Je suis un jeune homme étudiant, vivant dans mon petit appartement à Lorient en Bretagne. Ma meilleure amie s’appelle Floriane, une jeune fille, petite blonde aux yeux bleus. Plutôt mince et sportive, avec des attributs qui font tourner la tête de tous les garçons. Je la connais depuis que nous sommes petits. Nous sommes tous les deux des enfants uniques. Nous sommes suivis dans nos classes jusqu’au lycée. Les études supérieures nous ont un peu éloignés, mais nous restons en contact régulièrement par messages et grâce aux réseaux sociaux. Aujourd’hui, elle est en troisième année de fac de droit à Marseille. Cela fait presque deux ans que nous ne nous sommes pas vus et il est prévu qu’elle vienne passer le week-end chez moi à Lorient. Je vis dans un appartement de 33 m2 avec seulement un lit une place, elle devra donc dormir sur un matelas gonflable.
Nous fêtons nos retrouvailles dans un bar branché en ville où nous avons passé une bonne partie de la nuit. Nous nous sommes couchés très tôt le matin. C’est au moment de se mettre en pyjama que je me suis rappelé à quel point elle était belle. L’alcool aidant, elle a commencé à enlever son t-shirt puis son pantalon, elle était face à moi en sous-vêtements. Un ensemble en dentelle turquoise, elle fait tomber son soutien-gorge et dévoile sa poitrine, ni trop grosse ni trop petite juste à la bonne taille pour être jolie et donner des envies perverses. Elle enfile son t-shirt de pyjama, me regarde et me dit le plus naturellement du monde :
— Tu ne te changes pas ?
— Euh… Si si…
En effet, je suis un peu perturbé par cette scène. Il est vrai que d’habitude, notre relation est plus pudique même si nous parlons de tout, les contacts physiques sont proscrits. Et là, je viens de voir son corps à moitié nu, son corps de femme, de jeune femme. Jamais même dans mes rêves les plus pervers, je n’avais pensé pouvoir voir une telle chose. Elle a remarqué que cela m’avait perturbé, mais elle fait mine de rien et s’allonge sur son matelas gonflable en contrebas de mon lit d’étudiant. La nuit passe, je me mets à rêver d’elle. Je revois la scène où elle se change et me dévoile son corps de déesse.
Nous nous réveillons le samedi matin un peu mal à la tête tous les deux. Nous nous disons bonjour comme nous le faisons depuis toujours, comme s’il ne s’était rien passé. Mais moi, j’ai toujours cette image de son corps nu. Nous prenons notre petit-déjeuner en pyjama. C’est-à-dire pour elle, un t-shirt et sa petite culotte turquoise et pour moi un t-shirt et un short large. Nous discutons de tout et de rien et surtout de ce que nous allons faire de notre journée.
Ensuite, je commence par prendre une douche pour me rafraîchir de la veille. Alors que je suis nu dans la baignoire en mode douche. J’entends Floriane qui rentre brusquement dans la salle de bain. Elle est toujours en pyjama. Elle se justifie de cette entrée inappropriée par le fait qu’elle avait absolument besoin de quelque chose dans la salle de bain, je n’ai pas réussi à comprendre quoi.
Seule la vitre semi-opaque faisant à peine la moitié de la baignoire me sépare d’elle. Je sens qu’elle traîne un peu et que son regard est plutôt dirigé vers la vitre. Je ne comprends pas trop son petit manège et fais mine de ne pas voir en continuant de prendre ma douche. Elle sort après une bonne minute.
Quand je sors enfin de la salle de bain, tout habillé bien sûr, je sens comme une tension entre nous. Une tension sexuelle. Elle me dit alors qu’elle va aussi aller à la douche avant que l’on sorte. Elle entre dans la salle de bain et repousse juste la porte sans la fermer. Je reste devant quelques instants et l’entends se déshabiller, faire glisser ses deux vêtements le long de son corps. Elle doit être maintenant nue, car j’entends l’eau commencer à couler.
