Histoires de sexe arabes Histoires de sexe travesti Histoires gays

PREMIERE EXPERIENCE LIBERTINE (AVRIL 2018)

PREMIERE EXPERIENCE LIBERTINE (AVRIL 2018)



PREMIERE EXPERIENCE LIBERTINE – 17, puis 19/20 AVRIL 2018

Libérés du rôle parental sur cette semaine de vacances, on a discuté et pris la décision ensemble d’aller au bout d’une envie qui planait dans notre couple depuis maintenant des années : aller en club libertin pour voir comment ça s’y passait.

J’avais déjà choisi l’endroit : le club Le Privé, en périphérie de Toulouse, réputé pour être un des plus grands, offrant de nombreuses ambiances différentes, propre, et sans trop de m’as-tu-vus… et qui proposait le mardi une soirée mixte (couples et personnes seules) dont l’entrée n’était pas trop chère pour les couples se présentant entre 21h et 22h.

On s’y est donc rendus le mardi 17 avril 2018 à 21h15, on a payé, et comme tous nouveaux clients on s’est fait briefé par l’hôtesse.
Cette toute première soirée libertine n’aura été pour nous qu’un simple repérage, une première prise de température : trop timides, nous n’avons provoqué aucun rapprochement vers d’autres participants, de toute la soirée. Et personne ne s’est approché de nous non plus : peut-être notre totale innocence se voyait de loin. J’ai parfois regardé les hommes, les femmes et les couples pour créer du lien, mais Isabelle, probablement trop impressionnée, ou par excès de timidité, ne s’est pas prise à ce jeu, ce qui a fini par m’intimider à mon tour.

Tout ce qu’on a fait de coquin, on l’a fait entre nous : des baisers, des caresses, un début de fellation dans le sauna (qui est très vite devenu insupportable, vue la chaleur)… un soupçon d’exhibition, mais la proximité des corps dans le jacuzzi, sans l’excitation sexuelle nécessaire, a fait monter la pression sur Isabelle qui a commencé à s’énerver (il a fallu que je lui paie 2 verres de vin blanc pour la faire redescendre).

Au final, ça ne donnait rien, et c’était plutôt décourageant : là, en quittant le bar, elle a affirmé que ce genre de lieu, finalement, ça n’était pas pour elle… mais un dernier petit tour par tous les recoins coquins, à l’étage, nous a remis un peu dans l’ambiance, quoi qu’il n’y avait que très peu de monde, trois hommes seuls qui déambulaient sans but dans les couloirs (dont un qui nous collait plus ou moins).

Comme on aimait bien l’effet que procurait une petite pièce recouverte de miroirs face-à-face (la répétition à l’infini de nos corps), on a commencé à baiser : elle m’a sucé, puis je l’ai prise en levrette, profitant de la vue de tous ces/ses culs… et on a oublié de fermer la porte. Un, deux, parfois trois curieux venaient mater, s’approchaient, dont celui qui nous collait un peu trop. J’ai allongé Isabelle sur le dos, lui ai bouffé la chatte en lui mettant les doigts, et surtout en dirigeant son intimité vers les voyeurs et en lui écartant bien les cuisses pour qu’ils se rassasient de la vue… mais malheureusement aucun d’entre eux n’a commencé à se tripoter, ce n’étaient que regards, et ça a fini par nous lasser.

Nous nous sommes ravisés, relevés, on a quitté la pièce aux miroirs pour aller dans une autre, beaucoup plus sombre, avec une banquette à la hauteur parfaite pour que je puisse baiser Isabelle en levrette tout en restant moi-même debout. Là, dans l’action, un participant s’est approché, s’est mis à côté de moi pendant que je baisais Isabelle par-derrière, m’a fait signe de la main pour me demander s’il pouvait la caresser… vu l’état de nervosité d’Isabelle, je lui ai fait comprendre que non. Il a donc sorti sa queue, grosse et épaisse, de la serviette qui l’enrobait, et il se l’est branlée en se rapprochant de la croupe d’Isabelle. Voir sa queue tendue, à pas plus de 10 centimètres des fesses que j’étais en train de baiser m’a suffisamment excité pour que j’ose demander à Isabelle si elle voulait d’une autre queue ; elle a lentement tourné la tête, a regardé l’homme, il ne lui a pas plu, elle a donc gémi un « non » étouffé. Lui, il n’a pas insisté, il s’est assis à côté pour regarder le corps et le visage d’Isabelle pendant que je la prenais… tout ça m’a fait redescendre, j’ai arrêté, et on s’est rhabillé sans parvenir à nos fins.

