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Histoire du net , auteur Isa13450

Ah, mon téléphone bipe ; un message :

« Bonjour Isa, je pense beaucoup à toi, je ne cesse de me remémorer les plaisirs charnels que nous avons partagés lundi dernier. Je rêve de pouvoir te revoir, je regrette la distance qui nous sépare. J’espère que tu vas bien. Bises coquines, Gilles. »

Un nouveau texto de mon amant. Comme à l’accoutumée ces derniers jours, je m’empresse d’y répondre :

« Coucou Gilles, oui je vais bien, moi aussi je regrette que l’on ne puisse se revoir facilement à cause de la distance, je pense beaucoup à toi, à nous, à ce que nous avons fait ensemble. Le soir, lorsque Jean est endormi à mes côtés dans notre lit, je me masturbe discrètement en pensant à toi. »

« Isa, il faut absolument que je me débrouille pour revenir sur Marseille, je pense prendre quelques jours de congés, je dirai à Carole que je pars en déplacement, et toi, tu pourras prendre des congés pour que l’on puisse se rencontrer durant deux ou trois jours d’affilée ? »

« Oui, bien sûr, je peux programmer ça, nous pourrons nous voir mais uniquement en journée, pas le soir, j’attends tes dates avec impatience pour m’organiser ! »

« À très bientôt ma belle, bises cochonnes… »

Les jours suivants, Gilles m’a confirmé qu’il serait là pour deux jours dans deux semaines ; de mon côté, je me suis empressée de programmer deux RTT en les inscrivant sur le planning à mon agence. Je n’avais plus qu’à patienter, je savais que cette attente allait me paraître interminable.

Durant cette attente, Jean, mon mari, a pu profiter de l’intensité de ma libido générée par l’excitation de la situation dans laquelle je me trouve. Malgré tout l’amour que je ne cesse d’avoir pour mon cher et tendre, j’ai de moins en moins de scrupules à entretenir ma relation adultère avec Gilles. Je ne sais pas expliquer pourquoi j’apprécie de pouvoir séparer l’amour avec un grand « A » que je porte à Jean et les relations purement et uniquement sexuelles que j’entretiens avec mon amant. Pour être honnête, je n’éprouve aucun sentiment pour Gilles ; il reste à mes yeux un compagnon de jeux, de plaisirs de la chair, et rien d’autre que cela.

Après ces quelques jours d’attente, mercredi soir, 21 heures, je reçois un nouveau texto, probablement de Gilles. Pour éviter tous soupçons, je le lis discrètement en me rendant aux toilettes :

« Coucou ma belle, ça y est, je suis arrivé à notre hôtel, je suis excité à l’idée que tu viennes me réveiller demain matin. Mes pensées érotiques me maintiennent en érection, je vais devoir me soulager en t’attendant… À demain, bises. »

« Je ne peux pas échanger de messages avec toi ce soir, je te dis à demain, je te rejoins dès que possible. PS : ne t’épuise pas cette nuit… garde un peu d’énergie pour demain matin… »

7 heures ; Jean quitte la maison pour se rendre à son travail. Je m’empresse de finir ma toilette, de m’habiller ; une demi-heure aura suffi pour que je sois prête et que je fonce dans ma voiture en direction de Marseille. Quarante-cinq minutes plus tard :

« Coucou Gilles, je suis arrivée, tu es dans quelle chambre ? »

« 14 »

Je toque à la porte, Gilles m’ouvre et m’accueille dans le plus simple appareil. Ma surprise a libéré instantanément une première question :

— Tu t’es entièrement épilé ?

Avant de me répondre, il claque la porte dernière nous, m’embrasse sensuellement puis me répond :

— Oui, ça te plaît ?
— Disons que… du coup, en étant aussi bien dégagé, ton sexe paraît plus gros, voire même énorme !

Contrairement à ce que j’avais imaginé, durant les heures qui nous ont menés jusqu’à midi, Gilles m’a fait l’amour tendrement, sensuellement, et non brutalement comme à son habitude lors de nos dernières rencontres. C’était agréable, c’était bon, ça ressemblait beaucoup à ce que je vis au quotidien avec mon Jean d’amour.

