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Chasseuse

Chasseuse



e t’aime mon amour et j’ai envie de te faire plaisir.

J’ai cherché pour toi un film qui pourrait te procurer autant de plaisir que j’en ai eu avec le film que tu as choisi spécialement pour moi.

Ce choix m’a confirmé, s’il en était besoin, à quel point tu es sensible à mes désirs, mes fantasmes, ma structure identitaire.

C’est une preuve d’amour magnifique !

Au gré de mes échanges sur les tchats, les forums, j’observe, je regarde, je pose quelques questions polies. J’essaie de comprendre ce monde de « libertin ». Je cherche l’idée qui pourrait décupler ton plaisir à l’extrême, mais j’avoue être assez déçue.

Je relis le tome 1 Entretien avec un vampire, subjuguée par la relation entre Armand et Lestat.

Cette relation faite d’emprise, de plaisir, de douleurs, de don de soi. Je m’endors et, dans un sommeil agité, peu à peu Armand prend vie sous tes traits et Lestat sous les miens.

Je me réveille très excitée car je sais que j’ai eu plusieurs orgasmes nocturnes et je suis surtout excitée car la nuit m’a apportée la réponse que j’attendais.

Je sais comment te faire plaisir, comment décupler tes sensations pour notre plaisir à tous les deux.

Pour cela je vais devoir me mettre en mode Louve. Je suis un caméléon …J’ai la journée devant moi. Je me branle à plusieurs reprises en imaginant déjà ce qui va se passer.

Vers 18h je t’envoie juste un petit message avec une consigne particulière, tu me fais confiance, tu ne poses pas de questions.

Sous ma robe patineuse, j’ai enfilé ce magnifique corset avec des bas nylons, à l’ancienne.

Comme souvent, quand je sors, je me filme pendant que je me prépare tout en t’exposant mon plan via la cam.

Je lisse et plaque mes cheveux, je peins ma bouche. J’enfile mes talons. Je suis dans mon rôle….

Chasseuse ……

Je sors ! Direction les boites branchées du beau Paris. Au passage j’appelle Pablo, c’est toujours mieux d’arriver accompagnée.

Pablo est ravi mais il sait qu’il rentrera probablement sans moi. Il connait la règle Pablo ! Je me couche et je me réveille seule ! Pas d’hommes dans mon lit.

Nous prenons un verre ensemble et très rapidement je sens que mon Pablo a fait son choix !!

Il a raison, elle est magnifique. Il me quitte pour sa nouvelle conquête, moi je scrute la salle à la recherche de ma proie.

Quelques inopportuns tentent malhabilement une approche. Un seul regard et je les tiens à distance.

Je décide de me déplacer jusqu’au bar où j’espère avoir une meilleure vue.

Je regarde ces corps se déhanchaient, ses bouches s’embrassaient, ces couples qui s’aiment, ou qui s’ignorent.

Je ne peux pas m’empêcher de penser, d’imaginer, de construire.

Je saisis, un détail, une bribe de phrase, un regard coulé en douce et c’est tout un scénario qui s’élabore dans mon cerveau.

J’ai toujours aimé ça ! Regarder !!!

Soudain je l’aperçois !

Elle est là ma proie !
Magnifique !

J’ai trouvé ce que je voulais !

Exactement comme je l’imaginais !! J’en ai des palpitations !!!
Elle te plaira Corto je n’ai aucun doute.

Un double de moi !

En rousse, cheveux mi- longs, de larges boucles, une peau laiteuse et des yeux troublants, presque la couleur de sa chevelure.

Je l’observe depuis le bar !

Elle a l’air d’être mal à l’aise et de s’ennuyer.

Visiblement elle est venue accompagnée d’un groupe d’amis qui la délaissent.

Je me dirige vers elle, le pas assuré, souriante je m’installe à ses côtés.

Je me baisse vers elle pour lui dire que c’est décidément bruyant et que mon cavalier m’a oublié.

D’un signe de tête je lui montre Pablo plongé dans le décolleté de sa plantureuse enfoncée dans un des fauteuils bien moelleux du fond de la salle.

Elle s’étonne de ma réaction  » ça ne vous fais rien ? » Je lui souris et lui répond que quand il en aura marre il reviendra, qu’il revient toujours à ma bouche, à mes seins.

Mes seins !

Mes seins qu’elle ne peut pas louper car la forme carrée de mon décolleté laisse apercevoir ma poitrine naissante.

Je devine sous sa robe noire stricte une poitrine aussi généreuse que la mienne. Je suis de bonne compagnie et je sais charmer les gens, hommes ou femmes.
Très rapidement notre conversation prend le ton de confidences de copines.

Nous parlons, nous rions, ces amis reviennent de temps à temps à notre table, présentation rapide, elle n’a plus besoin d’eux, je la fais rire.

24 ans célibataire elle m’avoue dans un soupir  » toujours vierge !!! Je la taquine en lui demandant si elle a déjà vu une queue. Elle sourit et me dis « oui, elle en a branlé une, un jour dans un parking mais il a giclé tout de suite dans sa main ».

Alors je lui parle de Pablo, de ma fascination pour sa queue. Je lui dis que Pablo adore les pipes. Et que moi j’adore le sucer.

Elle me pose des questions, je réponds. Je sens la gourmandise derrière son air innocent.
Je vois sa poitrine se gonfler et dégonfler. Je cale ma respiration sur la sienne. Nous sommes à l’unisson.

Je croise et décroise les jambes, elle peut apercevoir mes bas et mes jarretières, je le sais car son souffle s’est légèrement accéléré.

Je lui dis qu’elle est jolie, très bien formée. Elle me répond dans un sourire « Toi aussi » !

Humm ses lèvres ! J’aimerai les goûter !! Je lui propose de passer à la maison pour un dernier verre. Je me lève pour aller régler la note au bar.

J’ai laissé mon téléphone auprès d’elle. Je reviens sur mes pas et envoie un sms. Je lui dis que c’est pour prévenir Pablo que je m’en vais, elle fait de même pour ses amis.

En fait ce sms t’est destiné mon amour. Je t’ai demandé d’attendre exactement 2 minutes puis d’envoyer un sms avec une photo de ta queue en gros plan et un petit texto du genre « J’ai envie de te baiser mon amour ».

Je me lève en laissant le téléphone déverrouillé, bien en vue pour aller régler la note.

Du bar je la vois sursauter quand le téléphone vibre à la réception de ton message.

Discrètement elle jette un œil (mes messages s’affichent plein écran). Je la vois rougir et porter ses mains à ses lèvres.

Merci mon amour tu es parfait !

A la seconde près !

Je t’imagine caler dans ton canapé là-haut dans ta mezzanine, suivant ma chasse minute par minute, en pensée.

Je traverse la pièce et me dirige vers elle en lui disant  » Mon chou on y va… »

Laure, elle se prénomne Laure.

A propos de l'auteur

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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