Chap XVIII
histoire vécue
Avec Viviane durant notre mois à deux nous avions décidé de passer quelques temps dans le midi. Notre choix n’avait pas été anodin. Direction le Cap D’Agde et ses plages naturistes.. et quelque peu échangiste. Nous avions bien l’intention de nous éclater. J’avais pourtant signalé à Viviane que le bikini et le SM ne font pas bon ménage.. à cause des marques.
Elle m’a regardé droit dans les yeux et m’a dit
« Je m’en moque. Je suis fière et je peux montrer mes marques c’est la preuve que j’aime et que je t’aime »
Même si je commençais à goûter aux excès, j’étais toujours intrigué. Je sais le plaisir qu’on peut tirer de la souffrance. Mais moi par exemple les marques qui subsistent ne sont pas un but mais une conséquence. Alors que Viviane passais de longs moments à contempler son corps marqué. Pis il lui arrivait de se masturber devant la glace en se mirant. Pour elle le fait d’avoir les marques visibles des mauvais traitement que je lui infligeais c’était une preuve d’amour, de soumission. Donc il n’étais pas question de les masquer. Parfois quand elle consultais un médecin il arrivait que ce soit quelques jours après une séance hard.. aucune gêne, si on lui posait des question elle disait
« Je suis maso et j’assume. »
Après cette soirée avec Flora et Peter nous avions donc décidé d’aller nous mettre au vert.. Le plus amusant fut la constatation que le SM augmente considérablement les bagages. En effet nous avions un sac entier d’accessoires.. hé oui.. les hôtels ne proposent pas en standard les chaînes, martinets et ustensiles pour faire monter madame au 7eme Ciel.
Par contre le Cap avait l’avantage de proposer un mode de vie intéressant naturisme, échangisme.. cela nous allait très bien.. Même si je n’étais pas adepte du naturisme l’idée de me trouver à poil au milieu de plein de monde ne me stressait guère. Mais si je devais passer les vacances la queue en l’air.. ce n’était peut être pas le meilleur moyen de se reposer. Le repos.. en fait n’était pas au programme.
De toute façon les quelques jours avant le départ si on met de côté notre soirée avec Flora nous l’avons passé la plupart du temps à baiser dans un coin ou l’autre de l’appartement. Viviane gardait quelques marques de divers assauts.. J’avais rapidement pris les bonnes habitudes.. bonnes c’est une façon de parler.. car plus le temps passait plus le frein qui au début retenais mon bras, mes coups, plus ce frein faiblissait. Surtout je prenais de plus en plus de plaisir à punir Viviane, à considérer qu’elle était mon esclave, que tous mes caprices devaient être satisfaits.. Je rentrais dans la peau du « maître ». Il ne faut pas imaginer non plus que les moments de tendresse ou les câlins avaient disparu certes non.. Mais dés que l’on passait du câlin au sexe la v******e s’installait. Viviane en était enchantée, j’avais insisté plusieurs fois pour revenir à des rapports sans SM mais le constat fut simple.. Viviane n’y prenait guère de plaisir.. et moi de même. A chaque fois après la jouissance on avait tous deux l’impression d’un manque, un goût d’inachevé.
Une fois la voiture pleine de nos valises, direction le sud.. Il faisait déjà chaud ce matin. Viviane m’avait demandé ce que je voulais qu’elle mette j’avais répondu qu’elle choisisse plutôt une tenue légère de toute façon a part nous arrêter pour manger nous allions faire le voyage dans la journée. Quand je la vis.. je me dis que pour le restaurant il faudrait plutôt un routier.. qu’une bonne table.. Elle portait un short en jean.. pas un mini.. mais un micro qui peinait à cacher sa chatte et lui moulait le cul, un petit boléro un peu oriental fermé par une simple agrafe, petit haut qui n’arrivait pas vraiment à masquer ses seins.. elle portait des chaussures lacées sur son mollet et avec de très hauts talons. Elle avait natté ses cheveux.
« Je te plais comme çà? » demanda t-elle provocante.
« Ah.. c’est super!! tu fais vraiment pute a camionneur comme çà.. » dis-je
« Tu m’arrêtera sur un parking je me ferais un peu de fric!!! » dit elle en s’approchant de moi en ondulant de la croupe.. avec cette démarche que j’aimais tant..
