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CLAUDINE VII

CLAUDINE  VII



Résumé: Michel et Claudine ont sauté le pas.
Il l’a un peu forcée au début mais maintenant qu’elle a connu l’extase avec son fils, elle en redemande.

Chapitre 7 :
Michel veut passer à l’étape suivante, enculer sa mère avec son formidable soc.

Le lendemain matin, Claudine va retrouver en petite tenue Michel dans sa chambre, il est encore endormi.
Elle tire le drap et découvre tout sourire la queue en semi-érection.
Elle se baisse, s’approche de l’objet de sa convoitise et voit devant son visage le sang qui palpite dans la verge qui se dresse tel un mât de cocagne.

Sa chatte a aussitôt des spasmes de plaisir, se souvenant de ce qu’elle a subit la veille.
Elle imagine à nouveau cet énorme colosse labourer sa chatte offerte, s’enfonçant profondément dans sa fente, se défoulant dans sa grotte d’amour.
Sa respiration s’accélère à regarder cette énorme vit.
Elle se penche et gobe délicatement l’extrémité de son sexe entre ses lèvres charnues.

Il gémit doucement et elle n’ose plus bouger de peur de le réveiller.
Elle avale sa bite entièrement, repoussant avec ses lèvres la peau recouvrant le gros gland mafflu jusqu’à ce que son nez se noie dans ses poils pubiens.
Sous ses caresses buccales, le barreau de chaise prend une taille fantastique en continuant de grossir et de durcir se transformant en une grosse matraque.

Elle en a plein la bouche et la verge massive repousse petit à petit son visage, son nez est maintenant à plus de 5cm de la toison pubienne du jeune homme.
Elle entend un gémissement plus fort.
Claudine retire sa bouche de cette jeune bite fièrement érigée, elle enjambe ce corps musclé et se met à califourchon sur son fils, elle prend son gourdin d’une main et le frotte sur sa vulve
Elle tente de lui mettre un préservatif mais celui qu’elle a apporté est de taille standard et est trop petit, il ne veut pas se dérouler sur son gland congestionné, l’épi de son fils est beaucoup trop gros.

– Pardonne-moi Michel, mais je ne peux pas résister plus longtemps à l’appel de ton monstre.
Et avec une infinie lenteur elle soulève son bassin et lentement s’empale sur le pieu monstrueux, sa fente s’écarte sous la pression de son épi qui repousse ses chairs, elle gémit.
Il lui faut de nombreux va-et-vient pour s’empaler complètement. Toutefois son sexe n’a pu absorber complètement l’énorme bite de Michel.
Quelques centimètres restent à l’extérieur et n’ont pas droit à la visite de sa grotte.
Le sexe complètement distendu par le pal qui la pénètre, elle monte et descend lentement, les yeux fermés, se mordant la lèvre inférieure.

– Oh mon Dieu, qu’elle est grosse, ce n’est pas possible d’avoir une si grosse bite!
Son bassin s’active en douceur sur cet interminable pal et commence à faire des va-et-vient très lents puis de plus en plus rapides avant de le retirer presque complètement de son vagin.

Hier elle avait douté qu’une femme puisse accepter dans son sexe, un engin d’une telle taille. Ce matin, elle réalise l’impensable mais la veille elle avait dû subir contre son gré au début cet extraordinaire chibre au fond de son sexe, s’était différent.
Après plusieurs années d’abstinences un membre masculin la pénétrait, la fougue d’un adolescent en rut au pal démesuré la pourfendait.
Mais ce matin, elle a décidé de mener les ébats sexuels à sa manière, elle sait exactement à quoi s’attendre.

Elle veut connaître de nouveau ces orgasmes qui l’ont pratiquement anéantis mais en apportant du plaisir à son fils chéri.
Elle a choisi cette position dont elle raffole et lui permet de mieux percevoir l’organe viril à l’intérieur de son vagin, et vu la longueur du membre de son fils, elle est certaine de connaître encore le plaisir.
Soudain elle entend.
– Bonjour Maman, quelle agréable façon de me réveiller.
-Bonjour mon fils, laisse-toi faire, ne bouge surtout pas.

Il regarde avec concupiscence les gros seins ballottant aux larges aréoles, une moiteur torride lui enserre la verge quand sa mère s’empale totalement dessus.
Comme un carcan, son fourreau brûlant compresse son membre sous la puissance de ses muscles vaginaux.
C’est une sensation inconnue pour lui, sa queue aboute le col de son utérus, comme aspiré dans le sexe féminin tant convoité qui a englouti sa verge.
La veille, trop occupé à la montée de son propre plaisir, il ne se souvient pas d’avoir ressentit ce massage intime.
Il a eu quelques aventures mais les seules filles qui ont eues le courage d’accepter sa verge si épaisse n’ont pas pris de plaisir tellement elles étaient dilatées au-delà de ce que leurs jeunes chattes pouvaient accepter. Lui non plus n’en garde pas un bon souvenir.