— Isa, on se fait un brin de toilette, on sort, j’ai réservé.
— Non, Gilles, je ne préfère pas m’afficher dans un restaurant, je suis trop proche de mon domicile, on ne sait jamais qui je pourrais rencontrer, je préfère rester discrète, je préfère que l’on reste ici.
— Ne t’inquiète pas, j’ai tout prévu, un taxi nous attend à 13 heures devant l’hôtel, j’ai précisé ma demande de vitres teintées, et ne je t’emmène pas dans un restaurant classique où tu pourrais rencontrer des connaissances, rassure-toi, j’ai pensé à tout, nous allons passer un moment en toute intimité et discrétion, fais-moi confiance, allez, habille-toi.

Nous voilà partis en direction de Marseille-centre dans ce taxi Mercedes aux vitres fumées qui nous a déposés une demi-heure plus tard devant un club qui ne laissait aucun doute sur son activité lorsque l’on regarde l’enseigne rouge au-dessus de la grande porte métallique noire.

— Mais… Gilles, où tu m’emmènes ? Je ne tiens pas à entrer dans ce genre de lieu. S’il te plaît, partons d’ici !
— Chut, je t’ai dit de me faire confiance ; allez, avance et toque à la porte.

C’est prise d’une angoisse grandissante que j’ai toqué. Une petite lucarne sur le haut de la porte s’est ouverte et nous avons pu voir le visage d’une dame d’un certain âge qui nous a interrogés :

— Vous avez réservé à quel nom ?

Gilles s’est empressé de répondre par son nom de famille :

— Pino.
— Vous êtes en avance ; je vous ouvre, nous rétorqua la vieille dame.

Le lieu était assez sombre ; seules quelques lumières rouges peu lumineuses permettaient de pouvoir décrire cet environnement. Nous avons suivi cette dame jusqu’au comptoir qui se trouvait au bout de ce couloir où elle nous a questionnés à nouveau en tournant les pages de son agenda :

— Vous avez réservé une table pour deux, puis la formule GB avec option GH ; c’est ça ?

Sans me laisser le temps d’essayer de traduire ces abréviations, Gilles a répondu :

— Oui, c’est exactement ça !
— Bien, je vous propose de me suivre jusqu’à votre table ; nous allons vous servir un apéritif.
— Très bien, rétorqua Gilles.

Nous nous sommes dirigés dans une grande pièce légèrement plus lumineuse que le couloir et la banque d’accueil que nous venions de quitter. Sur l’instant, hormis les couples déjà installés autour des tables qui composaient cette pièce, je n’ai pas remarqué ce qu’il se passait plus à l’écart tout au fond ; ce n’est que lorsque je me suis assise, en sirotant mon punch, que j’ai pu apercevoir au fond de la salle des personnes qui semblaient se procurer des plaisirs sexuels dans un espace beaucoup plus sombre. Je ne pouvais pas percevoir clairement ce qu’il s’y passait, mais il était évident que des personnes faisaient l’amour sans se soucier du public environnant.

Sans être pour autant très surprise, car j’avais bien compris l’ambiance du lieu dans lequel mon amant m’avait entraînée, j’ai interrogé Gilles :

— Gilles, tu as vu ? Ils font l’amour en groupe là-bas au fond ; ça ne les gêne même pas d’avoir des gens qui prennent leur repas à côté d’eux !
— Ça te choque ?
— Disons que ça ne fait pas partie de mes coutumes… Et je t’avertis : si tu avais dans l’idée qu’on les rejoigne, c’est hors de question !
— Ne t’inquiète pas, ça ne fait pas partie de notre formule.
— Oui, au fait, c’est quoi ce truc de formule que tu as réservé ? Tu avais l’air de bien savoir ce que voulaient dire les abréviations. Alors, c’est quoi ?
— C’est une surprise. Fais-moi confiance ; jusqu’ici, tu as apprécié toutes mes surprises, n’est-ce pas ?
— Oui, mais là tu es déjà allé un peu trop loin en me menant ici pour déjeuner.
— Détends-toi, essaie d’observer les spectacles qui s’offrent à toi.
— On n’y voit pas grand-chose, on peut tout juste deviner qu’ils font une belle partouze là-bas au fond !
— Ça ne t’excite pas un peu de les voir, de les deviner ?
— Humm, ça pourrait si j’étais moins dans l’inquiétude de savoir ce que tu as imaginé pour la suite.
— Ne sois pas inquiète : quoi que je t’aie réservé, rien n’est obligatoire. Si tu veux, nous pouvons quitter la salle maintenant et prendre un taxi pour retourner à l’hôtel si c’est ce que tu souhaites.
— Non, c’est bon. Maintenant que nous sommes là, je vais au moins finir mon repas ; j’ai faim.

