Quelle étrange vêture… Pourtant, c’est bien dans cet appareil que les femmes l’abandonnèrent dans un large et un long couloir. Heureusement, il n’y avait personne. Mieux encore, un tapis roulant se présentait à aller. En l’utilisant, elle pourrait aller plus vite et tenter ainsi de rapidement changer ses affaires. Et ce tapis roulant allait bien vite. De plus en plus vite même. Mais, sa largeur s’amoindrissait en même temps ce qui lui permettait de mieux se tenir. Quand soudainement une petite haie apparut en plein milieu de l’étroit tapis : impossible d’aller d’un côté ou d’un autre. Il lui fallait écarter les jambes pour pouvoir mettre les pieds de chaque côté. Et, comme la largeur diminuait encore, elle n’avait la place que pour ses cuisses, tandis que la hauteur de la haie augmentait. Elle commença à s’inquiéter. La haie devenait de plus en plus étrange : de petits jets en agrémentaient le sommet doublés de petites et fines brosses. Ceux-ci arrivèrent bientôt à la hauteur de son entrejambe. Elle monta sur la pointe des pointes des pieds pour les éviter, en se hissant sur ses bras. Elle ne put néanmoins échapper aux jets qui trempèrent en peu de temps ses cuisses, puis sa fente. Elle ne trouvait pas cela si désagréable. L’eau était à la bonne température. Les jets s’avéraient bien placés et à la bonne température. Elle sentait monter le trouble au contact de ce liquide. Ses bras s’en trouvaient moins assurés. Ses pieds fatiguaient de se hisser ainsi. Elle se laissa aller à s’abaisser. Les petites brosses lui chatouillaient la peau. Et finalement, ils entrèrent dans sa fente. Mais elle finit par aimer ce contact. Elle s’assit sur la haie, tandis que le tapis roulant continuait de la déplacer. Portant ses bras et ses mains de chaque côté de la haie, elle la chevauchait et sentit la chaleur l’envahir au fur et à mesure de son déplacement. Plus encore, elle se baissa complètement de façon à ce que la brosse prenne connaissance de son clitoris et que sa poitrine puisse s’appuyer aussi sur la haie. Bientôt, ses seins furent tout aussi mouillés et sensibilisés par le contact de la brosse. Elle se rendit compte qu’elle allait jouir, là, dans une attitude qu’elle aurait trouvé complètement déplacée en temps normal, mais qui, à cet instant, ne l’incommodait pas plus que cela. Pourrait-on dire au contraire ?
Occupée de ses plaisirs répétés, elle n’aperçut ni la fin du tapis roulant, ni les quelques hommes qui en gardaient la sortie. Cela explique qu’elle fut très surprise quand, soudainement, elle se retrouva jetée littéralement dans le vide tout en étant rattrapée au vol par plusieurs mains. Elle se trouva si confuse de la situation qu’elle ne trouva les mots pour s’excuser et s’expliquer. Elle n’arrivait qu’à bafouiller. Toutefois, elle se rendait compte que les hommes se moquaient de ses paroles. L’un deux parla de porte. « Enfin, la porte est arrivée ». Leurs paroles étaient très étranges. Elle voulait se libérer de leur étreinte. Ce n’était pas possible. Ils la maintenaient de plus en plus fort à mesure qu’elle se débattait. Elle décida alors de se laisser faire et de trouver plus tard une meilleure occasion.
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