Quand elle jouait à la pute Viviane était si crédible.. elle aimait çà.. elle adorait qu’on la regarde qu’on soit choqué par son attitude..
Arrivée près de moi.. elle lança sa main.. s’emparant de mon paquet.
« Tu aimes les putes.. non? » dit elle en me regardant dans les yeux..
Instantanément elle réussit à avoir ce qu’elle voulait.. Je la giflais avec force sa tête partit violemment contre son épaule.. L’empreinte de mes doigts naissait rapidement sur sa joue..
« J’aime les putes.. oui.. mais obéissantes.. peut être que je vais m’arrêter sur un parking pour que tu te fasse un peu de fric.. » dis-je
Viviane me regardait, ses lèvres entrouvertes frémissaient.. son corps tremblait légèrement. Sa respiration courte. Elle soutenait mon regard, me défiait du regard.. nouvelle gifle sur l’autre joue..
« Baisse les yeux…salope!! » ordonnais-je
Aucune réaction ses yeux plantés dans les miens de cillent pas.. Nouvelle gifle.. sa tête dodeline. Mais son regard ne faiblit pas. Sa bouche entrouverte est maintenant tremblante, elle passe sa langue sur ses lèvres, les humectants les faisant briller. Ses yeux pâles refusent de se baisser. Encore une fois le la gifle ses joues sont empourprées la marque de mes doigts est visible. Je sais que son excitation monte.. je n’ai même pas besoin de parier que ma chienne commence à être humide..
Je la prend à la gorge je serre.. et donne de petits accoups sur sa trachée. Elle ouvre la bouche en grand cherchant de l’air.. Je crache dans sa bouche.. puis a nouveau sur son visage.. Elle tremble comme une feuille.. je sais que c’est l’excitation et non la peur.
Je prend conscience de où nous sommes.. prés de son immeuble sur le parking.. il est tôt personne ne circule mais peut être que depuis les fenêtres ouvertes on nous voit.. J’avoue que j’avais un peu oublié çà.. Mais nous sommes dans un coin et les arbres doivent masquer la scène
Viviane est parcourue de frissons, ses lèvres entrouvertes tremblent. Je serre toujours son cou, mon autre main glisse sous son boléro et je m’empare d’un de son téton droit que j’écrase entre le pouce et l’index.. Elle se met a grogner, gronder au fur et à mesure que je maltraite sa pointe je la tords , vrillant le téton. Viviane c’est rapprochée de moi et frotte sa chatte contre ma cuisse. Je suis serré dans mon jean.. ma queue est coincée et me fait mal..
« Salope!! truie!!! tu aime çà hein que je te traite comme une chienne.. » dis-je
« Oh oui.. je suis ton esclave.. cognes moi.. cognes moi encore.. » crie t-elle
Je la gifle a nouveau..plusieurs fois sa tête passe de droite à gauche sous les coups. Elle me jette un regard dont elle à le secret à la fois plein de défit et celui de la bête traquée. Rien de tel pour m’exciter.. J’empoigne sa natte.. et la tire vers le garage de l’immeuble tout proche.
« Viens là salope.. viens allez.. je vais te coller une danse dont tu te souviendra.. » criais-je.
Penchée en avant des seins s’échappent de son boléro et pendent tandis que je la tire vers la pénombre.
Sur la droite du garage, un local est réservé pour les vélos.. inutilisé nous risquons peu d’être dérangés. La lumière y entre par deux regards étroits.. elle est suffisante pour que je puisse bien profiter de la scène.
« Aie Aie ça fait mal » geint Viviane
Je la tiens toujours par sa natte, et la relève violemment la pousse contre le mur..
« Ta gueule chienne.. Ouvre moi ta bouche.. allez » hurlais-je
Je la pressais contre le mur. Ma main en fourche sur sa gorge.. que j’écrasais suffisamment pour lui donner la sensation de manquer de souffle mais pas assez pour l’étrangler. Mes doigts pressés sur ses carotides réduisait le flux de sans vers son cerveau. Ses yeux roulaient les larmes naissaient doucement.
Elle ouvrit la bouche.. je crachais sur sa langue plusieurs fois.. elle adorait çà.. chaque fois elle semblait déguster ma salive.. elle me regardait a nouveau me défiant du regard..
