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Fanny

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Mes coquineries avec Fanny (deuxième partie)

Trois semaines après l’accouchement de ma petite fille, je lui rendis visite, accompagnée de mon mari. A notre arrivée, ce fit Martin, son compagnon, qui nous avait reçu. De suite, nous étions passés à la véranda où, à moitié couchée sur un immense canapé, Fanny était en train de se reposer, le bébé contre sa poitrine. Quelle belle image ! Quelle excitation m’inonda les entrailles !

Fanny se réveilla et se redressa pour nous embrasser, en déposant avec infinie douceur, sa fille dans le couffin. Je crois que tous nos regards, en ce moment là, se fixèrent sur un point bien précis : sa blouse. Celle-ci, non seulement elle était transparente mais ouverte impudiquement.

– Oups ! Excusez-moi, dit-elle en la boutonnant quelque peu, je venais de lui donner la tétée et on s’était assoupies comme ça.
– Il n’y a pas de quoi s’excuser, mon enfant, lui répliqua mon mari… Il n’y a rien au monde plus beau que ça !

Je ne savais pas s’il parlait de la maternité et l’allaitement ou simplement de l’opulente poitrine de ma fille. Ou les deux choses. La vérité est que Fanny était rayonnante ; certes, les traits de son visage dénotaient une certaine fatigue, mais, en même temps, le bonheur y était dessiné de tous ses couleurs.

Quelque temps après, nous pûmes assister à la suivante tétée. Je m’attendais à la voir se lever, s’excuser et se retirer avec sa fille, dans un coin discret ou dans leur chambre. Au contraire, elle prit la petite, l’accommoda sur son ventre et sortit une de ses grosses mamelles, ornée d’un téton, gros comme le pis d’une vache laitière, couleur cerise…

– La gourmande ! Elle me tète toutes les deux heures ! Il faut dire que j’ai du lait à vendre et à revendre !

J’aurais donné un billet de 500 euros pour voir en images les pensées de Joël, mon mari et de Martin. Les miennes, bien qu’enrobes d’une toile de tendresse, étaient, pourtant, bien coquines : je voulais être à la place de ma petite fille !

Ce fut, donc, un weekend très curieux. Fanny et Lila campaient dans la maison comme deux êtres indivisibles. Joël, pour sa part, ne perdait pas l’occasion de louer la beauté de ma fille et de zieuter ses extraordinaires nichons. Et, dès qu’il le pouvait, il me cherchait pour que je l’aide à décompresser de tout le stress sexuel que ces visions lui procuraient. Je devrais remercier ma fille car, pendant 48 heures, mon mari n’eut besoin de pilule bleue !

Et Martin ? Son compagnon, il ne savait rien de la relation qui s’était établie entre mère et fille. Nonobstant, il savait qu’on été très proches, que ça nous arrivait de dormir ensemble, mais, sans plus. La dernière fois que Fanny et moi avions fait des cochonneries ensemble (deux semaines avant l’accouchement), il avait fallu découvrir le pot de roses. Et pas à cause de moi, toujours assez discrète au moment de jouir, surtout s’il faut l’être, mais en raison des cris de ma fille pendant que ma langue lui parcourait sa magnifique foufoune, de son clitoris jusqu’à sa rondelle. Il les avait entendus et cru qu’elle était en train de perdre les eaux ou que les premières contractions frappaient à la porte. Heureusement qu’il nous avait interrogé sans entrer dans la chambre et que Fanny, pouffant de rire lui avait fait croire que tout n’était qu’une fausse alarme.

Dimanche soir (nous allions partir le lendemain), j’avais demandé à ma fille si je pouvais dormir avec elle. Préalablement, j’en avais parlé avec Joël qui, malgré l’envie de me sauter une nouvelle fois, comprenait mon besoin maternel. Martin, pour sa part, était content de pouvoir, enfin, pouvoir dormir une nuit entière. Tout le monde d’accord, vers minuit, ma fille et moi nous ne sommes retirées. Joël et Martin sont restés sous la véranda, à discuter et picoler.

Une fois dans la chambre, Fanny déposa sa fille dans son couffin. Nous restâmes quelques secondes sans rien faire d’autre que nous regarder. Et puis, elle se déshabilla complètement. C’était vraiment impossible de ne pas regarder sa poitrine. Je n’avais jamais vu des seins si beaux, si lourds et pleins ; si laiteux…D’une peau tellement fine que l’on pouvait apercevoir les veines et toutes ses ramifications. Ses auréoles avaient doublé de diamètre et quelques gouttelettes blanchâtres perlaient le bout de ses tétons. En outre, une touffe de poils recouvrait son pubis. Elle remarqua tout de suite que je l’observais dans le moindre détail :

– Comment me trouves-tu, maman ? Je suis moche en ce moment, n’est-ce pas ?
– Ne dis pas de bêtises, Fafa… Tu es une déesse !