En très peu de temps, ensuite, nous avons décidé de partir.

Voilà, ce fut notre toute première soirée « libertine », plutôt juste la découverte du lieu et des gens, de l’ambiance et de ce qu’il s’y passe, et surtout les premières bases et erreurs à prendre en compte pour progresser.

Nous avons pas mal discuté et échangé, dans la voiture. Sur la route du retour. Isabelle a vite compris ce que je lui avais expliqué : il faut savoir ce que l’on cherche, ce que l’on veut faire, et il est absolument nécessaire de parler aux gens, d’oser leur dire oui, non, et quoi faire. Sans mots, chacun est dans l’attente, et rien ne se passe. En tant que couple, nous avons d’une certaine manière un pouvoir. Et, finalement, au cours de cette discussion, Isabelle souhaite qu’on retente une expérience de libertinage, plus tard, probablement aux prochaines vacances, la prochaine fois qu’on sera libérés de notre rôle de parents.
La nuit qui suit cette soirée, j’ai dormi, mais Isabelle a fait une insomnie totale… trop prise par l’énervement, l’excitation, les réflexions, conséquents à cette expérience.

————–

Le mercredi qui a suivi, il a été question de renouveler l’expérience. D’abord sur un demi-ton de plaisanterie, on se disait qu’on réessaierait bien… aux vacances de juillet (sans notre enfant), mais, finalement… peut-être plus tôt ? Et puis… pourquoi pas d’ici le week-end à venir ? Détendus, sur le ton de la rigolade, mais ça restait en suspens.

Et puis arrive le jeudi, nous sommes quand-même très fatigués, puis nous rejoignons un ami en ville pour un petit apéro. De fil en aiguille, on invite notre ami à manger (grève des trains pour rentrer à Muret), mais le petit repas évolue en grosse discussion, je perds l’énergie de sortir ensuite. Isabelle, qui a bu beaucoup de vin, est bien éméchée ; quand je dis que je n’ai plus vraiment envie de sortir, elle a l’air très déçue. Il faut conduire notre ami chez sa mère, ça fait beaucoup de kilomètres, et il est déjà 21h30… mais finalement, je lui propose de nous accompagner, et qu’on verra sur place si je change d’avis.

Notre ami déposé, on en discute à deux : je veux bien essayer, même si je ne pense pas être très disposé ni très positif sur le fait qu’il y ait du monde ; si sur place je ne me sens pas bien, alors on s’en va.

Il est décidé aussi les choses suivantes :
– si je demande à Isabelle si elle veut d’une autre queue, ça signifie que j’ai envie qu’elle se fasse prendre
– si l’un ou l’autre ne se sent pas de faire quelque chose, ou veut arrêter quelque chose en cours, il n’a qu’à dire qu’il ne veut plus, et on arrête sans discuter
– si Isabelle veut faire quelque chose dont on n’avait pas parlé, elle me demande mon accord avant
– et les règles déjà posées : pas de baiser sur la bouche, pas de sexe anal avec un autre que moi, et que je ne sois jamais délaissé ni mis à l’écart dans le feu de l’action

On a le choix entre une soirée Gang Bang au 360 SPA, ou une soirée classique au club Le Privé. Isabelle préfère qu’on retourne au Privé, parce qu’on connaît déjà l’endroit et la configuration, et aussi parce qu’une soirée Gang Bang, ça lui fait un peu peur… Direction Le Privé, donc.