Mais ce matin, il veut rester stoïque, se refusant à succomber trop rapidement à la jouissance,
laissant sa mère diriger leurs ébats à sa guise.
La sensation est si agréable qu’il ne peut empêcher son bas-ventre de se projeter brusquement en avant, un gémissement s’échappe de ses lèvres.

– C’est bon, mon chéri ?… Tu apprécies ?… Tu veux que je continue ?…
Pour toute réponse à sa question elle entend un grognement euphorique de Michel.
Elle appuie ses deux mains sur le torse du garçon, se déhanchant en massant érotiquement le pieu formidable par des contractions de son vagin détrempé, se procurant une merveilleuse béatitude.
Elle surveille la montée du plaisir sur le visage de son fils voulant lui apprendre à dominer son corps et ses envies pour prolonger l’acte le plus longtemps possible pour le plaisir de sa partenaire.

Mais le frottement voluptueux de la poutre massive écartelant son sexe met à rude épreuve ses intentions de garder le contrôle, déclenchant dans ses entrailles la libération de sa liqueur vaginale.
Une vanne vient de s’ouvrir dans son vagin libérant un flot de cyprine brûlante qui ruisselle et englue les cuisses et les couilles de Michel.
Plus elle le chevauche, se pénétrant au maximum de ses possibilités, plus elle libère la chaude liqueur qui suinte de sa chatte dilatée à l’extrême.

Michel fait tout rester impassible au massage affolant de sa verge par le vagin de Claudine mais ne peut résister à agiter son bassin pour accompagner le rythme sensuel de la chevauchée fantastique de sa mère.

Il projette ses mains pour saisir les seins gonflés qui ballottent érotiquement devant ses yeux, au rythme de la chevauchée de la cavalière sur son étalon.
Heureuse de cette initiative tant attendue, elle éprouve de la satisfaction.
Ses doigts se referment sur les mamelles enflées, malaxant sous sa poigne ses obus gonflés par le désir, pinçant ses tétins aussi durs que la verge du mâle. Elle l’interroge.
– Tu les aimes mes gros seins, mon amour? Frotte bien les bouts, tu les sens comme ils sont durs ?

Au comble du bonheur Michel lui répond voyant qu’elle apprécie ses caresses,.
– Oh oui, j’adore les caresser, aguicher tes mamelons.
-Moi aussi j’aime beaucoup, mais ne bouge pas, prends sur toi pour repousser la montée de ton plaisir.
Malgré les recommandations de sa mère, le feu ardent qui enveloppe son engin lui devient de plus en plus insoutenable l’amenant doucement à l’explosion finale.
Des contractions de plus en plus rapprochées se font sentir dans son bas-ventre et il doit faire un violent effort pour retarder l’éjaculation, il gémit dans un appel à l’aide désespéré.
– Maman, je…, je crois que… !

Claudine comprend que si elle continue, il va exploser, elle s’immobilise assise sur ses jambes, cessant les va-et-vient sensuels de son sexe le long du colosse de chair qui la pourfend, sa formidable verge enchâsisée au plus profond dans son fourreau bouillant.

Elle voit les crispations de son visage sous ses efforts pour ne pas éjaculer.
– Calme-toi mon chéri… Essaie de détourner tes pensés… Respire lentement… Voilà…, je te laisse tranquille… Respire bien à fond…

Michel bande toute sa volonté en écoutant ces paroles et repousse lentement la fabuleuse tension accumulée dans son corps. La chambre est plongée dans le silence, il a fermé les yeux se concentrant pour que son esprit reprenne le pouvoir sur sa libido, sa respiration s’apaise.

Peu à peu, il se détend. La tension au paroxysme de son chibre s’estompe peu-à-peu.
Il se sent de nouveau d’attaque, et espère ne pas réveiller trop vite le volcan qui sommeille dans ses bourses, il est prêt à reprendre le sensuel rodéo érotique.

Claudine sent à l’intérieur de sa grotte le membre viril qui a perdu un peu de son volume.
Elle est fière que Michel soit devenu maître de son désir en résistant à la jouissance libératrice, se rendant victorieux de cette terrible épreuve.
Elle va tout faire pour qu’il devienne un amant exceptionnel, mais il a encore beaucoup à apprendre d’elle, étant prête à apaiser ses besoins sexuels, chaque fois que ceux-ci se montreraient par trop pressants.
Mais elle compte bien profiter aussi de ce gourdin pour apaiser sa chatte avide de plaisir.

