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Une vendeuse dans la réserve

Une vendeuse dans la réserve



L’été dans notre ville de l’Est de la France, c’est très calme surtout en début d’après-midi. Ma femme était en train de tricoter de la layette pour une naissance annoncée dans la famille quand elle se rendit compte qu’elle n’avait plus assez de laine pour finir ce qu’elle avait commencé. Elle me charge d’aller en acheter dans un magasin situé à la périphérie de la ville et me voilà en route. J’arrive, il n’y personne dans ce vaste espace, pas plus de client que de vendeuse. Je parcoure les allées et soudain, je vois surgir deux vendeuses d’une porte dérobée.

L’une est assez jeune, grande blonde et très blanche de teint, des seins petits, une jupe courte et un drôle de tablier dans lequel elle range les carnets où elle note les métrages de tissus, ce qui lui donne un air de soubrette. La seconde est plus âgée, brune, assez corpulente sans être grosse, son chemisier est rempli d’une belle poitrine et elle semble être la cheffe. De fait, elle se dirige vers la caisse tandis que la plus jeune vient vers moi.

Je lui dis que je suis à la recherche d’une pelote de laine d’une couleur bien précise et que je vais lui montrer le bout de fil que j’ai pris pour faciliter la recherche. Je fouille dans la poche de mon bermuda. Poche droite, poche gauche, rien, pas le moindre fil de laine. Je commence à lui expliquer la couleur que je recherche : ce n’est pas jaune poussin, ni jaune d’or, ni….. La vendeuse me regarde avec un sourire d’amusement sur le visage. Je souris aussi. Elle me fait faire le tour du rayon où se trouvent les pelotes de laine : non rien ne correspond. Elle me dit : « Vous ne voulez pas que je vous fasse voir la couleur de mon string, il se trouve qu’il est jaune aujourd’hui, c’est peut-être la couleur que vous cherchez ». Je lui réponds avec un large sourire : « Pourquoi pas ? ». Il faut dire que depuis que nous discutons, une certaine tension sexuelle est montée entre nous car elle s’est baissée, les cuisses assez largement écartées pour mieux se maintenir, la jupe déjà courte remontant à la limité de son string, ce qui m’avait donné une vue remarquable sur son entre cuisses. En se baissant dans les bacs où il y avait les pelotes, j’avais une vue parfaite de ses seins, petits mais parfaitement galbés. Elle avait vue que mon regard ne se dérobait pas et que j’en redemandais. Elle, sympa, m’en remettait une couche à chacun de ses mouvements.

De sorte, que lorsqu’elle m’a parlé de son string, je me suis dis que quelque chose se passait entre nous et j’ai senti quelques frémissements au niveau de ma bite. J’ai presque pas été étonné quand je l’ai entendue me dire : « Vous savez quoi, on va aller voir dans la réserve, j’ai plus de choix de pelotes de laine et on aura plus de chance de trouver la couleur que vous recherchez ». Et on se dirige vers la réserve. Je reste derrière elle pour admirer son cul, petit mais bien rond. En passant, elle dit à sa collègue qu’elle va à la réserve. L’autre, elle a les yeux plongés dans un magazine et c’est à peine si elle nous regarde.

On arrive à la réserve, il fait plus chaud que dans le magasin et c’est un empilement de cartons qui se présente devant nous. Je la complimente sur ses capacités que je devine à trouver une aiguille dans une botte de foin. Elle me sourit et en guise de plaisanterie, elle me dit : « Les aiguilles, ça me connaît ici et surtout la taille de leurs chas pour pouvoir mieux enfiler ». Moi, je risque un : « C’est plutôt les chattes que je connais, et l’ai plaisir à les enfiler ». Elle glousse, mais je vois qu’elle a compris où je veux en venir et sans doute, elle aussi.

