Dans l’épisode précédent, Maman m’a demandé de lui trouver quelques garçons afin d’abuser d’elle sexuellement, pour la punir de trop me désirer. Je lui ai trouvé trois gars prénommés Markus John et Pedro, ainsi qu’une fille, Adrienne.
Attention, ce texte est d’une rare v******e : âmes sensibles, lisez plutôt des histoires de bisounours câlins et bien propres sur eux. Vous voilà prévenus. D’ailleurs, il est possible que ce texte soit censuré.
Ce quatuor-là, on le voit toujours réuni, et il est spécialisé dans les conneries de tous genre. Dans ce domaine, Adrienne est leur muse, leur tête pensante, leur âme damnée. À l’occasion, elle n’hésite pas à se masturber en public, juste pour prouver qu’elle est à la fois la plus belle, la plus chaude et la plus effrontée de toutes les filles du lycée. Elle garde son crâne rasé avec soin, et raconte à tout le monde que sa grand-mère a subi également la boule à zéro à la libération, pour avoir baisé avec des Allemands ; alors pourquoi pas elle. D’ailleurs, son pote Markus est Allemand, mais elle ne baisait pas avec lui, parce qu’elle était lesbienne. Mais tous les mecs rêvaient de la mettre quand même dans leur lit. Elle avait le regard qui foudroie net.
Elle était vêtue de longues bottes de cuir fin et noir qui montaient jusqu’en haut des cuisses et sanglées à leur sommet de lourdes boucles d’acier chromé impeccablement astiquées, d’une robe de même couleur et de même matière, moulante et très courte, et de gants également teintés de nuit ; tout cela lui donnait l’élégance d’une maîtresse femme, malgré sa jeunesse. Les trois gars de sa bande lui obéissaient au doigt et à l’œil. Car, s’ils ne pouvaient pas la toucher, elle organisait des parties fines et leur trouvait quantité de filles à baiser, les plus mignonnes et les moins farouches qui soient.
Quand je lui ai dit que non seulement je lui laisserais éventuellement l’occasion de tripoter ma mère, mais qu’en plus, elle aurait le droit de lui infliger des sévices, elle m’a demandé ce que je voulais en échange. Je lui juste dit : baiser, parce que ses petits seins arrogants et son petit cul que je devinais bien ferme me rendaient fou. Elle n’a pas voulu, elle ne voulait aucune bite dans ses cavités intimes ; on a marchandé. Finalement, nous sommes tombés d’accord pour qu’elle me fasse une fellation, mais à condition que ce soit discrètement, parce qu’elle ne voulait pas qu’on sache qu’elle pouvait accepter de faire ça à un mec, et que c’était bien parce que je suis son demi-frère (elle a insisté sur le demi), et que ma mère avait intérêt à être docile.
Pour sûr, Maman était docile. Je craignais même qu’elle le soit trop et que les choses aillent trop loin, qu’elle soit blessée. Il y avait un geste de sécurité : une clé qu’elle tenait dans sa main, et qu’elle pouvait lâcher à tout moment pour arrêter l’action en cours.
Pendant les trois jours qu’ils ont eus pour se préparer, les quatre complices ont construit ensemble l’instrument sur lequel ils se proposaient de tourmenter mère. Ils l’on construit à partir de tubes de métal percés et vissés entre eux. Ils l’ont démonté pour le transporter, puis remonté dans l’appartement. Cela ressemblait à un fauteuil de gynécologue, en beaucoup moins confortable, avec des sangles pour attacher leur victime par les chevilles, les cuisses très largement écartées, les épaules, les bras levés en Y, et même le cou. Adrienne a tout supervisé, parce qu’elle avait des talents d’ingénieure – par la suite, elle a d’ailleurs fait Polytechnique, elle est devenue générale d’infanterie, ce qui lui permet d’infliger toutes sortes de brimades à ses soldats.
