ANNEE 2015.
Je passe près de l’étang, situé vers…. Une zone située près d’une ferme. L’herbe était parfumée de fleurs sauvages et par ailleurs, des pêcheurs venaient quotidiennement pour passer la journée à bavarder et à s’assembler pour rire et s’amuser. Chaque fois que le soleil brillait, c’était la joie, le rire, la fête et même le dimanche, c’était passionnant grâce à la chaleur pour multiplier les rencontres et se réunir.
Ainsi, les vaches à proximité des champs et même les canards ne cessaient de regarder les hommes pour se rendre utiles et sociables dans la vie. C’était à la Providence ou à Dame Nature, qu’il fallait remercier cette année que je ne’oublierai jamais?
Une opportunité : aux environs de midi. Un routier, pas comme à l’ordinaire stoppe son camion de l’autre côté de la route facilement accessible pour les stationnements et, c’est à ce moment-là que me viens l’idée de me cacher derrière les arbres pour voir ses intentions.
Bien heureusement, et effectivement, son arrivée m’avait permis d’observer tout d’abord, ses trait physiques : cheveux noirs, belle corpulence, homme robuste et viril de 1,80 m de 50 ans. Tout d’abord, je le vis descendre et mon regard se jetait immédiatement lorsqu’il se mit derrière l’arbre pour uriner mais, le jour était bien évidemment exceptionnel pour faire connaissance.
J’observais ensuite ses décisions : le voyant sur l’herbe, il prenait ses repas et assis confortablement, il prenait une revue, certainement encore inconnue et je me suis approché pour « me tailler une bavette avec cet homme ». Il me demandait si je voulais un peu rester avec lui.
Je lui réponds :
– Si le temps vous le permets et vous ne reprenez pas la route?
– Pas tout de suite, me dit-il.
Je me suis assis près de lui et nous nous sommes présentés.
– Moi, c’est Philippe me dit-il.
– Et moi, c’est Alex.
– Enchanté de te connaître jeune homme, il me dit encore.
Tous les deux, avons commencés à nous raconter nos situations; Il me dit qu’il était célibataire mais qu’il avait eu une relation avec une personne, qui n’a pas été stable.
Je lui ai dit que j’étais célibataire.
Il me pose une question :
– As-tu déjà eu des relations?
– Jamais, pour lui avouer. Et, vous?
– Tu peux me tutoyer, me répondit-il.
Ensuite, après son repas, il étend sa couverture et je lui dit :
– Philippe, si tu es…
– Alex, ne fais pas de compliments, si tu veux et si tu as le temps, tu peux rester. L’étang est la propriété de tous.
– Philippe, si tu veux, je reste mais il faut que tu te reposes après un long voyage.
– Alex, continuons de parler ensemble, tu es un homme qui me rappelle une personne connue et que je revoie. Je m’allonge, mais tes mots ne me dérangent pas.
– Philippe, cette personne, vous la connaissiez?
Le routier se met à me sourire et j’entends enfin sa surprise :
– Alex, cette personne, était je vais te le dire mais ne le prends pas à mal, mon petit ami, nommé Pascal que je côtoyait au cours de notre rencontre au club.
Les paroles de ce gentil routier devenaient de plus en plus intéressantes et à mon tour, pour le complimenter :
– J’ai compris bel homme, alors ton petit ami est à nouveau près de toi ou c’est un double?
Il me fait un petit sourire et ma main vers sa main, je lui dis :
– Philippe, jamais je n’aurais vu un homme aussi romantique sur un bel étang comme un cygne sur un lac mais avec tes yeux bleus.
C’est alors qu’il se lève un peu, prends l’autre bras mais un peu timidement, il n’osa pas mais moi, à mon tour :
– Philippe, c’est peut-être une occasion pour nous, et prends-moi sur ta poitrine.
Il me dit :
– Ici, il fait chaud, j’ôte mon pull et laisse ma chemise.
La chemise enlevée, je fis le geste de mettre mes deux bras autour de son cou, de le regarder en fixant ses yeux bleus et pour enfin.
– Alex, je t’ai compris, allonge-toi et caresse moi autant que tu veux. Tes mains douces de jeune homme, tes yeux aussi, ton regard…
– Philippe, ta pillosité qui me fait frémir lorsque tu mes prends et si je peux, ton buste.
Je lui ai recommandé de s’allonger et moi, il a consenti à ce que je me mette sur lui, tous les deux, nous nous sommes embrassés fortement. Le temps passa mais, le plus surprenant :
C’était l’après-midi : il était 15 H 30.
Nous nous sommes rendu compte que le sommeil nous avait enveloppés et couverts comme deux anges sous un resplendissant ciel bleu et sans nuage, un soleil encore rubicond. Philippe, de sa voix, me dit :
– Alex, rêve ou réalité? Mon homme, il me prit dans ses bras.
Il m’indiqua son départ car c’était impératif mais avait bien pris note de mes références pour te garder mais ne t’oublie pas.
Le départ a été pénible : des larmes et une séparation pour nous retrouver sur ce même chemin.
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