Je m’étais approchée d’elle et la serrai dans mes bras. Elle chercha ma bouche, la trouva offerte et nos langues se mêlèrent dans une symphonie de plaisirs retrouvés. Je lui caressais les cheveux, la nuque, le dos, les fesses…

– Maman… c’est encore un peu tôt.
– Tôt ? Pourquoi faire, ma fille ?
– Tu sais très bien de quoi je te parle…
– Oui, je sais… Mais rien ne nous empêche de nous caresser tendrement, non ?

Et ce que nous fûmes. Je m’étais déshabillée et couchée à son côté. Je lui caressai le visage, mouillai mon index de salive, le promenai sur ses lèvres. Elle ouvrit sa bouche, me mordilla et lécha mon doigt. Je caressai l’intérieur de sa bouche, comme si je le caressais le vagin. Ensuite, je pris l’huile qu’elle m’avait proposée et je lui étalai sur tout son torse, restant un bon moment sur son ventre mou et puis, sur ses seins, sans lui toucher les mamelons. Fanny se laissait faire, les yeux fermés :

– Tu as déjà joui, depuis l’accouchement ?
– Oui, maman… Mais pas avec Martin…
– En te caressant ?
– Non plus…
– Alors ?
– Presque à chaque tétée… ça me fait presque honte de te le dire…
– Mon bébé, moi, c’était pareil…
– Oui ? Avec moi, aussi ?
– Avec toi, surtout ! Et Martin… il ne te tète pas ?
– Je ne le lui ai pas demandé…
– Pourquoi ? Ton père il n’avait même pas attendu que je sorte de la maternité !
– Et ça te plaisait ?
– Oui… Mais il a fallu que je lui apprenne à me téter sans me faire mal…
– C’est vrai… On a les tétons ultra-sensibles, hein ?

Elle prit une de ses mamelles et la pressa de telle façon que plusieurs jets de lait se propulsèrent vers le haut, comme une fontaine lactique :

– Tu as envie de me téter, Mam ?
– Oh que oui, bébé !

Quelques années auparavant, j’avais déjà tété une femme, une collègue du boulot de Didier, mère célibataire et bisexuelle, avec qui on avait partagé de longues soirées de sexe. Mais, là, c’était toute autre chose. Sentir entre mes lèvres, entre mes dents, son mamelon et le lait qui coulait chaudement sur ma langue, produit en moi un effet immédiat : une excitation inouïe ! Fanny me tenait la tête et me caressait les cheveux comme si j’étais son bébé. Elle gémissait, de façon presque imperceptible :

– Mord-le un peu, maman…
– J’ai peur de te faire mal, mon ange
– Vas-y doucement… Je te dirai d’arrêter, si j’ai mal

Et c’est ce que je fis. J’attrapai son téton entre mes dents, depuis sa base et le mordillai faiblement jusqu’au bout, en tirant vers moi :

– Un peu plus fort, s’il te plait…

Elle s’incorpora un peu plus jusqu’à rester presque assise, le dos contre la tête du lit. Elle prit ses deux seins entre ses mains, les serrant de telle façon que ses deux tétons restèrent tous près, l’un de l’autre. Comme une source à deux tuyaux intarissables, je me suis retrouvée avec le visage arrosé de son lait. Des éclats de rire surgirent de ma bouche et Fanny me gronda :

– Chut ! Tu vas réveiller la petite !

Pendant trois bonnes minutes, je lui suçai, léchai, tétai et mordis ses deux bouts de chair en avalant une bonne partie de son nectar maternel et laissant couler le restant entre mes lèvres… Son orgasme ne tarda pas à arriver. Il fut intense, mais court et silencieux. Très différent à ceux qu’elle avait eu avant son accouchement, surtout lorsque je l’avais fait jouir avec ma petite main enfoncée dans sa chatte.

– Merci, mam !

Ceci dit, elle s’endormit aussitôt. Elle devait être très fatiguée, la pauvre. Moi, loin d’être frustrée, je humai l’air, cette senteur de maternité jubilatoire, et me blottis contre elle, une main sur la touffe de son pubis…

Nous dormîmes jusqu’à que Lila, avec ses pleurs affamés, nous réveilla.

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