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CLAUDIE (ou l’apprentissage)

CLAUDIE (ou l’apprentissage)



Agé de 21 ans, je débutais un stage en alternance dans une banque d’un bourg de ma région. A l’époque célibataire et sans « copine », je m’intéressais à toutes les femmes pourvu qu’elles aient un peu de charme. Je regardais essentiellement les femmes plus agées.
Claudie était l’une de celles-là. Agée d’environ 40 ans, elle travaillait dans la même agence que moi. Brune aux cheveux mi longs, légèrement ondulés, Claudie était aussi très féminine. Toujours en robe ou jupe, bien préparée et portant toujours des chaussures à talons mi haut. Son mari étant gérant d’un magasin de chaussures, je supposais qu’elle avait le choix des modèles.
Claudie avait de jolis seins que je devinais sous ses chemisiers ou ses robes. Parfois, le chemisier un peu lâche permettait de voir fugacement ses sous-vêtements lorsqu’elle était assise au poste des titres en bourse. Je me permettais souvent d’aller voir mon tuteur assis à côté d’elle pour lui demander des infos sans importance mais surtout avoir un regard sur ce qui m’était offert de voir. Il ne fallait pas grand-chose pour alimenter mon excitation le soir chez moi et passer des moments agréables et solitaires. Je l’imaginais rapidement à genou m’offrant son cul, sa chate, ses seins pendants et demandant que je la prenne directement en alternant son sexe et son anus. Je l’imaginais soumise mais sachant toutefois ce qu’elle voulait. Je finissais mon fantasme par une fellation à genou et demandant à ce que je jouisse sur ses seins. Cela se passerait dans mon studio, ne gardant que se collants et ses chaussures. Remise sur le dos, je l’aurai pénétrée et quelques frotti de mon sexe sur son clito l’aurai fait jouir puis j’éjaculai sur son ventre.

Un jour, de retour après la pause méridienne, je suis retourné à l’agence un peu plus tôt que prévu. Passant toujours par la porte de service arrière, j’ai eu la bonne surprise de voir que j’étais le deuxième arrivé et que Claudie était déjà là. Le voilà enfin le moment de parler avec elle. A ma grande surprise, c’est elle qui engage la conversation. Me demande si mes études vont bien et si mon apprentissage me satisfait. Je lui réponds brièvement en bafouillant. Elle continue et me demande si la vie dans le bourg me plait, si je ne m’ennuie pas trop.
Le chef d’agence arrive avant que j’ai pu lui donner une réponse satisfaisante.
« Puisque vous êtes tous les deux déjà là, dit-il en s’adressant à nous directement et froidement, je voudrais que vous vous occupiez de notre apprenti et lui insuffler les bases de la bourse »
« Qu’elle s’occupe de mes bourses ! », pensai-je alors surtout avec un petit rire.
J’étais loin de penser que cela allait être le cas. En effet, le lendemain nous partîmes dans un bureau délocalisé à quelques kilomètres ; le bureau n’étant ouvert que le matin, l’après-midi fut consacré à mon apprentissage.
Dans l’arrière bureau, elle reposa la question de mon alternance et ma vie dans le bourg. Sans attendre la réponse elle commença à mettre sa main sur mon pantalon, puis à défaire ma cravate. Elle était en chemisier et légèrement penchée en avant me permettant d’avoir une vue sur ses seins. Elle l’avait vu. Et donc se redressa pour enlever son chemisier et mettre en avant sa poitrine libre pour les regards et caresses. Ce que je n’hésitai point.

« Je vais m’occuper de ton apprentissage » lâcha Claudie en me masturbant. « J’avais remarqué tes regards pour voir mes seins. Aujourd’hui je te les offre et plus encore ». Puis me mettant debout elle commença une longue et lente fellation, tournant sa langue le long de mon gland. Elle saliva tout le long de ma verge. Puis parfois léchait ma bite en partant de ma bourse. « Voilà comment on fait monter la bourse, dit-elle. C’est une affaire parfois juteuse » Alors elle accéléra le mouvement et suça ma bite plus rapidement et parfois s’arrêta lorsqu’elle l’englobait entièrement.

Son envie était désormais plus passionnée et personnelle. Retroussant sa jupe, elle se penche sur le bureau et en se caressant l’anus et sa chate, me demande de la prendre immédiatement et de la pénétrer par tous les trous qui m’étaient offerts. J’écartai donc cette petite culotte pour la prendre en levrette. Quelque peu tremblant au début, mon excitation m’aida à me maîtriser. Elle commençait à gémir et vite poussait des cris, des râles à chaque coup de bite. Je la dominais et croyais rêver mais le plaisir et le désir étaient là. Je sentais monter le jus. Elle aussi. Ma bite se faisait plus grosse. Me retirant un peu pour calmer mes ardeurs et faire redescendre la pression, elle me demanda de la sodomiser. Elle commençait alors à se caresser l’anus et introduisant un doigt, me demandait de le faire à sa place.
J’ai donc pu l’enculer comme elle le désirait en m’introduisant doucement au départ. Je prenais ses seins en main et m’appuyait par mon bassin sur son cul pour aller plus profond.
Après quelques instants de sodomie, je lui ordonnai de se mettre sur le dos allongée sur la table. Elle le fit immédiatement et je pouvais donc la pénétrer comme dans mes fantasmes masturbatoires.
Je pris donc ses jambes en l’air, la tenant par les chevilles alternai avec ma bite : caresses sur son sexe et pénétration vaginale.
Quand fut le moment où j’allais jouir, elle se mit à genou pour accueillir sur ses seins nus ma semence. Elle prit ma verge dans ses mains pour orienter mon éjaculation entre ses seins et sur ses tétons. Lorsque les trois jets de sperme arrivèrent sur sa poitrine, elle se caressa en justifiant vouloir garder un peu de moi comme preuve de la réussite de mon apprentissage. Ma maîtresse … de stage, d’un instant, se leva puis le sourire aux lèvres se rhabilla. Son soutien-gorge noir en dentelle légère englobait bien ses seins et se macula de quelques restes de sperme. Puis refermant son chemisier, omettant les deux derniers boutons du haut, me précisait qu’il fallait rentrer.

Dans la voiture les peu de kilomètres furent cours. Écartant ses cuisses, je dus sans contrainte la caresser et introduire sur sa demande deux doigts dans son vagin.

Arrivés au bourg, elle me déposa devant mon immeuble et sans un baiser me laissa sur le trottoir non sans avoir demandé ce que j’allais faire en soirée la veille de la fête nationale.

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