Durant ce délai, ses trois gars avaient l’interdiction formelle de baiser avec qui que ce soit, y compris avec eux-mêmes, et pour s’en assurer, elle leur a posé une cage pénienne, pendant une récréation, c’est-à-dire d’une manière publique, dans un recoin de la cour où les profs ne venaient pas. Toutes celles et tous ceux qui voulaient pouvaient y assister. Pour l’occasion, ils s’étaient mis à poil, sur ordre d’Adrienne. Les filles s’extasiaient devant le gros membre de Markus et celui, encore plus imposant, de John. Mais interdiction d’y toucher, sauf une dernière fois avant qu’Adrienne installe la cage, et devant tout le monde. Les autres gars étaient jaloux, et l’un d’entre eux a dû dénoncer cette indécente activité, de sorte que les quatre membres de la bande ont été collés. Qu’importe : pour être présents cette après-midi-là, ils ont dû sécher leur colle. D’ailleurs, ils finiront par se faire renvoyer du lycée, leurs frasques répétées ayant fini par lasser la directrice, qui pourtant n’était pas insensible aux charmes d’Adrienne, et en avait bien profité.
Donc, Maman a dû se déshabiller devant nous cinq, qui étions encore vêtus. Nous la regardions ôter ses vêtements. C’était étudié pour l’intimider, mais il en fallait bien plus pour déstabiliser ma nymphomane de mère, qui regrettait seulement qu’il n’y ait pas un public plus conséquent que moi-même pour assister au châtiment qu’elle avait choisi de s’infliger. Puis elle a eu les yeux bandés, pour qu’elle ne puisse pas se préparer à ce qui l’attendait.
Une fois dans le simple appareil, elle s’est installée dans le fauteuil. Adrienne a pris sont temps pour inspecter attentivement le corps Maman, caresser la peau, tripoter les seins, les pieds, les parties intimes.
– Pour une femme de ton âge, tu es plutôt bien foutue, a admis Adrienne. J’adore cette chatte ouverte ; elle dégage une odeur d’excitation mêlée de peur. Ce sera un plaisir de te torturer délicatement jusqu’à ce que tu me supplies d’arrêter. Mais avant, je te ferai descendre jusqu’aux tréfonds de l’avilissement.
– Je vous en prie, Mademoiselle : tout en moi vous est offert, et tout le plaisir – je veux dire, la douleur – est pour moi !
Pour commencer, Adrienne et Pedro l’ont chatouillée sur les pieds, sans ménagement, pendant que Markus et John se déshabillaient à leur tour. Ils bandaient impeccablement. Même si je suis totalement hétéro, le fait de voir de tels braquemarts bien levés et transpirer leur rosée du désir me fait toujours quelque chose.
Sous l’effet du chatouillement, Maman riait comme une folle. Mais elle n’a pas lâché la clé. Markus l’a sodomisée d’un seul coup de reins, bien à fond, en écartelant la petite rondelle anale. John a contourné le fauteuil, a basculé en arrière la tête de l’attachée, puis a enfoncé son énorme bite dans bouche ouverte, jusqu’au fond de la gorge. Ma pauvre mère ne pouvait absolument pas résister à cette intromission. La v******e de l’irrumation l’a fait vomir, en plusieurs jets nauséabonds, ce qui n’empêchait pas John de poursuivre jusqu’à éjaculer des flots de sperme que Maman était obligée d’avaler, du moins en partie, le reste tombant sur le sol pour se mêler à son vomi. Cessant ses chatouilles, Adrienne s’est allongée sur le sol, sous la tête de ma mère, la bouche ouverte, et a avalé le copieux mélange de foutre et de dégueulis qui s’écoulait d’entre les lèvres de ma pauvre mère. Visiblement, ma demi-sœur adorait ce genre de cocktail, et semblait seulement déçue qu’il n’y en ait pas encore plus à bouffer. Puis, d’un doigt dans la bouche, elle a dégueulé ce qu’elle venait d’avaler, entre les lèvres de ma mère qui été forcée de tout ingurgiter.
