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Premier BDSM pour une amie

Premier BDSM pour une amie



Une amie pratique la danse acrobatique et elle est d’une souplesse extraordinaire. Comme elle n’est pas pudique, elle profite des ses talents pour travailler dans des club de strep tease et ainsi gagner un peu d’argent de poche.
Lors d’une de ses exhibition dans un club de strip-tease, elle remarque un homme d’une cinquantaine d’année, bien habillé, les cheveux poivre et sel, l’air distingué. Il est à une table prés de la piste et la fixe. Elle sait que ses formes attire le regard avide des hommes surtout dans ces exhibitions de danses très érotiques. Subjuguée elle aussi par cet homme, elle fait un grand écart latéral et reste ainsi regardant l’homme droit dans les yeux.
Elle sait que sa chatte est ainsi largement ouverte et offerte à la vue du voyeur. L’homme se passe la langue sur les lèvres et elle se dit qu’il a des idées cochonnes en tête au vue de la bosse qui déforme son pantalon. Mais elle en a l’habitude ici. Elle se sent obligée d’écourter son numéro car bizarement, elle sent des fourmillements révélateur dans son bas ventre, ses seins durcir, ses tétons pointer et son minou s’humidifier. Elle a trop peur que ça se remarque. Dans les coulisses, elle croise l’homme qui la fixait à la table.
« Votre numéro m’a beaucoup impressionné et j’aimerais vous voir le faire en privé. Je vous rémunérerais confortablement. Dix fois ce que vous pouvez gagner ici pour une soirée. Voici ma carte. Je vous attends chez moi samedi à 20h00. Je serai avec deux amis et nous serions très heureux que vous acceptiez mon offre. »
Surprise, inquiète et flattée à la fois, ma copine hésite.
« Je ne sais pas, je verrai, peut-être que… »
Il lui coupe a parole :
« Vous avez mes coordonnées. Décidez-vous rapidement et ne loupez pas une telle offre. »
Troublée par cette proposition, Julie prend un taxi pour rentrer chez elle. Dans la voiture, elle regarde cette carte de visite. Monsieur POUCHIN A.. Au dos de la carte est écrit…Il y a 1000€ pour vous si vous venez….
Le lendemain, après avoir réfléchi longuement elle décide de téléphoner à cet homme. Danser devant trois hommes en privé lui fait peur mais l’excite beaucoup.