Nous y voici. Ce jeudi soir, c’est 30 euros. Nous sommes prêts, chacun sa serviette. On commence cette fois-ci par éviter les écueils du jacuzzi, on file directement à l’étage pour visiter les coins câlins. Et là, c’est un peu la redescente : il n’y a presque personne. Tout au plus, un couple déjà en pleine action, et un homme seul qui les mate. Tout le reste, vide. Je le sens mal. Et je pense qu’Isabelle aussi. Alors, on redescend, et Isabelle me propose qu’on aille commencer à faire du sexe sur les bords d’un des jacuzzis. Ok, on y va.
Elle s’assoit sur le muret, et moi dans l’eau je lui lèche les seins, puis je lui bouffe la chatte. Des hommes seuls qui trainaient dans l’eau s’approchent : un à gauche, un à droite. Je prends la place d’Isabelle sur le muret, elle descend et me suce. Les hommes ne font toujours rien. Je rejoins Isabelle dans l’eau, l’enlace, moi le dos contre le bord, elle tournée vers moi (donc les fesses vers les autres). Je lui demande de regarder les hommes qui nous encadrent, et lui demande lequel elle préfère. Mais il semble qu’elle soit en pleine montée de timidité : elle ne répond pas, ou bafouille qu’elle ne sait pas… alors je fais le choix : je dirige l’arrière de son corps vers l’homme à ma gauche, qui me semble plus attrayant que celui de droite (que je remercie et congédie gentiment). Nous sommes enlacés, nous nous roulons des pelles à pleine bouche ; j’empoigne ses seins, j’écarte ses fesses, je la caresse partout, puis je lui fourre les doigts dans le vagin. Elle s’excite. Et l’homme a compris : il vient derrière elle, et commence à la caresser. Je devine ses mains sur ses hanches, il l’embrasse dans la nuque, il vient contre elle. Je doigte Isabelle assez fort, elle me branle en même temps (impossible pour moi de bander dans l’eau), et nous nous roulons toujours des pelles. Parfois je sens les doigts de l’homme s’aventurer sur son ventre, sur ses seins. Je demande régulièrement à Isabelle si tout ça lui plaît, et toujours timidement elle finit par avouer que oui, en chuchotant. Je retire mes doigts de sa chatte, d’une main je me branle, de l’autre je lui caresse les seins. Ce petit jeu dure un petit moment, jusqu’au moment où Isabelle essaie d’att****r ma queue, remarque que je suis en train de me branler, et me fait comprendre, un peu étonnée, qu’elle pensait que c’était toujours moi qui lui fouillait la chatte avec mes doigts. L’homme est donc, depuis un petit moment, en train de la doigter. Je lui demande ce qu’elle fait, elle me dit qu’elle vient de commencer à lui caresser la queue, par derrière son dos. Je lui demande encore si ça lui plaît, et elle prend de l’assurance dans ses réponses : ça lui plaît. Je lui propose qu’on change d’endroit, qu’on monte dans un coin-câlin, et qu’on invite notre nouveau partenaire. Elle est d’accord. Je lui propose, à lui, de nous accompagner, il est d’accord lui aussi.

Nous sortons donc tous les trois du jacuzzi, et montons à l’étage.