Pedro chatouillait de plus belle, les deux pieds en même temps. Il semblait y prendre un plaisir spécial. Lui aussi s’est mis à poil, et il a utilisé sa bite pour chatouiller. Puis sa langue. Le vrai fétichiste amateur de petons féminins.
Malgré tous ces outrages, Maman ne lâchait pas la clé, décidée qu’elle était à endurer son supplice jusqu’au bout. Markus continuait à pilonner son cul, régulier comme un métronome, tout en fredonnant une chanson paillarde dans sa langue maternelle. Adrienne a pris un gros vibromasseur et l’a plaqué contre le clitoris de ma mère. Celle-ci se tordait. Malgré tout ce qu’on lui infligeait, elle jouissait. Je l’ai même vu lever son pouce vers le plafond. Oui, elle était contente.
Pedro est monté sur elle et l’a pénétrée vaginalement. Double pénétration. John, nullement rassasié, continuait son irrumation. Les trois gars ont éjaculé presque en même temps. Le corps de ma mère dégoulinait d’une couche de sperme gluant.
Assis sur le canapé, j’étais aux premières loges. J’étais horrifié par ce que subissait Maman, mais en même temps, cela m’excitait, de sorte que mon pénis se sentait à l’étroit dans mon slip. Alors, comme en plus j’avais trop chaud, je me suis mis complètement à poil et j’ai commencé à me masturber, mais lentement, pour ne pas venir trop vite.
– Tu ne veux pas participer à la fête, m’a demandé Adrienne ?
– Non. C’est ma mère, quand même. Je ne la touche pas.
– Bah ! Si tu savais ce que j’ai fait avec la mienne ! Tu as peur que Papa revienne pour te gronder ?
J’ai haussé les épaules, et laissé les quatre dingos s’occuper de Maman, qui tenait toujours sa clé en main. Je crois qu’elle aimait tellement ça qu’elle se serait laissée massacrer sans s’y opposer.
Adrienne a grimpé sur le fauteuil, à genoux, les cuisses enserrant la tête de ma mère, afin d’obliger celle-ci à lui lécher la chatte. Pedro a pris de relais pour continuer à prodiguer les vibrations. Maman a joui avec de grands cris à peine étouffés par le sexe féminin qui masquait sa bouche. Markus, en voyant cela, a laissé échapper le mot maudit : « Salope ! » C’était le mot interdit : j’ai vivement protesté.
Reconnaissant avec fair-play la faute de son équipe, Adrienne est descendue de sa position, a pris le fouet et prié l’Allemand de lui tendre ses poignets pour qu’elle l’attache au fauteuil. Au choix : dix coups de fouet, ou bien se rhabiller et prendre la porte. Il a choisi la première possibilité, et la lanière de cuir s’est abattue sur son dos et ses fesses, sans ménagement. Peut-être qu’il en porte encore les marques, trente ans après. Peut-être même qu’il a fait exprès de dire le mot interdit, parce qu’il avait envie qu’Adrienne, la belle lesbienne au corps inaccessible aux garçons, le fouette impitoyablement, à défaut de lui offrir les grâces de son corps. En tout cas, la flagellation le faisait bander d’une manière plus raide à chaque claquement. Maman regardait cela et semblait envieuse du sort de Markus qui, sitôt libéré, une fois la sentence exécutée, s’est dépêché de déverser son trop-plein de sperme dans le cul de l’attachée. Celle-ci avait déjà été tellement enculée, au cours de la séance, par des bites grand format, que son anus restait entrouvert, avec un début de prolapsus tout rouge qu’Adrienne a léché. Puis celle-ci a lubrifié abondamment sa main avec du gel, et a plongé son poing entier, et même son avant-bras, dans le rectum de Maman qui devait avoir mal, mais ne protestait pas.