« Bonjour, Monsieur. C’est la danseuse de l’autre soir ! »
« Bonjour ! Vous avez réfléchi ? »
« Oui, je viendrai chez vous comme convenu. »
« Très bien, mon chauffeur passera vous prendre, samedi à 19h00 heures. »
Le Samedi suivant pile à 19h00, une grosse limousine arrive devant l’immeuble. Trois quart d’heure plus tard, la voiture s’engage dans une grande allée bordée de magnifiques chênes pour s’arrêter devant un escalier monumental d’un hôtel particulier qui semble luxueux. Une jeune servante très, trop sexy l’invite à entrer et conduit Julie dans une grande pièce au premier étage. Très amicalement monsieur Pouchin lui met un bras autour de ses épaules en disant :
« Bonsoir jeune fille, venez, je vais vous présenter mes amis, voici Fred et Pierre. Je leur ai beaucoup parlé de votre prestation et ils sont impatient de vous voir à l’œuvre pour vous dévorer des yeux. Comme nous sommes en soirée privée, je vais vous expliquer ce que nous attendons de vous. »
Il la fait asseoir à côté de lui, sur le grand canapé, lui tend une coupe de champagne et reprend :
« Nous avons envie de vous voir danser nue juste pour nous et ensuite nous voulons nous amuser avec vous. Nous allons vous faire découvrir des plaisirs qui vous sont probablement inconnus. J’ai tout de suite deviné que vous n’attendiez que ça. Nous allons vous utiliser tell un jouet sexuel et nous vous ferons jouir comme jamais. En un mot, vous nous appartenez pour la soirée. Voici 1000€ comme convenu. Vous en aurez 2000 de plus à la fin de la soirée, si vous êtes d’accord. Ne dites rien. Soit vous partez après votre prestation avec les 1000€, soit vous restez toute la nuit. »
Un peu désemparée, elle se dit qu’elle a une petite trentaine de minute pour se décider. Mais 3000€ c’est une somme non négligeable. Elle s’était bien douté quelle devrait passer à la casserole. Mais dit aussi froidement… Elle se dit, cet argent est le bienvenu et de toute façon, comme elle aime le sexe…. Elle va au centre de la pièce, regarde Monsieur Pouchin dans les yeux et commence son effeuillage avec une musique de circonstance. Alors qu’elle n’est plus qu’en string et soutif, elle le dégrafe sensuellement, l’enlève en leur tournant le dos et le pose négligemment sur une chaise.
Pierre lui fait signe :
« Viens devant moi et enlèves ta culotte ! »
Elle s’avance vers lui quelque peu hésitante dévoilant de cette façon ses magnifiques seins et enlève son string.
« Essuies ta chatte avec ta culotte et donnes la moi. »
Un peu gênée, elle passe le bout de tissu sur son sexe trempé d’excitation de se livrer ainsi aux désirs de ces inconnus et le tend à l’homme.
« Non, écartes bien ta chatte avec tes doigts et passes bien ton string dedans. »
Docile, elle ouvre les lèvres de son coquillage d’une main tremblante passe son string à l’intérieur de son sexe. Elle mouille beaucoup et le tissu s’imprègne rapidement de sa cyprine. L’homme le porte à son son visage et le hume avec délectation. Maintenant nue, elle se remet à danser. Ses contorsions sensuelles s’enchaînent, toutes aussi excitantes les unes que les autres. Pierre s’est levé et il tourne autour d’elle en faisant des commentaires :
« Quel cul elle a ! Et vous avez vu sa chatte dans cette position ? Elle ne demande qu’à y mettre ma queue ! J’vais lui bouffer le cul à cette salope ! Je bande comme un âne de la voir s’exhiber ainsi. J’en ai mal aux couilles ! »
Tout en disant ça, il se branle à travers son pantalon. Ma copine termine sa danse avec un grand écart et Pierre s’élance à plat ventre devant la jeune fille pour bien voir son sexe grand ouvert par l’effort. Les deux autres le regardent en souriant. Ils le connaissent bien et savent ce qui va se passer. Pierre, en général, n’aime jouir que dans la bouche d’une fille. Ses deux compagnons se réjouisse de voir ce spectacle. Pierre se relève, saisi la fille par la taille et l’entraîne vers la grande table basse. Il la fait se coucher sur le dos et immédiatement, il se met à la peloter sans vergogne. Ses mains courent sur le corps de la danseuse, serrent ses seins comme pour en faire sortir du lait. Puis sa langue force les lèvres de la fille et s’enfonce dans sa bouche en s’enroulant autour de la langue de sa captive. De sa main droite il introduit deux doigts dans son vagin, le fouillant âprement, puis un troisième. Elle gémit de plus en plus fort. Son bourreau malaxe son clitoris en même temps qu’il bouge ses doigts dans le vagin devenu tellement mouillé que l’on entend un bruit de clapotis. Elle est sur le point de jouir une première fois. Elle est parcourue de longs frissons, elle gémit de plus en plus fort se cambrant sous les caresses.