Dans les couloirs, à la recherche d’une salle tranquille, ni trop éclairée, ni trop peu, et assez vaste. On décide d’utiliser la salle éclairée en rouge, avec un matelas en demi-cercle (et un frigo rempli de bouteilles d’eau fraîche !!!). J’explique à notre partenaire que je vais commencer avec Isabelle, et qu’il devra attendre que je lui propose. Il est d’accord. Isabelle s’allonge sur le matelas, sur le dos, et je commence par lui lécher la chatte. Ensuite, je lui demande de se mettre à 4 pattes, et je la prends en levrette un petit moment. Puis vient le moment où j’ai envie de la voir se faire prendre. Elle est d’accord, elle me dit qu’elle a envie de me sucer, aussi. Elle reste à 4 pattes, je viens lui présenter ma queue à sucer pendant que son cul est à disposition de notre partenaire. C’est à ce moment que je lui dis qu’il peut s’approcher. Il vient derrière elle, commence par lui caresser les fesses, le dos, puis la chatte, il lui met les doigts. Isabelle gémit, elle me suce tant bien que mal (difficultés à bander), je préfère l’embrasser goulûment, lui rouler des pelles, pendant que l’autre commence a vraiment s’activer sur le sexe offert. Plus tard, je demande si elle veut sa queue, elle me gémit un petit oui, et je demande au partenaire de la prendre. Isabelle me demande de bien vérifier qu’il mette une protection. Il enfile donc un préservatif, vient se coller contre le cul d’Isabelle, et lui enfonce sa grosse bite large dans la chatte. S’ensuivent 10 bonnes minutes de fourrage, j’alterne ma bouche et ma queue sur le visage d’Isabelle. Elle se fait bien secouer, elle a du mal à garder la bouche sur ma queue quand elle prend de gros coups ; parfois elle me lèche les couilles. Je l’entends gémir constamment, et le partenaire n’y va pas mollo. Je demande régulièrement à Isabelle si ça va, si ça lui plaît. Elle répond toujours positivement, me demande parfois si ça va pour moi aussi…
Aussi, quelques autres hommes seuls viennent assister à la scène ; certains ne font que passer, d’autres restent et observent. Je vois des regards lubriques, des queues, basses ou tendues…

C’est notre invité qui finit par demander de changer : il demande s’il peut prendre Isabelle de face, venir sur elle… petite concertation de couple : c’est d’accord. Isabelle relève les jambes, bien écartées, et l’homme reprend de plus belle : il l’a pénètre, vraiment bien profondément, s’agite sur elle. Je demande à Isabelle si je peux m’éloigner un peu, pour avoir un regard général sur la scène : ça ne la dérange pas. Je me lève, donc, et j’en profite pour att****r une de ses chevilles, tirer dessus pour encore plus lui écarter les jambes, qu’elle se fasse pénétrer plus profondément encore… et je l’entends gémir de plus belle quand je fais ça. Je lui caresse le pied, la jambe, la soulève plus, je joue de ça, et ça lui plaît. L’homme est couché sur elle de tout son corps, il la baise sans retenue, en l’embrassant dans le cou, sur les joues, les oreilles, les seins ; il a l’air de bien apprécier et de vouloir prendre son temps. Ça me plaît. Et de là où je suis, je peux voir sa grosse queue pénétrer la chatte d’Isabelle.

Finalement, je reviens vers la tête d’Isabelle, et je m’agenouille contre. Au début, je me branle la queue contre son visage (elle, gémissant fort, la bouche grande ouverte, la tête allant et venant au rythme des coups de bite qu’elle se fait infliger par le partenaire). Ensuite, je viens me mettre carrément à califourchon au-dessus d’elle, et elle n’hésite pas à en profiter pour me lécher entre les fesses, par en-dessous). Et dans cette position, je suis face à notre partenaire, je peux voir ce qu’il lui fait, avec quelle fougue il la baise, je peux caresser les seins d’Isabelle, me branler en me faisant lécher le cul. Elle n’hésite pas à me fourrer sa langue sur mon petit trou, c’est délicieux. Ça dure longtemps. D’autres visiteurs osent tendre une main pour lui caresser les jambes, le ventre ou les seins, c’est parfois bestial.

Et c’est encore notre partenaire qui change la donne : il finit par jouir, sans vraiment prévenir, sans faire de bruit… il s’arrête, se retire ; ne comprenant pas trop, je lui demande s’il a joui, il me répond que oui. Il s’allonge dans un coin, près du corps d’Isabelle pantelant… je lui demande ce qu’elle veut : d’autres hommes sont là, ils ont l’air d’attendre ; mais elle me répond qu’elle a envie que je la prenne. Elle se retourne, me présente sa croupe. Le partenaire lui caresse les épaules, la nuque, le dos, et moi je tâte le résultat : sa chatte est complètement dilatée, et plus trempée que je ne l’ai jamais vue. Elle dégouline de longs fils de mouille, en y glissant les doigts je découvre une vaste cavité à la place du petit vagin serré que je lui connaissais. Et c’est brûlant, et tellement humide et visqueux ; ses lèvres sont boursouflées : elle s’est vraiment fait défoncer.