– Ça va mieux, mon chéri?… Tu vois que tu peux apprivoiser ton envie si tu le veux et prolongé le plus longtemps possible l’acte sexuel avec ta partenaire.
Claudine reprend sa sensuelle chevauchée fantastique, d’abord lentement afin de ne pas raviver trop vite le feu de son jeune amant.
Michel acquiesce, attentif à contrôler son désir mais ne peut se retenir que quelques minutes avant d’inonder le vagin de sa mère de son foutre en longues giclées épaisses.

Claudine se relève désolidarisant sa chatte de cet axe imposant qui a perdu un peu de sa superbe, elle libère ainsi la liqueur séminale qui se répand sur ses couilles et sa bite déjà poisseuse de sa mouille.

Claudine se positionne tête-bêche sur Michel et descend tout le long de son corps le couvrant de coups de langue et de baisers pour terminer en embouchant sa queue ramollie qu’elle nettoie d’une bouche experte.
La fellation a tôt fait de redonner vie à cette chose sans vie qui se dresse et se transforme en un massif poteau bien droit.

Michel a décidé de reprendre l’initiative et profite de ce qui passe à porté de ses mains et de sa bouche.
Les formidables doudounes de sa mère, son ventre rebondit et pour finir sa chatte n’échappent pas à ses caresses et léchouilles.

Il pose les mains sur ses fesses et attire à lui son pubis, sa langue s’égare dans sa fente vaginale et il prend entre ses lèvres le clitoris aussi dur qu’un petit sexe.
Il le suce consciencieusement mais avec force, s’aidant de ses doigts qu’il coulisse dans sa chatte.
Claudine sent venir au plus profond de son corps des décharges électriques annonciatrices de sa jouissance. Ne pouvant plus se retenir, elle se met à jouir de façon incontrôlable en spasmes violents et coule comme une fontaine, inondant le visage et les doigts de Michel.
Elle abandonne son bâton crémeux et se met à hurler.

– Unnggh! Oui, comme ça, continue… Lèche-moi bien à fond…! Bouffe-moi la chatte ! Je jouis, je jouuuiiiiis, mon Dieu que c’est bonnnnn !

Elle est au sommet de son orgasme. Il lui faut presque une minute pour que les spasmes sans fin ne diminuent en intensité.
Mais Michel veut profiter du délire des sens de sa mère et lui enfonce un puis deux doigts poisseux dans son anus, elle ne le remarque même pas toujours en pleine extase.
Quand enfin elle réalise cette intromission inhabituelle, un troisième doigt est venu rejoindre ses congénères.
-Mais que fais-tu ? Non je ne veux pas ! C’est contre nature par là et je n’ai jamais voulu !!!

Michel n’insiste pas mais l’exploration digitale lui a permit de constater la souplesse de son petit trou.
– Baise-moi plutôt! Viens, prend-moi avec ton monstre !

Claudine veut être prise en levrette, Michel grimpe sur sa mère, glisse entre ses cuisses son énorme mandrin qui frotte sur sa vulve et qu’elle peut voir dépasser entre ses jambes tellement elle est longue.
Elle descend sa main, repoussant cette incongruité au bas de son ventre, passe son bras entre leurs corps pour saisir la verge disproportionnée et conduire le gland violacé entre ses grandes lèvres.
L’incroyable diamètre de sa pine pénètre centimètre par centimètre avec une extrême lenteur sa vulve écartant sa fente pour se frayer un passage.
Elle se mord sa lèvre inférieure mais des gémissements s’échappent de sa bouche.

-Aaaaggh! Ah, je n’arrive pas encore à m’habituer à sa grosseur, putain que tu es gros, un vrai démonte-pneu!
-Je n’ai pas connu énormément d’hommes, mon amour, mais jamais je n’ai été prise par un tel mandrin, le tien fait plus d’un tiers de mieux que la plus grosse qui ait pénétré ma chatte!
-Vas-y!! Bourre bien ma chatte. Mais va plus vite, bon Dieu ! Mets moi la à fond je t’en supplie ! Tu vas me la mettre en entier, hein ?
-Plus loin…, encore…, oui…, continue…, encore ! S’emporte-t-elle. Enfonce-là le plus profondément possible !

Mais Michel n’en tient pas compte et continue d’enfoncer sa verge qui entre avec lenteur comme dans du beurre tellement sa matrice est encore pleine de foutre et de ses sécrétions vaginales.
Ni tenant plus, elle pousse sa chatte palpitante au devant de l’énorme piston de forge s’empalant le plus loin possible.
Il commence alors à donner des coups de reins avec douceur enfonçant la gigantesque trique dans sa moule accueillante.