« Décidément.. tu à envie d’en prendre.. ce matin.. » dis-je
Viviane hocha la tête et plaça ses mains nouées derrière sa nuque tandis qu’elle appuyait ses épaules contre le mur. Ses pieds loin du mur l’obligeaient à s’arquer m’offrant ses seins.. et son ventre..
« Ah tu veux sentir combien je t’aime.. tu veux souffrir? » demandais-je en dégrafant mon ceinturon.
Je vis le visage de Viviane se tendre.. elle connaissait mon ceinturon et savait combien il pouvait faire mal.. Même si il aimait la douleur elle en avait peur.. être maso ne veut pas dire être insensible au contraire.. Mais on traite avec la douleur on la redoute.. on la désire et on l’absorbe on en tire notre plaisir note excitation. Qui n’a jamais pris machinalement une pointe ou un objet pointu et se picoter le bout du doigt.. pas fort mais à la longue on commence à le sentir.. être maso.. c’est prendre des coups.. et pousser la limite le moment ou l’on ne peut plus.. on ne peut plus supporter on ne peut plus prendre un coup.. Notre limite est variable.. fonction de l’excitation, de l’envie du moment. Parfois la réussite d’une « séance » tient à si peu de chose » un regard, un geste un mot peut tout.. faire capoter la magie ou la sublimer..
Viviane avait déjà goûté à ce ceinturon plus d’une fois c’était hormis le bambou l’instrument qui la terrorisait le plus. Je lâchais son cou.. j’ouvrais l’agrafe de son boléro laissant ses deux seins offerts. Je laissait ma main courir sur ses deux superbes mamelles.. douces.. ses pointes brunes étaient déjà tendues.
Viviane se mordait la lèvre inférieure.. un léger tremblement commençait a parcourir son corps.. L’attente était pour Viviane un formidable générateur de sensation. Plus d’une fois j’ai vu Viviane avoir un orgasme sans que je la touche, elle jouissait dans ce moment d’attente c’était ses fantasmes qui étaient à l’œuvre.
Ma main continuait à l’explorer tandis que l’autre laissait nonchalamment se balancer l’instrument de torture. Je caressais sont ventre .. insinuais mon doigt dans son nombril.. ce qui la fit frissonner plus fort. Viviane avait une peur panique qu’un jour on lui pose un objet contre le nombril et qu’on lui perce qu’on entre en elle.. Même mon doigt la faisait trembler.. alors quand j’y plaçait le bout d’une baguette ou d’autres choses plus intrusives encore elle tremblait de peur. C’était le cas a cet instant..
« Non.. non.. pas çà… s’il te plaît!! » dit elle terrifiée
« Et si je poussais hein? Tu sent mon doigt.. je pourrais forcer.. » dis-je vicieusement
« Ohhh non.. tout tout mais pas çà!! Pas çà!! » dit elle de plus en plus tremblante
« Non.. alors que vais-je te faire? Ce matin tu mérite quoi? » demandais-je
« Cognes.. moi.. fouette moi.. fort.. marque moi.. maître. » dit elle la voix blanche.
Je le vais la main et assénais un violent coup de ceinturon sur son ventre.. tendu.. le clac sonore résonna dans cette pièce vide..
« Arhhh oh… mal .. Encore!! » dit elle me regardant les yeux plein de fureur et de défi..
Dans ces instants.. Viviane est partagée.. elle m’aime plus que tout mais elle me hait avec fureur pour la douleur.. c’est juste au moment du coup.. C’est très compliqué.. heureusement.. je connais pour avoir été à sa place.. C’est étrange.. on à peur du coup.. on le demande on en à envie et quand il tombe il est toujours plus fort.. pire que ce que notre esprit imaginait.. on a un moment ou l’on déteste celui.. celle qui donne ce coup.. Mais on en retire du plaisir, on aime la douleur à cet instant et surtout on aime offrir notre douleur à celui celle qui domine.. C’est une alchimie.. étrange..
Ses seins se soulevaient au rythme de sa respiration qui s’accélérait. Je promenais le bout du ceinturon sur ses seins.. la faisant frissonner.. puis un tremblement s’empara de tout son corps quand le cuir cessa de la frôler.. Elle savait que le coup allait tomber. Je fit mine d’armer mon coup.. son tremblement s’accentuât et son corps se raidit.