J’essaie de la pénétrer, mais dans cette immensité, je ne ressens presque rien, alors je tente un truc : alors qu’elle gémit encore de désir et de plaisir sous les caresses des uns et des autres, je lui enfile un doigt (facile), puis deux (facile), puis trois (d’habitude ça lui fait mal, là, aucun problème). Donc, je tente le quatrième, je peux lui enfiler toute la largeur de ma main sur 4 doigts, et elle la prend. J’essaie de faire glisse mon pouce, je me dis que je pourrais presque la fister… mais je me ravise, je trouve ça un peu trop trash. Je lui remets ma queue, lui enfonce un doigt dans le cul, puis je l’encule un peu, comme ça, devant 4 ou 5 hommes qui matent, certains se branlent.

Sentant que je n’arriverais à rien tellement elle est grand ’ouverte, et suant des litres d’eau, je me retire et on prend une pause.
Les autres hommes quittent la salle, seul reste notre premier partenaire, toujours dans les caresses. Nous discutons tranquillement un petit moment, nous reposons, et profitons de la fraîcheur des bouteilles dans le petit frigo.

Je me rapproche d’Isabelle, l’embrasse tendrement, lui demande si tout se passe bien… L’homme comprend qu’on a besoin d’intimité, il nous remercie, et se retire avec courtoisie.

Nous nous retrouvons seuls, au calme, dans cette pièce faiblement éclairée par la lumière rouge.

Petite discussion, tendresses, et nous essayons de faire l’amour. Isabelle sur le dos, je viens entre ses jambes, je la pénètre : son intimité a commencé à se resserrer, je ressens les parois brûlantes et visqueuses de son vagin autour de ma queue, ce qui commence à me faire bander. Nous y allons doucement, tout en nous embrassant tendrement. D’une main, elle se masturbe le clitoris en même temps.

Nous étions dans cette intimité, quand de nouveau un homme se présente au rideau de l’ouverture. Je le regarde, il s’approche peu, respectueux. J’explique sa présence à Isabelle. Je lui demande si ça lui plairait qu’il nous rejoigne. Elle hésite, ne sait pas trop… peut-être pensais-t-elle considérer qu’elle avait déjà eu son compte ? J’insiste un peu, parce que j’aimerais bien voir ce qui pourrait arriver. Elle me demande comment il est ; je le scrute, toujours en allant et venant dans le ventre brûlant d’Isabelle : il a l’air jeune, mince, propre. Je le décris comme : « il est bien ». Isabelle se tord la tête pour essayer de le regarder. Je lui propose de s’approcher, il hésite, il parait vraiment timide ; mais il faut quelques pas vers nous, et il s’assoit sur le matelas. Il ne fait que regarder. Je lui dis qu’il peut s’approcher plus, s’il le souhaite. Il tend le bras, caresse le corps d’Isabelle plutôt légèrement, un petit moment. Je finis par arrêter, je me retire, Isabelle souhaite changer de position, elle a envie de me sucer. Elle se relève, et, tournée vers moi, à 4 pattes, elle penche sa tête pour mettre ma queue dans sa bouche… et présente donc ses fesses au nouvel arrivant (et de manière générale, à toute personne qui vient regarder dans la pièce). Le jeune homme s’assoit sur le bord du matelas, il est près du corps d’Isabelle, et il regarde la scène. Nous lui proposons de ne pas hésiter à participer par des caresses, et, timide, il finit par répondre qu’il « apprécie », qu’il « contemple ». Mais, finalement, il ose, d’une main assez hésitante, caresser les fesses qui s’offrent à lui. Il a des gestes doux, frôlant, lents : fesses, dos, bassin, cuisses.