Je ne pouvais m’empêcher de diriger constamment mon regard vers ce groupe au fond de la salle, espérant pouvoir deviner quels actes étaient pratiqués, sous quelles positions ils se donnaient du plaisir les uns aux autres.

À la fin de notre repas, après avoir bu notre café, la vieille dame de l’accueil s’est dirigée vers nous en nous proposant de la suivre afin de passer à la suite de la formule qui nous était réservée. Nous sommes sortis de cette salle pour nous diriger vers un autre couloir où se trouvait une série de portes fermées assez distantes les unes des autres et toutes numérotés. Arrivée devant la porte n° 7, elle stoppe en nous indiquant :

— Je vous en prie, entrez donc ; mettez-vous selon vos aises. Sur votre droite vous avez un placard avec des objets que vous pouvez utiliser à votre guise, puis lorsque vous êtes prêts, vous ouvrez la porte qui se trouve au fond de la pièce ; vous pourrez alors entrer dans un lieu qui vous est spécialement réservé. Je vous souhaite un agréable après-midi.

Sans autres explications, cette dame nous a quittés en fermant la porte derrière elle. Je vous laisse imaginer mon angoisse montante ; je sentais mes mains trembler, je ne pouvais contrôler cette peur qui m’envahissait. Je ne saurais dire si, à cet instant, la moindre excitation, le moindre désir sexuel étaient présents en moi.

— Gilles, qu’est-ce que ça veut dire, tout ça ? Qu’y a-t-il derrière cette autre porte ?
— Encore une fois, Isa, si tu ne te sens pas bien, si tu n’es vraiment pas à l’aise, nous pouvons repartir de suite. La seule chose que je peux te dire, c’est de me faire confiance. Tu ne le regretteras pas, tout comme ce que je t’ai fait vivre jusqu’ici. On regarde ce qu’il y a dans ce placard ?
— OK, mais promets-moi que dès que je demande à partir, nous partons !
— C’est promis.

Sans en avoir conscience, une part d’excitation devait bel et bien être présente en moi pour que j’accepte de poursuivre l’aventure. Dans cette armoire, une multitude d’objets, de jouets érotiques composaient les étagères. Il y avait toutes sortes de godes et godes-ceinture, des fouets, des menottes, des laisses qui ressemblaient étrangement à celles que l’on fait porter à notre a****l de compagnie. Les jouets tels que les godes étaient sous plastique hermétique, très certainement stérilisés pour une parfaite hygiène. Dans un pot en verre se trouvaient également une multitude de préservatifs. Gilles attrapait tous ces objets les uns après les autres ; je voyais son hésitation, ne sachant lequel utiliser en premier. C’est en attrapant la laisse, article habituellement destiné à notre chien, qu’il a rompu le silence :

— Déshabille-toi entièrement !
— Gilles…
— Allez, déshabille-toi !

Sur ce ton assez ferme, je me suis entièrement dévêtue, gardant mes chaussures aux pieds.

— Non, les chaussures aussi ; tu les retires.

Une fois mes pieds également nus, Gilles a serré autour de mon cou le collier de la laisse qu’il tenait en main à son autre extrémité. Une longueur d’environ un mètre de chaîne métallique séparait mon tour de cou du lien qu’il tenait en main à l’autre bout.

— Bien. Maintenant que tu es prête, dirige-toi vers la porte du fond ; nous allons voir ce qui t’attend derrière.
— Et toi, tu ne te déshabilles pas ?
— Non, pas pour le moment. Allez, avance !