Je m’approchais d’elle a nouveau.. passant ma main entre ses cuisses, son micro short ne cachant presque rien de son anatomie.. je posait mes doigts sur son con.. il était brûlant et moite.. l’insinuais un doigt entre ses lèvres et je le ressorti luisant de mouille..
« Mais tu mouilles roulure!! Ça te plaît !! tu aimes ça que je te cogne tu aime ça les coups.. tu va en avoir!! » dis-je
Et aussitôt je frappais avec force et précision ses seins.. le ceinturon frappa pile sur les tétons.. laissant une trace rose qui rougit rapidement surtout les bords du ceinturon avaient laissé deux marques parallèles qui elles commencèrent à devenir saillantes.
Viviane poussa un hurlement.. la douleur était très présente. Son corps se déroba, elle manqua de glisser au sol.. Mais elle reprit la position qui l’offrait à mes coups aussitôt. Ses yeux brillaient d’un feu étrange, elle quémandais une autre punition, un autre coup et en même temps demandait grâce.. Mais Viviane savait qu’il suffisait de me dire « Rouge » et tout arrêterait. Elle était maîtresse de sa punition.. tant qu’elle ne dirait pas de magique sésame.. je continuerais selon mon bon vouloir à la punir et faire d’elle ce que je voulais.
Passant ms doigts sur la marque sur ses seins.. qui commençais a être bien rouge et chaude.. je lui dit..
« Tu en avais envie.. espèce de pute.. envie de punition de te faire cogner.. ça t’excite hein? »
« Oui maître. j’aime … je mouilles pour vous.. » dit Viviane la voix rauque
« Fais voir.. montre moi.. » dis-je frappant ses cuisses avec le ceinturon..
« Aieeeeeeeeeeeee.. oh c’est fort… » gémit elle
Nouveau coup sur le ventre..
« Ahrgggg Non.. s’il te plaît. je vais montrer comme je mouilles.. » supplia t-elle
Toujours appuyé par les épaules au mur.. elle écarta le micro short.. et prenant ses petites lèvres entre ses doigts elle les écarta étirant les voiles de chair au maximum.. son sexe ressemblait à un papillon aux ailes déployées.. le rose de sa caverne luisait, brillant dans la faible lumière accrochant la moindre parcelle de lumière. Elle était déjà trempée..
J’approchais.. d’elle.. elle écartelait son sexe.. son clito gonflé et saillant était nettement visible.. Viviane avait un clitoris énorme gros comme la dernière phalange de mon pouce.. Je le caressais du bout de mon ceinturon.. son tremblement était impressionnant, on aurait dit qu’elle avait la danse « saint gui » ses muscles tremblaient.. a chaque instant on aurait pu penser qu’elle allait choir. Viviane m’implorait des yeux.. disait à la fois non.. et hurlait son envie de prendre le coup qu’elle savait venir. Je levais la main et d’un coup sec frappait la bille de chair tendre..
Elle serra les cuisses.. manquant de tomber.. hurlant de douleur.. avant de se remettre en position.. écartant son sexe.. l’offrant à ma vue et mes coups.. Sa poitrine monte et descend à un rythme effréné.. Je sais que son sexe la brûle.. j’ai frappé assez fort.. Je la regarde un instant.. je sent dans son regard.. que je peux remettre çà.. Et alors qu’elle ne s’y attends pas car je la regarde dans les yeux a nouveau je frappe..
« Arrrrrrrghhhhhhhhhhhhhhhhhh aieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee oh.. c’est troooooppp » crie t
elle en secouant la tête..
Elle serre a nouveau les cuisses mais rapidement se remet en position. Sa poitrine se soulève au rythme haché de sa respiration.. Son corps tendu, arqué ses seins offerts, sa chatte écartelée dans la faible lumière m’excitait follement.
Alors qu’elle reprenait sa position.. Viviane.. murmura du fond la gorge..
« Encor… »
Elle quémandait d’autres coups.. elle attendait de moi la douleur et le plaisir.. Je levais à nouveau la main.. ses yeux gris pâles brûlaient d’un feu intense.. écarquillés son regard ne quittait pas le ceinturon. Elle tremblait de tous ses membres.. ses cuisses étaient comme gélatineuses.. tout son être était agité de ce frisson permanent, de cette convulsion qui agitait tous ses muscles.. Ma queue serrée dans mon jean me faisait mal.. je sentait que je mouillais mon ventre, prémices d’un orgasme à venir.
