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Sylvie, ma voisine d’enfance

Sylvie, ma voisine d’enfance



(Histoire vraie)

Durant mon enfance, j’habitais dans une impasse étroite et courte, de mon age, il n’y avait que Sylvie qui devait avoir 3 ou 4 ans de plus que moi.
Vers 9 ans, elle eu un accident domestique, elle fut ébouillantée par une grosse casserole d’eau et resta plusieurs semaines à l’hôpital. L’été suivant nous jouions à des jeux de ballons dans notre impasse, brune, assez menue, elle portait se jour là une longue robe à rayures de style romantique et des espadrilles bleues; cuivrée, elle revenait de vacances à Rimini.
La nuit tombait et nous nous assîmes sous le porche de l’entrée de ma maison pour discuter. Elle me racontait ses vacances pour moi c’était une grande, je buvais ses paroles. Pendant qu’elle me parlais, je ne puis m’empêcher de regarder vers son entre cuisse, sa culotte en coton à fleur apparaissait à mes yeux et disparaissait au fil de ses mouvements de robe qui rythmaient son récit. Les jambes ouvertes croyant son intimité protégée de mes regards par la longue robe, elle remontait machinalement sa robe, confiante par la séduction de son récit. J’avais dés lors une vue imprenable sur sa culotte et son entrecuisse lisse. Je pouvais voir à loisir les petites fleurs roses de sa culotte blanche, le gousset en coton qui absorbait ses pipis parfois mal essuyés.
Rapidement, elle surpris mes regards appuyés sur son intimité, elle ne bougea pas et resta dans la position de m’offrir la vue sur sa vulve moulée dans le coton fleuri. Elle enchaîna la conversation sur le récit de son accident domestique et voulu me montrer l’endroit où elle avait été le plus brûlée. Elle leva sa robe des deux mains pour me montrer son ventre. Sur son nombril, elle me montra des traces de brûlures, sachant pertinemment qu’elle me montrait sa culotte. Elle me demanda de toucher son ventre si je le voulais. C’était la première fois que je touchais le ventre d’une fille, une grande qui plus est, à son invitation. Je sentis dés lors mon sexe durcir dans mon short et je rougis. Ce rougissement m’avait trahi et Sylvie avait compris qu’il se passait un truc dans mon short. Elle retrouva sa position initiale, culotte offerte à mes regards et continua de parler en scrutant la bosse de mon short. les bretelles de sa robe à brassière parfois descendaient et par les biais de ses mouvements, je pouvais voir parfois les larges aréoles de ses seins qui baillaient et ses tétons tous neufs en forme de petites tétines de biberon.

Cette soirée passée avec elle resta comme un beau souvenir érotique de mon enfance.

Le temps passa et nous n’eûmes plus de soirée comme celle ci. Elle grandit, peu en fait, elle resta petite un petit mètre soixante, ses seins explosèrent; une belle grosse poitrine qu’elle cachait son des pulls amples et son cul s’arrondit. Elle avait un gros cul pour son age. A cette époque, je profitais parfois de l’occasion furtive de la voir se déshabiller dans sa chambre par la fenêtre de la chambre de mes parents qui donnait sur la sienne. J’arrivais souvent trop tard, déjà en T-shirt de nuit, je distinguais à peine ses gros seins son le coton blanc. j’assistais parfois au « sautage » de culotte. Elle avait une manière toute particulière d’enlever sa culotte. Elle se couchait sur le dos, sur son lit et d’un mouvement de rein, elle levait les jambes, et ôtait sa culotte, qu’elle envoyait en l’air rapidement. Je ne pouvais voir que le vol furtif de la petite culotte qui tombait au pied du lit.

Ne voyant quasiment rien, mais intrigué par ses sous vêtements, je décidais d’aller voir de plus près ce qu’elle portait sous ses jeans. Elle devait avoir 15 ou 16 ans et moi 13. Elle habitait le vieil immeuble en face de chez moi avec un appartement par niveau et sur le pallier de chaque appartement un étendage dans le vide, pour sécher les vêtements. L’accès était facile, mais le risque grand de croiser quelqu’un dans la montée d’escalier. Un dimanche matin vers six heure, je me risquait à aller à l’étendage. j’y trouvais 4 culottes, 2 de sa mère, culottes larges dont les élastiques élimés et la couleur beige passée, et 2 petites culottes de coton blanc. L’une avait un élastique bleu clair et un nœud de la même couleur et l’autre un élastique gris avec un petit nœud rose sur le devant. Je pris la dernière.

Arrivé dans ma chambre, je senti cette culotte toute propre qui sentait la lessive, et au fond coincé dans la couture du gousset en coton, je découvris deux poils pubiens très bruns. J’avais trouvé le Graal : des poils de la chatte de Sylvie… je m’empressais de les conserver religieusement dans une petite boite à pellicule photo. Quant à sa culotte, elle fit mes jours et mes nuits de masturbation en pensant à Sylvie. Bien que propre en reniflant profondément, on pouvait distinguer ses odeurs et goûts intimes, elle fleurait bon, Sylvie…

Plus tard, elle entra à la fac en italien, nos rapports se basaient à : bonjour/bonsoir/ça va ? Je rentrais à mon tour en fac de droit et un jour sa mère m’interpelle alors que je rentrais chez moi,

– « J’ai un problème avec ma machine à laver qui est au garage, je ne peux plus ouvrir le tambour est-ce que tu peux venir voir ? »

je m’exécuta et ne puis rien faire.

-« Je vais chercher des outils dans le garage de mon père » dis je

-« Je te laisse, j’ai un rôti au four » me dit sa mère « Vois ce que tu peux faire »

A l’aide d’un tournevis, j’ouvrais facilement le tambour, je ne puis empercher de fouiller dans le linge, je sorti un très beau soutif en dentelle blanche qui sentait l’odeur de Sylvie et un collant marron foncé dans lequel une vilaine culotte jaune en coton était resté dedans. Dans sa hâte coutumière pour enlever ses sous vêtements, elle avait tout enlevé en même temps !
Dans un coin sombre du garage, je sorti mon sexe turgescent et commençais à me branler frénétiquement le soutif odorant de Sylvie dans les narines puis le collant culotte, je jouis vite et giclais dans le fond de son collant. Je m’essuyais avec son soutif en dentelle puis remis tout cela en place dans le tambour de la machine. je prévins sa mère de l’ouverture du tambour…

Je connaissais, enfin par l’entremise de ses sous-vêtements portés les odeurs et les goûts intimes de Sylvie, celle qui m’avait tant excitée, la compagne malgré elle de centaines de masturbation et d’éjaculations abondantes lorsque je pensais à elle…

Elle se maria, nous nous retrouvâmes dans le train, elle, pour aller ou rentrer travailler moi pour aller à la fac.

Un jour, je me mis a coté d’elle dans le train, elle était en jupe noire, collant noirs et un pull gris anthracite mais ceci est une autre histoire…

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