J’avançais lentement aux côtés de Gilles qui me tenait en laisse. Qu’y avait-il derrière cette porte ? Une pièce avec un lit, très probablement ; à moins que…

Mon cœur battait comme jamais ; je pouvais ressentir les pulsations dans tout mon corps. Mes mains ne cessaient de trembler, j’étais très angoissée, j’avais peur, mais je dois avouer que j’étais également excitée de vivre un tel scénario souvent fantasmé au travers des films pornographiques régulièrement visionnés. Ce jour-là, pour moi, c’était du réel !

Lorsque j’ai ouvert la porte, j’ai été moyennement surprise de voir ce qui m’attendait. La pièce était cette fois assez lumineuse. Devant moi, au centre, je pouvais voir un grand lit rond recouvert d’un drap blanc, exactement comme ceux que j’ai déjà vus dans les reportages où l’on nous dévoile les moindres recoins des clubs libertins. Derrière, plus au fond, trois verges raides dépassaient d’un mur par des trous alignés et disposés à cet effet. Au sol, contre le mur, dans l’alignement vertical des sexes qui dépassaient, de grands coussins rouges s’entassaient. Il était évident qu’ils avaient pour but de protéger la chair des rotules de la personne qui allait devoir se mettre à genoux pour faire une gâterie buccale à ces messieurs.

Après un court instant d’immobilité pour bien visionner l’ensemble de la pièce, sans mots, Gilles a tiré sur ma laisse pour me diriger vers le premier de ces trois sexes. À la couleur de ce membre, je devinai qu’un métis se cachait derrière ce mur, certainement très grand, à l’image de son sexe. En tirant sur ma laisse en direction du sol, Gilles m’a imposé de m’agenouiller devant ce premier pénis. Son gland luisait ; sa verge semblait extrêmement tendue. J’ai lancé un regard vers Gilles qui a immédiatement répondu à mon interrogation silencieuse :

— Suce-le. Tu as aussi le droit d’utiliser tes mains.

J’ai enveloppé ce premier sexe inconnu de mes deux mains pour exercer une lente masturbation. Rapidement, un tout petit filet de liquide visqueux transparent s’est écoulé lentement jusque sur mes doigts, signe de son excitation grandissante. Sans le faire patienter de trop, j’ai dans un second temps fait glisser ma langue sur le pourtour de son gland, ce qui m’a permis de goûter cette sécrétion désormais étalée sur le haut de sa tige. Son sexe donnait des à-coups d’excitation ; c’était très excitant pour moi de savoir que j’étais maîtresse de chaque action sur sa queue. Prisonnier derrière ce mur, il ne pouvait qu’attendre que je choisisse de pratiquer telle ou telle caresse sur son membre sans pouvoir en décider lui-même.

Par sa grosseur, son gland remplissait à lui seul déjà très convenablement ma bouche ; je savais qu’il me serait impossible de le prendre très profondément dans ma gorge. J’ai entamé une fellation en le faisant glisser tout de même en profondeur au maximum de mes possibilités tout en masturbant le bas de sa tige serrée entre l’index et le pouce de ma main droite. De cet homme, je ne pouvais rien voir d’autre que sa queue dépassant de ce mur ; en revanche, je pouvais entendre ses gémissements grandissants accompagnés de mots qui devenaient de plus en plus familiers lors de mes relations sexuelles :

— Oh oui, vas-y comme ça, petite salope… Vas-y, je ne vais pas tarder à t’en foutre partout ! Vas-y…

Un premier jet de sperme sous pression s’est violement étalé sur mes amygdales, puis deux autres jets que je n’ai pu contenir entièrement dans ma bouche sont venus clôturer cette extase. Gilles m’a tendu un mouchoir en papier pour que je me nettoie avant de tirer sur ma laisse, cette fois vers le haut de façon à m’ordonner de me redresser. Il m’a dirigée vers la seconde queue qui dépassait du mur.