Ensuite nous décidons de changer de sens : Isabelle s’allonge à nouveau sur le dos, elle me présente son visage, et dispose son intimité aux doigts du nouveau venu (et en direction de l’entrée de la pièce). Dans cette position, à genoux près de son visage, je me penche pour lui rouler à nouveau des pelles. Le nouveau partenaire s’adapte à cette configuration, il s’approche un peu plus, se redresse sur ses genoux et caresse la chatte d’Isabelle (elle a les jambes bien écartées), toujours doucement ; à force de s’approcher petit à petit, son sexe finit par être à portée de la main d’Isabelle : elle le lui caresse à travers la serviette qu’il a gardée. Les doigts du jeune homme ont l’air de se faire plus pénétrants sur l’intimité d’Isabelle, qui commence à sérieusement gémir et onduler du bassin. À force, elle a aussi détaché la serviette pour libérer la queue, elle la tient et branle.

C’est doux, et la scène paraît en suspens. Je demande à Isabelle si elle veut de sa queue, et j’ai droit à une réponse positive. Je propose au partenaire, mais, étrangement, il décline la proposition. Il préfère faire ça plutôt que profiter du sexe d’Isabelle, alors qu’elle est en train de le branler devant moi, et qu’il a l’air de bien apprécier. Un drôle de garçon ! On continue comme ça, alors…

…puis un autre homme apparaît. Grand et robuste. Il a l’air de savoir ce qu’il veut. Il reste à 2 mètres de la scène, il est juste en face des jambes bien écartées d’Isabelle, j’imagine qu’il voit les doigts de notre nouveau partenaire en train de fouiller sa chatte. Je le regarde en face, et lui fait signe ses yeux et de la tête de venir profiter. Il n’a pas de serviette, et il est déjà en érection. Il n’hésite pas une seconde : il s’approche, s’allonge dans le prolongement, et pose sa bouche sur le sexe d’Isabelle, enlevant au passage la main du jeune homme. Il lui bouffe la chatte, direct, et Isabelle est soudain prise d’une salve de nouveaux gémissements ; il faut dire qu’elle n’a pas pu voir ce qui arrivait, et que ce cunni soudain lui est une totale surprise. Nous nous excitons, tous, et en embrassant Isabelle je lui demande si elle veut d’une autre queue. C’est oui. Je m’adresse au nouvel arrivant, bouffeur de chatte, lui demande s’il a envie de la prendre maintenant. Le gars ne se fait pas prier, il se relève, et en l’espace d’une minute il a déjà enfilé une capote et il est en train de pénétrer mon amoureuse : de face, sorte de missionnaire, Isabelle les jambes écartées en l’air, toujours en train de branler le jeune homme avec sa main droite, qui lui-même lui caresse les seins et le ventre. Tandis que moi je lui frotte ma queue sur le visage, ou je lui roule des pelles, et parfois, d’une main tendue, je vais caresser son clitoris.

Ce nouvel arrivant est un vrai gros bourrin. Il laboure Isabelle sans vergogne, la faisant gémir, presque râler, et se fait jouir en 5 minutes, à gros coups de butoir. Il se retire aussi rapidement, et c’est à nouveau une phase de calme : chacun se remet de ses émotions, on se passe les bouteilles d’eau gazeuse, on discute, on rigole un peu. C’est vraiment très sympa.

Arrive le moment où, je l’ai compris, nous reprenons notre rôle de couple complice et câlin, ce qui fait comprendre à nos invités qu’ils doivent maintenant nous laisser un peu. Le dernier arrivant (le bourrin) nous quitte en nous saluant et nous souhaitant bonne continuation… mais le plus jeune, souvent silencieux, semble vouloir rester. Il a souvent des airs tristes, je n’arrive pas à le cerner ; je me dis qu’il est sûrement très jeune, et totalement inexpérimenté des coutumes libertines. Il est là, tout ce qu’il souhaite, au final, c’est caresser Isabelle. Il nous a fallu presque insister pour avoir accès à son sexe, il a l’air de ne pas se préoccuper de son plaisir, et il a toujours refusé (gentiment, en bafouillant) de coucher avec elle. Vraiment très étrange. Mais aussi très sympa. On y reviendra.
Je propose à Isabelle de changer d’endroit, voir ce qui se fait ailleurs. Ça doit faire plus d’une heure qu’on câline dans cette pièce, il y fait plus que chaud, et on entend souvent au loin des gémissements de plaisir féminin… On décide donc d’aller visiter un peu. Le jeune nous demande gentiment s’il peut rester avec nous, si ça ne nous ennuie pas. Nous sommes d’accord ; chacun prend ses affaires, on range la pagaille qu’on a mise, et on repart dans le labyrinthe des couloirs.

