Les copains pouffent dans l’entrée. Le jeune regarde sa mère, toute nue, une main sur son sexe, l’autre tenant une grande serviette. Moi, en tee-shirt et pantalon à la main. Le gamin s’approche de sa mère.
– Tu devrais avoir honte.
– Honte de quoi ? De me faire baiser ? De revivre, car ton père ne ma baise plus qu’une fois de temps en temps.
– Mais tu as vu ? Tu es devenue grosse, pas sexy… Pose toi la question.
– Les copains vous avez vu son gros cul que Mic vient sûrement de prendre.
– Heu…
– Et vous qui disiez que j’étais mignon. Que vous aimait ma petite bite.
– Mais c’était vrai, mais je suis bi et ta mère est une bonne salope.
– Moi ? une bonne salope ?
– Oui maman, tu es une salope et je propose que Marc et Ben te baisent ici dans le couloir, si tu ne le veux pas je dis tout au père. Et vous Mic, venez dans la chambre de ma sœur.
Je le suis et avant de rentrer dans la chambre, je me retourne pour vois les deux jeunes caresser les gros nichons pendants de la mère. Elle a déjà une main sur le pantalon de Ben et commence à caresser de l’autre Marc sous son blouson. Mon jeune referme la porte et me tends ses lèvres.
– Je n’en ai rien a foutre que vous baisiez ma mère, c’est vous que je veux, mais fallait bien que je me montre pour les autres.
Il est devant la commode de sa soeur, ouvre un tiroir et en sort plusieurs strings et culottes ainsi que quelques soutien miches. Il se fout à poil rapidement. Sa bite fine et déjà bien raide. Il enfile une culotte rose de dentelles transparentes. Puis un soutien gorge de même couleur.
– Aidez moi à l’attacher.
Il est beau comme cela. Je lui agrafe le soutien gorges. Ca m’excite fort et ma queue de vieux pervers trésaille devant ce jeune corps en sous vêtements de femme. Le gland sort de la dentelle sous le coté. J’ai déjà envie de le prendre dans ma bouche, car il suinte. On entend les couinements de sa truie de mère qui doit se faire défoncer. Je tends la main vers la porte, l’ouvre. Elle est à deux mètres de nous à quatre pattes au-dessus de Ben et Marc la besogne par derrière, agrippé à ses hanches. Ils sont a poil tout les trois. C’est un bien joli tableau. Elle seule grogne.
– Oui baisez moi, jeunes cochons virils.
– Enfoncez moi plus fort.
– Dans le cul, oui dans mon gros cul.
– Plus fort, bande de chiens en chaleur, j’en veux plus loin, plus fort.
– Continuez, n’arrêtez pas, j’aime ça.
Elle relève la tête et nous voit. Son fils dans les sous vêtements de sa sœur et moi derrière lui, doigtant son petit cul. Bite dressée attendant de nouveau un trou ou une bouche à pénétrer. Je pousse un petit peut le fils vers la mère. Elle ouvre la bouche.
– Vient jeune et belle bite, je vais te faire jouir dans ma sale gueule de pute. Ta mère est une truie, vient me baiser la bou…
Elle n’à pas le temps de finir que j’ai d’une main rapide, saisit la bite sortie sur le coté de la culotte et l’enfonce dans cette bouche assoiffée.
– Hummmm miammmmm.
Elle pompe son fils, enculée par Marc et baisée par Ben. Je regarde la scène et décide de les prendre en photos avec mon portable. Il ne me voit même pas, le faire rapidement. Je glisse le smarphone dans ma veste. Et me colle à mon jeune amant, pour lui caresser la rondelle, l’écarter, la doigter. C’est drôle il y à quelques jours mes doigts avaient du mal à glisser à l’intérieur. Ce petit salop a fait du faire de l’exercices soit seul, soit il c’est fait défoncer par quelqu’un. Je regarde Marc, actif sur la grosse. Je ramasse deux pinces à linge sur l’étendoir et lui mets sur la pointe des tétons doucement. Il ne dit rien. Je me glisse derrière lui. Il est jeune, beau, viril et actif semble t il. Ma main glisse dans son entre jambes et caresse ses couilles qui tapent contre le cul de la mère. Il me regarde, sourit. J’écarte ses fesses et avance un doigt.
– Non Je ne mange pas de ce pain là.
– Tu as tord. Tu vas voir c’est bon. Continue à t’agiter dans le cul de la truie. Tu vas voir, c’est génial.
Je me place derrière, a genoux. Ecarte ses fesses et avance ma langue pour lui lécher la rondelle. Il trésaille, mais ce laisse faire, commence a se détendre. Je passe un doigt dessus et pousse un peut. Il résiste. Je prends la bouteille d’huile restée sur la table. En passe sur mon doigt, puis en fait couler un filet entre ses fesses. Et bien,ça rentre tout seul. J’en mets deux, puis essaye trois. C’est plus difficile. Je tourne mes doigts, remet de l’huile, la vieille pompe toujours. Son fils me regarde et m’encourage du regard.
– Après c’est moi.
Marc ce laisse aller. Je prend la main de mon jeune ami et le tire pour qu’il prenne ma place. Sa mère grogne.
– non je veux le finir, je veux son foutre.
– Ta gueule, tu vas me sucer à mon tour et avaler le mienne, grosse chienne.
Je place le jeune homme derrière Marc et guide sa bite vers la rondelle bien huillée. La bite fine et raide entre d’un coup.
– Doucement, vas y doucement.
– Ca fait un peut mal, mais ça rentre. C’est bon de se faire mettre par le fils pendant que j’encule sa mère.
Je tends ma vieille bite vers la bouche de la mère en attente. Elle se remet a téter. Marc sous le plaisir éjacule dans le gros cul de la salope. Et veut ce retirer. La bite de son copain dans le cul.
– Putain c’est bon, ta sœur est une salope, mais là c’est autre chose. Mon jeune ami, gicle a son tour et se sépare de son copain. La vieille grogne toujours.
– – Une bite dans mon fion, j’en veut une autre qui me défonce. Vite je vais jouir.
Son fils n’hésite pas, il bande toujours, ce petit con. Il se glisse derrière sa mère et entre dans ce cul élargi. Je ne sais si c’est parce qu’il encule sa mère, toujours est il que quelques instant après ils jouissent ensemble. Du foutre sort du cul de cette chienne. Ben se retire. On place la truie sur le dos bouche ouverte et on lui décharge ensemble dans la bouche. Elle avale vite et nous lèche les deux bites vident pour bien les nettoyer. Le spectacle est unique. La minuterie du four sonne.
– Oh, il va être midi, ma fille va arriver et je n’ai rien eu le temps de préparer.
– Vas y fait chauffer deux boites de raviolis, on va dîner tous ensemble.
– Comment cela mon chéri, ta sœur va arriver.
– Vous inquiétez pas Madame, votre fille, cela fait des mois que le quartier la nique. Alors elle va forcement aimer. C’est une bonne baiseuse, mais pas encore aussi salope que vous.
– Oui on va tous rester a poil, quand elle va ouvrir la porte cela lui fera une surprise. Moi j’ai encore envie de niquer. C’est mieux que les cours ici.
– Non vous déraisonnais les enfants, pas Estelle, et quand elle va voir que tu as mis ses dessous, elle va pâlir.
La mère se lève, ouvre un placard et sort deux boites et une casserole. Son gros cul tendu pendant qu’elle prend son temps pour encore nous chauffer. Un bruit sur le palier et la porte s’ouvre sur Estelle en mini et blouson de cuir. Elle referme la porte.
-Maman c’est quoi cette odeur dans l’appart.
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