Après quelques minutes à me poser mille questions, je décide moi aussi de rentrer dans la salle de bain. Je trouve un prétexte bidon, j’ai absolument besoin d’une serviette. Je me mets à l’observer à travers la vitre semi-opaque. Il fait chaud dans la salle de bain, elle doit prendre sa douche très chaude. Je peux voir sa silhouette. Son visage, avec ses mains dans ses cheveux, je peux voir la forme de ses seins et de ses tétons, son ventre parfaitement plat, ses hanches marquées, ses fesses bien rondes et fermes, ses jambes fines. Je sens de l’excitation monter, mes souvenirs de la veille remontent, je n’en peux plus, j’en veux plus, je veux lui faire l’amour.
Je ressors alors de la salle de bain, me déshabille devant la porte et re-rentre brusquement. Elle crie de surprise. Elle ne s’attendait pas à ce que je re-rentre. Je me dirige vers la baignoire et monte avec elle. Elle est nue face à moi, magnifique, ses seins pointent fièrement vers moi, son abricot lisse et parfaitement rasé, brillant sous l’eau de la douche. Sans lui laisser le temps de se rendre compte de ce qui se passe, je l’embrasse à pleine bouche. Je ressens d’abord une hésitation de sa part, puis elle se laisse aller et me rend mon baiser langoureux. Mes mains commencent à parcourir son corps de déesse. D’abord sur ses hanches, puis ses fesses. Je malaxe ses fesses, les serre entre mes mains, les écarte et les resserre.
Pendant ce temps, elle m’embrasse à pleine bouche comme jamais personne ne m’a embrassé, c’est magique. Elle passe ses mains dans mes cheveux et me caresse le dos. Elle se colle à moi, je peux sentir sa poitrine contre mon torse et son nénuphar contre ma cuisse, je sens un liquide couler le long de ma cuisse sans parvenir à distinguer si c’est de l’eau de la douche ou s’il y a autre chose.
Mes mains se dirigent maintenant vers sa poitrine, ses seins font exactement la taille de mes mains, je les caresse, pince ses tétons qui durcissent sous mes gestes. Nous décollons nos lèvres, sans plus attendre, j’embrasse ses seins, lèche ses tétons et tout autour. Je sens l’excitation monter en elle, elle se cambre comme pour me donner sa poitrine. Elle peut maintenant sentir le bout mon sexe lui caresser la cuisse. C’est à ce moment-là que nous sortons de la douche et nous dirigeons vers le lit sur lequel nous allons faire des folies.
Elle me fait m’allonger sur le lit et commence par une fellation, elle me suce le sexe en faisant des va-et-vient avec sa bouche. Elle s’arrête sur mon gland pour faire un effet d’aspiration, elle me lèche le frein. Mon chibre est trempé de sa salive. Je me relève, c’est à mon tour de lui lécher sa chatte. Elle est plus qu’humide, on peut voir son liquide d’amour briller tout autour de son sexe. J’approche ma bouche et peux sentir son odeur, son odeur de femme, de femme qui attend qu’on la fasse monter au septième ciel. Je colle ma bouche sur ses grandes lèvres, elle se contracte lors de ce contact, je lui fais un bisou, j’embrasse le haut de ses cuisses, son pubis. Je reviens embrasser son minou, mais cette fois, je passe ma langue entre ses lèvres, c’est tout chaud et humide, elle a un goût sucré très agréable. Je trouve son clitoris avec ma langue et commence à jouer avec. Je fais des va-et-vient de haut en bas et de droite à gauche. Elle se contracte à chaque passage et laisse échapper des petits gémissements. Je dessine des cercles avec ma langue autour de son clitoris, je l’att**** entre mes lèvres et le suce de toutes mes forces. Cela la fait crier, elle ne peut plus se retenir.
Je retire ma tête d’entre ses jambes, je monte vers son visage sans oublier de lécher ses seins au passage, m’allonge sur elle et l’embrasse. Mon sexe bien tendu vient se poser contre son berlingot et appuyer sur son clitoris. Elle me supplie dans le creux de l’oreille de la pénétrer le plus profondément possible.