« J’vais jouiiiiir, encore, encore, plus vite, plus fort, oh ! oui, haaaaa ! »
Mais l’homme est aux aguets et s’arrête immédiatement.
« Non, tu ne vas pas jouir maintenant, c’est trop tôt, j’n’en ai pas fini avec toi. Tu jouiras quand j’le déciderai. »
Mon amie hurle sa honte et son envie, mais l’homme ne l’écoute pas. Julie est sa chose.
« Allez, petite pute, vas vers la grande table la-bas et bouge ton cul quand tu marches devant moi ! » Lui dit-il en lui claquant les fesses. Elle se lève et se dirige vers la table en n’oubliant pas de bien faire bouger ses fesses en marchant. Elle a un pied au sol et un autre sur la table pour monter Cette position ouvre en grand sa féminité. Pierre arrive en trombe.
« Bouges plus, salope ! J’vais t’sonder l’cul ! »
« Non, pas ça ! » s’insurge-t-elle.
« T’es tellement excitée et mouillée que cela va rentrer tout seul et tu en redemanderas salope comme tu es! »
Il promène son index autour de la vulve de la fille pour bien l’humidifier et le présente contre son anus et d’une seule poussée, il la pénètre jusqu’au fond. La pauvre crie, puis se met à haleter comme une petite chienne en chaleur. Elle se cambre le plus possible pour laisser la place belle à ce doigt fureteur. L’homme le retire brutalement faisant échapper un cri à la belle. Pierre la tire par les jambes et la positionne de façon à ce que son sexe soit tout au bord de la table. Il att**** un gros coussin et le place sous ses reins pour bien surélever son bassin. Il lui fait lever les jambes et les lui écarte. Les trois mâles sifflent d’admiration. Elle est morte de honte mais, docile, elle ne fait rien pour cacher son entre-jambe. Elle offre une vue imprenable sur son sexe épilé. Sa belle vulve rose, est détrempée. Monsieur Pouchain lance à son ami :
« Qu’est-ce que tu attends Pierre pour lui bouffer la chatte ? Elle en meure d’envie cette petite vicieuse, vas-y donc ! »
Il n’en faut pas plus à Pierre. Ce sexe grand ouvert l’attire comme un aimant.
« Donnez-moi un gode ! J’vais vous préparer son cul pour la suite ! »
En attendant l’objet, il enfouit sa tête entre les cuisses de sa proie et commence à lui bouffer la chatte sous ses gémissements de plaisir. Elle gémit de plus en plus fort et se tortille sur la table, mais son bourreau la tient fermement. Il passe sa langue tout le long de la vulve, l’enfile dans la raie entre ses fesses, titille le petit trou rose et plissé, retourne au clitoris qu’il aspire dans sa bouche et le mordille en l’inondant de salive, qui mélangée à la mouille de la fille dégouline entre ses cuisses et vient tacher la nappe de la table. Fred lui passe le gode.
« A 4 pattes comme une chienne salope ! J’vais t’enculer avec ça. Tu verras, tu vas aimer ! »
Elle se retourne et se met à genoux lui présentant sa croupe.
« Cambre toi bien et écartes les jambes ! »
Elle s’exécute sans rien dire. L’homme présente l’objet contre le petit trou et l’enfonce d’une seul poussée. Elle hurle sa douleur. Les homme rigole de voir les grimaces de la pauvre fille. Puis comme Pierre fait des mouvements de va et vient avec le gode. Elle commence à éprouver autre chose que de la douleur. Elle aime ces hommes qui la regardent prendre du plaisir.
Pierre la voyant sur le point de jouir, retire le gode du cul d’un coup sec. Elle hurle de douleur . Il se déshabille à la hâte et exhibe son énorme membre en érection. Pensant qu’il est tend de le sucer, ma copine descend de la table. Mais lui, ne l’entend pas ainsi. Il entraîne la jeune fille dans un coin de la pièce où trône une énorme gode en latex.
« Vas-y, empales toi sur cette bite et fais toi jouir, petite cochonne ! »
Docile et ne comprenant pas trop ce que ces hommes veulent vraiment d’elle, ma copine s’accroupi et se place au-dessus de la bite artificielle. Elle descend doucement son bassin. Sa vulve détrempée entre en contact avec le membre et elle se fait pénétrer doucement en gémissant de plaisir.

