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Dressage d’une sissy-slut en chasteté, jour 2

Dressage d’une sissy-slut en chasteté, jour 2



Jour 2 :

Je me réveille dans la penderie et je vois à l’entrée ma Princesse qui me regarde d’un regard sombre.
– Sale fainéant, tu dors encore !
Elle s’approche et me donne un coup de pieds dans le ventre en m’ordonnant de m’agenouiller. Elle m’avait laissé les menottes toutes la nuit. J’avais les mains attachés dans le dos et j’avais eu du mal à dormir. Elle semble apprécier de me voir sans défense. Ne pouvant protéger mon ventre, elle profite pour me donner deux autres coups le temps que je me mette à genoux. Je suis gêner car j’ai une érection. Elle le remarque et me parle comme à un petit chien :
– Ooooh… la petite bite est toute excitée, hein ? Rolalala, bientôt tu seras toujours toute petite dans ta cage. Hahaha !
Elle lut sur mon visage l’inquiétude quand elle prononça ce mot ce qui l’a fit rire. En effet, pour moi c’était un retour à la réalité. Aujourd’hui, nous allons m’acheter une cage de chasteté. Dorénavant, tous mes désirs sexuels seront le choix d’une personne, ma Princesse. Malgré l’inquiétude, le bonheur monta et je souris.
– Oui ! Tu es content ? Ton rêve se réalise enfin. Non ?
– Oui, Princesse. Merci, Princesse.
Elle m’enlève les menottes.
– Bon. Tu as dix minutes pour prendre une douche et être prêt dans le salon. Allez ! Vite !
Et, comme pour marquer le départ, elle me donne un coups de bien dans les couilles. Je me dépêche car je sais que je risque d’en recevoir d’autres. Je prends ma douche et je pense à ce qui m’attend. Suis-je prêt ? Je sais que cela m’excite mais pourrais-je vraiment en faire mon quotidien ? Quelle est la frontière entre le fantasme et la réalité ? Il est clair que je m’apprête à faire des deux qu’un et ça m’excite terriblement. Je trouve ma Princesse si belle. Je sais que je n’aurais jamais oser lui adresser la parole si je l’avais croisé dans la rue. Une femme trop belle pour moi et pourtant j’ai passé la nuit parmi ses chaussures. Toutes ses pensées me firent oublier le temps et, soudain, je me suis dépêcher de sortir de la douche et m’habiller. J’arrive dans le salon. Ma Princesse est assise sur le canapé et elle regarde sa montre. Et me dis sans lever la tête :
– Tu as 15 secondes de retards. Ici, vite !
Elle pointe de son doigt ma place, à ses pieds. Alors, je cours et m’agenouille devant elle. Vlam ! Je reçoit une claque.
– Tu as très, très, très mal commencé la journée. Dejà, tu as du retard ! Chaque seconde de retard te vaudras une punition. Tu te démerde pour être là avant. Ok ?
– Oui, Princesse. Je suis désolé, Princesse.
– Tu as bien raison mais ça change pas ton retard. Alors tes excuses, tu peux te les mettre au cul.
Je suis un peu choqué par la réaction pour 15 secondes de retard. Je me doutais qu’elle serait intransigeante mais là c’était beaucoup pour peu.
– Il y a plus grave encore.
Elle fronce les sourcils.
– C’est quoi la rêgle devant moi ?
J’hésite et je dis finalement peu sûr de moi :
– Embrasser vos pieds pour vous dire bonjour ?? Princ…
J’ai pas le temps de finir que sa main monte et elle me donne deux paires de claques.
– Je ne t’ai pas demander ton fantasme. C’est un honneur pour toi de pouvoir embrasser mes pieds. Tu crois que je te laisserai faire ça tous les matins ?!? Je te rappelle la règle mais tu seras punit pour cela. Et n’oublie pas que tu es en période de test.
– Oui, Princesse. Merci, Princesse. Je ferais de mon mieux, Princesse.
– Il en faudra sûrement plus, petite bite. La règle c’est être à quatres pattes en ma présence sauf si je te demande le contraire. Comment es-tu arrivé ?
– J’étais debout, Princesse.
– Donc…
– J’ai fait une erreur et je dois être punit, Princesse.
– Exactement. Tu dois être punit pour t’en souvenir et ne plus faire la même erreur. Mais on verra cela ce soir. On a plein de truques de prévu pour la journée. Suis-moi !
Nous somme sortis de l’appartement. Et avant de sortir de l’immeuble. Elle me dit :
– Ce jour est très important. J’attends de toi que tu sois irréprochable. N’oublie pas que même dans la rue tu es mon chien. Alors, tu m’obéiras. Tu as le droit de marcher debout mais n’oublie pas ta place. C’est clair ?
– Oui, Princesse.
– Très bien. Tu m’appellera Princesse dehors aussi !
– Oui, Princesse.