Elle commence à chercher, elle me demande de l’aider à prendre certains cartons qui sont placés assez haut, je me colle à elle pour le faire. Je commence à bander sérieusement et à la troisième fois qu’on se retrouve dans cette position, moi collé derrière elle, son petit cul calé sur ma bite qui bande, je n’y teins plus, je la saisis par les hanches, je la retourne et je plaque mes lèvres sur sa bouche. Ses lèvres s’écartent et nos langues se mêlent pendant que je lui pétris les fesses et que je lui fais sentir ma bite en érection. Nos mains s’égarent pendant qu’on s’embrasse, les siennes vers ma bite qu’elle libère de mon slip après m’avoir ouvert ma braguette et les miennes vers sa chatte que j’atteins rapidement. Son string est trempé de mouille et un premier doigt qui s’insinue dans son con nage carrément dans un flot de cyprine. Je vois que la situation que l’on vit depuis un bon quart d’heure l’a pas mal émoustillée. A moins que…, bref, je ne cherche pas à en savoir davantage !

J’avise un empilement de cartons qui me semble être de la bonne hauteur pour faire ce que j’ai envie de faire, à savoir lui lécher la chatte et je la porte pour l’y placer. Sa jupe est maintenant autour de sa taille et j’écarte son string, jaune paille en effet, pour passer ma langue sur sa chatte, entièrement épilée, et pour glisser ma langue entre ses grandes lèvres.J’en profite pour aspirer une bonne quantité de sa mouille que je déglutis avec ravissement. Elle semble adorer, sa tête est rejetée en arrière et de ses mains, elle se triture ses petits seins à travers son chemisier. Ma langue se dirige vers vers son clito qui est très gros et qui surprend chez une femme aussi mince. Je le fais bouger de ma langue et je l’enserre de mes lèvres. Bien entendu, je me branle pendant que je suce la belle vendeuse et je fais tout pour ne pas partir trop vite.

Pendant que je m’occupe de son gros clito, j’en profite pour la branler un peu avec mes doigts. Là encore, je suis surpris par la largeur de son con : mes trois doigts y font des va-et-vient en étant très à l’aise et je sens que je pourrais en mettre davantage. J’en suis là lorsque dans l’encoignure de la porte je vois un homme qui ne peut être que le patron du magasin. Il a l’air d’apprécier la scène qu’il voit si j’en juge par la bite qu’il a sortie de son pantalon et qu’il branle frénétiquement en faisant de grands mouvements de sa main. Lui n’est pas très grand de taille, il est assez fort et il a une bite d’une belle taille qu’il arbore fièrement. Il me fait signe de ne pas me m’occuper de lui et je continue.

La belle vendeuse me lâche soudain : « Baise moi vite, ma collègue va se demander ce qu’on fait ! ». Je ne me fais pas prier pour lui enfiler ma bite dans sa connasse qui déborde de mouille et je commence à la bourrer à grand coups de bite. C’est un régal et bien que sa chatte soit très dilaté, la quantité de mouille et sa chaleur en font un endroit délicieux.Sachant que j’ai un voyeur en face de moi, je veux lui faire profiter davantage du spectacle et je dis à ma belle vendeuse : « Viens sur moi, je veux sentir ton petit cul contre moi et profiter de sa vue en même temps». Je m’allonge sur la pile de cartons et elle vient s’empaler sur ma bite qui se dresse. Elle s’aide de ses bras pour monter et descendre sur ma bite pendant que de mes mains, je lui branle le clito et je pétris ses petits seins.

Comme elle fermait les yeux en gémissant de plaisir, elle n’avait pas vu que son patron nous observait, sa grosse bite en main, prête à l’usage. Quand elle le voit, elle s’arrête de surprise et dit :  « Mince, mon patron, on est mal !!! ». Je lui réponds : « T’inquiètes pas, continue, c’est trop bon !!! ». Et elle continue de plus belle pendant que le patron s’approche assez lentement car il a son pantalon et son slip à mi-cuisses. Je ne vois pas trop ce qui se passe mais soudain, je sens un doigt du patron qui s’insinue dans le con de la vendeuse déjà rempli de ma bite qui s’arrête de monter et descendre, de surprise. Et le patron de me dire : « Tu vas voir, on va la prendre à deux dans la chatte, elle a le con tellement large ». Il continue en y mettant deux de ses gros doigts qui rentrent assez facilement, dois-je reconnaître. Il démarre des va-et-vient qui en fait me massent la bite et les couilles au passage. La vendeuse ne dit rien, au contraire, elle commence à soupirer et à gémir de plus en plus fort : elle aime ça !