Accompagnés de notre jeune partenaire, nous sortons de la pièce rouge sombre que nous avons chauffée à la chaleur de nos étreintes, et nous nous retrouvons dans les couloirs frais du 1er étage du club libertin. Isabelle se rappelle de la petite balançoire que nous avions remarquée lors de notre premier passage, deux jours auparavant. Elle a envie de l’essayer… et moi j’ai bien envie aussi de la voir s’offrir en toute indécence sur cet accessoire. Nous partons à la recherche de la salle, que nous trouvons rapidement. Elle n’est pas occupée : elle contient le sling en question (la balançoire, un support en cuir souple suspendu au plafond par de grosses chaînes en métal), et un gros siège en cuir juste à côté.

Tant bien que mal, Isabelle grimpe sur le support, se retrouve donc allongée, et la seule manière de s’y installer est d’avoir les jambes relevées et écartées, afin de poser ses pieds sur la longueur des chaînes. La voilà prête. Notre partenaire trouve vite sa place : il monte debout sur le siège, afin de présenter sa queue, juste à la hauteur de la main droite d’Isabelle. Évidemment, nous ne fermons pas la porte derrière nous ; ainsi, deux ou trois hommes seuls rappliquent rapidement, dont un qui se place sur le côté libre du sling, à la gauche d’Isabelle. Moi, je commence l’exploration de son entrejambe, en me plaçant au meilleur endroit. Je sors ma queue et je la pénètre directement. L’homme à gauche sort sa queue également, et se branle d’une main tout en caressant le corps d’Isabelle de l’autre main (surtout les seins). Isabelle branle inexorablement le jeune. Petit jeu qui dure quelques minutes, parfois je me retire et lèche son clitoris pour l’exciter plus encore, parfois je la reprends, en jouant de l’amplitude du mouvement que le sling permet. À un moment, tout en lui léchant la chatte, j’enfonce un doigt dans le cul d’Isabelle et le lui branle vigoureusement, ce qui l’a fait gémir de plus belle.

L’homme à gauche, un grand gars taillé comme une armoire à glace, finit par jouir à force de se masturber : il se déporte un peu et éjacule sur le sol (dommage, j’aurais adoré qu’il gicle sur les seins qu’il malaxait). Je vois des hommes curieux derrière moi, qui regardent la scène. Je demande à Isabelle si elle a envie d’une autre queue en elle, elle répond oui, alors je le propose au gars qui vient de jouir. Mais il y a confusion, je pensais qu’il voulait bien, mais qu’il fallait remonter les chaînes pour mettre le sexe d’Isabelle à hauteur, seulement on ne sait pas le régler… bref, il s’en va, prétextant qu’il va se renseigner auprès de l’hôtesse d’accueil, mais il ne revient pas.

Bref. Derrière moi il n’y a pas d’autres prétendants. Je m’adresse au jeune homme qu’Isabelle branle encore et toujours, il décline une fois de plus l’invitation ; j’insiste, en rigolant, mais c’est toujours non. Bon. Et puis Isabelle se plaint de douleurs dans les cuisses et les mollets, occasionnées par la position dans le sling. Du coup, on abandonne. Elle se relève, plutôt courbaturée. Tous les trois, nous décidons d’aller dans une autre salle.

En parcourant les couloirs, on ne croise plus âme qui vive, on n’entend plus aucun bruit : il doit être vraiment tard, le club ferme à 2 heures du matin et on ne doit pas en être loin. On fait quand même le tour, et on va visiter la salle SM (avec des attaches suspendues, un dossier pour se pencher dessus debout, la fameuse croix aux menottes…). On explore un peu, on se tâte : j’aimerais bien attacher Isabelle, et laisser profiter notre jeune partenaire, mais son excès de douceur me fait penser qu’il ne fera rien de très osé. Et puis Isabelle n’a pas l’air très intéressée non plus. On abandonne l’endroit, et c’est la salle aux 4 glory-holes (un porno diffusé sur une TV, dans un coin) qui nous accueille, finalement.