Nous allons dans la rue. Elle me donne les clefs de la voiture. Je lui ouvre donc la porte. Elle me lance un sourire en guise de merci. Ou plutôt pour me faire comprendre que c’est comme ça que je devrais faire le reste de la journée. Je m’asseye au volant. Elle écrit une adresse sur le GPS. Institut de Beauté !?! Je ne comprends pas. Veut-elle faire de moi un travelo ? Je ne suis pas contre me faire féminiser mais c’était encore trop tôt pour moi.
– On va commencer par te faire une épilation totale. Je veux plus voir de poils sur ton corps. Pour ton visage, je veux que tu sois rasé de prêt tout le temps. Et on laissera pousser tes cheveux.
– Oui, Princesse.
On arrive à l’adresse. Je fais descendre ma Princesse à l’entrée et je vais parquer la voiture. A mon retour, elle parlait déjà avec la réceptionniste. Je m’approche :
– Oui, totale.
– Très bien Madame. Mais ça risque de prendre du temps si c’est pour monsieur. Bonjour, Monsieur.
– Bonjour, Madame.
– J’ai le temps. Vous pensez que ça sera fini dans combien de temps ?
– Cela devrait prendre environ 2h mais c’est douloureux. Vous êtes sur, monsieur, de ne pas préférer venir en plusieurs fois ?
Je veux répondre mais ma Princesse me coupe la parole et répond à ma place.
– Non, ça ira, merci. Je passerai le prendre à midi donc.
Elle s’éloigne du comptoir et la réceptionniste, apparemment étonnée par la réaction ferme de la jeune femme, me fait signe de la suivre. En sortant ma Princesse me dit
– A toute-à-l’heure.
Je répond, hésitant et presque à voix basse.
– Oui, Princesse.
Suite à ma réponse, elle fronçe les sourcils et s’en va. Je ne pu m’empêcher de faire un sourire niais à la femme que je suivais. Elle avait l’aire encore plus gêner que moi. On m’emmène dans une salle et on me demande de me déshabiller. Une jeune femme vient pour commencer l’épilation. Elle était très belle. Elle commence sont travail. Ce fut douloureux. On m’épila tout le corps, la poitrine, les jambes et les partie génitale. Ma peau devint rouge et douce.
A midi moins le quart le travail était fini. J’ai patienté encore jusqu’à midi-et-demi à l’entrée du bâtiment. Ma Princesse arrive enfin. Elle descend de la voiture, me donne les clefs et va s’asseoir à la place du passager. Je monte côté conducteur. Elle entre l’adresse de notre nouvelle destination : le sex shop.
– Alors mon toutou, ils t’ont bien épilé ?
– Oui, Princesse. Partout, Princesse.
– Mmmh, très bien. On va aller au sex shop t’acheter quelques jouets. Content ?
– Oui, merci, Princesse.
– Bientôt tu porteras une cage de chasteté et c’est moi qui aura la clef. Qu’est-ce que cela te fait ?
– Je me réjouis, Princesse.
– Tu ne m’as pourtant pas l’air. Peut-être je devrai te renvoyer chez toi ?
– Non, non, excusez moi, Princesse. Je suis réellement content. Tous ce que je veux c’est vous servir. Une fois la cage, toute mon attention sera uniquement pour vous. S’il vous plait, Princesse, gardez moi.
– Hahaha ! Tu es pathétique. En plus, je vois que tu es entrain de bandé ! C’est pas bien ! Je le note.
Elle sort un carnet et elle commence à noter dessus.
– J’ai noté dans ce carnet toute les bêtises que tu as fait depuis ce matin. Je vais être gentille. Je trace celui que je viens de noter. Il t’en reste toujours cinq. On va voir si tu as bien tenu la leçon. Alors ? Lesquelles sont notées ?
– Euh, je dormais ce matin quand vous êtes arrivée, Princesse.
– Bien !
– J’avais du retard, après ma douche, Princesse. Et je me suis mis debout en votre présence sans en avoir le droit. Ensuite, je pense que je vous ai énervé tout à l’heure, car je n’ai pas dit assez fort, Princesse, devant la dame de l’institut, Princesse.
– Bravo. Et le cinquième?
Je réfléchis mais je n’arrive pas à trouver. Elle me voit hésiter. Je trouve toujours pas. Je rougis car je sais que je fais une faute et que cela sera sûrement notée dans son carnet.
– Je suis désolé, Princesse. Je ne me souviens pas, Princesse.
– Alala ! C’est pas bien ! Alors, je vais te le dire. Tu ne me fais pas assez de compliments. Et lorsque tu me remercie, je voudrais que tu développes ta réponse. Par exemple, « merci de faire de moi une salope, Princesse ». C’est pas de chance pour toi. Je vais noter cela dans le carnet. Ne se souvient pas de ses erreurs ! Ca fait déjà six fautes donc six punitions. Hahaha !
– Je suis désolé, Princesse. Merci d’être exigeante avec moi et de faire de moi un chien docile, Princesse. Vous êtes si belle, j’ai une chance incroyable de vous servir, Princesse.
