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Trop belle la vie avec lui

Trop belle la vie avec lui



Je ne donnerai pas son prénom de peur que quelqu’un le reconnaisse. Je l’avais rencontré dans une soirée où m’avait invitée une amie. Il était entouré de tout un tas de fille et je m’étais demandé ce qui pouvait bien les attirer. Je suis partie peu avant minuit et j’arrivais au bas de l’immeuble quand il m’avait rattrapé pour m’offrir de me ramener. J’avais accepté.
Mes parents étaient partis dans de la famille et j’étais seule. Il s’est garé devant la maison et tout à coup, j’ai découvert la bosse qui déformait son pantalon. Je ne pouvais pas faire autrement que de faire une bise pour le remercier de m’avoir ramenée et je me suis penché et il m’a embrassée sur la bouche puis il a guidé ma main sur sa braguette et j’ai découvert que cette bosse correspondait à quelque chose de très gros.
Après, je l’ai invité à prendre un verre. Je savais bien que je faisais une bêtise mais je ne pouvais pas résister. J’avais fait l’amour pour la première fois quand j’étais encore adolescente et j’en avais assez de me masturber. Quand il a sorti sa bite, j’en ai eu le souffle coupé et tout connement, je lui ai demandé combien il mesure. Il m’a répondu qu’il fait vingt-huit centimètres. Moi j’avais encore une chatte de gamine avec des petites lèvres presque invisibles. Quant à mon clitoris, malgré la masturbation, il ne se voyait guère plus.
Dix minutes plus tard, nous étions nus et j’étais empalée sur sa bite mais ça m’avait fait mal car il avait dû insister pour se frayer un passage. Je ne me souvenais plus si je risquais quelque chose mais il a joui sur mon ventre et je l’ai supplié de rester, mais il a tenu à rentrer chez lui et j’étais devenue si jalouse que je lui ai demandé s’il est marié. Il ne l’étais pas.
On a continué à se voir. Je passais une ou deux nuits par semaine chez lui. Je n’avais pas tardé à lui dire que j’ai mes règles mais ça ne le gênait pas et il m’avait prise dans la bouche. J’ai manqué d’étouffer. Une autre fois, il ma prise dans l’anus. Il m’avait dit que tout ça fait de moi une femme et je le croyais. Six mois plus tard, nous nous sommes mariés.
Ça a soulagé mes parents qui n’en pouvaient plus de me voir découcher. On a loué un appartement plus grand. J’étais contente d’avoir épousé un vrai homme et je pensais que mes amies m’enviaient mais c’est vite devenu un cauchemar. Selon mon cycle, c’était soit mon vagin, soit bouche, soit mon anus. J’y avais droit tous les soirs. Quand je me regardais dans un miroir, je me disais que j’avais la vulve d’une femme qui aurait eu une douzaine d’enfants. Mon clitoris me semblait énorme et mes petites lèvres étaient de vraies ailes de papillon. Quant à mon trou, il restait béant.
Je me touchais mais je ne ressentais plus rien et seule la bite de mon mari me faisait de l’effet. Un soir que mon mari insistait poru qu’on fasse l’amour une seconde fois, il s’est plaint.
– Encore, m’a-t-il dit ? Ça va faire la troisième fois !
– Et c’était qui la première, me suis-je étonnée ?
Sans le faire exprès, je l’avais pris en faute. Il m’a répondu qu’il est désolé que je l’apprenne comme ça. Il m’a avoué que depuis un mois, il baise avec ma meilleure amie.
Ça m’a refroidie et j’ai tenté de tenir mon mari à distance mais c’était difficile. J’étais devenue addict au sexe et je ne pouvais plus m’en passer si bien que je n’ai pas tenu longtemps mon mari à l’écart mais je dois reconnaître que c’est devenu encore pire. Un soir, il est arrivé avec un gode ventouse et il l’a collé sur le carrelage de la baignoire et j’ai dû me prendre dessus jusqu’à l’orgasme mais ce n’en était pas assez car je devait me sodomiser avec.
Mon mari a fini par partir avec ma meilleure amie et je ne les ai plus revus, ni l’un ni l’autre.

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