Il fait chaud en ces premiers jours du mois d’août.
Je suis enfermée chez moi, dans le noir mon corps allongé nu et moite de sueur sur le canapé.
Mes doigts se laissent à caresser doucement mes lèvres et à remonter délicatement vers mon ventre. Au bout de quelques minutes me voilà trempée d’excitation…N’ayant personne à contacter pour partager mon plaisir, je décide de me changer les idées, mais que faire en pleine après midi quand il fait presque 40 degré à l’extérieur ?
Soudain l’idée d’une baignade rafraichissante me vient. J’enfile donc un maillot noir, mettant mes fesses et mes seins en valeurs grâce à sa coupe tanga, et son effet pigeonnant. Un lègère robe, mes sandales, un chapeau, des lunettes, un bouquin, une serviette et me voilà partit.
Une trentaine de minutes plus tard j’y suis. Le lac est magnifique, une couleur presque azure. Il est entouré de bois et de roche créant des petites plages privés. Bizarrement malgré la chaleur les abords du lac semble vide. Deux trois personnes dans l’eau et le double sur les rives. Tant mieux j’aurais bien plus de place.
Je marche un peu avant de trouver mon bonheur, une petite plagette ombragée avec peu de cailloux. J’y installe ma serviette pose mes affaires, enlève ma robe et hop me voilà aussitôt dans l’eau. Je me délecte de cette baignade, fais quelques brasses et décide de retourner sur le rivage.
En sortant quelques choses m’interpelle, mon chapeau laissé sur ma serviette à disparu…Le vent l’a peut être emporté ? Je décide de regarder dans les environs soudain j’entends rire derrière moi.
– Est ça que vous cherchez Mademoiselle ? dit un homme d’une quarantaine d’année apparu tout d’un coup.
Il tient dans sa main mon chapeau, et me le tend.
– Oui ! merci il s’est envolé. Dis-je
– Je vous en pris ! dit-il avec une sourire en coin qui me mit soudain mal à l’aise.
Je répondis par un sourire timide en baissant les yeux. Pourquoi ne part il pas ? Il reste là à me fixer.
– Vous avez un bien jolie maillot, il vous va très bien !
– Euh…Merci…
– Ca vous dérange si je m’installe à coté, il n’y a pas autant d’ombres la bas ?
– Euh…non non allez y…
Il s’installe à quelques mètre de moi. Je remet mon chapeau et je pars m’étendre sur ma serviette. Au bout de quelques minutes je décide de lire mon livre, je m’allonge alors sur le ventre et me laisse absorber par mon roman, une intrigue policière comme je les aime tant.
J’observe de temps en temps du coin de l’oeil mon voisin et à un moment j’observe un gonflement au niveau de son entre jambe.
Au début je suis choquée, puis au final la situation commence à m’exciter je sens quelques goutes couler dans le fond de mon maillot.
Je commence lentement à frotter mon bas ventre contre le sol, cambrant mes fesses au passage.
Il remarque mon manège, et je remarque que son hardeur s’intensifie…je suis trempée.
Soudain, il sort son sexe, il est bien dur et bien epais, il ne se cache pas et commence à se masturber. Je deviens folle…
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