– C’est bien, tu comprends vite. D’ailleurs, je me rappelle une faute que tu as commis ce matin. Tu ne m’as pas ouvert la porte de la voiture. Je vais le noter.
Elle me regarde et elle vois que j’ai l’air mécontent. Effectivement, c’était faux. Je lui avait ouvert la porte. Elle me lance :
– Il y a un problème, chien ?
– Et bien, il me semble que je vous avait ouvert la porte ce matin, Princesse.
Elle se met en colère.
– Quoi ! Tu remets en cause ce que je dis ! Ça je vais le noter !! Tu as raison, tu m’as ouvert la porte mais tu n’as pas le droit de me dire que je me suis trompée. Je suis ta princesse, j’ai le droit de me tromper contrairement à toi. Et si je me trompe ou j’oublie quelque chose, je ne veux pas que tu me le rappelle sauf si je te le demande. Il arrive à tout le monde d’oublier mais toi tu n’es plus une personne, tu es mon chien et tu seras puni pour tout oublie. Compris ?
– Oui, Princesse. Excusez-moi, Princesse.
Elle se met en colère à nouveau.
– Putain, mais tu ne comprends donc pas. Arrête-toi !
Je m’arrête sur le bord de la route. Elle m’ordonne de descendre et de lui ouvrir la porte. Je le fais. Elle me donne un coup dans les testicules qui me plie et m’ordonne de me mettre à genoux. Elle commence à me donner des claques tout en criant:
– J’en ai marre de tes réponses courtes. Tu comprends pas !?! Pourquoi es-tu désoler ? Pourquoi me remercies-tu ?
J’étais gêné car les gens dans les voitures qui passaient par la route nous regardaient. En effet, ils devaient penser que nous étions en panne. Pourtant, ils remarquaient, en passant à côté, que j’étais à genoux et que je recevais des baffes.
– Je suis désolé d’être si peu attentif à vos remarques, de vous obliger à répéter, Princesse. Je sais que je dois être punit sévèrement pour toutes mes fautes afin que je les retienne, je vous remercie de me punir et me permettre de devenir meilleur dans ce que je suis, un chien, une salope, votre pute, merci, Princesse.
Cette situation humiliante m’excite beaucoup. Ma dominatrice remarque la bosse sur mon pantalon.
– Toujours entrain de bander, espèce de salope ! C’est pour cela que tu ne m’écoute pas. Une fois ta bite dans sa cage, tu m’écouteras mieux car tu ne voudras plus fantasmer sur moi tellement que tu seras serré dedans. Bon remonte dans la voiture !
Je me remet au volant et nous arrivons au magasin érotique. Je gare la voiture, lui ouvre la porte et nous allons ensemble dans le shop. Ma Princesse se dirige vers un vendeur et lui explique qu’elle cherche une cage de chasteté pour homme. Le vendeur semblait avoir l’habitude en s’adressant uniquement à ma Princesse et m’ignorant totalement. Il lui montre plusieurs modèles. Elle est interressée par un modèle qui a un électrode qui donne des décharges électriques dans les testicules via l’anneau de la cage. Elle aime beaucoup ce modèle car il peut être programmé en avance comme un réveille. Ainsi, les matins, je pourrais me réveiller sans une alarme et donc sans faire de bruit qui pourrait la gêner. Elle choisit une des plus petites tailles, à peine plus grande que celle de mon membre au repos. Elle prends également deux plug anal l’un faisait presque 5 centimètres de diamètre l’autre faisait quasi le double. Elle pris aussi deux godes l’un de la taille d’un grand concombre l’autre deux fois plus grand. Elle me regarde et me sourit d’un air malicieux en levant les sourcils.
– Tu crois que ça va rentrer ?
– J’espère, Princesse. Je vais devoir m’entraîner, Princesse.
Ma réponse fait sourire le vendeur. Je baisse les yeux. Il demande si elle lui faut autre chose. Elle dit que ça ira comme ça. Il lui demande de l’accompagner à la caisse. Elle lui dit que c’est moi qui va payer. Elle me demande les clefs de la voiture et s’en va. Je passe à la caisse. Et je reviens à la voiture.
– Merci, Princesse. Merci pour ces merveilleux objets, Princesse. Je me réjouis de travailler mon cul pour vous, de les y faire entrer tous, Princesse.
– Mmmh, moi aussi mon petit chien. En plus, j’en ai encore d’autre à la maison. Ceux que l’on a acheté aujourd’hui sont à toi. Tu devras en prendre soin.
– Oui, j’en prendrai soins, Princesse. Merci, je me réjouis de jouer avec, comme une salope et pour vous faire plaisir car vous êtes si belle, Princesse.
Elle sourit.

(A suivre)

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