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Du sperme sur les bas, la première surprise d&#039

Du sperme sur les bas, la première surprise d&#039



« J’ai une surprise pour toi. »

Prononcés par ma femme, ces mots sont généralement annonciateurs d’une bonne nouvelle.

À ce moment, nous sommes candaulistes depuis une petite année. Jules et Julien sont des amants réguliers. Un autre a aussi eu droit au plaisir de prendre possession d’Aurelie. Jusque-là, j’étais toujours au courant, que ce soit à la maison ou chez eux.

Sauf que…

Quand elle rentre en ce soir de fin d’été, il y a maintenant un peu moins de deux ans, il est un peu plus de 19 heures. Je l’avoue, je suis affalé sur le canapé en train de jouer à la console.

« Quel genre de surprise ? »

Elle s’assoit à côté de moi et relève doucement sa jupe pour dévoiler ses bas. J’aperçois deux tâches sur sa cuisse gauche, puis deux autres sur la jarretière. Pas de doute, il s’agit de sperme.

« Tu es allé voir Jules ou Julien sans me prévenir ? »

Elle sourit sans rien dire.

« Tarik ? »

Toujours pas un bruit. Le silence me fait languir. Je sens quelque chose d’inhabituel. Et pourtant, l’excitation monte déjà.

« Non », finit-elle par avouer.

Mon cœur s’arrête une seconde.

« Tu te souviens quand tu as commencé à me demander de coucher avec d’autres ? Tu m’avais dit que je pourrais faire absolument tout ce que je voudrais. Avec qui je veux, quand je veux. Et bien c’est fait. »

Je suis scotché. Encore une fois, elle a repoussé ses limites. S’agit-il d’un adultère puisque je lui avais moi-même proposé ? Mon érection semble prendre son parti.

« – Tu te souviens aussi que j’avais promis de toujours tout te raconter ?

– Oui.

– Alors suis-moi à la chambre. »

Je la suis sans dire un mot, puis je m’allonge sur le lit. Que la douce torture commence. Elle retire sa robe pour m’apparaître en culotte et bas. Sans soutien-gorge. Sa petite poitrine n’en a pas vraiment besoin, et elle se permet parfois de s’en passer. Je ne peux pas détourner mon regard des tâches blanchâtres qui s’étalent sur sa cuisse.

« Ca te plaît ? Tu veux savoir comment c’est arrivé ? »

Je ne peux que hocher la tête. Elle se penche sur moi pour m’embrasser à pleine bouche. Je sens immédiatement un goût de latex. Je devrais être dégoûté, mais cela décuple mon excitation. J’ai retiré mes vêtements, mais j’ai quand même l’impression que mon sexe est à l’étroit.

« Tu veux savoir comment j’en suis arrivé à mettre une capote sur la bite d’un inconnu avec ma bouche ? »

Nouveau hochement de tête. Sa main est sur mon ventre, mais je suis sur le point d’exploser.

« Je t’en supplie, ne me touche pas la bite avant la fin de l’histoire », suis-je obligé de demander.

« Comme tu veux mon petit cocu. »

Au fil des mois, je me suis mis à apprécier qu’elle me traite de cocu. J’adore savoir qu’elle contrôle.

Son doigt parcourt mon ventre. Son récit commence.

« Cet après-midi, je m’ennuyais au boulot, alors j’ai téléchargé une application de rencontres. Le genre « rencontres faciles et sans prise de tête. » Ca aussi, tu me l’avais réclamé dans tes fantasmes. J’ai commencé à liker plusieurs profils, et évidemment les mecs ne se gênaient pas pour envoyer des messages et proposer rapidement des rendez-vous.

Cela m’a rapidement excité, et j’ai commencé à répondre à certains qui me plaisaient physiquement. Ce n’était pas toujours drôle ou intéressant. Et puis Fabien est arrivé. Brun et plutôt quelconque de visage, mais sacrément bien foutu. Il avait une photo de profil torse-nu et je me suis dit que j’aimerais bien mettre la main sur ses abdos et ses pectoraux.

Je me suis dit que j’allais voir si je pouvais le choquer un peu. Je lui ai envoyé un message disant « Tu as déjà couché avec une femme mariée ? »

Visiblement, j’étais un peu naïve. Parce que c’est moi qui aie été chauffée par sa réponse : « C’est ma spécialité. »

Ne voulant quand même pas prendre de risque, je lui ai donné rendez-vous à 17h pour boire un verre, histoire de le rencontrer en public. Je n’ai pas été déçue. Une véritable armoire ! Il était poli et m’a fait la bise.