Celle-ci, de couleur plus claire, plus rose, semblait beaucoup plus fine et bien moins longue que la première. D’ailleurs, par ce trou, il n’y avait pas que cette tige à demi bandée qui dépassait, mais également les couilles de ce monsieur qui s’étaient fait leur place de mon côté de la cloison. Le gland était partiellement recouvert de sa peau protectrice ; ma première action a été de le dégager en le décalottant. Sous cette action, son érection s’est améliorée, et encore bien plus lorsque j’ai positionné un maximum de longueur de cette tige au plus profond de ma gorge. Avec celle-ci, je pouvais sans trop de difficulté réaliser une gorge profonde, ce que je ne me suis pas privée de faire. Après l’avoir fait coulisser dans ma bouche à plusieurs reprises, Gilles a tiré sèchement sur ma laisse pour m’écarter de cette verge.

— Isa, si ces couilles sont là devant toi, c’est peut-être que monsieur aime que l’on s’en occupe ; qu’en penses-tu ?

Sans réponse, j’ai tendu ma langue pour dessiner le pourtour de chacune de ces deux billes. La peau de son sac s’est immédiatement contractée ; il était évident que cet homme-là appréciait mes caresses buccales sur ses bourses. J’ai donc insisté en prenant en bouche de façon très délicate chacune de ses boules à tour de rôle pour d’abord les sucer, les lécher avant de les aspirer une après l’autre pour les gober. Son sexe paraissait de plus en plus tendu sous mes léchouilles. Constatant l’effet produit, je persistai à faire glisser mes lèvres sur cette partie de son corps, et il n’a pu retenir sa jouissance plus longtemps lorsque j’ai accompagné mes succions d’une énergique masturbation de sa verge tendue. Son sperme qui a giclé sur le haut de mes épaules était assez liquide et s’est écoulé de ce fait en un seul filet jusqu’au-dessus de mes fesses. Après m’avoir laissé le temps de purger entièrement cette tige de son jus, Gilles m’a lui-même nettoyé le dos à l’aide d’un mouchoir en papier qui s’est immédiatement souillé de toute cette semence.

Un coup sec sur ma laisse m’indiqua qu’il était temps que je me déplace devant la troisième queue qui devait s’impatienter.

Cette fois, je pouvais observer un sexe raide, assez large, dépourvu de peau protectrice. Jusqu’ici, je n’en avais jamais vu en vrai ni même en vidéo : une verge probablement dépourvue de sa peau dès la naissance. Le gland était bien dégagé, de forme assez allongée, et cette fois les testicules était restés de l’autre côté de la cloison, ce qui m’interdisait de pouvoir en profiter. Sans aucune mesure, j’ai pris ce sexe en bouche pour le mener en butée au fond de ma gorge. Au terme de cette pénétration, le monsieur en question a immédiatement exprimé son plaisir en lâchant un :

— Ahhh, oui… Qu’est-ce qu’elle est bonne !

Pour ce troisième acte, j’ai imposé un rythme soutenu aux va-et-vient que j’exerçais avec ma bouche sur ce bâton, prenant soin de bien plaquer ma langue sur toute la longueur de la verge qui ne cessait de grossir et de se rigidifier sous mon emprise. Le monsieur persistait à exprimer ses compliments à mon égard, mais lorsque sa respiration bruyante accompagnée de gémissements s’est amplifiée, Gilles a tiré sur ma laisse pour m’écarter et remettre à l’air libre mon sucre d’orge.

— Pas comme ça avec celui-là : mets-toi debout et enfile lui plutôt ça.

Gilles m’a tendu un préservatif que j’ai retiré de son étui pour l’enfiler sur la queue raide et humide toujours dressée devant moi. Je savais très bien de quoi allait être faite la suite, mais j’ai tout de même lancé un coup d’œil vers mon maître qui m’a confirmé ce qu’il attendait de moi :

— Maintenant, cambre-toi bien ; mets tes mains sur tes genoux et empale-toi sur la queue pour la faire jouir avec ta chatte.

