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Une passe bien assurée

Une passe bien assurée



J’étais en seconde année de fac et je menais en parallèle mes études et mon petit business. Je gagnais bien ma vie et je pouvais mettre de l’argent de côté. Certains de mes clients m’avaient proposé de m’épouser et d’autres de m’entretenir mais je me trouvais trop jeune pour accepter ça.
Il y avait aussi ceux qui me choississaient pour tirer leur coup. Je n’y prêtais pas trop attention. Un coup, dans ces conditions, c’est si vite passé.Mes occupations me laissaient le temps d’étudier et tout se passait bien.
Un jour, mon téléphone a sonné. C’était le téléphone réservé à mes clients.
– Allo, m’a tout de suite dit une voix d’homme ? Vous prenez combien pour baiser ma femme ?
Je me suis étonné. J’avais déjà fait quelques lesbiennes et une femme m’avait même amenée sa fille pour que je l’initie mais je doute encore que cette fille ait été sa fille.
J’avais longtemps hésité avant de me raser. J’avais laissé une petite touffe au-dessus de mon clitoris mais j’avais fini par la raser elle aussi.
Ça me faisait tout drôle parce que jusque-là, j’aimais bien glisser mes doigts dans mes poils, descendre le médium sur mon clitoris pour le masturber et puis l’enfoncer dans mon vagin. J’adorais faire ça.
– Alors, tu prends combien pour ma femme, a insisté le type ?
Je prenais alors deux cents à quatre cents par passe selon ce qu’on faisait et j’ai tergiversé.
– Trois cents francs, ai-je répondu au type !
– Et si je t’enculais pendant que tu la baises, a encore insisté le type ?
Je ne savais plus où j’en étais.
– Tu, vous, ai-je soudain bafouillé…
– Tu es une pute ou pas une pute, m’a lancé le type ?
– J’en suis une, lui ai-je répondu ! D’accord, on verra sur place pour le prix, ai-je ajouté !
Le type m’a donné son adresse et une heure plus tard, j’ai sonné à sa porte. Un type dans la soixantaine m’a ouvert et quand il m’a parlé, j’ai reconnu la voix que j’avais eu au téléphone.
Une fille de mon âge est soudain apparu. Elle était en peignoir.
– Mon épouse, m’a fait le type !
Son épouse? Ils avaient une grande différence d’âge pour être mariés, mais, une fois dans le salon, j’ai vu la photo de mariés dans le cadre et à côté, ce petit couple en plastique qu’on met sur la pièce montée.

– Félicitation, ai-je fait à la fille !
Son mari nous avait laissées seules.
– Merci, m’a fait la fille !
– Il est comment avec toi ton mari, lui ai-je encore demandé ?
– Ça va ! Il assume, m’a répondu la fille ! Je n’ai pas à me plaindre parce qu’il me prend par mes trois trous ! Tu fais ça, toi aussi ?
Je lui ai répondu que je ne suis pas mariée, mais j’ai réalisé que je disais des bêtises.
– Je ne supporte pas la pilule et il ne veut pas entendre parler de capote, a ajouté la fille! Alors, quand c’est le mauvais moment, mon mari m’encule !
Elle a retiré son peignoir et elle s’est retrouvée toute nue et elle s’est penchée en avant pour me montrer ses fesses et j’ai vu le plug qui obstruait son anus. Je lui ai demandé si elle aime porter ça et elle m’a répondu qu’elle en portait déjà un bien avant son mariage.
– Tu me baises, a insisté la fille ?
– Je suis là pour ça…
Elle a sorti un gode ceinture d’un sac et elle me l’a attaché autour des hanches puis elle m’a demandé si elle peut me sucer et elle a sucé le bode avant de se mettre en levrette et de m’intimer de la baiser.
– Baise-moi, a grondé la fille !
Je me suis mise au travail, tout en me disant qu’on ne s’était pas mis d’accord sur le prix.
– J’aime ça, a-t-elle ronronné ! Touche-moi les seins !
J’ai fait ce qu’elle voulait mais en lui caressant la poitrine, mes propres seins se sont écrasés sur son dos et la fille a été encore plus excitée.
Elle m’a crié que ce soir, c’est elle qui fait la pute. Je continuais à astiquer son vagin avec le gode ceinture quand le pénis de son mari s’est enfoncé dans mon anus et la fille s’en est rendu compte qui lui a crié de me baiser et son mari m’a sodomisé pendant un long moment avant d’éjaculer au fond de mon anus. Après ça, il nous a laissées toutes les deux et nous avons continué en nous gouinant. Ce soir-là, il était minuit quand je suis rentrée chez moi et j’étais l’heureuse bénéficiaire de deux gros billets.

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