Gentil, mais pas grand chose à dire. Il m’a parlé de la muscu et des sports qu’il pratique pour être si en forme. Nous n’avons pas grand chose en commun, mais il m’a suffisamment inspiré confiance pour que je me lance. Je lui ai dit : « On pourrait peut-être aller chez toi pour que tu me montres la spécialité dont tu m’as parlé ? »

Évidemment, il n’a pas mis longtemps à payer l’addition et à m’accompagner chez lui. »

Alors qu’Aurélie me parle, je suis toujours obnubilé par ses bas tâchés. Mon sexe est raide comme jamais.

« – Ca a l’air de t’exciter que j’ai décidé d’aller me faire baiser par un inconnu sans te prévenir.

– Oui.

– Oui, quoi ? »

Ma femme a pris une telle confiance en elle au cours de cette première année de candaulisme qui s’achève. C’est incroyablement excitant.

« Oui ça m’excite que tu sois allé te faire baiser sans me prévenir. Tu peux faire ce que tu veux et baiser qui tu veux. »

Son doigt continue de parcourir mon corps sans toucher mon sexe. Je ne tiendrais pas une seconde si elle le fait.

« Quand on est arrivé chez lui, il m’a ouvert la porte et j’ai découvert un petit appart de célibataire assez typique. Le temps que je fasse un tour sur moi-même pour regarder, il s’est approché de moi. Sans rien dire, nous nous sommes approchés pour commencer à nous embrasser. J’ai rapidement senti sa main sur mes fesses. Et je n’ai pas perdu de temps non plus à tâter son petit cul musclé avec une main et son torse et ses abdos de l’autre. Puis je lui ai vite retiré son t-shirt pour le mater. C’était dingue. Je n’avais jamais touché un mec baraqué à ce point. Les bras, les abdos, tout !

Je me suis collée à lui pour l’embrasser à nouveau. Sa main a commencé à passer sous ma jupe pour caresser ma cuisse. J’ai collé mon bassin au sien et je lui ai demandé de me soulever. Contrairement à toi, c’était super facile pour lui, et je me suis retrouvée avec les jambes nouées autour de lui, la jupe relevée, avec la culotte frottant contre son pantalon. Je mouillais déjà bien ! »

C’est vrai qu’Aurélie m’avait souvent dit qu’elle aimerait se faire prendre en étant soulevée, mais je n’ai malheureusement pas réussi. Je commence à comprendre son choix du jour.

« Il m’a emmené jusqu’à la chambre comme ça, alors que j’étais accrochée à lui, en train d’embrasser ses pectoraux et de lécher ses tétons. Il m’a allongée sur le lit et a directement commencé à baisser ma culotte, sans même enlever ma robe, et il a commencé à me lécher, puis à me mettre des doigts.

Ensuite, il s’est relevé et a commencé à se déshabiller. Je me suis mise à genou sur le lit pour enlever ma robe et il est venu m’embrasser. Je l’ai entraîné vers le lit pour qu’il s’allonge. Là, j’ai de nouveau pu contempler ses muscles, et j’ai commencé à caresser son sexe.

– Comment était sa bite ?

– Pas mal. En fait il est tellement costaud que cela donne une drôle d’impression. Mais il doit être dans la moyenne. Je lui ai demandé de me donner une capote, que j’ai déballée. J’ai commencé à l’embrasser et le lécher sur les pectoraux, les abdos… En descendant doucement. J’ai pris sa bite, mis la capote au bout, déroulé un peu, avant de la faire descendre sur son gland avec ma bouche. Ensuite, j’ai fini de la dérouler avec la main. Je l’ai vu pencher la tête en arrière. Tu sais ce que j’ai fait ensuite ?

– Non.

– Je l’ai regardé et je lui ai dit : « Alors comme ça c’est ta spécialité de faire jouir les femmes mariées ? Alors montre-moi. » J’avais envie de le chauffer. »

Je suis toujours aussi dur. J’ai l’impression que je vais jouir sans qu’Aurélie ne me touche. Mon imagination bouillonne. Pour la première fois, je ne sais pas qui est ce mec. Je devine à peine à quoi il ressemble. Mais je m’en fiche. J’ai l’impression qu’elle a pris son pied et ça m’excite.

« Ma petite provocation a marché puisqu’il s’est immédiatement relevé pour venir m’embrasser, avant de me faire basculer sur le dos. Je me suis retrouvée écrasée sous son poids. Alors qu’il enfonçait sa langue en moi, j’ai senti sa main écarter mes cuisses. Il s’est placé à l’entrée de ma chatte et s’est enfoncé doucement. J’ai commencé à gémir. J’ai interrompu notre baiser pour aller embrasser ses pectoraux. Je lui mangeais littéralement le corps. Ca m’excitait trop me faire prendre par un mec aussi bien foutu.

