– Dis donc mec, t’as demandé la permission à qui pour venir dans ces chiottes ?
– Ben, je savais pas… J’ai cru que… bredouillé-je sans trop savoir si c’était sérieux.
J’esquissais un petit sourire contris :
– Excusez-moi les gars…
– Ta gueule ! m’interrompis le premier lascar, ses grosses paluches me serrant le torse et me repoussant les fesses contre l’urinoir.
– Faut que tu paies le prix maintenant, me lança l’autre en se continuant à se marrer.
Il était entré lui aussi dans le minuscule espace déjà surchauffé par la promiscuité de nos trois présences. Il me mis d’entrée la main au paquet pendant que de l’autre il me tirait les cheveux en sa direction, me roulant un patin baveux et puant un mél age de clope de de vinasse.
Son pote me maintenait sur l’urinoir, et le dos contre le mur, en s’étant serré contre moi, ses deux paluches montant et descendant de mon torse à mes cuisses.
Je le sentais transpirer contre moi.
Je suais aussi.
– A poil, grosse salope, m’intima le plus costaud des deux, desserrant son étreinte mais ponctuant son ordre d’une forte claque sur les fesses.
Son pote, cessant de me fourrer sa langue dans la bouche, se mis contre la porte, me privant de toute retraite.
Les deux bières commençaient à faire effet, et la chaleur aidant, je me sentais bizarrement ivre et assez mal dans mes vêtements.
Je les virais, me retrouvant nu comme un verre dans ces chiottes pas très clean.
Le mas tard me passa une main dans la raie culière. Il dû la ressortir toute moite car il me gratifia d’une autre claque sur les fesses :
– Tu mouilles déjà grosse chienne, me susurra-t-il, approchant sa bouche de mon oreille. Il y laissa entrer sa grosse langue baveuse pendant que se collant à moi par derrière, il me tripotait le ventre et, du dessous des couilles, aventurait sa main vers mon anus. J’écartais un peu les cuisses pour encourager ce qui commençait à me chauffer.
– Mais dis donc, on dirait qu’elle aime çà cette grosse truie, lui lança son pote qui matait la scène en se foutant aussi à poil.
L’autre avait atteint ma rondelle, et avait commencé à y introduire un ou deux doigts, aidé par nos sueurs mélangées. Il me donna alors ces doigt à sucer :
– Vas-y, lubrifie moi tout çà…
Il recommença plusieurs fois le manège.
Ces doigts avaient maintenant cette odeur un peu acre de cette crème cicatrisante dont je me pommadais le cul de temps en temps, mélangée à ma bave et aux traces de mon léger manque d’hygiène du matin… mais je ne savais pas que j’allais baiser dans la journée…
Quand il eu bien préparé le terrain, il me fit pencher le tronc vers son pote. Celui-ci était gros, adipeux mais aussi très musclé et fort bien monté. Je n’eus pas trop loisir de regarder son gland qui me paraissait comporter des traces de « yaourt » peu ragoutantes, car il me serra tout de suite la tête dessus, me forçant de deux gifles à engloutir son sexe déjà bien raide. Comme je me tenais à ses hanches, il pris une de mes mains et la guida vers son derrière, la faisant aller et venir d’une manière telle qu’il n’était pas possible de se méprendre sur ses intentions. Je lui mis un doigt, puis deux, le branlant du cul en même temps que je l’astiquais. Il durent apprécier tous les deux que je retire mes doigts pour les lubrifier dans ma bouche.
Le mas tard me fourra sans précaution pendant que je m’occupais ainsi de son pote. J’étais déjà bien lubrifié et ces doigts avaient préparé le terrain. Sa pénétration se voulait féroce mais, en réalité, je l’accueillis avec plaisir.
Il déchargèrent presque en même temps, sur moi. Puis ils se cassèrent comme ils étaient venus… par effraction.
FIN.
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