Je frappais à nouveau et très fort son sexe écartelé et trempé.. Son clitoris était ma cible et je le touchais en plein..
« Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh Arhhhhhhhhhhhhhhhhh » hurla Viviane.
Et elle s’effondra sur le sol.. les mains plaquées sur son sexe.. se roulant au sol.. en gémissant.. en criant..
« ohhhh .. mal… ohhhhhhhhhhhhh trop… fort.. »
« Relève toi!! Chienne!! allez à genoux!! » criais-je à mon tour.
Elle se releva.. agenouillée sur le ciment.. les seins à l’air.. son micro short masquant à peine sa chatte martyrisée.. La lumière justement l’éclairait à cet endroit.. et je voyais les lèvres rougies.. qui gonflaient.. et son clitoris.. énorme lui aussi gonflait de façon presque indécente. Sa poitrine portait la marque de mes coups.. ses tétons aussi avait un peu gonflé. Mais je n’avais pas été trop dur avec ses seins.. j’allais y remédier.
« Alors espèce de truie.. tu est contente? Tu aimes? Tu en veux encore? Alors dis le!!» criais-je a son oreille avant de la gifler
« Oui maître. je suis contente.. sniff , Oui j’aime çà.. sniff , Oui frappez moi encore sniff maître. marquez moi.. sniff » dit elle entrecoupant ses réponses de reniflements
« Dis moi ce que tu est…. allez vite.. » ordonnais-je en frappant sa cuisse avec le ceinturon..
« Je suis votre esclave.. une roulure.. une pute.. je mérite des coups.. frappez moi maître » dit-elle en m’offrant ses seins en les remontant avec ses mains en coupe en dessous des globes..
Viviane offrait sa poitrine à mes coups.. son visage était défait sa coiffure aussi des mèches étaient dérangées.. les larmes entraînait son rimmel.. ses joues rougies par les gifles.. sa bouche entrouverte avec la salive lui coulant au coin des lèvres.. elle était pitoyable.. mais tellement excitante..
Je levais le ceinturon et plaquait un coup sur ses seins offerts le clac sonore se répercutât dans la pièce vide comme son hurlement.. et les sanglots qui suivirent.. Viviane resta peut être 20 secondes recroquevillée sur elle même.. sanglotant.. elle se redressa vivement quand ma main se posa sur sa tête.
« Bien… esclave.. tu est obéissante » dis-je
« Merci maître. sniff » répondit Viviane en reniflant
Je passais ma main sur ses seins.. ils étaient brûlants.. une nouvelle marque naissait rougeoyante.. les bords violets avec la peau qui avait presque éclaté à certains endroits. Ses tétons surtout le gauche était gonflés et gorgés de sang. Viviane gémissait et grimaçait sous mes caresses. Mais elle frémissait aussi.. de désir..
« Debout!! » commandais-je
Viviane se mit debout, les mains sur la nuque.
« Enlève ton short.. écarte les cuisses.. » dis-je « Encore plus!!! chienne » dis en lui écartant le pied en le poussant avec le mien.
« Comment va ta chatte? Et ton clito salope! »
« Ça brûle maître.. j’ai mal.. » dit -elle les yeux baissés..
Je passais ma main entre ses cuisses.. ses petites lèvres étaient gonflée.. gorgées de sève.. son clitoris sorti de son capuchon.. était brûlant.. presque violet.. plus gros a droite qu’a gauche.. il était tuméfié.
Mais sa chatte était ruisselante.. mes doigts glissaient en elle avec facilité.. J’enfonçais 3 doigts.. et les recourbant à l’intérieur vers l’avant je stimulais.. ce que certains appellent le point G.. je ne sais pas si c’est là, tout ce que je sais c’est que cette zone stimulée fortement procure des orgasmes violents.. déclenche le phénomène de femme fontaine.. j’ai pu le vérifier sur pas mal de femmes.. certaines y sont très sensibles.. la plupart.. d’autre pas du tout.. en petit nombre..