Visiblement, ça lui plaisait, parce qu’il accélérait. C’était trop bon. Il s’est relevé un peu pour me relever les jambes et les serrer l’une contre l’autre. Il a commencé à me culbuter. C’était dingue. Je hurlais. Je lui demandais de me baiser plus fort, et j’ai joui comme une folle. J’ai eu un orgasme qui m’a fait m’accrocher aux draps. Voyant mon état, il a ralenti pour me permettre de reprendre mes esprits.

Il s’est rapproché de moi et m’a lancé : « Tu vois, je te l’avais dit. Et toi ça a l’air de t’exciter de tromper ton mari. »

Je ne me suis pas démontée en répondant : « Peut-être que moi aussi c’est ma spécialité. »

Il m’a dit, « Ah je vois, je suis tombé sur une petite coquine. »

J’ai juste souri, un peu fière de moi. Et je suis passé à ce que je voulais depuis tout à l’heure. Je lui ai dit, « Soulève moi comme tout à l’heure, mais cette fois en me prenant. »

Il s’est levé à côté du lit, je l’ai rejoint et il m’a soulevée. Une fois stable, il a utilisé une main pour diriger sa bite vers ma chatte et je me suis empalée. C’était physique, mais que c’était bon d’être collée contre ses muscles tout en sentant sa queue. Du coup, il a pris la confiance et a commencé à me parler.

« – Ton mari ne peut pas faire ça, je suppose ? Tu voulais te taper un mec bien foutu pour une fois.

– Oh oui, oh oui !

– Et ça, il te le fait ton mec ? »

En le disant, j’ai commencé à sentir son doigt s’approcher de mon cul, puis s’enfoncer doucement. Il m’a amenée contre un mur pour me plaquer. Il a commencé à me limer plus doucement, tout en me mettant un doigt dans le cul. Comme je gémissais, il a évidemment continué. Il a fait ça quelques instants et je lui ai demandé de me prendre en levrette.

Il m’a gentiment posée sur le bord du lit et je me suis immédiatement mise à quatre pattes. Je lui ai dit : « viens me baiser, mais préviens moi quand tu vas jouir. » Il s’est enfoncé en moi et a rapidement accéléré. Je l’encourageais avec des « Oh oui », « baise moi » ou « défonce moi ». Et il ne se faisait pas prier.

Je sentais ses mains serrer mes hanches et son bassin percuter mes fesses. Il me défonçait comme jamais on ne m’avait prise en levrette. Et j’ai joui une deuxième fois. J’avais la tête écrasée sur le lit. J’arrachais les draps avec mes mains. Il a ralenti un peu, mais a continué à me limer pendant quelque temps. J’étais complètement assommée par mon orgasme.

Maintenant ça va être à toi de jouir mon petit cocu.

– Je t’en supplie, non. Pourquoi ?

– Parce que c’est ce que lui a fait ensuite. Il m’a dit qu’il allait jouir. J’ai fait un petit mouvement vers l’avant pour lui faire comprendre de se retirer et je me suis mise sur le dos.

Je lui ai dit : « Maintenant, tu vas me laisser un petit souvenir pour mon mari. Tu vas jouir sur mes bas. Retire ta capote et viens gicler sur le haut de mes cuisses. »

Il s’est avancé, a balancé la capote à côté du lit et a commencé à se branler au-dessus de mes cuisses. Une première giclée est sortie et s’est bien étalée. Puis une deuxième, et une troisième. Je l’ai remercié et il s’est étalé à côté de moi.

Il m’a dit : « J’en ai rencontré des femmes mariées, mais rarement aussi chaudes que toi. Tu reviens quand tu veux. » Je ne sais pas si j’y retournerais, j’ai eu ce que je voulais.

Je me suis tournée vers lui pour caresser encore un peu son torse et le remercier du compliment. Après ça, je me suis relevée, j’ai remis ma culotte et mes vêtements, il m’a raccompagnée à la porte, et je suis rentrée jusqu’ici avec son sperme collant entre les cuisses. »

Au moment où ma femme prononce ces derniers mots, il y a aussi du sperme partout sur mon ventre. Car elle a accompagné la fin de son récit par quelques mouvements vigoureux de sa main sur mon sexe. J’ai immédiatement giclé.

« – Tu as aimé ton petit cadeau ?

– Oui.

– Ca te plaît que je me fasse baiser par des inconnus ?

– Oui.

– Tu veux que je le refasse ? »

Je ne peux que hocher la tête pour dire oui à la dernière question. Notre relation vient de passer une nouvelle étape, et je suis plus excité que jamais.

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