Pierre lui montre alors un grand écran. Avec stupeur elle se voit. Les trois amis regardent aussi l’écran et l’image est saisissante. On peu la voir en gros plan s’enfiler sur cet énorme phallus englué de mouille qui rempli complètement sa vulve distendue. Pierre se positionne devant Julie et présente son énorme engin contre sa bouche :
« Ouvre la bouche, salope et suces-moi bien ! »
Elle est comme moi et adore sucer. Elle ne se fait pas donc pas prier. Elle prend la bite dans sa bouche et commence lentement à l’aspirer tout au fond de sa gorge. Puis avec de petits mouvements de va et vient elle suce le gland et l’aspire en même temps. Pierre gronde de plaisir.

« Vas-y, pompe-moi bien, salope ! Plus vite, putain ! Tu vas m’faire jouir. J’vais t’gicler dans la bouche, c’est tout ce que tu mérites, traînée, pute,chienne ! ».
Quand Pierre devient grossier c’est qu’il est sur le point de jouir, et ses copains le savent. Monsieur Pouchin et Fred s’approchent alors du couple pour mieux voir. Mon amie gémit de plus en plus fort et suce de plus en plus vite. Elle est au bord de l’orgasme. Elle se tord sur le membre comme une femelle en chaleur. Pierre a saisi sa queue et se branle sur la langue de la fille et tout à coup un jet de semence fuse du méat et va s’écraser tout au fond de la bouche grande ouverte de la danseuse qui n’attend que cela pour se laisser aller. Elle hurle son orgasme. Elle s’enfonce encore plus sur membre artificiel. Son corps est parcouru de tremblements. Elle avale le sperme de l’homme quelle a encore dans la bouche. Du sperme inonde le visage de la fille, coule de son menton sur ses seins.

Pierre, la verge flasque, embrasse Julie sur la joue.
« Merci Julie. Je vous laisse la place messieurs ! Elle est chaude comme la braise la petite salope ! »
Ni une ni deux, voilà ma copine avec une autre bite dans la la bouche et Monsieur Pouchin qui la prend par le cul. Rapidement, trop excité par le spectacle qu’il viennent de voir les deux hommes se lâchent à grand jet de sperme et de râles.

« Wahooo !! Quelle vide couille cette salope ! Vas te doucher maintenant et rejoins nous ensuite ! »

Fatiguée, elle s’en va vers la salle de bain pour une bonne douche réparatrice..

Mais elle ne sait pas ce qui l’attend à la sortie de la douche. Malgré la honte, elle ressent une excitation peu commune et l’idée des 3000€ la motive. Elle est angoissée mais a envie de continuer cette expérience. Quand elle reviens dans le grand salon, les hommes sont plus directifs.
« Revoilà notre petite chienne ! »
Monsieur Pouchin lui tend une enveloppe avec la somme rondelette qui lui avait promis, en lui disant :
« Si tu veux continuer, tu doublera ta mise. Mais cette fois, nous voulons t’utiliser dans des jeux BDSM. Tu vas être une esclave soumise.»
Là, elle à un mouvement de recul et grosse hésitation car il ne s’agit plus de sexe pure mais bien de douleur et de souffrance qu’elle n’a vu que dans des vidéo où les femmes se font enchaîner, fouetter et pire. Mais la tentation vénale est la plus forte et d’une voix chevrotante elle leur dit :
« Bien messieurs je suis à vous. »
Aussitôt Monsieur Pouchin lui ordonne :
« A genoux, tête baissée et cuisses écartées ! »
L’ordre claque comme un coup de fouet. Dans cette position inconfortable et humiliante ma copine patiente en se posant pleins de questions. L’attente devant ces hommes, nue et offerte, fait monter en elle une excitation immodérée. Elle est soumise et honteusement, elle s’avoue aimer çà.

Les yeux toujours baissés, on lui met des bracelets. Les autres tourne autour d’elle sans un mot. Ils restent plusieurs minutes à l’observer, à juger son corps et à se moquer des tremblements qui la parcourent. Elle sursaute quand, sans crier gare,des lanières d’un martinet lui caresse les seins. Elle conserve son regard au sol, pendant que des mains commencent à caresser ses hanches pour remonter le long de son ventre jusqu’à palper ses seins qui pointent déjà. Elle ne peut laisser échapper un gémissement quand un doigt vient fouiller son intimité.

