J’ai une vie trépidante dans une grande métropole et chaque année pour les vacances je vais me mettre au vert à la campagne pour retrouver du calme et du temps pour moi. J’ai pris l’habitude de louer un gite dans une ancienne ferme dans une région de moyenne montagne dédiée à l’élevage. Ma femme depuis quinze ans m’accompagne avec nos deux enfants. Cette année nous sommes retournés dans le même gite que l’an dernier qui dispose d’un jardin clos où on peut laisser les enfants libres et bronzer en lisant tranquillement. C’est dans un hameau isolé. Il faut aller faire les courses au bourg à 10 km. Il y a juste une ferme voisine avec un couple sans enfants, comme nous proche de la quarantaine. L’an dernier nous avions fait connaissance. Lui est un gros bosseur qui a repris la ferme parentale et que son métier passionne. Elle, Rose, est une fille de la ville. Ils se sont connus à l’école d’agriculture. Elle l’a suivi par amour. C’est une petite femme mince, très active, jolie bien que déjà un peu marquée par son activité en plein air. L’an dernier elle cherchait beaucoup le contact en venant discuter avec nous presque tous les jours. J’avais apprécié sa personnalité et son physique tranchait agréablement avec celui de mon épouse qui au fil des ans est devenue assez corpulente.
Ce matin ma femme est partie au bourg pour faire les courses. Elle a emmené les enfants qui voulaient remplacer le ballon crevé la veille sur des rosiers. Je me suis installé dans longue au jardin avec juste un short pour lire au soleil car la connaissant elle en avait bien pour deux heures.
Rose est arrivée dans une petite robe d’été en tissu à fleurs très léger qui lui arrive à mi cuisses. En la voyant venir vers moi je me disais que son homme avait de la chance de l’avoir. Elle s’est mise devant moi les jambes un peu écartées et m’a dit qu’elle cherchait sa chatte depuis la veille. Elle voulait aller voir dans la grange du gite si elle ne s’y cachait pas. Elle m’a demandé de l’aider à dresser l’échelle et de la lui tenir pendant qu’elle montait.
Je l’ai regardée monter pour profiter de ses jambes. Sa jupe ondulant j’ai pu voir qu’elle avait de belles cuisses musclées et des fesses rondes et blanches car elle n’avait pas de culotte. Puis elle a disparu dans la réserve de foin. J’ai attendu un peu pour l’aider à redescendre mais je l’ai entendu dire « c’est sombre ici, tu viens m’aider à chercher ». Je suis monté et arrivé en haut je l’ai vue nue, sa robe à ses pieds à l’endroit où de la lumière rentrait par le toit. Elle avait les cuisses un peu écartées et avait une main sur son sein gauche et l’autre sur son pubis. Je le détaillai et fût excité par sa beauté naturelle. Elle avait la taille fine, de petits seins, une peau blanche, avec seuls visage, épaules, et jambes bronzés. Une touffe de poils longs sortait de chaque aisselle et ses lèvres étaient presque invisibles sous son abondante toison. Je me suis approché et elle m’a dit « je l’ai trouvée ma chatte, viens voir si elle ronronne ».
Une fois près d’elle elle a mis ses bras autour de mon coup et m’a tendu sa bouche entrouverte. Je l’ai embrassé et elle a aspiré ma langue avec avidité, puis a glissé la sienne dans ma bouche avec habileté. Sa salive avait bon goût. Je me suis écarté en lui demandant pourquoi.
Elle me dit gentiment « ça fait dix ans que je m’emmerde ici où il ne se passe jamais rien. Mon homme est toujours sur son tracteur et ne pense qu’à ses vaches. Le soir il est crevé. Je suis venue quand j’ai vu partir ta femme en voiture. Ça nous laisse un bon moment pour profiter de la vie. Je crois que tu seras d’accord car ça se voit que ta femme ne te stimule plus beaucoup ». Puis elle m’embrassa de nouveau en mettant ma main sur sa chatte. Je l’ai caressée debout. Elle avait un gros clito surprenant pour un si petit gabarit. Je l’ai masturbé puis j’ai passé mes doigts entre ses lèvres qui étaient déjà ruisselantes. Je l’ai pénétrée doucement. Elle s’est mise à ronronner de plaisir en gémissant contre ma poitrine. Elle a pris mon autre main et l’a mise entre sur fesses. Je les ai pelotées sans cesser de rentrer dans son vagin. Avec ses deux mains elle a écartées ses fesses. Je lui ai aussi massé doucement l’anus. Elle gémissait de plus en plus fort. Puis elle se mit à genoux dans le foin en me baissant mon short. Ma queue s’est dressée mais elle l’a gobée sans délai et m’a sucé comme quelqu’un qui est en grand manque. J’ai durci très vite car elle était habile.
Elle a étendu sa robe sur le foin, s’est couché dessus jambes écartées et en me tendant la main m’a dit « viens, baise moi, j’en crève d’envie ». Je l’ai prise en missionnaire et à ma surprise elle a eu très vite un premier orgasme. Après un court moment de répit elle m’a dit « couche toi à ma place j’ai envie de te baiser, moi » Elle m’a chevauché et a fait du rodéo sur ma bite en se tordant dans tous les sens pour bien me sentir en elle. Elle m’a demandé de lui caresser les seins pendant que d’une main elle se massait le clito et que de l’autre elle se pénétrait l’anus. Puis elle branla ma bite sur toute sa longueur avec son vagin très serré en poussant sur ses cuisses. J’étais très dur. J’ai joui entre ses petites lèvres au moment où elle se baissait de nouveau et ça lui déclencha un deuxième orgasme qui la fit trembler de tout son corps en s’écroulant sur moi. Après un moment de repos dans cette position empilée elle m’a embrassé et sucé les tétons et m’a dit « tu es très bon, merci, ne crains rien je suis saine et stérile».
De retour au jardin elle m’a dit « bon si tu trouves ma chatte fais-moi signe ». J’ai pu la revoir une autre fois avant la fin des vacances et on s’est dit « à l’an prochain »
L’année suivante j’ai reloué le même gite. Elle avait quitté son homme et la ferme au printemps en suivant un représentant de commerce. Les vacances m’ont semblé longues.
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