— J’ai envie de toi… Prends-moi, je t’en supplie…
— Avec plaisir ma Flo…
Je prends alors mon attribut, le pose délicatement à l’entrée de son con, humidifie le bout de mon sexe avec son liquide d’amour en faisant des va-et-vient de haut en bas à l’entrée de son antre. Puis dans un seul mouvement lent et sensuel, je rentre dans son intimité jusqu’au plus profond d’elle. Elle écarte encore plus les jambes et relève son bassin afin de me laisser toujours plus de place pour rentrer en elle. Dans cette position, nous embrassons quelques secondes avant de commencer.
Je ressors délicatement de Floriane jusqu’à ce que mon pénis soit à la limite de sortir de sa fente. Puis rentre à nouveau en elle lentement. Je reproduis plusieurs fois ce mouvement avec douceur. Floriane est alors toute contractée, elle n’arrête pas de gémir et me demande de ne pas m’arrêter :
hummm oooh, continue… aaah hummmm
Puis, petit à petit, j’accélère mes mouvements de bassin et fais des va-et-vient de plus en plus courts. Les gémissements de Floriane s’accélèrent eux aussi, ils suivent mon rythme de pénétration. Jusqu’à ce qu’elle soit à son maximum et crie son plaisir dans un long râle de jouissance. Ce cri lui permet d’évacuer et de se détendre un peu. Je reprends alors des mouvements plus lents et me penche sur elle pour lécher ses seins en même temps. Ses tétons sont durs et érigés. Ces nouvelles sensations-là font se contracter de nouveau et reprendre ses gémissements.
Maintenant, je décide de relever les jambes de Floriane pour la pénétrer encore plus profondément. Je la remplis à son maximum, elle jouit de toutes ses forces. C’est maintenant à elle de me faire l’amour. Je m’allonge sur le dos, elle vient alors s’empaler sur mon sexe dressé pour elle. Elle s’allonge sur moi, mon bâton toujours en elle et m’embrasse. Floriane se redresse alors et commence des mouvements horizontaux de ma tête vers mes pieds. Je peux la voir fermer les yeux pour mieux ressentir les sensations et ouvrir la bouche pour respirer plus fort. Je peux aussi voir son sexe lisse et rasé se frotter sur mon pubis.
Floriane change de position et se met accroupie sur mon tuyau. Elle commence des va-et-vient verticaux, lents et sensuels. Je sens toutes les chairs de sa chatte se resserrer sur mon phallus. C’est elle qui contrôle la vitesse et elle accélère petit à petit. Je vois ma colonne entrer et sortir d’elle. C’est maintenant moi qui suis au bord de la jouissance. Ses gestes sont parfaits, elle sait comment me donner du plaisir. Floriane aussi aime beaucoup cette position, elle a du mal à tenir sur ses jambes, mais ne s’arrête pas pour autant, elle continue de monter et descendre le long de ma verge. Sa moule est de plus en plus trempée, elle coule le long de ses jambes et de mon pénis. Je commence moi aussi à gémir avec elle. C’est alors que dans des derniers va-et-vient et cris de jouissance elle s’allonge sur moi. Je ne perds pas de temps et la remets immédiatement sur le dos. Je suis sur le point de jouir moi aussi.
— Floriane, je vais jouir, tu veux que je jouisse en toi
— Oh oui, je t’en prie, viens en moi… Dit-elle haletante.
Je replace mon sexe à l’entrée du sien et rentre d’un seul coup un peu sec. Je me mets alors à la pilonner avec plein de mouvements très rapides très courts. Je suis au bord de me décharger.
Ça y est mon sperme rempli son vagin, je suis à bout de forces et elle aussi, je m’allonge sur elle, mon sexe toujours en elle se détend petit à petit. Nous nous prenons dans les bras et nous nous embrassons langoureusement.
— Dis-moi Flo, pourquoi on n’a pas fait ça plutôt
— Je ne sais pas, mais ce qui est sûr c’est qu’on ne va pas s’arrêter là.
Ajouter un commentaire