« Aiieee ohhh aiiee!! Ouiiii Ouiiii » lançait Viviane tremblante
Le bruit humide de clapot était de plus en plus audible.. mes doigts ma main furent vite humides.. d’une mouille grasse.. puis soudain.. plusieurs jets.. coulèrent dans ma main.. J’arrêtais.. son con dégouttait ruisselait, ses cuisses luisantes.. étaient striées de petits ruisseaux humides.
Je recommençais enfonçant mes doigts dans son con détrempé. Je la pistonnait rapidement.. mes doigts se couvrait d’une mousse blanche onctueuse.. qui venait du fond de son vagin.. A nouveau.. plusieurs jets.. giclèrent.. éclaboussant le sol..
« Ahhhh Ouiii fais moi jouir !! s’il te plaît !! fait moi jouir !! » hurlait elle.
Son urine giclait toujours puis s’égouttait plus lentement je remis mes doigts cette fois 4 doigts.. profondément dans sa chatte.. et je la baisait.. à nouveau.. Fort.. violemment..
« Retiens toi !! pas tout de suite !! jouis pas putain !! » criais-je..
Ma queue palpitait dans mon jean. J’étais aussi pas loin de jouir..
« Je vais jouir.. s’il te plaît maître !! laisse moi venir !! » suppliait elle.
J’accélérais mon pistonnage.. sa mouille grasse et laiteuse.. me coulait dans le creux de la main son clito énorme était luisant.. je l’agaçait du pouce.. la faisant crier.. de douleur . Ses jambes tremblaient.. mon bras passé derrière ses reins était là pour lui éviter de tomber..
Viviane était en sueur.. pourtant ce début de matinée d’été n’était pas si chaud.. mais la sueur ruisselait entre ses seins.. sous ses aisselles.. au creux de ses reins.. son visage était constellé de gouttes de sueur.. J’adore.. çà.. je léchais sa peau.. me repaissant de cette liqueur salée..
« Ne jouis pas.. espèce de roulure !! truie.. » ordonnais-je..
Viviane me regardais.. ses yeux gris limpide étaient fous.. ils me suppliaient de mettre fin à sa torture.. de lui laisser avoir l’orgasme.. qui s’annonçait.. puissant.. Je sens ses choses là. Ma salope allait avoir un orgasme de première bourre !! Ses yeux ne montraient plus que le blanc.. par instant.. puis ses tremblements devinrent incontrôlables.. ses jambes se dérobaient sous elle.. Son con était béant.. par instant ma main serait entrée sans forcer.. puis il se contractait broyant mes phalanges. Elle coulait comme une fontaine.. les gouttes de mouille faisait un ploc ploc sur le sol.. accompagnés par moment d’un jet plus léger d’urine.. Viviane se vidait doucement.. Je regrettais de devoir la retenir.. mais une paire de doigts dans son cul.. aurait fait merveille.. mais je n’ai que deux bras.
Soudain je sentis qu’elle ne pourrais plus tenir.. c’était la laisser jouir ou la crise nerf.. (je vous expliquerais à l’occasion)
« Jouis !!! pute !! jouis tout de suite ou je te cogne !!! » criais-je a son oreille ..
Ce fut immédiat…
« Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii… je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii je viens !!! oh » hurlait elle se démenant.. j’avais du mal à la retenir.. Elle se débattait en tout sens.. Agrippée à moi.. elle hurlait son plaisir.. son sexe expulsait une grande quantité de liquide.. Elle ne put même pas retenir son anus et se souilla aussi.. C’était un spectacle dantesque..
Arriva.. ce qui devait arriver.. Je ne put retenir.. mon plaisir.. je senti une bouffée de chaleur.. ma queue palpitant a mort dans mon jean.. Je sentis alors les giclées monter.. brûlantes.. me mouiller le bas ventre..
« Oh putain !!! je gicle !! salope !! tu me fais gicler !! » criais-je
Ma main qui avait été dans sa chatte.. je la lui plaquais sur le visage.. étalant sa mouille sur ses joues.. ses lèvres.. Viviane.. se laissa glisser au sol.. s’agenouillant sans s’en préoccuper dans la mare qu’elle avait formé à ses pieds.. Secouée par des frissons.. elle était encore en train de jouir..
