Installation perverse
Me voici installé dans le studio confortable qui est quasiment en face de la maison de mes beaux-parents. Il parait forcément étrange à notre entourage, à commencer par mon ex-femme, que j’ai choisi d’habiter dans le quartier de ses parents, mais je prétexte que c’est un hasard qui fait bien les choses puisque les grands enfants que nous avons pourront voir leurs grand-parents et leur père dans un même lieu.
Le lendemain du déménagement, Béatrice me rejoint dans mon studio à mon retour du bureau. Je l’enlace et me penche au-dessus d’elle pour l’embrasser sur la bouche. Ces baisers tendres avec ma belle-mère me transportent de joie et m’excitent considérablement.
Je retire son chemisier puis dégrafe son soutien-gorge blanc. Ses petits seins pendent comme deux fruits fatigués. Je me mets à genoux pour suçoter ses tétons bruns l’un après l’autre. En ouvrant bien la bouche, et en aspirant doucement, je parviens à introduire quasiment chacun de ses seins dans ma bouche. Je retire ses lunettes de son nez puis déboutonne le haut de sa jupe droite grise, descends le zip sur le coté de sa jupe, et ma belle-mère est en collant noir sur petite culotte blanche. Je la prends dans mes bras comme deux jeunes mariés et la transporte sur mon lit. Elle enlève ses dessous, replie ses jambes impudiquement attendant que ma bouche vienne butiner sa vieille chatte et son anus poilu.
Elle m’autorise à retirer ma cage de chasteté que je porte depuis la veille. Comme d’habitude, mon pénis se gonfle en 5 secondes immédiatement après l’avoir libérer de sa prison.
Nous faisons l’amour lentement, un peu solennellement dans ce nouvel écrin qui sera vraiment notre alcôve d’amour. Nous pressentons que notre liaison va encore se renforcer dans ces conditions.
Après l’avoir pénétrée longuement et intensément, au moment de jouir, je m’extrais de sa chatte et viens éjaculer sur son visage ridé. Pour une fois elle a gardé la bouche fermée et les jets de mon sperme sillonnent son visage adoré.
– Jean, j’aimerais que tu transformes ce studio en un endroit dédié à l’amour, à notre amour. Je te demande de prévoir une installation qui me permette de t’imposer mes voeux et de te soumettre. J’aime jouer avec toi et ton corps. Fais en sorte que je puisse disposer de toi sans que tu ne puisses bouger un orteil ou un doigt. Compris ?
– Oui Maîtresse chérie, que diriez-vous d’attaches fixées ici et là, et qui permettraient que vous abusiez de moi en toute liberté (je lui souris). Vous savez que je n’aime rien de mieux que de me livrer à vos caprices de femelle perverse.
Evidemment, sa main claque immédiatement mon entrejambe. Je sursaute avec la bouche ouverte et le souffle coupé, et je parviens à la remercier néanmoins.
Elle m’envahit
Le soir même vers 22h 30, quelqu’un sonne à ma porte, j’ouvre. C’est Elle avec deux sacs à la main. Elle me dit de sa voix aigue:
– Re bonjour soumis. André (son mari) s’est assoupi, c’est de pire en pire ! alors j’ai réuni quelques affaires que je veux laisser chez toi. (Elle ne m’a pas prévenu ni ne me demande si je suis d’accord et Elle entre). J’ai pris des dessous plutôt « olé, olé » que je cachais dans notre armoire, des vêtements que je mettrai plutôt chez toi, quelques objets, mes joujoux coquins et des affaires de toilette. Tiens, voici aussi un portrait de moi. Au fait, rebranche la vidéo que je puisse continuer à voir ce que tu fabriques depuis mon ipad.
Elle ouvre ses sacs et en quelques minutes, tout en m’abreuvant de paroles, ma belle-mère s’installe quasiment chez moi. Elle file dans la salle de bain, pose deux flacons de parfum, des cosmétiques (ce qui me plaît car je pourrai lui en emprunter), des médicaments et sa brosse à dents.
Elle revient dans la pièce principale et me demande un câlin. Nous nous déshabillons vite et nous glissons dans mon lit. Je n’ai plus de désir mais Elle m’impose son envie de sexe. Pour me « remercier » de l’accueillir, Elle vient s’assoir sur mon visage, et positionne son anus sur ma bouche. Comment lui refuser ? je suis son soumis. Je m’applique donc à la sucer et à pénétrer son anus de ma langue. Elle bouge et écrase son bassin sur mon visage, j’étouffe à moitié. D’une main Elle att**** mes parties et de l’autre les malaxe. Elle tire, joue caresse et claque tant mon sexe et mes couilles que cette scène lubrique finit par me redonner de la vigueur. Quelque gouttes de pisse fuitent de sa chatte.
– J’ai trop envie. Suis-moi mon gendre pervers.
Elle s’assoit sur la lunette tandis que je suis assis sur le sol juste en face. Je la vois pisser d’un jet dru, Elle me regarde. Au lieu de prendre du papier pour s’essuyer, je sais que je dois m’allonger, là sur le sol carrelé et Elle vient poser son entrejambe sur ma bouche. Mes lèvres et ma langues nettoient bien les replis de sa chatte.
Nous retournons au lit et je la prends à la missionnaire (moi sur Elle). Cette fois-ci, je jouis dans un grand cri dans sa chatte. Nous nous embrassons.
– Maintenant, je te demande de nettoyer ce que tu as sali.
Je n’ai plus du tout envie de sexe, mais je me force à m’exécuter. Une dernière fois, ma bouche vient longuement se plaquer sur sa chatte et je bois tout mon propre sperme qui en coule. Je suis écoeuré mais je sais que plus tard, quand je serai excité, le souvenir de cette scène me plaira.
Béatrice est peut-être la belle-mère la plus salope de France !
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