J’aime bien les deux matelas en dénivelé. Je m’installe directement : à genoux sur le plus bas, contre le plus haut, où je demande à Isabelle de s’installer, sur le dos, les fesses contre le bord. Comme ça, je peux la pénétrer sans que ça nous coûte trop d’efforts à tous les deux. Elle écarte les cuisses, sans les relever, elle humecte ses doigts de salive et commence à se masturber d’une main. Notre partenaire se place comme à son habitude à côté d’elle, à genoux, et présente sa queue déjà tendue à Isabelle pour se faire branler. Je la pénètre, on y va tranquillement, on a déjà bien fatigués. Le jeune homme joue avec un doigt sur la bouche d’Isabelle : il se fait suçoter, il lui enfonce doucement : il mime une fellation. Je pense qu’il a très envie qu’elle le suce… on ne le lui dit pas, mais ça sera impossible puisque ça fait partie des règles qu’on s’était fixé : pas de fellation sans préservatif, et comme Isabelle n’aime pas sucer du latex… il se contente des caresses manuelles de mon amoureuse.

Je me lance, de mon côté, à vouloir la faire jouir : je me retire et entame un bon gros cunni, en m’appliquant. Ça dure assez longtemps, j’entends et je sens qu’Isabelle reste coincée juste au bord de l’orgasme : elle gémit terriblement, son corps est dans une tension extrême. Je sais que le petit jeu du partenaire, avec ses doigts dans la bouche d’Isabelle l’excitent aussi beaucoup. Et moi, allongé contre ses jambes, je lui dévore la chatte tout en la doigtant, et en me branlant vigoureusement contre un de ses pieds.
Le jeune homme finit par avertir : « je vais jouir », et ni Isabelle ni moi ne bronchons : peut-être voulait il nous prévenir pour savoir quoi faire ? Isabelle continue ses mouvements, et la queue tendue au-dessus du corps nu, offrant seins et ventre, reçoit les longues giclées de sperme du jeune homme. Ça excite Isabelle de plus belle, je l’entends gémir, et ça m’excite moi aussi : elle vient de recevoir sur les seins le sperme d’un autre homme. Pris dans ce tourbillon, je jouis à mon tour, quelques secondes après lui, sur la cheville et le pied d’Isabelle, surexcité par ce qu’il vient de se produire.

La session se termine ainsi. Notre compagnon et moi-même avons joui en éjaculant sur le corps d’Isabelle. Elle, elle n’aura pas réussi à atteindre l’orgasme : trop tendue, trop excitée, les assauts de ses amants précédents lui ont défoncé le vagin et l’ont trop insensibilisé pour qu’elle y arrive. Nous cessons, donc. Le jeune homme reste avec nous, il souhaite continuer à discuter, il nous pose certaines questions, nous fait des compliments, puis nous explique son histoire personnelle et les raisons de sa présence ici, ainsi que le pourquoi de son air triste. Puis, après cette discussion, nous prenons tous les trois le chemin des vestiaires. Nous lui souhaitons bonne continuation, et le laissons au vestiaire. Nous nous douchons sur place avant de nous rhabiller.

Une fois rentrés chez nous, douchés à nouveau, nous nous couchons. Il est presque 2h30, mais Isabelle souhaite quand-même jouir. Je passe sous les draps et la fais jouir avec ma bouche. Puis nous nous endormons.

Le lendemain matin, elle m’avoue qu’elle s’est réveillée pendant la nuit, et qu’elle s’est masturbée pour se faire jouir une fois de plus, trop excitée en repensant à ce qu’il s’est passé au club.

Les jours qui suivent, nous avons beaucoup évoqué cette nuit. Nous nous sommes aussi beaucoup excité, et avons fait l’amour très souvent.

Isabelle souhaite que ça se reproduise, dans un futur proche.

Il est aussi évoqué la possibilité d’une expérience avec un couple.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire