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Le lendemain, je reçus un message de sa part:

« Salut ! Ça va . Je t’ai trouvé merveilleuse hier, j’ai hâte de te revoir. Serais-tu libre dimanche prochain ? »

Je répondis :
« Hey beau gosse ! Ça va et toi ? Tu étais merveilleux toi aussi ! Et oui je suis libre dimanche prochain, on se donne rendez-vous où ? »

Une demi-heure après il m’envoya l’adresse, j’étais attendue pour 10h du matin.

Je passai toute la semaine dans l’expectative de ce rendez-vous. Tous les soirs je passais un moment avec le pommeau de douche. Je fantasmais sur le moment où il me prendrait par-derrière. Je me renseignai, pendant la semaine, au déroulement normal une relation anale.
Aussi j’appris que les accidents sont vite arrivés et qu’il est de bon ton de se laver au préalable.

Vendredi je pris des laxatifs. Samedi je bus beaucoup d’eau, je ne mangeai pas beaucoup et j’allai beaucoup aux toilettes. Dimanche matin, je passai un bon moment dans la salle de bain, à rincer ce qui restait. J’espérais qu’il n’y aurait pas de trace lorsque enfin je le recevrais.

Je m’habillai d’une jupe en cuir courte qui couvrait cependant le porte jarretelle. Mes bas étaient noirs, translucides, et ma chemise en soie longue et blanche. L’ensemble raccourcissait la jupe. Je détachai mes longs cheveux cette fois-ci. Je mis des Richelieux noires en daim à hauts talons. J’étais nue sous la jupe. Une parure en perles blanches ornait mon cou et mon visage. Le grand sac noir, que je pris, contenait des affaires de rechange plus confortables.

Je pris la voiture à 9h et roulai à grande vitesse de hâte. J’arrivai à 9h50.

Le portail de la maison était haut et vert, entouré de murs de la même hauteur. Des branches dépassaient les barrières. Un interphone avec caméra était installé à hauteur d’homme sur le mur.

À 10h je sonnai. Une voix se fit entendre « je t’ouvre »

Le portail s’ouvrit sur un chemin de dalles blanches, je montai dans ma voiture et je roulai sur un chemin encadré d’arbres. J’arrivai dans une cour de dalles blanches, où une maison en angle trônait fièrement.

Son toit en ardoises reluisait au soleil. Les pierres en calcaire révélaient une histoire de plusieurs centaines d’années. Des oiseaux chantaient dans les arbres. Sur la droite de la maison, se tenait un arbre centenaire. Les fenêtres étaient hautes, étroites et composées de grandes vitres.
Ivan m’attendait à la magnifique porte d’entrée en bois massif. Elle était encadrée d’un porche pour calèche surmonté une statue d’un quelconque saint.

Je descendis de voiture et marchai vers lui avec un grand sourire.

Il était habillé d’un t-shirt blanc avec un gilet bleu marine. Un pantalon en lin bleu couvrait ses jambes.

Il semblait être surpris par ma tenue et émit un sifflement appréciateur. Je l’embrassai langoureusement. Sa bouche était chaude et douce. Il enfonça sa langue et je gémis.

« J’aime ta tenue » me chuchota-t-il dans l’oreille

Je frissonnai. Il me saisit le lobe de l’oreille et je basculai ma tête afin de lui permettre de m’embrasser dans le cou. On entra dans la maison et nous nous dirigeâmes dans le couloir de droite. Il me fit visiter cette partie du rez-de-chaussée.

Soit une cuisine, une salle à manger cosy et une verrière donnant sur un jardin. Le soleil reflétait ses rayons sur une piscine aménagée. Celle-ci était encadrée d’une grande pelouse. Quelques arbres ornaient le terrain, au loin on apercevait un beau potager.

Il me dirigea vers un bel escalier d’époque en pierre taillée. Je le précédai, et je sentis son regard se fixer sur le creux de mes jambes nu.

Il m’arrêta dans les escaliers, m’embrassa avec douceur et glissa sa main entre mes jambes. Je passai mes bras autour de son cou.

« La dernière fois t’a plu ? » me dit-il
« Oui » répondis-je en rougissant
« Tu en veux encore . »
Seul mon hochement de tête lui répondit.

Avec le bout de ses doigts, il chercha mon bouton de plaisir. J’ouvris la bouche pour gémir lorsqu’il y enfonça son index et son majeur. Ses doigts étaient épais, longs et rugueux. Ses mains étaient celles de quelqu’un maniant souvent des poids, ornée de callosités. Je les suçai, voulant être sexy, et déposai sans le vouloir une épaisse couche de salive dessus. Il me regarda intensément de ses yeux verts.

Cet homme semblait deviner mes pensées les plus intimes. Ivan glissa ses doigts entre mes fesses. Le frisson était intense, je pris alors conscience de ma hâte à le sentir en moi.

Il s’amusa à me caresser doucement l’anneau de chair. Le plaisir était présent, mais frustrant. C’était un appel à d’autres jeux, plus profonds.

« Tu sais, il est encore temps de me fuir ma chérie » me dit-il « après il sera trop tard, tu sais j’aime les jeux de sodomie, tout ce qu’il a trait à ton petit trou »

« Je le sais déjà » répondis- je « sais pour ça que je t’ai choisi »

Il me regarda étonné, puis me sourit. Son sourire magnifique m’éblouit. Une fossette s’imprimait sur sa joue droite le rajeunissant de 10 ans.

« Et si je te dis que j’aime aussi des choses plus cochonnes encore ? » me questionna cet homme.

J’eus envie de découvrir, et je me précipitai contre sa bouche avec gourmandise.

Il me retourna brusquement vers le mur, se mit à genoux, m’écarta les fesses. Je sentis son visage, puis sa langue chaude et humide me lécher le fondement. Puis il ajouta un massage vigoureux sur ma vulve. Tremblotante, je me cambrai au maximum. Mes gémissements étaient bruyants et mon plaisir vif.

Il cessa, remonta vers moi, cracha sur sa main. Avec sa bouche il prit possession de la mienne. Je poussai un petit cri lorsqu’il écarta d’un doigt mon anneau, alors sa langue m’étouffa. Il avait une grosse langue capable de me remplir la bouche et de réduire au silence.

Il introduisait l’index, forçant mon fondement. Lorsque le doigt sortait, un sentiment plaisant de libération rougissait mes joues. Les mouvements de va-et-vient me procuraient des sensations d’écartèlement puis de soulagement.

Je geignis mon inconfort et mon sentiment de soumission face à cette intrusion.

Je l’entendis gémir d’excitation en retour.

J’appuyai mon front contre son torse. Son odeur musquée m’étourdissait, elle était épicée et délicieuse. Ivan ressorti son doigts et me regarda. Ses yeux verts s’étaient assombris, ces cils longs, épais et noirs habillaient ses iris flamboyants.

« Viens-je vais te montrer la salle de bain. » dit- il d’une voix rauque et basse de désir.

La salle de bain était très grande, de forme carrée et entièrement carrelée en blanc. En face de la porte se trouvait avec une grande fenêtre donnant sur le parc et la piscine. Sur le sol une mosaïque grecque représentait un homme et une femme en pleine action. Dans le coin droit se trouvait une douche à l’italienne sans vitre. Entre la douche et la fenêtre trônaient des toilettes. Contre le coin gauche un comptoir en pierre avec un lavabo creusé et un grand miroir face à la douche habillaient la pièce.

« Va ! Lave toi ! » m’ordonna-t-il «profondément» ajouta-t-il d’un air entendu

Il referma la porte derrière moi, je remarquai qu’il n’y avait pas de serrure à la porte. Je me déshabillai, puis entrai dans la zone de douche. Le pommeau était long, fin et muni d’un seul trou à son extrémité.
Je compris alors qu’il n’était pas conçu pour les douches classiques. Je réglai la température, puis m’introduisis l’objet dans mon séant .
Rapidement une sensation de trop-plein apparut.
Je coupai l’eau et allai aux toilettes expulser l’eau. Le liquide au fond de la cuvette était transparent, sans résidus. Le nettoyage du matin avait été efficace et j’en fus contente. Je recommençai par prudence.

La porte s’ouvrit, il apparut. J’étais nue. Le pommeau de douche était enfoncé dans mon cul.

« Continue, c’est un beau spectacle » dit-il

Je coupai l’eau, et je me rassis sur les toilettes afin d’évacuer le « trop-plein ». Le bruit de l’eau retentit dans la pièce. La honte et la gêne me rougirent les joues.

« C’est la première fois que tu t’assois sur les toilettes ? »demanda-t-il
« non, la deuxième »
« alors à partir de maintenant c’est que du plaisir, retourne dans la douche et règle l’eau »

Je retournai dans la douche, et réglai l’eau de façon à ce qu’elle soit tiède limite fraiche.

Il s’avança, me prit le pommeau des mains et l’introduisit dans creux de mes fesses.

Rapidement, mon rectum s’emplit, je gémis.

Comme un signal, il coupa l’eau. Il sortit un petit plug en métal, muni d’un diamant, et me le glissa dans les fesses.

« C’est ton bouchon »

L’eau me distendait, me dérangeant assez. Il me tourna face à lui, m’embrassa, me glissa deux doigts dans le vagin. Avec son pouce, il fit des mouvements circulaires sur mon clitoris.

Je gémis et bougea mon bassin. La sensation dès ses doigts, du plug était délicieux.

Et enfin il me retourna dans la douche, se mit à genoux, la tête face à mon cul.

« Hum tu as vraiment un beau cul »

Il retira le plug. Un soulagement à la limite du plaisir m’arracha un petit cri.

« Maintenant expulse tout » dit il.

Je criai lorsque l’eau sortit. Puis je sentis sa langue me caresser. La sensation était délicieuse, et le frisson me remonta jusqu’à la nuque.

Je me cambrai et gémis, expulsant les dernières gouttes. Puis la pointe de la langue se positionna à l’entrée de mon séant. Elle effectua un mouvement de va-et-vient.

Il me tourna face à lui, posa sa bouche sur mon clitoris et aspira avec énergie. Puis deux gros doigt chauds et humides passèrent l’anneau. Ils entamèrent un mouvement lent et régulier.

Je me mis à haleter bruyamment, enivrée par les sensations qu’ils me procuraient. Ils me brulaient, m’étiraient. Tout mon esprit était concentré sur ces doigts qui entraient et sortaient. A chaque sortie, je ressentais un soulagement, et je poussais un gémissement.

J’entendais le petit bruit mouillé que ce mouvement créait, et les respirations saccadées d’Ivan.

Ce petit jeu dura un moment. Je tremblais, incapable de contrôler mes hanches. Il me laissa pantoise, mouillée, frissonnante de désir prête à tout pour qu’il daigne enfin me posséder.

« Tu n’as pas de goût, et pas d’odeur, c’est bien. Il faut maintenant te préparer à m’accueillir »

De sa poche il sortit deux bandes de tissu. Avec la première il m’attacha les mains, avec la seconde il me banda les yeux. Il me réintroduisit mon bouchon et le passage fut beaucoup plus facile.

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