui craque alors que je déchire ta culotte. J’ai maintenant complètement accès à ton anus et à ton vagin.
Tu ne peux refermer les jambes sous peine de perdre l´équilibre. D’un de mes bras, je te retiens penché vers l´avant. Ma main libre est déjà sur ta toison.
– « Hummmmmm… Tu es toute mouillée, salope. T´aimes ça, hein ? T´aimes te faire mettre comme ça ? Ça te plait de te faire enfiler de force ?
– « Non… Non… Lâchez-moi… je ne veux pas… »
– « Salope… toi, tu me dis non … mais ta petite chatte chaude et humide elle me dit oui … elle !!! »
Un de mes doigts est en toi. Puis un deuxième… Mon pouce frotte ton clitoris déjà gonflé alors que mes doigts entrent et sortent de ton vagin. Je continue à jouer avec ton sexe.
– « Ah ouiiiiii… mouille encore plus, ma putain. Lorsque tu es seule dans ton lit, te branles-tu en pensant qu’un homme t’oblige à sucer sa queue ? … hein ? Jouis-tu en pensant que tu te fais enfiler de force ?
D´un geste vif, je glisse mon gland entre les lèvres gonflées de chatte.
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