Je me suis retournée pour positionner mes fesses en direction de la cloison. Pour aider à la pénétration, Gilles a tenu entre ses doigts le sexe de cet homme de façon à le placer devant l’entrée de mon vagin. Un léger mouvement de mes fesses vers l’arrière a permis de faire coulisser son membre dans mon conduit. La pénétration ne pouvait être très profonde à cause de l’épaisseur de la cloison qui nous séparait, mais cela ne m’a pas empêchée d’entamer une série de mouvements qui permit à cet homme d’exprimer à nouveau son plaisir :

— Ah oui, elle est chaude et étroite… Elle va me faire craquer trop tôt, cette salope !

À cette écoute, j’ai compris que je n’allais malheureusement pas pouvoir profiter de suite d’un passage au septième ciel. Et en effet, la raideur de cet homme est retombée juste après qu’il eût exprimé bruyamment le feu d’artifice qu’il venait de faire exploser dans son capuchon. Gilles a alors tiré sur la laisse pour me libérer de ce pieu devenu flasque. Je me suis redressée ; il m’a souri et m’a indiqué :

— Viens, viens t’allonger sur le lit maintenant. Tu as été une gentille fille ; tu mérites que l’on te fasse jouir.

Il m’a guidée jusque devant le grand lit rond en tirant sur ma laisse qu’il a finalement détachée de mon cou lorsque je me suis allongée. Simultanément, les trois hommes jusqu’ici emprisonnés derrière cette cloison se sont évadés par la porte du local dans lequel ils étaient enfermés.

Le premier qui s’approcha de moi et dont je découvrais la corpulence et le visage était bien un métis tel que je l’avais imaginé au regard de son sexe. Debout devant le lit, face à moi, il a fait glisser un préservatif sur son sexe en prenant soin de bien amener l’élastique jusqu’à la base de sa queue. Alors qu’il se positionnait entre mes cuisses en s’allongeant sur moi, les deux autres hommes sont venus se présenter debout contre le lit à hauteur de mon visage pour commencer à masturber leur engin juste au-dessus de ma tête en ne perdant pas une miette du spectacle qui leur était offert.

La lente pénétration de mon conduit vaginal qui s’en est suivie m’a confirmé que cet homme possédait un membre bien plus gros que la normale. Après avoir buté au fond de mon ventre, ce beau métis a entamé une série de va-et-vient dont l’intensité me laissa échapper un cri de plaisir à chaque contact de son gland contre le fond de ma cheminée. Sans modifier le rythme de ses secousses, ses lèvres parcouraient mon coup, mon oreille, mes épaules ; par moments, il se redressait sur ses bras pour pouvoir sucer la pointe de mes seins. J’aimais beaucoup sa façon de me prendre, de m’embrasser, de serrer sa main sur mes fesses pour accentuer le contact de sa queue lorsqu’elle était en butée dans mon ventre. L’issue semblait désormais fatale : son déchaînement nous dirigeait tout droit vers l’extase.

Les deux autres compères agitaient de plus en plus frénétiquement leur main sur leur sexe, excités par la vision de ce qui les attendait. L’un d’eux a attrapé une de mes mains pour la positionner sur son membre, mais j’étais trop concentrée sur mon propre plaisir montant pour pouvoir masturber sa tige que j’ai immédiatement relâchée, à son grand regret.

Mon passage au septième ciel a été foudroyant, libérant enfin ce cumul d’excitation qui avait pris possession de mon corps dès les premiers pas en ces lieux obscurs.

À tour de rôle, les deux autres hommes sont venus se glisser en moi pour s’agiter avec déchaînement jusqu’à l’explosion de leur feu d’artifice ; pour ma part, j’ai eu l’occasion de jouir une nouvelle fois lorsque j’étais sous l’emprise de l’homme dont le sexe était circoncis ; et pour conclure, je dois avouer que j’ai pris énormément de plaisir en réalisant ce fantasme que je n’imaginais pas mettre en application un jour.

De retour sur le parking de l’hôtel où était garée ma voiture, Gilles m’a proposé de passer un moment dans sa chambre avec lui ; il débordait d’excitation et n’avait pas été soulagé du fait d’avoir pris très à cœur son rôle de maître durant tout l’après-midi. J’ai dû refuser car il était déjà plus de 18 heures et que j’étais attendue à la maison, mais je lui ai confirmé que le lendemain matin je viendrais à nouveau animer son réveil.

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