Quand Adrienne a retiré sa main, on voyait de nouveau le prolapsus anal de ma mère, cette fois gros comme une balle de tennis. C’était horrible à voir, mais je me suis quand même approché pour mieux voir, parce que cela me fascinait. On dirait qu’elle lui avait retourné l’intestin comme un gant.
Adrienne a pris un stéthoscope et a ausculté ma mère. Une femme médecin, avec laquelle elle forniquait plus ou moins régulièrement dans son cabinet, lui avait appris à vérifier l’état du cœur, afin de prévenir tout accident cardiaque pendant un rapport sado-maso. Cette doctoresse avait elle-même participé à des opérations spéciales avec les forces américaines en Irak, et procédé à des interrogatoires afin d’arracher des informations, des aveux : elle savait de quoi elle parlait. Ma demi-sœur apprenait vite et avait acquis cette expertise, afin de ne laisser aucune blessure autre que celles, psychologiques, que les victimes endurent toute leur vie. Manifestement, elle avait décidé de passer à la vitesse supérieure.
Elle a sorti des pinces crocodiles d’un grand sac noir, et aussi un boitier possédant plusieurs boutons. Elle a branché les électrodes sur les orteils, les seins et les nymphes – Maman les a assez longues, qui dépassent largement de sa vulve. Elle a envoyé le courant, doucement d’abord, puis en augmentant progressivement le voltage. Je voyais, avec un sentiment d’horreur mêlé d’incrédulité, l’aiguille du voltmètre progresser vers la droite.
J’ai entendu ma mère hurler sa douleur qui lui venait par vagues de plus en plus hautes. C’était glaçant ; j’ai ressenti un frisson parcourir ma colonne vertébrale. Markus, Pedro et John ont enfoncé en même temps leurs queues dans sa bouche pour l’obliger à se taire. Pourtant, elle n’a pas lâché la clé. Je l’ai même entendue marmonner, malgré les colonnes viriles qui étouffaient sa voix : oui, oui, encore, encore plus fort ! Incroyable qu’elle aime qu’on lui fasse subir de tels sévices. Sans ces quelques mots, j’aurais obligé Adrienne à cesser ce supplice démentiel.
Le bourreau a croisé le regard de sa victime, qui lui a fait « oui » d’un signe de tête. Alors, Adrienne a déplacé les électrodes qui étaient fixées sur les nymphes, afin de brancher le clitoris. Elle a revêtu un gode-ceinture, lui aussi connecté électriquement, pour que le vagin reçoive aussi des décharges électriques.
Puis, sans hésiter, elle a envoyé le voltage maximum. Maman s’est raidie, les yeux exorbités, au paroxysme de la douleur. Plus aucun son ne sortait de sa gorge épuisée par les cris. Les trois gars, dont pourtant les bites s’électrocutaient aussi, par contact avec les lèvres, ont éjaculé ensemble dans sa bouche grande ouverte. Adrienne a pilonné, puis retiré le gode-ceinture en le laissant planté dans le vagin. Elle a glissé une main dans sa culotte aussi noire que son âme, et s’est branlée avec force, jusqu’à se fister elle-même avec son poing fermé ; rapidement, elle a éprouvé un orgasme sadique : un spasme fulgurant, puis elle est entrée dans une transe quasi mystique, directement connectée à l’intense souffrance physique de sa très consentante victime. Bourreau et victime, les yeux dans les yeux, copulaient à leur façon infâme. Ma demi-sœur riait d’un rire infernal dont je me souviens parfaitement.
Puis elle a coupé le courant, et Maman s’est relâchée, épuisée. Adrienne rayonnait. Les trois gars pantelaient, les couilles vides et la queue en berne ; il se rhabillaient sans dire un mot. Moi, je pleurais. Voyez-vous, je suis un homme sensible.
Amis lecteurs, en voulez-vous encore ? Si oui, dites-le-moi en commentaire, et vous écrirai des textes encore plus foutraques.
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