-Je t’ai dit de me bourrer le berlingot, putain mais lime-moi plus fort, baise-moi!
Claudine projette son bassin sur la bite de son fils comme une droguée en manque de sexe.
Ses énormes seins ballottent et rebondissent à chaque pénétration.
Michel accorde son rythme à celui de sa mère, défonçant les profondeurs de son vagin, ses couilles viennent frapper le derrière callipyge.
Michel accélère le rythme la tronchant de plus en plus durement, Claudine, ravie, grimace sous ses assauts se tenant aux montants du lit pour ne pas s’écrouler sous ses coups de boutoir formidables.

Sa chatte n’a jamais été aussi remplie et accueille pratiquement la totalité de sa tige pharaonique sous ses ruades formidables.
Son vagin se contracte de façon incontrôlable, broyant constamment ce bélier énorme qui occupe tout son ventre. Il la tringle aussi fort qu’il le peut noyant son pieu massif dans les entrailles de sa chatte en fusion.

Un orgasme foudroyant met le feu dans sa chatte d’où s’écoule un ruisseau de cyprine, des spasmes douloureux contractent les parois étroites autour de la lance de Michel aboutée à son utérus.
Un volume de sperme incroyable jaillit du méat. Claudine ressent ses giclées se répandre, l’inondant au plus profond de sa chatte d’un chargement chaud et apaisant de semence épaisse.
Une nouvelle série de spasmes monte du ventre de Claudine proche de l’évanouissement, ses muscles intimes sont tétanisés sur le barreau titanesque de son fils qui a reprit ses coups de boutoir.

-Je n’en peux plus, arrête, je vais me trouver mal !!! ! Aaaaggh! Je jouis! Je n’arrête plus de jouir, ooouuuiii je me vide…!!!

Michel finit de se vider les burnes et se retire jusqu’à ce que seul son énorme gland turgescent reste dans la vulve de sa mère.
Il frissonne et après un instant d’hésitation se retire d’elle et présente son bout monstrueux au niveau de l’anus de Claudine, empoignant ses fesses et les écartant pour l’ouvrir encore plus.
Claudine est dans un état second et n’a pas de réaction.
Ce qu’il va faire, il ne l’a encore jamais fait subir à personne.
Il enfonce chaque centimètre de son défonce-cul géant un peu moins raide dans les reins de Claudine qui maintenant hurle de douleur et essaye de se dégager en tortillant du derrière.

-Laisse-toi faire…, ouvre-toi bien ! Je te défonce le cul ! …
Claudine sent son sphincter se distendre et le monstrueux soc labourer ses boyaux.

– J’ai mal ! Tu me déchires, nonnnn, je t’en prie, tu es trop gros !!!

Michel lui donne une claque magistrale sur la fesse droite. Il n’a cure de ses supplications, il la tient fermement aux hanches et continue la progression de sa verge phénoménale qui reprend de la vigueur dans son fondement.
Son cul est complètement écartelé par cet énorme mandrin qui peu à peu, glisse entre ses fesses jusqu’à ce que ses grosses couilles viennent en butée terminant l’enculage.
Il est planté entièrement dans son cul !

-Tu vois, tu l’as toute entière dans ton cul, ce n’était pas la peine de hurler comme une truie que l’on égorge!…Tu sens bien mes 25 centimètres de plaisir ? …

Ses lents va et viens éveille progressivement le plaisir de Claudine qui pousse son derrière autour de l’épée tendue qui la pénètre.
Son énorme membre ramone son anus qui n’a connu aucune bite avant lui. Elle se regarde dans la glace de l’armoire et voit entrer et sortir de son petit trou tout dilaté sa superbe flamberge.

Elle recommence à jouir comme une folle, en train de se faire défoncer le fion par cette monstrueuse chose noueuse et en veux encore et toujours plus.
-Aaahhh !… Défonce-moi le cul comme une salope que je suis, casse-moi le cul avec ta grosse queue !…
Ne t’arrête pas ! … Encule-moi !…
Il la sodomise comme un fou, à grands coups de son énorme bite.
-Tiens, prend-toi çà dans ton cul de salope ! … Cà te plait hein, de te faire enculer et défoncer ton trou du cul ?! …
Elle crie comme une folle.
-Aaaahhhhh ! …Salaud ! Tu me déchires ! …Oohh ! Ne la sors surtout pas de mon cul ! …Putain, que c’est bon de se faire enculer ! …encore !…encore !!!!

Michel la tronche par des coups de boutoir d’une force inouïe avant de se répandre en elle.

Claudine hurle son plaisir et s’écroule sur le lit complètement ravagée, l’entraînant avec elle, son immense dard toujours planté en elle.

Curieusement, elle ne pense qu’à une seule chose. « Il faut absolument que j’aille faire une provision de capotes XXL »

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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