De mon côté, j’appréhende un peu de me trouver avec une bite à côté de la mienne dans un espace somme toute étroit, le con d’une femme. Je n’ai pas longtemps à attendre car l’instant d’après, je sens le gland épais du patron se frayer un chemin entre ma bite et la paroi de la chatte de la vendeuse. Il ne le bouge que lentement au début, un peu comme s’il l’enculait et quand sa bite est rentrée d’une bonne moitié, il démarre ses va-et-vient, lentement puis de plus en plus en plus vite.

Maintenant, il la bourre à grands coups de bite et de fait, ses va-et-vient me branlent la queue. La vendeuse n’en est plus à gémir, ce sont des râles de plaisir qui sortent de sa bouche et son bassin va devant de la bite de son patron, pendant que moi, je me régale de ce qui se passe. Je continue à lui branler le clito pour accentuer sa jouissance et le ventre du patron vient buter sur ma main. Lui, se laisse aller à des mots crus : « Je te bourre salope, tu aimes ça, deux bites dans ta chatte ! Tu vas voir quand on va juter dans ton con, tu vas être inondée de notre jus de couille » et il continue à la bourrer.

Je commence à sentir les parois de la chatte de notre belle vendeuse qui s’animent autour de nos bites et leurs contractions provoquent un massage de nos queues qui ne tardent pas à vouloir expulser notre jus de couilles. C’est le patron qui jute le premier : « Ça y est, je jouis !!! ». Je le suis trente seconde plus tard dans un râle de jouissance pendant que la vendeuse se tétanise carrément, tellement sa jouissance est forte.

Le patron est le premier à sortir de sa connasse, elle est enduite de liquide blanchâtre, de nos spermes mélangés à la mouille de la vendeuse. Quand elle se lève, c’est un gros paquet de foutre qui s’échappe de sa chatte et qui tombe parterre. Elle rabaisse sa jupe et remet son corsage en ordre. Je me relève enfin et je pars à la recherche de mon bermuda et de mon slip que j’avais abandonnés ailleurs dans la réserve.

Je me rhabille et machinalement, je mets ma main dans la poche et qu’est ce découvre ? Le bout de fil de laine dont il me fallait une pelote. Je ratt**** la vendeuse qui est en grande discussion avec les patron et qui est en train de lui dire : « Mais enfin, patron, on avait baisé juste avant le déjeuner, je ne pensais pas que vous en auriez encore envie ». Et lui de répondre : « L’occasion était trop belle de profiter de ta chatte et devoir si on pouvait y mettre deux bites ». Elle, timidement : « Mais quand même… ». Je comprends mieux alors pourquoi elle était si mouillée quand j’avais commencé à lui sucer le con dans la réserve : c’était les restes de la baise avec son patron.

Je rejoins la vendeuse et lui dis que j’ai retrouvé le fil de laine et qu’on va pouvoir trouver plus facilement du coup. Elle acquiesce et on retourne dans le rayon de la laine. On tombe du premier coup sur la teinte que l’on cherchait. Je la remercie et elle me dit sur le ton de la confidence : «Je fais tellement de c… dans mon boulot, que le seul moyen de me faire pardonner, c’est de baiser avec le patron et il en veut toujours plus, vu qu’il ne fait plus rien avec sa femme ! Maintenant qu’il sait que je peux prendre deux bites dans la chatte, j’imagine que je vais devoir baiser aussi avec ses amis».

Je vais à la caisse pour payer et je retrouve la collègue de la vendeuse qui me dit d’un air pincé : « Vous êtes resté rudement longtemps dans la réserve avec ma collègue ! ». Je ne réponds rien, je me dis que c’est sans doute un peu de jalousie de sa part….

J’arrive à la maison, ma femme me dit : « Tu en as mis du temps pour trouver cette pelote de laine ». Je lui réponds : « Ce n’était pas facile de retrouver exactement la même couleur, heureusement que j’ai eu une vendeuse super gentille qui m’a bien aidée ». Et en moi-même je complète : « Oui, elle m’a bien aidée à me vider les couilles aussi » et j’en ai la bite qui frémit encore.

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