Je dégrafais mon jean.. qui maintenant avait une jolie tache sombre.. je ne portais pas de slip.. je recueillais mon sperme sur ma queue, mon ventre.. et je fourrais mes doigts dans sa bouche.. docilement elle lécha.. mes doigts.. Puis toujours si excité. Je me relevais.. et lui tirant la tête en arrière.. je plantais ma queue dans la bouche..
« Bouffe ma queue putain de salope.. Lèches moi la queue.. nettoie.. là » commandais-je..
Elle eut un haut le cœur.. mais ne tenta pas de se dérober.. Je lui baisais la bouche.. un moment.. sentant.. que je pouvais jouir dans les quelques minutes suivantes.. Sa joue droite déformée par ma queue.. m’attirait et je lui assénais deux claques.. me giflant en fait le nœud.. dans sa bouche..
Je sentais monter mon plaisir à nouveau.. tant j’étais excité.. je n’avais qu’une envie jouir sur son visage.. la couvrir de sperme.. mais après la première giclée.. c’était peut être présomptueux.. Je retirais ma queue.. de la bouche de Viviane.
« Ouvre grande ta gueule.. putain.. je vais te gicler.. dedans.. Allez ouvre !! » dis-je en lui donnant une gifle.
La queue tendue a mort.. je me branlais sur mon esclave.. totalement souillée.. qui semblait toujours sur le point de tomber.. tremblante et oscillant sur ses genoux.. Je vis seulement a cet instant que sa main s’agitait sur sa chatte et son clito.. elle se branlait cherchant elle aussi un second orgasme. Je n’avais pas envie de l’empêcher.. Ma queue palpitait mes couilles semblaient peser une tonne.. Ce fut soudain je sentis gronder en mon ventre mon plaisir.. Je m’attendais à voir quelques giclées.. au contraire.. mon sperme était épais.. et abondant.. qui tombèrent dans la bouche de Viviane.. sur ses seins.. lui maculant les cheveux..
« Oh putain .. c’est bon.. prends tout chienne.. avale tout !! » grommelais-je..
Viviane.. se raidit.. et cria.. a se rompre les cordes vocales…
« Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii je jouis !!! je suis une pute.. !! une truie.. je jouis !! je pisse !!! cognes moi !!! »
Je ramassais vivement le ceinturon et lui donnais quelques coups sur le dos et les fesses tandis qu’accroupie.. elle jouissait une seconde fois.. inondant le sol.. se pissant sur les pieds.. avant de se laisser tomber.. dans cette flaque.. en proie.. a un début de crise de nerf.. tant la tension l’avait usée..
Je lui tirais la natte.. la relevais. L’obligeais à me regarder.. et lui donnait de petites gifles sur le visage.. Ses yeux fous.. ne semblaient pas me reconnaître.. je la secouais.. Viviane.. sembla sortir d’un rêve.. et s’accrocha à mon cou.. totalement tremblante de la tête au pied..
« Reviens bébé. Reviens.. allez regardes moi.. » dis je..
Enfin son regard sembla s’éclairer.. puis elle me sourit.. Avant de poser sa bouche sur la mienne..
« ohhhh la vache.. c’ était fort… c’était génial.. » dit Viviane
« Oui.. mais il faut se changer.. on peut pas partir.. comme çà !! » dis-je..
« Tu as fait quoi à ton jean ??? » demanda t elle
« J’ai jouis dedans.. tellement tu m’a excité !! salope !! » dis-je
« Je me rappelle pas avoir vu.. je me rappelle de pas grand chose pour l’instant.. » dit Viviane
« Pas trop mal ? » demandais-je
« Oh si… j’ai le clito en feu.. tu m’a bien cogné.. j’adore !!! je vais être marquée.. les vacances commence bien.. » dit elle
« Oui génial.. avec les marques que tu a.. tu va avoir pas mal de questions sur la plage.. » dis -je
« M’en fous.. suis comme çà.. suis ta chienne.. je suis maso.. j’aime çà et je t’aime tellement maintenant tu n’hésite plus.. tu me fais mal.. comme j’aime.. »
« Allez à la douche.. on se change.. et on s’en va.. on va être en retard » dis je..
Nous reprîmes la direction de son appart.. pour nous changer nous laver.. on serait un peu en retard.. mais c’était les vacances.. et elles commençaient sur les chapeaux de roue..
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