« Tu mouilles putain ! Cette situation te plaît ? »
Elle hésite avant de répondre, profitant des caresses qui l’émoustillent encore plus.
« Oui Monsieur. »
« Maintenant parle-nous de ta nouvelle condition, prouve-nous que tu as compris ce que nous attendons de toi ce soir. »
Morte de honte et de plaisir inavoué, elle commence à répondre entre deux gémissements.
« Oui Messieurs, je suis votre esclave. Je vous appartiens. Je suis née pour vous servir. Je ne suis qu’une chienne obéissante à vos volontés. Mon corps vous est offert. J’attends vos ordres et espère vous satisfaire du mieux que je pourrais malgré mon manque d’expérience. »

Ce soir, mon amie, ma complice, vit pour la première fois cette situation de soumise. Une main, il lui relève son visage.
« Tu as tout pour plaire belle chienne ! Nous allons bien nous amuser avec toi ! »
« Merci Messieurs, je suis heureuse de vous servir ce soir. »
« Dans ce cas, prouve-nous ton obéissance et ta joie de te soumettre à nos ordres ! » Lance Pierre.
Sans hésiter, elle empoigne avec douceur un membre qui durcit encore plus dans ses mains. Puis, elle approche ses lèvres du gland rougi qui s’offre à elle. Avec sa langue, elle tourne autour, lèches avec amour et douceur. Toujours en prenant son temps, elle englouti la verge dans sa bouche dans une gorge profonde improbable. Des mes mains agrippent ses cheveux, avec force, lui imposant son rythme en faisant aller sa tête d’avant en arrière, la forçant à enfoncer davantage sa queue dans la bouche. Quand arrive le summum de l’extase, il gémit en lâchant sa semence dans la bouche de la jeune femme qui avale tant bien que mal sa jouissance jusqu’à ce que le flot se tarisse.

Les trois hommes se reculent et l’observe, pitoyable et belle en même temps, haletant au sol comme un a****l fatigué.
« Tu t’es montrée très motivée. Nous sommes content de voir à quelle point t’évolues rapidement malgré ton manque d’expérience. Plus tard dans la nuit, nous saurons te récompenser. Mais tout de suite, nous avons envie de tester tes limites. »
Elle ose alors soulever son regard troublée. Elle vient de violer les consignes. Les hommes sourient, car c’est bien une erreur de sa part qu’ils attendaient. En voyant leurs regards, elle comprend sa faute.
« Tu viens de briser une règle, esclave ! »
« Ou… Oui Messieurs ; je m’en excuse. J’ai eu un moment d’égarement. Je vous promets de ne pas recommencer. »
« Tu vas être châtiée par Fred ! Va chercher un fouet, petite insolente ! »
La sentence est tombée.
« Combien de coups en veux-tu? » Lui demande Fred en faisant tournoyer le serpent de cuir.
« 5 Monsieur ! » Balbuties-elle.
Elle attends, tremblante et nerveuse alors que les secondes défilent et que rien ne se passe. Puis,le premier coup tombe, assaillant sa croupe exposée. Elle étouffes un léger gémissement. Ses cuisses se referment par réflexe.

Docile, elle écarte de nouveau ses jambes. Les coups suivants viennent pleuvoir sur sa peau. Au cinquiéme coup, elle ne peut plus lutter et pousses un cri de douleur.
« Alors ? T’aime ça salope ?! »
« Oh oui, merci Monsieur, je l’ai mérité ! »
« Puisque tu aimes ça, tu en recevra cinq de plus grosse pute ! »
Pendant que les coups s’enchaînent, totalement soumise, mon amie poursuit ses remerciements.

« Tu me plais salope ! »
Nous arrivons rapidement au dixième coup. La pauvre fille soumise est haletante, ses fesses, son ventre et ses seins sont marquées de petites stries.
« Ta peau est divine et mérite pas d’être pervertie de la sorte. Nous sommes fier de toi. Il est temps pour moi de t’offrir ta récompense, belle esclave. »
Les trois homes alors la prennent ensemble et jouissent d’elle tandis que mon amie part dans un orgasme sans fin, la laissant pantelante.
Elle ne sait pas si elle renouvellera une séance aussi difficile mais elle revient chez elle avec 6000€ dans le sac.

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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